De Joyeuses Retrouvailles (1)

En la regardant avec ce sourire comblé et le cul dégoulinant de sperme, j'ai encore du mal à réaliser que cette jolie nana rencontrée quelques années auparavant puisse être aussi salope. Comme quoi les apparences peuvent être parfois trompeuses, car quand on croise ce joli petit bout de femme, au visage angélique, à la voix douce presque ine, difficile de s'imaginer qu'elle soit si vicieuse et perverse. Pourtant je peux vous garantir que cette charmante créature est une véritable obsédée de sexe, puisque cela fait une dizaine d'années maintenant qu'on partage ensemble les délices du libertinage.

J'ai connu Lucie au lycée, nous étions dans la même classe pendant 2 ans et nous sommes rapidement devenus de bons amis. Cela paraissait étrange aux yeux de certains, Lucie était une élève brillante et studieuse, moi, j'étais le clown de service complètement jemenfoutiste et mes copains me demandaient pourquoi je traînais parfois avec l'intello de la classe. Très peu le savaient, mais Lucie avait un grand sens de l'humour, on adorait rigoler ensemble et malgré une certaine attirance mutuelle, il ne s'est jamais rien passé entre nous puisqu'à l'époque elle sortait avec Romain, un gars du lycée et moi j'avais également une copine. Mais cela ne m'empêchait pas, comme tous les gars de la classe, de fantasmer sur son opulente poitrine car il faut bien le reconnaître c'est elle qui avait la plus grosse paire de seins et même si elle n'était pas l'aguicheuse qu'elle est aujourd'hui, son 95E faisait tourner toutes les têtes.
Malheureusement, après que nous ayons obtenu notre baccalauréat tous les deux, nos chemins se sont séparés, puisque Lucie est allée poursuivre ses études à Paris. Nous avons bien gardé contact pendant un moment, mais vous savez ce que c'est, le temps passe, chacun fait sa vie de son côté et on finit par se perdre de vue. Mais le hasard, nous a permis de nous retrouver.

Un soir après le boulot, je m'arrête en ville pour acheter du pain et c'est là, en sortant de la boulangerie que je tombe sur une jeune femme qui ferme à clé son agence immobilière.

Je la reconnais immédiatement et je l'interpelle.
- Bonsoir Lucie.
La jeune femme se tourne vers moi, elle me reconnaît également et elle me sourit.
- Oh putain Chris, c'est toi, oh ça me fait trop plaisir de te revoir.
- Bah moi aussi,  je ne savais pas que tu étais revenue dans le coin.
- C'est tout récent, j'ai ouvert mon agence il y a deux mois à peine, j'ai plein de choses à gérer, j'ai pas encore eu le temps de reprendre contact avec les gens, mais je comptais bien le faire. En tout cas, je suis trop contente de te voir, ça va toi, tu as l'air en forme.
- Bah écoute oui, tout va bien, je viens de finir le boulot, j'allais rentrer chez moi avant de te croiser.
- OK, j'imagine que tu n'as pas le temps d'aller boire un verre, histoire de parler du bon vieux temps.
- Je ne vais pas dire non à une vieille amie, mais c'est toi qui paye, dis-je en plaisantant.
- Pas de soucis, je te l'offre avec plaisir.

Nous nous installons sur une table dans le premier bar que nous avons vu, et nous commandons 2 mojitos. Le temps que le serveur nous apporte nos boissons, j'entame la discussion.
- Alors comme ça, tu t'es enfin décidée à quitter la capitale.
- Oui, quand j'ai su que j'avais l'opportunité de revenir et d'ouvrir mon agence dans le coin, je n'ai pas hésité une seconde.
- Tu m'étonnes, perso je ne pourrais jamais aller vivre là-bas.
- Oh, ce n'était pas si désagréable. Et toi, qu'est-ce que tu deviens ?
- Et bien moi, je suis dans le transport, j'ai créé ma petite entreprise de livraison il y a un an , j'ai une dizaine d'employés, ça marche plutôt bien.
- C'est cool ça. Et tu es marié ? Des s ?
- J'ai une petite amie depuis plus de deux ans, mais nous n'avons pas encore d' et toi ?
- Je vis seule , sans .
- Sérieux ? T'es célibataire, une belle fille comme toi ?
- Et oui, mais c'est mon choix, je n'ai pas le temps pour ça, je préfère privilégier ma carrière.

- Bah écoute, si tu es heureuse comme ça...
- Très heureuse, je me sens bien toute seule, mais ça ne m'empêche pas de papillonner à gauche, à droite.
- Ah ouais, tu es comme ça ?
- Je suis célibataire, mais pas nonne non plus, je ne me prive pas des petits plaisirs que la vie peut m'offrir, ça te choque ?
- Absolument pas, au contraire ça m'amuse, j'ai la même philosophie que toi.
- Bizarrement ça ne m'étonne pas, je me suis toujours doutée que tu étais un petit coquin. En tout cas, tu n'as changé, tu es toujours aussi craquant.
- Je te retourne le compliment, tu n'as pas trop changé non plus, tu te portes toujours aussi bien dis-je en matant ouvertement sa grosse poitrine.
- J'ai perdu un peu de poids quand-même, mais comme tu peux le constater, je n'ai pas maigri partout, dit-elle en bombant le torse.
- Fais gaffe les boutons de ton chemisier vont sauter.
- Hahaha, t'aimerais bien petit voyeur, je me souviens que tu les matais en cours de sport.
- On ne voyait que ça, mais je n'étais pas le seul.
- Je sais bien, même le prof, je l'ai surpris à me reluquer.
Cette discussion commence à m'emoustiller et visiblement elle aussi vu comment elle me sourit. Aucun de nous n'est pressé de rentrer et nous poursuivons notre conversation en se remémorant de vieilles anecdotes sur le lycée et nos anciens camarades, toujours en se taquinant. Nous sommes interrompus par le patron du bar qui nous signifie que son établissement va fermer.
- Tu es garée où lui demande-je en sortant du bar.
- Là-bas, sur le parking de l'église.
- Moi aussi.
Sur le trajet, nous repassons devant la devanture de son agence, je ralentis le pas pour regarder plus précisément son lieu de travail.
- Qu'est ce que tu regardes ? Me lance Lucie
- Je fais mon curieux, je jette un coup d'œil vite fait.
- Je te fais visiter, si tu as 5 minutes.
J'accepte sa proposition, sachant qu'une fois à l'intérieur, il pourrait bien se passer n'importe quoi.


La jolie blonde aux cheveux longs me fait découvrir son local, puis elle me fait signe de la suivre au fond de la pièce avant d'ouvrir la porte qui s'y trouve.
- Et voici mon bureau personnel.
En entrant dans la pièce, je découvre un grand bureau surmonté d'un ordinateur, deux chaises d'un côté et un grand siège en cuir noir de l'autre.
- C'est sympa, tu as de l'espace et je vois que tu ne te refuses rien, il a l'air confortable ton siège.
- C'est l'avantage d'être sa propre patronne, dit-elle d'une voix suave en se collant contre moi.
Lucie me fixe dans les yeux, ses gros seins sont plaqués contre mon torse et elle pose sa main sur mon entrejambe. Je ne suis pas surpris, je m'attendais bien à ce que ça dé.
- On dirait que Madame la directrice a envie de faire des heures sup', dis-je avec un grand sourire.
- Oui et j'espère bien être payée en liquide.
Nos bouches se soudent pour un baiser plein de fougue, une vraie soupe de langues. Je malaxe ses bonnes fesses moelleuses des deux mains, pendant que la sienne caresse ma tige qui durcit de plus en plus. Emportée par le désir, Lucie s'empresse de retirer mon pull et mon tee-shirt en même temps. Je me précipite à mon tour pour ôter sa veste de tailleur et arracher son chemisier, avant qu'elle n'enlève elle-même sa jupe. Je reste sans voix en l'admirant dans son ensemble string et soutien-gorge blanc en dentelle, ses bas couleurs chair et ses escarpins noirs.
- Whaou, t'es super bandante, dis-je en m'appuyant contre son bureau.
Elle revient dans mes bras pour de longs baisers où nous échangeons nos salives. Puis je l'embrasse dans le cou avant de lui manger les seins en pelotant ses fesses charnues. Elle frissonne, sa respiration s'accélère et sa main retourne sur ma braguette pour tripoter mon manche. Elle le veut, ça se voit, je n'ai même pas besoin de dire quoique ce soit qu'elle est déjà à genoux sur la moquette.
Elle défait aussitôt ma ceinture, baisse mon pantalon et mon boxer jusqu'à mes chevilles et empoigne ma queue pour la mettre dans sa bouche.
Elle me pompe savoureusement en flattant mes bourses. Je soupire de plaisir en caressant ses cheveux, les yeux fermés pour mieux ressentir les choses. Je ne me rends même pas compte qu'elle a degraffé son soutif, je m'en aperçois seulement lorsqu'elle tapote ma queue sur ses grosses mamelles toutes pâles. Elle emprisonne ma verge entre ses nibards pour me décerner une bonne branlette espagnole qui me fait perdre pied.
- Hum, c'est trop bon, tu ne peux pas savoir combien de fois, j'ai imaginé que tu me fasses ça au lycée.
- J'étais sûre que ça allait te plaire, dit-elle en secouant ses seins encore plus vite.
Après quelques instants de cet agréable traitement de faveur, je lui annonce que j'ai trop envie de la baiser. Elle se relève pour me rouler une grosse pelle en continuant de m'astiquer d'une main pendant que je pétris ses gros lolos.
N'en pouvant plus, je l'allonge sur son bureau, je lui enlève son string et la coquine écarte les cuisses pour me dévoiler sa petite chatte entièrement épilée. Je ne perds pas de temps, je l'embroche directement, tant pis pour le cunillingus, ce sera pour une prochaine fois s'il y en a une.
Je coulisse en elle facilement tellement elle mouille. Je la besogne en rythme en soutenant ses jambes à la verticale, formant un V. Je la regarde gémir en se mordant la lèvre, pendant que ses mains s'affolent sur sa poitrine.
- Alors madame la directrice, comment trouvez-vous cet entretien de débauche ?
- C'est pas mal, mais je suis sûre que tu peux faire encore mieux, répond-t-elle en souriant.
J'accélère alors la cadence, en lui donnant des grands coups de bassins, ses gémissements se transforment en petits cris aigus. Elle ne se contrôle plus.
- Oui, c'est mieux comme ça, vas-y tape dans le fond, baise-moi fort.
A ces mots, mon cerveau ne fait qu'un tour, je la défonce sauvagement, le claquement de mon bas-ventre contre son entrejambe résonne, ses seins remuent dans tous les sens et Lucie hurle sa jouissance.
- AAAAAAHHHHH, OUIIII, ENCORE !!!
Elle a la tête dans les étoiles, j'en profite pour tenter ma chance dans son anus. Tenant ma bite en main, je force lentement pour m'introduire par la porte de derrière. Elle me laisse faire, docile et consentante, je progresse centimètres par centimètres alors qu'elle étire ses fesses pour me faciliter le passage. Elle ne bronche pas, visiblement habituée à la sodomie. J'entame des va-et-vient, avançant un peu plus au fond à chaque fois. Je l'encule de plus en plus vite toujours dans la même position, Lucie couine comme une chienne.
- Hum, c'est trop bon.
- T'aimes ça, grosse salope.
- Oui, j'aime ça, bourre-moi le cul, défonce le.
Pas besoin de me le dire deux fois, je lui démonte le cul à grands coups de bite pour la faire gueuler comme une chienne jusqu'à ce que je sente mon éjaculation approcher. Je me retire pour me branler rapidement et j'explose en poussant un cri de soulagement. Un long jet de sperme s'écrase d'abord sur son ventre et les suivants viennent recouvrir sa chatte et son mont de vénus. Lucie semble satisfaite, elle me sourit en étalant ma substance visqueuse du bout des doigts. Puis elle se relève pour m'embrasser avant de me dire:
- Si j'avais su que tu baisais si bien, je t'aurais sauté dessus au lycée.
- Tu dis ça maintenant, mais rappelle-toi qu'à l'époque tu étais grave amoureuse de Romain et puis je n'étais pas aussi expérimenté qu'aujourd'hui.
- Quelle humilité.
- Je ne dis que la vérité, ça ne sert à rien de se vanter. En tout cas, tu te débrouilles bien également, je ne te pensais pas aussi chaude.
- Et tu n'as pas tout vu, mais maintenant que je suis dans le secteur, on pourra remettre ça, ça te changera de ta copine.
- Houla, détrompe-toi, ça se voit que tu ne la connais pas.
- Ha ouais, c'est une grande coquine aussi.
- Oh oui, c'est une folle du cul, je te la présenterai si tu veux, je suis sûr que vous vous entendriez à merveille.
- Elle est bi je suppose.
- Tu supposes bien
- Et qu'est ce qui te fait croire que je le suis aussi ?
- Je ne sais pas, mais quelque chose me dit que tu as déjà réalisé l'expérience avec une femme.
- C'est vrai, même plusieurs fois et tu serais surpris de savoir avec qui m'a initiée.
- Tu m'intrigues, ça te dirait de me raconter ça demain soir à la maison, je t'invite à dîner.
- Demain soir je ne peux pas, je vais chez mes parents. Mais vendredi soir, je suis dispo.
- C'est parfait.
Je me rhabille pendant que Lucie se nettoie dans les toilettes, puis elle réapparaît dans son bureau uniquement vêtue de ses bas et de ses escarpins, elle est terriblement excitante. Elle me donne un baiser langoureux.
- Encore merci pour ce bon moment, je suis contente d'avoir pu baptiser mon agence comme ça avec toi.
- Il n'y a pas de quoi.
Je la regarde remettre ses vêtements, puis nous quittons son agence. Sur le parking, je lui donne mon numéro de téléphone et mon adresse et nous nous embrassons une dernière fois.
- A vendredi.
- Oui, a vendredi, bonne soirée.

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