Pour Faire Le Vide (Partie 2/2)

Le vendredi, arrive enfin, je me pointe à son appartement habillée d’une camisole rose et
d’un débardeur noir. Des jeans 3/4 semi-déchirés au niveau des cuisses et des petits
souliers sans bas à l’intérieur. Pas trop vulgaire, juste assez sexy! Alors que mon cœur
se débat à 1000 à l’heure, je cogne à sa porte et je m’organise pour afficher un sourire.
- Allo, tu es en avance! Entre
Oh merde. Il est tellement sexy. Il porte un t-shirt avec un veston et des jeans. Ok, je
ne fais voir de rien, même si je le déshabille du regard. À peine entrée, il me fait
faire rapidement le tour du proprio et puis je m’installe au salon.
- Je t’offre un verre?
- Ouais ok.
Ok. Il y a clairement de l’électricité dans l’air. L’atmosphère est chargée et je sens
mon sexe déjà tout mouillé. Il fait chaud tout d’un coup. Mon clitoris bourdonne. J’ai
envie de lui. Je sais qu’il me veut. Je n’ai pas envie de perdre mon temps. Je le veux
là. Tout de suite. Je veux l’impressionner. Je veux qu’il raconte à Oli comment j’ai été
cochonne. Non. Comment j’ai été une petite salope. Je veux être une vraie salope.
Putain, mais que fait-il dans la cuisine? Ça doit faire 10 minutes qu’il est là à ouvrir
2 bières? Il fait quoi? Entre temps, j’ai envie de mettre mon plan à exécution. J’enlève
ma camisole et me retrouve en soutien-gorge. J’avais mis un soutien noir… Rien au hasard.
Cette vue aura peut-être effet de le réveiller un peu.
Il arrive enfin dans le salon et me voit. Je regarde la télé comme si de rien n’était. Il
y a un match de baseball et les Blue Jays mènent 6 à 4. En le voyant arriver, je vois
qu’il me fixe. Il est complètement figé là, comme s’il n’avait jamais vu de fille en
soutien-gorge. Il est là debout, penaud avec ses deux bières en main. Je m’empêche de
sourire et garde mon sérieux.
- Ça va? T’as besoin d’aide? Ça a été long.


- Heu, ouais, m’enfin, bon…
- Cesse de bredouiller et installe toi. On est là pour faire le vide non?
- Heu? Que veux-tu dire par là?
Ce petit con va voir ce que je veux dire. Je le laisse s’installer sur le sofa et puis je
m’installe à genoux devant lui. Mes gestes s’enchaînent comme s’ils étaient écrit
d’avance. Moi qui a toujours été une fille gênée. Timide. Réservée. J’étais en train
d’agir comme une vraie salope et putain que j’aimais ça. Il s’installe alors, dépose les
bières près de lui. Ses jeans affichent déjà une importante déformation au niveau de son
entre jambe. Hum, je vais me régaler. Putain, elle a l’air grosse…
Je commence alors doucement. Je lui flatte les cuisses au niveau de l’entre jambe. Je le
regarde droit dans les yeux et puis je déboutonne ses pantalons et dézippe sa fermeture
éclair. Clairement il ne réalise pas ce qui est en train de lui arriver… Et moi non plus
d’ailleurs. Mon regard ne quitte jamais le siens comme si j’étais en train de
l’hypnotiser. D’un seul coup, j’agrippe à la fois ses pantalons et ses sous-vêtements et
les lui enlève. Du même coup, je lui dis d’enlever son veston et son t-shirt. Le voilà
qu’il est complètement nu devant moi. Je crois que c’est à cet instant que j’ai
véritablement réalisé ce que j’étais en train de faire. Au moment où j’ai vu sa queue.
FUCK, ce n’est pas une queue…. C’est un monstre. J’étais sans mots. La longueur devait
faire près du double de celle d’Oli et pour ce qui est de la circonférence, je ne pouvais
juste pas la qualifier. Ma réaction me trahit et il le voit. Il a une putain de grosse
queue et il le sait. Visiblement, ma réaction le fait sourire. Pour ma part, j’ai du mal
maintenant à quitter sa queue du regard. Je l’empoigne alors et commence de lents vas-et-
viens. Ma main fait à peine le tour tellement elle est grosse. Tranquillement, je
l’apprivoise, je la découvre, je la contemple.
Je refuse pour l’instant de le prendre en
bouche. Je veux le faire languir un peu. Alors que mes vas-et-viens accélèrent peu à peu,
ma main gauche se dirigent vers ses couilles que je me mets à masser tranquillement. À la
hauteur de l’énorme queue que j’avais devant moi, elles étaient lourdes, très lourdes.
- Hum. Elles sont lourdes tes couilles dis donc! Il y a combien de temps qu’elles n’ont
pas été vidées comme il le faut?
- Hum je ne sais pas trop. J’ai du mal à penser en ce moment…
- Aller, tu peux y arriver. Ta dernière pipe remonte à quand?
- Oh ça!? Ça fait vraiment longtemps. 6 mois je crois.
- Oh pauvre chou. Va falloir y aller doucement alors. Et ta dernière branlette alors?
- Ah, la semaine dernière je crois.
Putain. Il ne s’est pas branlé depuis une semaine? Il m’attendait j’imagine. Je me dois
de performer. Ayant ces réflexions qui traversent mon esprit, je dépose tranquillement un
petit baisé sur le bout de son gland. Aussitôt, cela a pour effet de le faire frémir. Je
recommence. C’est alors que je plaque sa queue sur son ventre sur la lèche doucement sur
toute sa longueur en commençant par la base. En ne cessant jamais de masser ses énormes
couilles, je recommence plusieurs fois. Sa tête est versée vers l’arrière, ses yeux sont
fermés, il semble apprécier. Quelle sensation d’avoir ce pouvoir sur un homme comme ça. À
genoux devant lui, je suis maître de son corps. C’est alors que je l’empoigne fermement
en mains puis je me lance. Je l’englobe tout d’un coup et l’enfonce le plus possible.
Putain, sa queue est bonne. Je me régale. Je recommence. Puis encore. À chaque fois que
je recommence, j’enfonce un centimètre de plus au fond de ma gorge. Elle est tellement
énorme. Évidemment, mes mains continuent leur boulot pendant ce temps. Ma main droite
tient bien fermement sa queue le masturbe au rythme des vas-et-viens de ma bouche pendant
que ma main gauche ne quitte jamais ses couilles et les massent doucement.
Alors qu’il
gémit de plus en plus, je prends une pause.
Mes mains quittent sa queue et se déposent sur ses cuisses. Ne communiquant jusqu’à
présent que par des souffles saccadés, je le vois émerger puis rouvrir les yeux. Nos
regards se croisent alors. Alors qu’il a l’air d’un chien battu se demandant pourquoi
j’arrête ma besogne, j’ai pour ma part un grand sourire sur mes lèvres. Je ne me souviens
pas m’être donnée autant sur la queue d’Oli. J’agissais comme une vraie salope. Et
j’adorais ça.
- Alors t’en veux encore?
- Ai-je vraiment besoin de répondre…
- Tu ne crois pas que ce serait mieux ainsi?
En disant cela, je joins les gestes à la parole et dégrafe mon soutien-gorge et le
retire. Ne le quittant jamais des yeux une seule seconde, je lui exhibe ainsi mes seins.
Tel un petit garçon qui entre dans un magasin de bonbons, ses yeux s’écarquillent et
fixent maintenant ma poitrine. Il faut dire que celle-ci était beaucoup plus généreuse
que celle de Steph. Elle devait faire au moins le double en plus de défier toutes les
lois de la gravité. Bon aller. J’ai un boulot à finir moi.
Je me relance alors sur cette queue, qui me donne l’impression d’avoir encore une fois
grossit encore un peu. Cette fois-ci, trêve de préliminaire, pas le temps d’y aller
doucement. Je veux lui montrer que je ne suis pas qu’une petite écolière. Pendant que ma
main réempoigne comme il faut l’énorme queue que j’avais devant moi, je recommence ma
fellation, cette fois, dans le but d’en finir. Nous étions ici pour faire le vide après
tout!

Je recommence alors de nombreux vas-et-viens tout en le fixant droit dans les yeux. Cette
fois, ses yeux sont bien ouverts et ne ratent pas une seconde de l’action. Entre deux
vas-et-viens, je m’attarde parfois sur son gland que je bombarde de coups de langue. Puis
enfin, je l’enfonce de nouveau en prenant une petite pause alors que sa queue est bien au
fond de ma gorge.
Je veux qu’il sente bien la chaleur de ma bouche. À ce moment, ses
mains s’actionnent et se déposent sur ma tête. Tout à coup, je ne suis plus en contrôle
de ma tête et je deviens son objet. C’est lui qui imprime maintenant les mouvements de
vas-et-viens sur sa queue. Parfois rapides, parfois lents, parfois tout doucement,
parfois bien fermement jusqu’à me couper le souffle, je lui pompe son énorme queue comme
une vraie déchaînée. Après de longues minutes, je me libère.
- Ahhhhh putain qu’elle est bonne ta queue. Tu ne touches pas à ta bière?
- Depuis le temps que j’en rêve, fini ce que t’as commencé [Dit-il tout en prenant une
gorgée de sa bière]
Hum. Il devient directif. J’aime ça. Je ne me fais pas prier pour reprendre où j’avais
laissé. Cette fois, je me penche un peu et lui lèche les couilles. Je les caresse
doucement avec ma langue puis les aspirent tout en continuant de le masturber. Son corps
tremble de plus en plus, je sens qu’il est proche. Je plaque alors ma main gauche sur son
torse et me remet à ma tâche principale. Sans enfoncer sa queue au complet, je me mets
alors à pomper son gland très fort tout en le bombardant de coups de langue. De grands
bruits de succions résonnent alors dans toute la pièce. Son corps tremble de plus en
plus. C’est alors qu’il bondit de son siège et me pousse légèrement vers derrière. Je ne
comprends pas ce qu’il se passe. Je tombe par derrière et je me retiens avec mes mains
sur le sol. Il est maintenant debout devant moi et il se masturbe frénétiquement. Ayant
tout juste eu le temps de me relever, un premier jet de sperme atterrit sur mon front. Je
me rapproche alors et ouvre la bouche. Un deuxième jet, encore plus épais que le premier
atterrit sur mon nez puis dans ma bouche. Je viens de tirer ma langue hors de ma bouche
que le troisième jet est le bon puisqu’il se rend pour sa part directement sur mon
palais. Quelques secondes plus tard, il secoue sa queue pour projeter les dernières
goutes de sperme qui lui reste sur mes seins. Celles-ci rejoignent celles qui tombent de
mon visage.
Après quelques minutes où on reprend chacun notre souffle, nos regards se croisent de
nouveau. On éclate alors de rire… Les Blues Jays ont finalement perdu 10 à 6.

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