Le Vide (2)

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS

Deux semaines plus tard...

« Maman, il y a quelqu'un qui sonne à la porte !! »

« J'y vais. Merci mon petit cœur... et ne mets pas la pagaille ici, ma chérie. D'accord ? Oui... Ha !!... oh, mon dieu !!! C'est vous, Monsieur !!! »

« Salut, mon bébé !! T'sais que t'as vraiment une jolie baraque, toi !! En passant par là, j'ai voulu t'faire une p'tite visite, bébé. »

Ses jambes se mettent à trembler des pieds jusqu'à l'aine, ses mamelons deviennent immédiatement tout durs et sa chatte commence déjà à mouiller, à la vision de ce sans-abri noir, puant et infect, qui se tient debout, devant elle.

« Peut-être ben que t'peux montrer ta maisooooon !!! Hey !! C'est quoi, c'te bordel ?? »

Elle l'entraîne brusquement dans sa maison et ferme la porte derrière lui.

« Qu'est ce t'fous, bébé ?? »

« Vous m'avez tellement manqué, Mr ! »

C'est tout ce qu'il avait besoin d'entendre de sa part. Et elle le prouva, en l'embrassant passionnément et en mettant sa langue dans sa bouche sale de clodo.

« Betty, ma chérie, tu veux rendre un grand service à maman ? Reste tranquillement jouer en bas, pendant que maman monte nettoyer à l'étage. Tu peux même regarder un film, si tu veux ! Si tu entends la sonnerie de la porte, tu appelles maman, mais surtout, tu n'ouvres pas. Tu m'as bien compris, mon cœur ? »

« Très bien, maman. Je peux mettre Raiponce ? »

« Dépêchons-nous, Monsieur ! Allons dans ma chambre, je ne veux pas que ma fille vous voie... »

« C'est c'que j'dis toujours, bébé !! »

'' Merde !!! C'te chienne est carrément accro de ma sale bite noire ! C'te salope est vraiment à moi !! ''

Une fois dans sa chambre à coucher, il n'y a aucune hésitation entre eux deux. Ils se déshabillent rapidement, et passent sans attendre, à leurs petites affaires.



Le raisonnement fait place à l'instinct bestial de la copulation.

« OOH P'TAIIIIN !!!! J'vais partiiiiiiiir !!! AAAAAAAAHH.... »

« Oh, Mon Dieu... oui, Monsieur, remplissez-moi de votre foutre !!! OUIIIIIIII... »

Après qu'ils aient baisé sur son lit conjugal, le répugnant clochard noir a voulu prendre un bain et elle l'a rejoint dans la baignoire. Il en profita pour remettre une autre cartouche de son sperme de sans-abri noir, profondément dans les entrailles de cette femme au foyer blanche, solitaire, mais chaude comme la braise, et soumise à sa volonté.

En sortant du bain, elle branla son gros sexe noir avec ses gros seins blancs.

Alors qu'il éjacule de nouveau, une grosse charge de son foutre épais et chaud, il la force à tout avaler !! La chatte de la femelle blanche en manque, mouille de nouveau pour lui, le clodo.

Pendant de longues heures, cette après-midi là, elle s'est faite prendre par tous les orifices, par son amant noir et clochard. Elle a adoré chaque pénétration dans sa bouche, sa chatte ou son cul. Elle aime tellement ça ! Elle a même demandé au sans-abri de lui remplir l'utérus avec son sperme chaud, épais et gluant, le plus de fois possible, avec peut-être pour elle, le secret espoir de se faire engrosser par ce sale vieux sans-logis noir.

Avant que le répugnant clochard noir ne parte, la femme blanche en rut, lui a donné de l'argent et de la nourriture. Elle lui a aussi demandé s'il pourrait, de nouveau, venir la voir bientôt, chez elle.

'' Qu'est-ce que je suis en train de faire ? Ici, c'est la maison de ma famille et j'y ai fait pénétrer un parfait inconnu. Et, non seulement un étranger, mais en plus, un clodo noir, repoussant, immonde et puant. Et ma fille était là !! Et moi, je lui laisse faire tout ce qu'il veut avec moi, avec mon corps et mon esprit... Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Maintenant, je n'arrive même plus à le faire sortir de ma tête.
Il m'obsède jour et nuit. Sa magnifique grosse queue noire me fait tellement de bien. Elle me baise si bien... mon mari ne peut même pas, être comparer à lui. ''

Une semaine après sa visite chez elle, elle ne pouvait plus supporter le manque. Elle déposa sa fille dans une garderie, puis elle fila vers le parc, pour aller voir son clochard noir, son amant dégueulasse et Maître, sous le pont indiqué.

'' Mon Dieu !! J'agis comme la pire des putes, pour ce si dégoûtant vieux clochard noir... je suis bien, sa salope... ''

« M'RDE !!! Visez-moi c'te espèce de p'utain d'chaudasse blanche !! »

« BORDEL !!! T'as raison, mec !! J'y m'ttrai bien ma bite qu'lque part, à c'te belle p'tasse !!! »

« Yo, les nègres, ça, c'est ma femelle blanche, à moi ! C'est quelqu'chose, hein ? »

« Ouais, t'as raison, mon nègre ! Dans tes foutus rêves !! »

« Ah, vous m'croyez pas, bordel !!! Et ben,... on va vérifier ça, mes cons !! »

« Bonjour, Monsieur. »

« S'lut, salope ! Ces connards de nègres, ils croient pas qu't'es ma p'tain de chienne !! »

« Et que puis-je faire pour leur prouver ça, Monsieur ? »

« Eh ben, t'vas m'virer ce p'tain de short court et très serré, et t'vas leur montrer ton joli cul de salope blanche !! »

« Tout ce que vous voulez, Monsieur. »

Aussitôt, très lentement, elle enlève son petit short très, très serré.

« BOORDEEEL !! TA MÈRE, LA PUTE !!!!! »

Les deux autres SDF sont carrément incrédules et sous le choc, en voyant cette femme blanche montrer son cul, sur l'ordre de leur compagnon.

« Alors, p'tains de sales nègres, vous m'croyez pour de vrai, maintenant ? Hé, la salope, dis un peu, à ces nègres d'misère, à qui t'appartiens ! »

« Je vous appartiens, Monsieur. Faites tout ce que vous voulez de moi. »

« Montre-leur tes grosses mamelles de femelle !!! »

« Comme vous le voulez, Monsieur.
»

Sans le moindre geste de résistance, la jeune femme blanche se laisse exhiber avec une totale soumission, par son nouveau propriétaire, un clochard noir.

« P'TAIIIINNN !!! R'garde-moi c'te p'tain d'paire d'gros nibards !! »

« BORDEL DE M'RDE !! C'est la plus chaude des putes blanches, qu'jai jamais vu... »

« Ces nègres n'ont pas tiré un coup d'puis un sacré p'tain d'temps. T'vas ben aider mes potes, salope !!! »

« Messieurs, si vous voulez prendre du bon temps avec moi, cela ne me dérange pas. Vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez... »

« T'vas m'sucer ma sale bite noire, bien puante, salope ? »

« Oui, je le ferais. »

« J'peux m'décharger les couilles dans ta chatte ?? »

« Bien sûr, Mr. Je suis à votre disposition. »

'' Mon Dieu !!! Je suis devenue une véritable pute gratuite, pour tous les sales SDF noirs... ''

« J'dois être en train de faire un p'utain de rêve. C'est les plus belles loches qu' j'ai jamais vu, mec !! »

« P'tain, ouaiiiiis !! Et qu' c'te p'tain de bonne femelle blanche, elle veut baiser avec nous-autres, c'est carrément dément ! »

« Croyez-le, Messieurs ! J'ai quelque chose pour les odieux clochards noirs bien puants. »

« Ben, merde !! Alors, pourquoi t'prends pas m'drôle d'bite bien noire, salope ? »

« Oh... quelle merveilleuse et affreuse grosse queue noire !! »

Agenouillée par terre, la jeune femme blanche complètement nue se retrouve bientôt, nez à nez, avec les trois énormes sexes noirs des clochards. Ils sont aussi durs qu'ils sont dégoûtants et nauséabonds. Mais cette vision la ravit.

« Messieurs, je veux toutes ces bites noires si formidablement sales dans mon corps blanc... »

« P'tain de Dieu !! Ça, c'est un p'tain d' rêve qui d'vient pour d'vrai, mes poteaux ! Un rêve de nègres ! »

'' Oh, mon Dieu !!! Elles sont si affreuses, si sales et si écœurantes.
.. mais, ça me fait tellement mouiller !!... mmmmm... ''

« Bordel !!! R'gardez-moi c'te bonne pute blanche pomper mon atroce et infecte bite noire !! Et j' m'suis pas lavé d'puis 3 semaines... c'est une p'tite roulure minable, mais c'est qu'elle aime !!!! »

Elle suce, aspire et avale profondément dans sa bouche de femelle blanche, les queues noires, sales et très puantes des SDF. Elles les a entièrement léchées, elle a mis sa salive partout sur les gros membres répugnants. Tout son être ne ressent qu'un immense et complet bonheur de servir ainsi ses Maîtres noirs, indigents et tellement crasseux. Son âme est déjà au ciel.

Des filets de mouille coulent littéralement de sa chatte pendant qu'elle engloutit ces bites noires extrêmement poisseuses et particulièrement putrides.

L'odeur et la texture de chacun de ses immondes sexes noirs, si affreux, la font carrément baver d'envies et de désirs.

« P'tain, mec !! Ça, c'est d' la belle chienne blanche d' concours !!!! »

« Ouais !! Elle a des p'tains de mamelles d'merde, la pute ! »

« Vous, mes nègres, vous pouvez la baiser comme vous voulez, par tous les trous. Ma salope s'occupera d'vous et elle fera d' très bon boulot ! »

Mais tous les organes de la femme réagissent encore plus quand leurs infectes mains se posent sur son corps bouillant.

« OUAIIIIIIIS !!! Suce ma grosse bite, pendant que j' t'baise tes gros nibards, salope !! »

« Oh, mon Dieu... ouiiiiii... défoncez-moi la bouche pendant que vous me baisez les seins, Monsieur. J'adore ça... ouiiiiiii... »

« P'TAIIIIINN !!! T'es l'première pute blanche, et l'plus chaudasse, qui a jamais pris m'sale queue d'clodo noir, dans sa foutue p'tain de bouche !!! »

« Mmmm... ouiiiiii... oh, donnez-moi vos grosses bites noires. Je veux toutes vos grosses bites noires ! Uumllff... sluurp... c'est si boooon... c'est trop booooon ! »

« BORDEL DE MERDE !!!! Ses gros sacs à lait de blanche, y sont vachement bons à baiser !! PUTAIN !!!! C'est trop boooooon !!!! »

« Hé, pétasse !! Rends-nous un service... »

« Bien sûr, Monsieur. »

« T'vas nous nettoyer les couilles, t'as compris ? »

« Oui, tout ce que vous désirez, Monsieur... »

« Voilà !! Nettoie mes sales boules noires, avec t'langue, pute ! Ouais... c'est ça !! Prends bien mes grosses couilles dans ta gueule de sale chienne !! Et suce-les bien... elles ont pas été lavées d' puis des mois !! Ça sent la merde et doit-y avoir du bon moisi dessus, ordure !!! »

« Mmmmmm... c'est si bon... je nettoierai vos couilles même si elles n'étaient pas lavées depuis un an... sluuurp... je suis là pour ça... »

« Ooooooh... p'taiiiin !!! C'est une p'tain de bonne pompeuse, ta femelle !!! Bordel, j'vais veniiiiiiir !!! »

« Héééé !! R'gardez-moi c'te p'tite merde !! Elle a avalé tout l'morceau, l'enculée d' sa mère !!! »

« Eh ouais, mes nègres ! Ma salope aime sucer d'grosses bites noires bien puantes, en entier !!! Et elle va avaler toute l'mauvaise merde que vous avez dans les boules ! Dites-lui d'ben avaler toute votre sale merde de nègres !!! »

« AVALE MON FOUTRE D'NOIR, SALE PUTE BLANCHE !! AAAAAH... »

« Glouuuuups... qu'importe d'où vous venez, Mrs, votre foutre est très savoureux... »

« Maintenant, j'veux ta saleté de chatte blanche !! »

« Allez-y, Monsieur. Ma sale fente blanche est à vous. »

« Vous faites pas d'soucis, mes nègres, ma bonne p'tite pute va bien prendre soin de vous autres !! »

Et prendre soin des énormes queues de ces SDF noirs, elle le fit. Sans aucune question, ni aucune hésitation, cette mère de famille, chaude comme la braise, se laissa enfiler la chatte par ces hommes répugnants.

Cette maman et épouse, tellement chaude, s'est offerte sans aucune restriction, à ces clochards noirs dégoûtants. Elle ne pense d'ailleurs même pas aux conséquences de ses actes, auxquelles elle pourrait avoir à faire face plus tard, dans sa vie.

Tout ce qu'elle veut, maintenant, et qu'elle désire, c'est que son joli corps blanc bien propre soit pilonné et ravagé par les hommes les plus crades dans la ville. Et quoi de mieux pour cela, que le plus bas de la lie du peuple. Voilà de quoi elle est totalement avide. Être prise par tous ses orifices par le plus pestilentiel et le plus sale des mâles.

« MEEEEERDE !!! J' vais partir dans c'te grosse pute !!! AAAARRGGHHHH !!! »

« P'tain, mec !! R'garde-ça ! Elle aime baiser avec c'te merde ! Yo ! D'abord, j'vais y casser sa chatte, elle est complètement accro d'ça !! »

« R'garde-la bien !! C'est rien d'autre qu'une sale pute pour les bites d'nègres ! J'ai même été chez-elle, pour la baiser dans son lit d'mariage, t'vois ça !! »

« P'tain, quoi ??? La salooooope !!! Et chez-elle, y avait bien d'la bouffe, non ? »

« Hé, ma salope !! Quand on t'aura bien baisée, on va chez toi becqueter, OK ? »

« Ooooooh... tout... tout ce que vous voulez, Monsieur... on ira chez-moi... »

« P'tain, ouais !! J'suis fatigué d'fouiller dans ces poubelles d'merde ! »

« BORDEL !! J'vais tout lâcher dans son p'tain d'trou de balle !!! »

« OOH OUUUUUUIIIII !!! Remplissez mon cul de foutre de sales noirs ! J'adore ça !! »

« Merde ! Nos trois bites d'nègres, ça sera jamais assez pour c'te chienne, mes poteaux !! »

« Chiotte !! C'est l'meilleur fion qu' j'ai jamais enculé, mec !! »

Pendant quelques heures, les clodos noirs ont continué à baiser cette torride femme blanche mariée.

Elle a pris leurs trois queues en même temps, et elle a adoré ça.

Après environ deux heures, les hommes noirs prirent un peu de repos, puis une fois, de nouveau bien durs, ils sont revenus baiser cette femelle, toujours aussi excitée.

Après une autre heure de baise sauvage, ils ont commencé à montrer des signes de faiblesse. Les SDF noirs sont affamés, et comme promis, elle accepte des les faire manger, dans sa maison.

« Nous devons faire un arrêt à la garderie, pour prendre ma fille. Après, nous pourrons tous aller à ma maison. »

« Y a un truc sûr ! On t'fera encore ce qu't'as besoin aussi longtemps qu' t'auras d'la bouffe chez toi ! »

'' C'te chienne baise si bien... j' pense qu' j'suis amoureux d'elle ! ''

Avec un complet mépris du regard des gens, Andréa (c'est son prénom) traverse tout le parc, avec les clochards noirs dont les grosses mains noires et bien crasseuses, serrent fermement sa petite taille blanche. Quand les personnes les observent vraiment, elle fait exprès de les embrasser avec la langue.

« Maman... tes amis, ils sentent vraiment très mauvais. »

« Je sais, ma chérie. C'est pourquoi maman les aide en leurs donnant à manger et peut-être une douche. »

Andréa stoppe devant chez elle et vérifie les alentours pour s'assurer que personne ne remarquera les hommes noirs sans abri qui sont assis dans son monospace.

Les trois clochards noirs n'ont pas attendu un moment. Ils sont allés tout droit à la cuisine et ils ont saccagé la pièce.

« Il y en aura bien assez pour tout le monde, Messieurs. Dites-moi juste ce que vous voulez ? »

'' Mangez, les gaillards ! Reprenez toutes vos forces parce que maman veut encore plus que vos sales queues noires aillent au fond d'elle ! ''

« Waouh !! C'était un très bon repas, bébé. Maintenant, où qu'sont les chiottes, ici ? »

« C'est dans la salle de bains. Seconde porte à gauche, Monsieur. »

« T'sais quoi ? J'suis en train d'penser à ton offre d'prendre une bonne et longue douche... j'ai toujours rudement d'mal à m'récurer le dos... alors lui... »

« Pas besoin de m'expliquer cela d’avantage, Mr, j'ai compris. Je commence et vous, rentrez-là, je vais vous déshabiller. »

'' P'tain !! C'te foutue salope est incroyable !! Mec, t'as jamais cru que ce genre d'truc t'arriverait dans toute ta chienne d'vie !! Moi, en train d'faire pleurer ma lance pendant qu'une femme blanche m'désape... à poil !! ''

Et alors, Andréa regarde fixement le cul du clochard noir qui pisse.

Sans réfléchir, elle saisit les fesses repoussantes et malodorantes de ce sale miséreux homme noir.

'' HEIN !!! Bordel d'merde !! C'te p'tain d'pute est complètement folle !! Qui est-ce qui voudrait lécher l'trou d'cul d'un homme noir dégueulasse, qui pue grave et est à la rue ? Merde !! Où était c'te maudite femelle quand j'étais bien plus jeune ! ''

Sans hésitation, Andréa a commencé à lécher l'immonde trou du cul du sans-abri.

« Puuutain de poufiasse !! Aucune fille n'a jamais fait ça ! Bordel !! Et j'savais même pas qu'j'aimerais ça !! Continue à m'lécher le fion, pute ! Nettoie-le bien ! »

« Mmmmm... tout ce que vous voulez, Monsieur... mmm... »

« P'tain, ouaiiiiiiis !!! Pousse c'te langue dans mon sale oignon noir, salope ! Utilise bien ta langue blanche d'chiennasse dans mon trou d'cul bien crado !! Vas-yyyy !! »

Il va la chercher avec sa main, lui saisit la tête et la plaque contre sa rondelle puante et sale. Andréa continue à pousser sa langue, de plus en plus profondément dans l'anus du clochard.

Andréa fait comme il lui a demandé. Mais pendant qu'elle fouille avec sa longue langue blanche, les répugnants intestins du SDF noir, elle att son énorme bite noire et commence à le branler.

'' P'tain d'bordel d'merde !! C'te pétasse va m'faire vite exploser si elle continue à m'faire ça à mon trou d'cul !! C'est boooon... merde !! R'garde-moi c'te chienne travailler le trou à merde !! C'te p'tain de femelle est une vraie tordue ! Elle est si belle et pourtant, elle m'fait un truc dégueulasse. Bordel, pourquoi j'tai pas vu en premier ? ''

'' Mmmm... son trou du cul pue à plein nez, mais ma chatte bave carrément pour la grosse queue noire, bien raide, de ce misérable clochard cradingue et répugnant... ''

« Pétasse, t'as l'air d'avoir un très joli cul, vu d'ici ! Pourquoi t'colles pas ma grosse bite noire, bien profond, dans ton trou d'cul blanc, salope ? »

« Mais bien sûr, Monsieur. Je suis là pour obéir à toutes vos demandes. Ma rondelle blanche est à vous, Monsieur. Vous pouvez l'enculer. AAAARRRGGHH... c'est si boooooon, Monsieur... enculez-moi, Monsieur ! Défoncez-moi le cul !!! »

« Ooh ouaiiis !! T'fion de femelle blanche, il est trop bon !! Il serre bien ma grosse bite noire !!! »

« Oh, mon Dieu ! Ouiiiiii ! Prenez-moi mon trou du cul avec votre dégoûtante bite noire, Monsieur ! J'aime ça ! »

« P'tain, c'est bon, pétasse ! T'aime-ça, t'prendre d'gros zobs bien crades, de clodos nègres, hein, sale pute ? »

« Ouiiiiiii... oui, Monsieur... J'adore me faire baiser par de sales SDF noirs !! AAAAAAHH OUIIIIII !! S'il vous plaît, Monsieur, continuez de me démolir mon cul de femme blanche mariée, avec votre grosse bite... »

« T'vas être notre vide-couilles ! C'est ça qu'tu veux, salope ? »

« Oooh ouiiiiii !!! Je le veux, Monsieur !! Je le veux plus que tout ! »

« Ouvre ta p'tain de gueule blanche, sale pute ! J'vais t'cracher dans la bouche et j'veux qu' t'avales ma p'tain de bave !! T'as compris, sale truie ? »

« Oooh oui, Monsieur, donnez-moi votre infecte salive de noir !!! Tout ce que vous voulez ! Crachez-moi vos mollards de nègres... je serai heureuse et fière de les avaler pour vous, Monsieur... »

Le sans-abri noir répugnant déverse dans la bouche d'Andréa, sa salive fétide, ainsi que bon nombre de mollards et de glaires. Mais, elle ne ressent, à cet instant, qu'une immense joie d'être soumise à cet homme sale.

Il lui remplit la bouche de crachats qu'elle avale avidement.

« T'aimes mes gros glaviots de sale noir, chienne ?? »

« Oh ouiiii, Monsieur. J'ai beaucoup aimé. Ils sont si bons. »

Après cela, le nègre tire brutalement les cheveux d'Andréa en arrière et il commence à lui marteler l'anus avec son énorme queue noire crade.

« Seigneur, je vais jouiiiiir ! Je jouis avec votre grosse bite noire, plantée dans mon cul !!! J'aime ça, ouiiiiiiii ! »

« Maintenant, bordel d'merde, t'es vraiment notre salope !! Notre p'tain d'foutue pute blanche mariée ! J'vais t'défoncer t'chatte et ton cul comme l'bonne chienne à nègres qu't'es !! »

« OOOOH OUIIIIIII... C'EST BOOOON... DÉCHIREZ MON CUL DE SALOPE ! HEIN ?? Mais... attendez !! qu'est-ce que vous voulez me faire ?? »

« La ferme, salope ! J'veux juste qu'ta jolie p'tite face prenne un bain dans ma pisse ! Maintenant, t'vas être une bonne bête et t'vas boire mon pipi !! »

« S'il vous plaît, Monsieur !! Je vous en prie... NOON, NE FAITES PAS... GGGGGUUUUURRRRRRPPPP !! »

« A l'baille, chiennasse !! Maintenant, t'connais c'qu'on sent si fort, chaque p'tain d'jour ! »

Alors que sa tête est dans l'eau des toilettes, le nègre continue à labourer bestialement son anus de femme blanche mariée.

« GGGGGGGLLLLLLUUUUUURRRRRGGGGHHH... NNNNNPPPPF... AAAARRRRHHHH !!! JE... AAAARRRRRHHH... JE JOUIIIIIIIS !! OOOOORRRRFFF... ENCOOOOOORE !!! »

Après plusieurs minutes d'immersion dans la cuvette des WC, le clochard putride noir tire, encore une fois, violemment sur les cheveux d'Andréa, qui a bu la tasse.

« BOOOOORDEEEEEL !!! J'vais t'remplir ton p'tit fion serré d'salope blanche !! Prends tout mon foutre d'nègre dans l'fond de ton cul, raclure !! OUAIIIS !!! »

« J'AIME LES BITES NOIRES !!!! J'AIIIIIME LES BITES NOIRES !!! J'AIME LES BITES NOIRES !!!! »

« Aaaaaaaaaaaahhh... t'as un p'tain de bon fion, grosse pute !!! J'pourrais t'prendre la rondelle tout l'journée !! »

« Ooooooohh... c'était merveilleux, Monsieur. Mince, vous m'avez tellement rempli les entrailles, qu'il y a encore des jets de votre sperme noir qui giclent par mon cul bien éclaté de bonne femelle blanche. »

Des flots de semence gluante et chaude du sans-abri dégueulasse, continuent à sortir, par saccades, de l'anus d'Andréa et à se répandre sur le sol de la pièce.

« Toi, bébé, t'es vraiment une sacrée femme !! J'ai jamais eu d'nana comme toi, avant !!!! P'tain, où qu't'étais quand j'étais un jeune baiseur ? »

« Merci, Mr. Je suis très heureuse que vous aimiez m'enculer. C'est une super sensation... messieurs, qui voudrait prendre une bonne douche avec moi ?? »

« MOI !!! MOI !! »

« NON ! MOI !!! »

« Pas besoin de vous battre, Messieurs, on peut la prendre ensemble. Ah, il faut nous dépêcher. Mon mari sera bientôt de retour à la maison, Mrs. »

Malgré les circonstances, Andréa garde un brin de lucidité. Mais sa soif de bites noires sales est trop grande.

« Merci, Messieurs. Je vois que vous ne voulez pas perdre de temps. Allez-y !! »

La double pénétration devient alors, sa position préférée.

Et les deux clochards noirs aiment prendre ainsi, leur belle femelle blanche mariée et tellement torride.

« Zut, Messieurs !! Je n'ai pas encore ma dose de votre sperme noir ! Il est si délicieux... mais maintenant, vous devez y aller, je dois nettoyer. Mon mari est sur le chemin... merci beaucoup à vous trois, Messieurs. Je suis certaine qu'il faut que nous recommencions cela au plus vite. La seule question est de savoir quand, Messieurs. Moi, je suis à vous ! »

Dégoulinante du sperme des SDF noirs, Andréa est si heureuse.

Mais déjà, elle avait hâte de sentir tous ses orifices de femme blanche, mariée et mère, se faire remplir par les grosses bites noires puantes et dégoûtantes de ces clochards nègres. Elle savait seulement qu'il lui fallait répondre au plus vite, à la question du quand. A cette idée, sa chatte se trempa de nouveau.

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