A 18 Ans(Aznavour), J'Ai Fêté Mon Anniversaire, Mon Corps, Ma Bouche Et Mon Cul Aussi.

Je cherche un appartement depuis des mois. Mon propriétaire veut récupérer le sien. J'ai répondu à une annonce. Grâce à mon numéro, l'auteur de l'annonce m'a localisé. A mon insu, bien entendu. il m'a espionné pendant une semaine. Finalement, il m'a donné rendez-vous dans un café, où je me suis rendu. Le serveur m'a offert une consommation, en me disant qu'il devait prévenir mon rendez-vous.
Quelques minutes plus tard, il vient me prévenir qu'on m'attendait au deuxième étage. J'ai gravi les escaliers. Une porte était ouverte, je suis entré. Deux hommes nus m'attendaient.
- T'avais raison, il est plutôt mignon ! Dit l'un d'eux à son compagnon.
Ils étaient en train de se branler. Je dois dire que leurs instruments étaient plutôt impressionnants. Ca fait longtemps que je suis habitué à l'effet que je fais sur les hommes. Mes rondeurs et mon allure efféminée les mettent en transes. Je n'ai jamais été pris de force. J'aime les caresses, et même parfois le sexe violent, et à plusieurs. Ils étaient plutôt musclés. Ce n'était pas pour me déplaire, mais j'ai quand même eu un mouvement de recul.
Je n'avais pas vu le troisième, caché derrière la porte, prêt à me barrer le passage, en cas de fuite.S'adressant à moi, avec un sourire narquois, il murmura :
- Joli cul ! N'aies pas peur, on est pas méchants...
- Tu te déshabilles tout seul, ou tu prefères qu'on le fasse ? Personnellement, je t'arracherais bien ton slip. Mais comme je t'ai dit, on n'est pas violents. Sauf si tu le veux !
Je regarde les trois gars autour de moi. Je juge que je ne risque rien.
- Si ça vous excite, je veux bien me laisser faire. Mais ne me faites pas mal !
- On t'as dit qu'on n'est pas méchants...
J'ai ajouté :
- Par contre, j'aime croire qu'on m'oblige ! N'oubliez pas non plus que j'adore les caresses !
Ils ont mis un temps fou pour m'enlever mon pantalon et ma chemise, respectant mon désir de câlins, puis l'un d'eux m'a arraché mon slip, le déchirant au passage.

Ils m'ont mis à genoux. L'un d'eux m'a attrapé par les cheveux. Il a empoigné sa bite, et l'a présentée à mes lèvres. Il a crié :
- Suces !
J'ai écarté mes lèvres. J'allais le sucer, quand il s'est enfoncé dans ma bouche. Il allait et venait entre mes dents, de plus en plus vite, comme s'il me baisait. Très vite, il a éjaculé.
- Avales ! Ordonna-t-il.
Je me suis exécuté.
Puis, il est allé se coucher sur le sol. Ses deux copains m'ont attrapé, chacun par un bras et m'ont conduit jusqu'à lui. Il tenait son gros sexe raide, dans sa main. Le dos tourné vers lui, ils m'ont penché en arrière.
- T'as vraiment un cul fabuleux ! Dit l'allongé.
Il pointa sa bite sur mon trou de balles !
- Violemment ? s'enqui-t-il.
- Si tu veux, répondis-je.
J'ai poussé un cri, quand sa queue volumineuse s'est enfoncée toute entière et d'un seul coup au fond de mon cul. J'étais assis sur ses cuisses.
Un des deux autres vint s'asseoir en face de moi, sa bite dressée. Celui qui était dans mon cul, m'attrapa par les hanches, et, sa bite toujours au fond de moi, il se mit à genoux. Il posa ses mains sur mes épaules et murmura à mon oreille :
- Une dans le cul, l'autre dans la bouche ? Ca te va ?
Le gars devant moi m'a pris par les cheveux, et, sans me laisser répondre, m'enfonça sa bite dans la bouche. Il me tenait toujours par les cheveux, et faisait glisser mes lèvres le long de sa tige. L'autre, ses mains toujours sur mes hanches, faisait glisser mon anus sur sa grosse queue. Du coup, j'avais deux sexes en moi. Quand l'un s'enfonçait, l'autre ressortait. Après chaque éjaculation, celui qui était dans ma bouche cédait sa place au troisième, et venait prendre celle de celui qui m'enculait. Ce dernier allait se laver, et le manège recommençait.
J'ai dû les sucer au moins trois fois, et chacun d'eux m'a enculé autant de fois.

Nous avons tellement apprécié, qu'au moins une fois par mois, on a remis ça. Et, chaque fois que l'un d'eux disparaît, les deux autres s'arrangent pour le remplacer.
Ca fait trois ans que ça dure, et je ne me lasse pas. Apparemment, eux non plus. Je ne sais pas pour eux, mais le bonheur se lit sur mon visage. Le patron du bar s'est habitué à moi. Un jour, il m'a même dit qu'il me trouvait joli garçon, et que j'avais joliment fêté mon passage à l'âge adulte.
En effet, mon cul et ma bouche, ont fêté mes dix-huit ans en même temps que moi.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!