Des Vacances De Rêve ...

Revenus de vacances je dois faire un effort pour savoir si ‘çà’ c’est vraiment passé ainsi …
Nous partions en vacances avec nos s par le train, un long trajet qui nous emmenait de paris en Italie
Il faisait chaud, nos s de six et neuf ans à genoux sur les sièges avaient le nez collé à la vitre pour admirer le paysage qui défilait à toute vitesse, près de l’allée Alain, mon mari, sans décoller le nez de son bouquin depuis une heure me faisait face, je me sentais horriblement seule, le compartiment n’était pas bien rempli, mon esprit vagabondait me laissant inattentionnée sur le maintien correct de mes jambes, c’est lorsque je me suis sentie observée que mon regard a croisé celui d’un homme assis deux rangées plus loin m’ont interpelée, souriant, plutôt bel homme, j’ai tout de suite deviné ce qui le captivait ainsi… mes genoux trop ouverts que j’ai immédiatement rectifiés le feu aux joues, je n’osais plus affronter ses yeux perçants … mais vous connaissez les femmes … je devais absolument savoir s’il me portait encore un quelconque intérêt
Déçu que j’ai rectifié sagement ma position, sans toutefois tirer sur ma jupe, sa bouche faisait la moue, aucun doute il avait dut apercevoir l’étroite tache blanche que faisait ma petite culotte entre mes cuisses… un coup d’œil à ma famille toujours aussi occupée, c’était comme si je voyageais seule, la tête appuyée les yeux mi-clos, j’ai à nouveau fait semblant de m’égarer dans mes pensées et mon genoux droit s’est écarté … encore et encore … je le balançais au gré des cahots et du tangage improbables, à travers mes cils j’ai vu mon admirateur de nouveau écarquiller les yeux, cette fois aucun doute, il matait mon entrejambes et sa main crispée sur sa braguette confirmait que la vue ne le laissait pas indifférent
Je me suis mise à fantasmer, et si je n’avais pas mis de petite culotte ? il aurait vu ma mouille perler parmi ma toison courte et blonde … il aurait sorti la queue énorme qu’il masse à travers la toile du pantalon pour me la montrer… hélas l’homme vient de cesser le mime de masturbation.

.. il me fait un signe de la tête et se lève … il part vers le fond de la voiture, vers les toilettes, se retournant deux fois …mon cœur fait des bonds dans ma poitrine , l’homme se retourne encore et me fait à nouveau un signe plus impératif qui signifie : OSE, mais ose donc !
Un tsunami envahi mon vagin, je ne me contrôle plus, ma chatte devient une crevasse à combler, mes seins durcissent, je dois céder à l’appel du mâle …
- Je reviens Alain, surveille les s
- Mmoui …
Pas même le temps de relever la tête vers moi pour me demander où je vais… quel idiot, je n’ai désormais aucun scrupules, c’est à peine si mes jambes me portent, je titube jusqu’à l’homme qui me barre le passage, la seule issue est celle des toilettes dont la porte est ouverte, quel merveilleux endroit pour faire l’amour, qu’importe, je baiserai même sur un tas d’ordure !
Je suis poussée au fond de l’étroite cabine, la porte se referme au verrou, deux mains nerveuses me plaquent les fesses contre le lavabo, j’aide l’homme à retrousser ma jupe en jouant des hanches, il farfouille dans sa braguette mais je n’ose regarder ce qui va en sortir, son souffle court fouette mon visage le temps qu’il écarte mon slip et pointe sa verge sur ma fente , je suis tellement ouverte at humide que ça ne prend qu’une seconde ,un gland mafflu repousse mes muqueuses, sa respiration brulante se transforme en un souffle de satisfaction rauque, faute de pouvoir exprimer mon bonheur a haute voix c’est un immense soupir libérateur pour moi
Je ne regrette pas de m’être laissée pénétrée, son membre épais et long me comble au-delà de mes espérances, des coups virils m’ouvrent encore et encore, je suis au bord de l’orgasme, les grognements de plus en plus rapprochés de mon amant signifient qu’il va jouir aussi, je m’accroche à lui comme à une bouée de peur qu’il ne me gratifie pas de son foutre qui va servir à éteindre l’incendie de mon vagin, à chaque spasmes incontrôlable de sa verge un flot de foutre est expulsé au fond de mon vagin qui gonfle sous la quantité emmagasinée
- Tttttiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeeennnnnnnnnnn ! prend çaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhoooooooooooooooouuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !
- Nnnnoooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnn !!!!!!
Puis survient l’inévitable et immense sentiment de vide, c’est déjà fini, il rentre son matériel certainement encore suintant, tire sur le zip de sa braguette et sort me laissant me rajuster et baisser ma jupe, je refais le trajet en sens inverse, suante, essoufflée mais toutefois très soulagée ! me revoilà assise face à mon mari qui ne s’aperçoit même pas de mon retour, tien, mon amant a disparu ? c’est mieux ainsi, je n’aurais pas supporté son regard évaluateur
Le hic est que le sperme commence à descendre dans ma petite culotte … des relents caractéristiques montent à mes narines, il me semble que l’odeur de l’amour va se répandre dans tout le wagon, des bulles éclatent dans mon slip, la semence perle à travers le fin tissu, je me maudis de n’avoir pas pris le temps de m’essuyer la chatte, j’aurais même eu le temps de me masturber avec le foutre de mon amant !
Nous arrivons à une gare où nous devons changer de correspondance, sur le quai mon mari qui me suit m’apostrophe rapidement
- T’as vu ta jupe ?
- Quoi ma jupe ?
- Elle est toute tachée derrière
- Ah bon ? ha ! ce doit être lorsque je suis allée aux toilettes, j’ai dut m’appuyer sur le lavabo certainement mouillé, ça va sécher
- Hum, ça ne ressemble pas à de l’eau, mais si tu le dis ….

- Ne vous éloignez pas les s …
J’ai préféré coupé court à cette conversation qui risque de devenir scabreuse, car l’eau n’amidonne pas le tissu comme le fait le sperme …je me sens guillerette, fière d’avoir accompli cet acte insensé, c’est du pur cocufiage, ma première incartade … chaque pas me le rappelle car mon vagin continue à se vider, pourvu que ça n’arrive pas à mes genoux …
J’ai réussi à parer au plus urgent dans les toilettes de l’autre train, cette fois pas de mâle en rut pour me pousser au vice ! le soir tard, arrivée à destination à l’hôtel, j’ai pu me passer de l’eau entre les cuisses avant que mon mari devenu subitement fougueux ne me monte dessus sans préliminaires, s’il m’avait fait un cunit sans doute se serait-il douté que ma chatte avait servi ? il a toutefois décelé que je lubrifiait à merveille, et s’est épanché avec un ravissement non feint dans le foutre de mon amant, avant de sombrer dans le sommeil, je ressentais encore les coups de bites de l’homme du train en me caressant discrètement, je devrais rééditer mon l’exploit dès que j’en aurais l’occasion !
L’opportunité c’est présentée le lendemain matin …
- Si nous allions à la piscine tous les quatre ?
- Emmène les s, je vous rejoins dès que j’ai fini de ranger les vêtements
- Ne tarde pas
- Oui-oui
Ce n’était pas prémédité, mais en marchant dans le couloir, pieds nus en sortie de bain, sous laquelle j’avais mis mon maillot deux pièces très échancré, j’ai vu une porte de chambre ouverte, un jeune garçon d’étage, en petit gilet, faisait la chambre, nos regards se sont croisés, nous nous somment souri… je suis revenue sur mes pas et suis carrément entrée dans la chambre en refermant la porte sur moi
- Bonjour !
- Bonjour madame ? vous cherchez quelqu’un ?
- Oui, vous !
- Moi ? mais …
- Tenez c’est pour vous !
- Votre bas de maillot ?
- Hé oui, à vous de dégrafer le soutient gorge, le lit n’est pas fait, ça tombe bien !
Complètement médusé par mon audace il m’a regardé m’allonger dans une position confortable que j’aurais bien voulus prendre la veille dans le train !
Face à ma chatte, mes cuisses écartées ne permettent aucuns doutes sur ce que j’attends de ce garçon qui parle bien français avec un fort accent italien, il commence par regarder sa montre, c’est bon signe
- Vient vite ! plus tu attends moins tu n’auras de temps pour me sauter
- Puttana ! je vais te niquer !
J’adore me faire traiter de putain par ces deux langues mélangées ! quelques secondes plus tard le gilet et le pantalon gisent sur l’épaisse moquette, une verge fine et très longue le devance
- Suce-moi !
- Bouffe-moi …
- Va bene !
Un soixante-neuf intrépide débute, bruits de sucions, jurons, un peu trop fougueux à mon goût mais quelle énergie ! il m’a rapidement balancée sa semence acre dans la gorge, tandis qu’il se relève je me retourne lui offrant une vue qu’il ne peut refuser
- Puttana ! je vais t’enculer !
- Fait toi plaisir …
Alors que la verge commence à ouvrir mon anus la porte de la chambre s’ouvre violemment
- MARIO !! ça fait une demie heure que je te cherche… mais ? que fais-tu petit imbécile ? rhabille toi immédiatement et sort d’ici, nous règlerons ça plus tard !
- Pardon monsieur ne le grondez pas, c’est entièrement de ma faute !
- Qui êtes-vous ? UNE PUTTANA ?
- Non monsieur, seulement une cliente
- Eh bien bravo ! alors comme ça vous débauchez mon personnel ?
- J’ai eu une envie pressante qui n’est d’ailleurs pas assouvie !
- Une envie pressante ?
- Le rôle d’un chef de personnel est bien de veiller aux bons vouloirs des clients non ?
- Exactement, c’est de rigueur dans notre établissement madame
- Alors qu’attendez-vous pour exaucer mes vœux ?
- Quels sont-ils ?
- Prenez-moi par derrière, comme allait le faire Mario
- Et si je refuse ?
- Je descends me plaindre à la direction
- Permettez-moi de prendre le relais chère madame, le temps de baisser ce maudit pantalon et je suis à vos ordres, veuillez reprendre la pose.
.. chatte ou anus ? car les deux sont bien ouverts ?
- Chatte et anus … dans un premier temps je veux votre sexe dans mon vagin et vos doigts dans mon anus, ensuite l’inverse …
- C’est d’accord, penchez-vous bien ….rhhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, ma verge vous convient ?
- Elle est d’un bon calibre, secouez moi fort …très fort !
Le majordome me pénètre méthodiquement, mécaniquement, j’aurais aimé plus de fantaisie mais l’homme s’en tient au principe de respect de la clientèle, la grosseur très acceptable de son membre et son pouce qui me taraude le cul compense ce manque, pour l’inciter à me baiser plus vicieusement je me jette à sa rencontre faisant claquer mon cul sur son ventre, l’homme grommèle, ôte son pouce de mon derrière et empoigne mes hanches, c’est parti pour une séance mémorable de cul, hélas mon amant se bloque soudainement a moi … en fermant les yeux je revois mon amant du train lorsque son foutre a puissamment giclé dans mon vagin, le membre ramolli glisse immédiatement hors de ma chatte, je retombe à plat ventre sur le lit
- Remet ton slip vite fait et tire-toi de là avant que je n’appelle la sécurité !
Une nouvelle fois j’enfile mon slip avec tout le foutre qui bouillonne en moi, décidément … oublier la piscine, je rentre direct à ma chambre pour me laver la chatte, mais là une surprise m’attends …
- Ah ! te voilà chérie ? ou était tu passée ?
- Je vous aie cherchés sur les abords de la piscine sans vous trouver …
- Tu n’as pas du bien regarder, les s jouent avec ceux du club alors j’en ai profité pour remonter te faire une surprise !
- Une surprise ??
- Quitte ton maillot de bain, profitons de notre liberté ! je vais te faire un gros câlin
- Un gros câlin …
- Mais enfin qu’as-tu ? depuis hier tu es insaisissable
- Tu serais fâché si je te disais que je t’ai trompé ???
- Toi me tromper ? laisse-moi rire ! écarte les cuisses je vais te brouter le mille-feuille !
- Je te préviens, tu vas avoir une surprise …
- Qu’est-ce que tu crois ? je ne suis pas dupe, hier dans le train et aujourd’hui ? c’était où ? avec qui ?
- Dans la chambre d’à côté avec le garçon d’étage
- Salope, laisse-moi nettoyer ça …
- Fait toi plaisir …
- Trainée, demain tu te feras prendre par le maitre-nageur
Donc je n’ai pas rêvé j’ai passé des vacances d’enfer !

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