Rencontre Avec Trois Hommes

Tout a commencé par une rencontre dans un club avec Abdou, club mixte où nous avons coquiné avec lui ; bel homme ,mais avec un peu d’embonpoint, il a su charmer ma petite coquine et c’est dans un coin discret que nous avons passé la soirée, profitant de sa capacité à bander presque sur commande ; je dis nous car s’ il a su faire jouir plusieurs fois mon épouse, il m’a aussi provoqué, me demandant de le sucer, alors qu’elle souhaitait qu’il me prenne ; ce qu’il a fait avec virilité ; c’est fort tard que nous nous sommes quittés, avec la promesse de se revoir et l’échange de nos téléphone.
C’est ainsi que quelques semaines plus tard, j’ai reçu son appel, car il souhaitait nous revoir, ayant pris beaucoup de plaisir à nous posséder tous les deux. Malheureusement ma femme était en stage pour son travail. Il m’a proposé de nous rencontrer entre hommes. Petite hésitation, puis en pensant à notre soirée, j’ai accepté de le rejoindre en fin de soirée.
Abdou est un métissé (sang arabe et ghanéen) de belle prestance, courtois, avec une belle queue, en arc de cercle vers le haut ce qui procure beaucoup de sensation. Performant, endurant, légèrement dominateur, il a su nous mener à une jouissance intense et j’avoue que j’ai hâte de lui appartenir en solo. Ce en quoi je me trompais.
Chemisette et pantalon sans sous vêtement, c’est tout excité, mais avec un peu d’appréhension que je sonnais, apportant une bonne bouteille ; j’avais oublié que les musulmans ne boivent pas d’alcool. Et là, première surprise : ce n’est pas lui qui m’ouvre la porte , mais un costaud, tout aussi métissé que Abdou et quand j’arrive dans le salon , je constate qu’en réalité, ils sont trois en tout, Abdou et ses deux frères, le costaud, surnommé le taureau et un plus jeune et les présentations me figent :
« Voilà celui qui aime voir sa femme se faire baiser et qui ne refuse pas se faire enculer ; ce soir il est à nous, sans limite et ensuite nous aurons l’occasion de nous occuper de sa femelle ; elle aime le sexe et je suis sûr qu’ils apprécieront tous les deux nos envies.

» puis s’agressant à moi
« mets toi à poil et fais plaisir à mes frères » c’est sans appel et je m’exécute, un peu par crainte, beaucoup par envie. Devant moi, trois sexes sont dressés, celui d’ABDOU je le connais, en revanche, je comprends mieux le surnom ‘de taureau’ de son frère : son sexe est énorme, très épais, sans doute plus de 25cm, le gland décalotté, parcouru de grosses veines et une paire de couilles digne d’un taureau. Quant au troisième , son sexe semble plus normal, tout aussi arqué que celui d’ABDOU mais ce qui me marque , c’est son regard dur, perçant.
Abdou et Malic (le taureau,) se sont postés devant moi et à genoux, je les suce, gobant au mieux l’énorme sexe ; ils se servent chacun leur tour de ma bouche pour se branler, ; s’enfonçant parfois jusqu’à la glotte, je dois me retirer pour ne pas vomir, mais sans pitié, ils me reprennent aussitôt . Des larmes coulent sur mes joues, ce qui les fait rire « regarde, il pleure comme une petite femelle »
J’avais oublié le dernier et je le regrette très vite, car sans prévenir, il pose son gland contre mon sillon, puis sans préparation, il m’encule ; lorsque mon anneau cède, je ne peux retenir un hurlement , tellement la douleur est puissante ; il n’en tient pas compte et accroché à mes hanches, il ressort aussitôt pour me pourfendre une nouvelle fois ; il me déchire les entrailles et il semble y prendre beaucoup de plaisir ; je suis sa proie et j’en oublie les deux autres ; je suis vite rappelé à l’ordre et Abdou , me prenant la tête à deux mains se branlent entre mes lèvres , jusqu’à ce qu’il éjacule à longs jets, directement dans mon gosier, ; je m’étouffe, j’avale ce que je peux, je recrache du sperme qui s’écoule maintenant sur mes joues .
Le minus en profite pour me sodomiser , ; puissamment, furieusement son sexe me percute le fondement ; lors de l’éjaculation, j’ai oublié la douleur, mais celle-ci revient tellement il me défonce ; se retirant souvent, il me percute plusieurs fois et soudain mon anneau ne résiste plus ; il se détend, s’ouvre au sexe qui me martyrise et le plaisir arrive, d’abord sourd, puis de plus en plus fort, avant que je jouisse à grand cri.
Et quand il se vide en moi, la chaleur et la puissance de ces jets, je ne peux retenir un long cri « oh oui, remplit moi, je suis à vous… » Je ne peux en dire plus et je m’écroule sur le tapis.
Je n’ai pas le temps de récupérer ; me mettant sur le dos, les jambes écartelées, Malic place son mandrin à l’orée de mon tunnel et pousse irrémédiablement pour franchir l’anneau ; pourtant dilaté par la première sodomie, je résiste car il est énorme ; une claque me surprend et il en profite pour s’enfoncer jusqu’à la garde ; je ne peux me retenir et à nouveau mes cris emplissent la pièce et mes larmes s’écoulent , tellement la douleur est intense. Cela le fait rire « maintenant tu sauras ce que se faire dilater le cul veux dire et tu n’as encore rien vu : tu vas bientôt jouir sous ma queue et tu en redemanderas. »
Sur le moment, rien n’est évident ,seule la douleur provoquée par mes parois écartelées reste en moi ; malmené, défoncé sans douceur, je ne suis que douleur , puis alors qu’il a entrepris de me laminer à grand coup de sa bite, la douleur s’estompe ;bizarrement je souffre de moins en moins, et doucement une chaleur envahis mon corps ; j’ai furieusement envie qu’il me martyrise, qu’il me possède, qu’il s’enfonce encore plus profondément, alors que c’est impossible car ses couilles frappent à chaque fois contre mon fessier ; je me cambre, remonte mes jambes sur ses épaules, réclamant sa saillie et il en profite ; endurant , il me ramone le conduit un long moment, me faisant perdre tout repère ; je jouis en continue, m’offrant sans aucune pudeur ; sa queue est en moi et je ne veux pas qu’il se retire. Et ce n’est qu’un long moment après avoir juter en moi, alors que sa semence déborde de mon conduit à chaque coup de piston, qu’il se retire un sourire vainqueur aux lèvres, alors que pour moi, c’est le nirvana. Il avait raison, même si je suis épuisé, je sais que je m’offrirais à nouveau à lui.
Et je ne croyais pas si bien dire. Mais pour l’instant c’est le minus qui a nouveau m’entreprend ; deux doigts se sont infiltrés dans mon anneau, sans difficulté vu la quantité de semence qui me remlit ; par contre quand il essaie d’y mettre la main, ce n’est pas la même histoire ; même dilaté, même bien graissé, sa main est large .
à force de forcer, sans trop de douleur pour moi, soudain elle s’enfonce en moi ; les doigts refermés, il me pilonne le cul ; enfoncé jusqu’au poignet, son fist percute ma prostate et déclenche des ondes de plaisir ; c’est la premier fois qu’un homme me fiste ( ma femme me l’a déjà fait, mais la sensation n’est pas la même) et j’y prends beaucoup de plaisir ; parfois son poing ressort, causant un grand vide , pour mieux me percuter ensuite ; écartant mes lobes , j’encaisse avec toujours plus de plaisir et sans même mettre branler, je jouis à mon tour, m’inondant de mes jets.
Quand il se retire, j’ai l’impression d’avoir un énorme trou, ce qui doit être le cas , puisque se couchant sur le dos, Malic m’attire à lui et il me fait m’emmancher sur son pieu, et ce sans aucun problème ; c’est à mon tour de me déchainer sur sa colonne,, mais ce n’est pas ce qu’il veut ; m’attirant sur sa poitrine, il ouvre la vue de mon sillon à Abdou, qui bien bandé ,vient forcer le passage ; sans doute aidé par la jute qui est dans mon trou, il réussit peu à peu à m’écarteler , avant de commencer à me pilonner , alors que Malic reste profondément en moi ; c’est la première fois que je pris en double et si au début , j’ai dégusté, peu à peu ma chatte s’est ouverte et en bonne femelle, j’ai encaissé les deux chibres avec bonheur ; c’est cependant avec soulagement que j’ai encaissé leurs éjaculations, le trou dévasté mais une jouissance comme jamais je n’avais ressenti.
Pendant un long moment, ils m’ont laissé au repos, faisant des commentaires sur la petite lope que j’étais, sur le plaisir que j’avais éprouvé et sur ma queue, qui bien qu’enfin bandée, restait de petite taille par rapport à eux. Finalement la soirée s’est terminée fort tard, car ayant de nouveau repris des forces, ils m’ont enculé , sous forme de tournante, et il m’a fallu encaisser cette saillie un long, un très long moment avant qu’ils se retirent, vidés et épuisés.
Alors que je me préparais à partir, Abdou m’a demandé quand ma femme rentrait ; lui ayant dit le lendemain ; ayant réussi à obtenir le numéro de ma femme, il m’a dit qu’il allait l’appeler pour prolonger cette soirée.
Mais c’est une autre histoire

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