42- Kaddour A Retrouvé Sa Joie De Vivre

42- Kaddour a retrouvé sa joie de vivre :
Kaddour, un viel ami qui, jusqu’à 50 ans, a vécu normalement dans la joie et le bonheur professionnel et familial. Marié à une belle femme pendant trente ans, et qui lui a donné trois s dont deux garçons qui sonr maintenant mariés et ont des s. Mais à 50 ans, Kaddour a eu un grave accident de voiture qui ont eu de graves conséquences. Au niveau familial, Kaddour a eu des sequelles sur sa virilité devenue nulle et sa femme, depuis toujours très portée sur le sexe, a changé complètement de caractère avec son mari. Elle a tout fait pour obtenir le divorve et la garde de sa dernière fille. Et très rapidement, elle s’est remariée avec un de ses cousins, veuf, et avec lequel elle avait eu, vers 20 ans des relations amoureuses mais ses parents à elle, l’avaient mariée, contre sa volonté à Kaddour riche et ayant une bonne situation. Maintenant qu’elle a retouvé son amour de jeunesse, elle se fait remarquer par sa gaieté et son bonheur, ce qui a touché gravement le moral de son ancien mari Kaddour.
Ce dernier, devenu très sensible et aigri, se fachaient facilement avec tout le monde et surtout dans son travail, ce qui provoqué son licenciement et la perte de son logement de fonction. Même ses relations avec ses s mariés sont devenus difficiles puis nulles. Alors, il a quitté sa ville pour une autre assez éloignée et où personne ne le connaissait. Kaddour, moralement au zéro, avait des projets de suicide. Matériellement, il avait, heureusement des éconmies en banque, mais qui s’menuisent de jour en jour. Il a loué une chambre dans une pension et passait son temps soit à errer en ville, tout seul, soit perdu dans ses penésees, allongé sur son lit. Il semblaiy perdu à jamais mais le destin a d’autres cjoses dans sa becière. Un de ses anciens camarade de travail, et auquel Kaddour avait rendu plusieurs services auparavant, ayant fait des recherches, a zndin retrouver sa trace et son gite et lui a rendu visite.


Malgré son humeur, en permanence morose et suicidaire, Kaddour a bien reçu son compagnon. Comme cet homme était un gars très gentil, aimant la vie et les joies simples, et faisant preuve de pédagoguie et de mots convainquants, il a reussi à se faire entendre par Kaddour qui a fini par s’ouvtir et se confier. Ses malheurs lourds sur ses épaules ont trouvé un ami pour les soulager. Ensuite, l’atmosphère s’étant largement dissipée et Kaddour plus détendu, son ami a osé lui demander un petit service, ce qui a étonné Kaddour. Son ami lui a demandé de passer la nuit avec lui car il n’a pas cherché d’hotel et ne souhaitait pas quitter son ami cette nuit, de peur qu’il ne fasse une bétise, et Kaddour a accepyé. Son ami est sorti pour aller acheter quelques victuailles et des boissons fraiches et ils a réussi à faire bien manger Kaddour avec lui. Puis ils ont longuement discuté et même blaguer un peu, ce qui a déridé Kaddour et l’a même fait rire à pleine gorge. Puis ils se sont couchés, évidemment dans le même unique lit assez étroit.
Ce que Kaddour ne savait pas, c’est que son ami était un bi, un amateur de zobs et de sodomies. Il aimait faire plaisir à sa Terma mais aussi à son zob chaque fois qu’il en avait l’occasion. Et ce soir, il voulait tenter l’expérience avec Kaddour pour le changer de son humeur suicidaire. Donc, au bout de cinq minutes de bavardages, serrés l’un contre l’autre dans le petit lit, l’ami a posé sa main sur la bite de Kaddour et a essayer de lui faire comprendre qu’il l’a voulait pour sa Terma. Kaddour, d’abord surpris et même un peu choqué, a refusé. Mais, comme il était assez apathique et moralement abbatu, son ami en aprofité et lui a expliqué qu’il en avait besoin pour sa Terma et que c’est un service qu’il ne pouvait pas lui refuser. Ils en ont blagué et rigolé un moment, puis Kaddour s’est laissé convaincre. Le problème, c’est que, malgré plusieurs branles et sussions par l’ami, le zob de Kaddour restait inerte. Alors, Kaddour expliqua à son ami son accident et toutes les conséque,ces qui ont changé sa vie.
Après un bon moment de discussions et de compassion et de reflexions, l’ami, très pratique, a demandé à Kassour de passer à l’action inverse, c'est-à-dire de lui donner sa Terma pour le dépuceler et lui donner du plaisir. Encore une fois, Kaddour a été plus que choqué, mais rapidement, au lieu de se facher il en a rigolé tout en refusant.
Mais son ami a insisté et lui a expliqué que puisque Kaddour a tout perdu et qu’il voulait même se suicider, pourquoi ne pas essayer, seulement essaier cette expérience et on verra après. Il a fallu presque une heure pour convaincre Kaddour. Alors, l’ami a pris les choses en main. Il a d’abord totalement déhabillé Kaddour, comme il l’était lui-même et il a commencé à le caresser partout en lui expliquant en détails et attouchements qu’il avait encore un beau corps, très peu poilu et bien en chair, dans ses cuisses, dans ses fesses et ses hanches, même dans sa poitrine. Il lui a montré son corps à lui et demandé à Kaddour de le caresser aussi partout. Pris dans le jeu, après un moment d’hésitations, Kaddour a foncé. Il a caressé partout le corps de l’ami jusqu'au moment critique où il a touché puis empoigné le zob déjà bandé de l’ami, qui a aussitôt montré son contentement par des gémissements de plaisir et qui ont encouragé Kaddour à oser encore plus. Alors, il a mis le zob dans sa bouche et commencé à le lécher et à le sucer. Pendant ce temps, l’ami s’est occupé du cul de Kaddour. Il l’a embrassé, léché tout le long du sillon des fesses, puis sa langue s’est installée au niveau de l’anus de Kaddour dont il a longuement lubrifié l’extérieur avec sa salive. Ensuite, il a avancé un doigt bien salivé pour l’introduire dans l’anus, d’abord avec difficulté ; puis avec réussite. Il a commencé à bouger son foigt à l’intérieur du cul et demandé à Kaddour ce qu’il ressentait.
Ce dernier a essyer d’expliquer ses sensations, mais c’est l’ami, expérienté, qui l’a aidé à mieux traduire, en langage, ce qu’il ressentait avec les attouchements du doigt dans sa Terma.
Kaddour, tout en branlant machinalement le zob de l’ami, est maintenant totalement concentré sur le doigt qui lui massait l’intérieur du cul et il pensait à ce que ce sera lorsque c’est le zob qui le pénétrera. L’ami ayant deviné les pensées de Lddour, du fait qu’il avait ralenti la branle de son zob, lui expliqua que la pénétration et les frottements internes du zob dans la Terma provoquent un plaisir et des jouissances sans commune mesure avec la baise de la chatte d’une femme. Et surtout dans la Terma d’un homme, souvent plus serrée et plus musclée que cette des femme, ce qui provoque un serrement du zob donc on plus de gonflement et de plaisir pour les deux. Tous ces attouchements et ce langage ont amené Kaddour à s’abandonner, maintenant, totalement à son ami. Ce dernier a réussi maintenant à ajouter un second doigt dans la Terma et Kaddour commençait a ressentit, certes un peu de douleur, mais aussi des démangeaisons agréables dans sa Terma. Malheuseùent ils n’avaient ni vaseline ni même de beurre pour faciliter la chose, mais ils avaient la forte intention.
En effet, tous les deux étaient , maintenant, pris par le jeu et voulaient absolument réussir. Alors, Kaddour s’est armé de courage et était d’accord à tout accepter pour réussir et l’ami s’est armé de patience et d’ingéniosité pour avancer petit à petit à assouplir l’anus et facilter son ouverture. Et il a fallut une autre heure pour, enfin, arriver à faire entrer trois doigts ensemble et les faire bouger et tourner et frotter l’intérieur du cul de Kaddour. Lorsque l’ami sentit une certaine souplesse dans l’anus et un semblant d’hulidité dans ses doigts à l’intérieur de la Terma de Kaddour, il sut qu’elle répondait à l’appel du plaisir, alors, il passa à la phase àsuivante. Enfin, ce fut l’epreuve du zob qui doit forcer la berrière de l’anus. S’aidant de ses trois doigts qui écartaient la bouche de l’anus, l’ami pointait son zob et, tout en retirant doucement ses doigts, il poussa et glissa son zob à leur place à tracers l’anus, et la manœuvre réussit.

Le gland de son zob était à l’intérieur et l’ami s’immobilisa un instant. Il expliqua à Kaddour qui soufflait et subissait stoiquement la douleur, de laisser sa chait intérieure s’habi à ce corps etranger et surtout au fait que son anus était ouvert. Pour l’encourager et lz faire entrer et acceprer plus facilement dans le monde sexuel des sodomies et des Terma, Il lui dit que maintenant son zob possédait son cul et il en est le maitre. Il ajouta qu’il va ensuite le pénétrer jusqu’au fond et le défoncer jusqu’aux couilles, et ce langage donnait des frissons agréables dans tout le corps de Kaddour qui était obligé de répondre de ses sensations aux demandes répétées et insistantes de l’ami. Ce dernier faisait exprès de faire parler Kaddour de ses sensations, de sa Terma et du zob qui l’a ouverte, afin de l’habi à la situation et faciliter les prochaines étapes de la sodomie et les prochaines relations sexuelles.
Ensuite, l’ami enfonça doucement son zob à l’intérieur de la Terma de Kddour qui commençait à souffler moins de doukeur et plus de démangeaisons agréables. Il gémissait doucement et se sentait rempli par le zob et cette pensée le faisait frissonner encore plus. La glisade du zob dans sa Terma a été une expérience merveilleuse pour Kaddour et il l’avoua à son ami qui lui confirma que ce sera encore mieux les procheines fois. Les frémissements et démmangeaisons iradiaent toutes les parties de son corps et cela lui faisait plaisir car il se sentait enfin revivre apr_s des mois et des années de létargie et de mort virtuelle. Ce qui le surprenait et l’étonnait encore c’est son pauvre zob malade qui semble se reveiller. Il ressentait des démangeaisons à son niveau et c’était assez agréable. Pendant ce temps, son ami continuait son dépucelage jusqu'à enfoncer tout son zob dans les entrailles de Kaddour.
Ensuite, il commença la danse de la sodomie, des vas et viens légers et langoureux d’abord, puis, plus vtgoureux et plus rapides lorsqu’il sentit que le zob glissait plus facilement. Et quant il ressentit que la Terma répondait au zob par son jus interne, le suc des glandes de son sphincter et les plaisirs qui les accompagnent, il accéléra ses mouvements. Maintenant que sa Terma a bien accepté et répondu aux frottements du zob, Kaddour soufflait plus fort son plaisir, son cœur battait la chamade, et il gémissait presque à crier de jouissances, alors il commença à aider ç la sodomie en bougeant et en oscillant son derrière pour le zob comme pour l’enfoncer encore plus dans ses entrailles. La sodomie dura plus d’une demi-heure et lorsque l’ami ressentit l’arrivée de son sperme, il le signala à Kaddour qui accepta avec plaisir. Alors, l’ami expulsa ses jets de sperme chaud dans la Terma de K addour. C’était si abondant que Kaddour sentit que sa Terma était remplie, inondée jusqu’à déborder sur ses fesses. Etourdis de plaisir, ils s’écroulèrent sur le lit, l’un sur le ventre et l’autre sur son dos et le zob enfoncé dans la Terma.
Après plusieurs minutes de plaisir et de détente ils se séparèrent et l’ami s’allongea sur le coté. Kaddour se retourna et s’allongea aussi le dos sur le lit. Dans cette position, ils relmarquèrent que la bite de Kaddour, malade depuis son accodent, était à demi bandée, ce qui était presque un miracle. C’est l’ami qui expliqua à Kaddour que la sodomie a certainement débloqué une partie des muscles et des nerfs de la bite et il en profita pour la branler immédiatement. Pendant plus de dix minutes, l’ami masturba et suça la bite de Kaddour et à la fin, elle devint assez bandée pour suffire à pénétrer une Terma si nécéssaire. Et l’ami, toujours serviable, s’est relevé et s’est assis sur les cuisses de Kaddour. Et tout en continuant à branler la bite devenue moyennement dure, il essaya de l’enfoncer dans son priopre cul, qui était bien ouvert, expériences nombreuses aidant. Et, miracle, le zob de Kaddour, quoique faiblement bandé, s’est enfoncé dans la Terma de l’ami, qui aussitôt, commença à bouger du cul sur les cuisses de Kaddour.
Le zob de Kaddour, dans la chaleur et la douceur de la Terma de l’ami, s’est reveillé encore plus et a gonfler petit à petit et Kaddour, ressentant enfin du plaisir du zob, criait ses nouvelles jouissances. Et le zob a tellement gonflé et durci que l’ami s’en est rendu compte dans sa Terma et a exigé de Kaddour qu’il copmmence à bouger. Kaddour, ayant aussi ressenti le changements de son zob commença à donner des coups de reins pour s’enfoncer mieux dans la douce Terma de son ami. Puis, l’ami a demandé de changer de position. Il s’est recouché sur le dos et levé les jambes et cuisses bien hauts en les écartant. Kaddour voyant et ressentant que son zob était bien gonflé et dur, se mit à genoux entre les cuisses de son ami et il enfonça son zob dans la Terma qui s’offrait à lui, bien ouverte pour leurs plaisirs communs.
Ensuite, ils firent l’amour face à face. Kaddour était merveilleusement enchanté et heureux. Son moral a changé tout au tout, de même que les réactions de son corps, tellement il était heureux et bien dans sa nouvelle peau. Alors, il manifesta son bonheur par des baisers à son ami, sur le cou, sur la poitrine et lui murmurait des folies sur l’amour, sur la joie, sur les zons et les Terma. Il était compètement pris dans les jouissances du sexe et des sodomies. Et, lorsque le plaisir monta de ses couilles, il ne put le retenir et ses jets de sperme remplirent les entrailles de son ami. Ce dernier, d’abord surpris et jeureux pour Kaddour, est rapidement entré dans le jeu du plaisir sexuel et de la sodomie et ne jouait plus à l’instructeur ou à la comédie. Il avait réeellement de la jouissance dans sa Terma et la goutait à fond. Il avait croisé ses jambes autour des reins de Kaddour et aidait à la force des coups de zob dans sa Terma. Et quant les jets de sperme l’ont surpris, il cria de jouissance et enlaça plus fort Kadoour. Ils restèrent un long moment ainsi, l’un dans l’autre, poitrine contre poitrine, mais les jambes déliées, étendues. La détente arriva plus lentement cette fois ci. Et lorsque enfin, ils se dessoudèrent, les deux zobs fatigués de tels efforts sexuels étaient un peu fléchis, ils se regardèrent et éclatèrent d’un rire sonore et commun. L’ami demanda à Kaddour de faite moins de bruit de peur de déranger ses voisins de la pension mais ce dernier lui répondit que eux aussi, avaient des copines et il les entendait souvent hurler leurs joissances à travers le mur alors que lui se morfondait dans sa solitude mortelle.
Maintenant que les choses sont claires, le visage de Kaddour a complètement changé, il était plus détendu car heureux et ses pensées de suicide totalment abandonnées. C’est ce qu’il avoua à son ami. Ensuite, ils s’endormirent et c’est l’ami qui, voyant que Kaddour est rétabli sexuellement avec sa bite, lui donna du dos. Alors Kaddour se lova sur le dos de son ami et poussa son zob contre son cul comme pour se débarrasser de son passé sevré d’amour sexuel et ils s’endormirent ainsi jusqu’au matin. Le lendemain, ils allèrent dans un café pour prendre un bon petit déjeuner, ce qui n’était pas arrivé à Kaddour depuis longtemps car il prenait parfois juste un petit café à la sauvette dasn la cuisine de la pension et s’enfuyait rapidement. Ensuite, il revint à la pension, paya son du et rejoignit son ami à la gare. Ils prirent des billets et retournèrent à leur ville d’origine.
Ensuite, et avec l’aide de son ami et de bien d’autres travailleurs, Kaddour est allé s’excuser auprès de son ancien employeur et reconnu que tout était de sa faute suite à son accident et à son malheureux divorce. Du fait que Kaddour avait, par le passé, des qualités et des compétences professionnelles et qu’on voyait qu’il avait retrouvé son équilibre, il fut repris par son patron et on redonna même un autre logement de fonction. Dans cette nouvelle vie, il décida de na pas se remarier mais seulement de rétablir ses relations avec ses s et même avec sa fille, ce qu’il réussi rapidement. Sexuellement sa vie changea totalement, il est devenu bi, amateur comme son ami de plaisirs aussi bien pour sa Terma réveillée que pour son zob rajeuni. Rapidement, il s’est fait beaucoup d’amis sexuels, surtout pour sa Terma. Il goutait beaucoup plus les sodomies de sa Terma que les plaisirs de son zob , ce qui arrive souvent à la pluspart des bi. Et dorénavant, dans son logementn et dans celui de son ami et ailleurs, il prenait son plaisir, son zob étant redevenu normal et vigoureux, ses couilles bien remplies et surtout sa Terma plus souple, plus large et plus affamée chaque jour de gros et longs zobs.

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