Série « Textes En Commun » Olga Et Le Docteur, Chapitre Trois : Visite À Domicile

AVERTISSEMENT : écriture en commun et publications alternées

Cette série de textes fictifs, « Olga et le Docteur » est le fruit d’un travail commun sur HDS entre Olga T et Micky.

Le premier chapitre, « le cabinet », a été publié sur la page d’Olga T le 1er juillet 2021 :
https://www.histoires-de-sexe.net/serie-textes-en-commun-olga-et-le-docteur-chapitre-premier-le-cabinet-40214

Le second chapitre, « hôtel et téléphone mobile », a été publié le 7 juillet sur la page de Micky :
https://www.histoires-de-sexe.net/serie-amp-quot-textes-en-commun-amp-quot-olga-et-le-docteur-chapitre-deux-hotel-et-telephone-mobile-40265

Le chapitre suivant, le quatre, sera publié sur la page de Micky.

Cette alternance dans les publications a pour objet d’inciter nos fidèles lecteurs et lectrices à découvrir les publications de chacune des deux auteures.

RESUME :

Olga, hypersexuelle quadragénaire, a mal vécu les confinements successifs qui l’ont privé des étreintes qui permettent, avec la complicité de Philippe, son mari candauliste, de répondre aux besoins de sa libido exacerbée.

Vivant mal cette situation, Olga a jeté son dévolu sur un médecin, le Docteur Joseph Martin. Malgré ses principes déontologiques, qu’il pensait bien ancrés, malgré des années de fidélité à son épouse Karine, Joseph Martin a répondu aux attentes de la volcanique Olga, en la baisant dans son cabinet à la suite de manipulations pour soigner le mal de dos de la jeune femme.

Ayant découvert par hasard l’infidélité de son épouse Karine, Joseph a repris contact avec Olga. Les deux amants viennent de passer une nuit torride dans un hôtel. Joseph ignore que Philippe, grâce au téléphone mobile d’Olga, resté ouvert, a pu suivre à distance les ébats des amants.

Lorsque Joseph s’est réveillé dans la nuit, Olga était déjà partie depuis plusieurs heures. Ce n’est pas avec lui qu’elle comptait passer la nuit !

***


Olga avait attendu que Joseph s’endorme profondément pour s’éclipser discrètement, en faisant attention à ne pas réveiller son amant.

Olga était impatiente de retrouver son mari. Elle est ainsi : d’autres hommes la baisent, mais l’homme qu’elle aime, dans les bras duquel elle cherche refuge après ses excès, avec qui elle fait l’amour, c’est son mari candauliste. Elle sait que, grâce au mobile placé sur la table de nuit, il n’a rien manqué de la séance torride dont il a été, à distance, le témoin discret.

Olga connait bien son homme et les rites de leur couple si particulier. Quand elle arrive à son domicile, Philippe est en peignoir. Il l’attend à l’entrée et la prend dans ses bras. Olga sent contre elle le désir de son mari.

Philippe couvre le visage et les lèvres de sa « basilissa » de baisers. Ses mains parcourent le corps de sa déesse et la caressent, marquant son adoration.

• Oh, mon Olga, j’étais impatiente que tu rentres. Je t’aime tant. Tu me rends fou, tu sais !

• C’est toi que j’aime, mon Philippe. Les autres, c’est seulement du sexe. Tu es unique, aucun mari ne ferait cela, mon amour.

Les deux complices s’embrassent à en perdre haleine, et Philippe entreprend de déshabiller Olga. Elle est nue, il la prend par la main, pour la conduire à la chambre, où les attend leur grand lit.

• Tu as aimé la retransmission que j’ai offerte, mon chéri ?

• J’ai adoré, tu veux dire ! Tu sais que j’ai joui sans que je me sois touché, quand j’ai compris qu’il avait éjaculé en toi. Tu as eu beaucoup de plaisir, mon amour ?

• Ce toubib est un amant de première classe, mon petit cochon !

• Ceci dit, tu sais bien que je préfère être présent.

• Ce sera pour la prochaine fois, je le ferai venir à la maison. En attendant, tu vas t’occuper de moi, comme tu sais si bien le faire.

Olga se couche sur le lit, Philippe s’affaire entre ses cuisses, habitué dans ces situations à soigneusement nettoyer la chatte de sa chérie des traces de son infidélité, et de la faire jouir en pratiquant un cunnilingus dont il a le secret.


Une fois obtenue ce premier orgasme, Philippe ne laisse pas de temps de répit à son épouse. Il la prend tout son temps, possédant longuement celle qui, il y a encore quelques heures, s’était totalement offerte à un autre. Philippe et Olga font l’amour, marquant ainsi la fusion et la totale complicité de leur couple, avant de s’endormir, épuisés, amoureux, dans les bras l’un de l’autre.

***

De son côté, Joseph terminait sa nuit dans le lit conjugal, aux côtés de son épouse Karine, qui s’était rendormie profondément dès son arrivée. Les événements de ces derniers jours perturbaient beaucoup Joseph Martin. Il ne parvenait pas à trouver le sommeil. Beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête : ce qui ‘était passé dans son cabinet, la découverte de l’infidélité de Karine, cette soirée torride passée à l’hôtel avec cette étrange Olga.

Si Karine s’était révélée depuis leur rencontre d’une grande sensualité et que leurs étreintes avaient toujours été torrides, ce n’était plus le cas ces derniers mois, ce qui avait frustré Joseph et avait créé un terrain favorable à son aventure avec le volcanique quadragénaire. Cette Olga avait mit le feu à la libido du toubib. Alors qu’il y a quelques heures il avait eu une relation adultère avec son amante, voilà que Joseph était de nouveau en rut. Il pensait à Olga, mais elle n’était pas près de lui, alors que Karine, toujours désirable, était à ses côtés, portant seulement une légère nuisette.

Joseph avait une puissante envie de faire l’amour à son épouse, pourtant profondément endormie. Il se serra contre elle, lui faisant sentir une formidable érection. Il commença à la caresser et ses doigts s’aventurèrent dans l’intimité de Karine. Il comptait la réveiller pour la baiser.

Ce qu’il découvrit en aventurant un doigt dans le vagin de son épouse fut un choc pour le Docteur. La chatte de Karine était non seulement humide, mais surtout remplie de sécrétions mâles.
Joseph interrompit sa caresse, car cette fois, il n’y avait plus de doutes : non seulement Karine avait un amant, mais elle l’avait vu hier soir et s’était faite baiser par cet homme et remplir par lui. Joseph, si attaché à l’hygiène, pensa « la salope, elle ne s’est même pas nettoyé avant de se mettre au lit ».

Bien sûr, compte tenu de son comportement, il n’avait aucune leçon à donner à Karine, même s’il semblait évident que c’est elle, qui, la première, avait rompu le serment de fidélité éternelle qu’ils avaient passé, 20 ans auparavant.

Joseph était partagé entre colère et soulagement. Il se sentait libéré des scrupules qui lui restaient. Il était bien décidé à poursuivre sa relation avec cette Olga, comptant bien aller plus loin. Non seulement il la désirait, mais il devait avouer qu’il ressentait quelque chose de fort pour la belle brune. Il était donc décidé à continuer et surtout à faire en sorte que leur liaison débouche sur une relation durable. Viendrait alors le temps des explications avec Karine.

****

Dans les jours qui suivirent son accouplement torride avec Olga, mais aussi la confirmation de l'infidélité de son épouse, Joseph ne fut plus vraiment lui-même. Il faillit même commettre une erreur de diagnostic et, la réalisant plus tard, téléphona à son patient pour lui demander instamment de consulter un spécialiste après l'avoir imprudemment rassuré.

• Il faut que je me reprenne, je perds la boule à cause de cette fille, se dit-il.

De fait, la belle brune le hantait à tel point que, dès qu'il pensait à elle, il triquait comme un âne. Et quand la queue et la tête sont en concurrence, c'est presque toujours la queue qui l'emporte. Voilà pourquoi il finit par téléphoner à Olga entre deux patients.

• Il faut qu'on se voie, lui dit-il.

• Pas de problème. Tu viens chez moi ?

• Chez toi ? Mais... et ton mari ? Tu m'as bien dit que tu étais mariée ?

• Mais oui, je suis mariée, mais nous sommes un couple très libre.
Et mon mari sera ravi de faire ta connaissance.

• Euh... Je suis un peu surpris. Mais bon, si tu le dis.

Et c'est ainsi que la queue l'emporta à nouveau.

Joseph se rendit au rendez-vous fixé, au domicile d'Olga. C'est elle-même qui lui ouvrit la porte, vêtue sommairement d'un teeshirt XXL qui lui arrivait à mi cuisses. Joseph fut immédiatement persuadé qu'elle était nue dessous et l'effet fut immédiat à l'intérieur de son pantalon. Il en eut la confirmation plus tard lorsqu'Olga, assise face à lui dans un fauteuil, découvrit son minou en croisant les jambes. Joseph déglutit difficilement. C'est alors que le mari fit son apparition :

• Je te présente Philippe, dit-elle à Joseph.

L'homme était avenant, cordial, sans la moindre gêne. Et lui dit tout de go :

• Alors, comme ça, vous baisez ma femme ?

Figé de stupeur, Joseph mit quelques secondes à répondre mais Olga le devança :

• Arrête Philippe, tu vois bien que tu gênes Joseph.

Et elle éclata d'un rire cristallin qui ajouta à son charme puissant. Puis elle ajouta :

• Philippe et moi, nous sommes candaulistes. Il adore me regarder faire l'amour avec un autre homme et moi de même. Cela te gêne, peut-être ?

• C'est que... Je n'y suis guère habitué.

• On s'y fait vite. Allez, viens, on va dans notre chambre.

Elle se leva du fauteuil et dans le même mouvement, fit passer son teeshirt par-dessus sa tête, dévoilant sa somptueuse nudité et ondula vers la chambre. Le spectacle de son cul mouvant ôta les dernières résistances de Joseph. Il avait trop envie de la baiser et ce n'est pas le mari qui l'empêcherait, nom de Dieu !

Et Olga s'allongea sur le lit, le sourire aux lèvres, les cuisses légèrement entrouvertes avec un petit geste du doigt qui voulait dire : « tu viens » ?

***

Cette femme faisait oublier toutes les convenances à Joseph Martin. Il ne pensait plus au mari, ni à Karine, ni à ses patients. Seulement à elle, qu’il allait posséder. Lui, le prudent et sage docteur, ne se reconnaissait plus dans le démon en rut qu’il était devenu. Etait-ce ce que certains appellent le démon de midi ? En tout cas Joseph Martin savait ce qu’il voulait : baiser cette femme et maintenant !

Joseph prit tout de même le temps d’observer cette chambre, où les dressings étaient couverts de grandes glaces qui permettaient de refléter ce qui se passait dans le grand lit, un « king size » qui, manifestement, ne devait pas servir qu’à dormir à deux. Il y avait aussi ce grand fauteuil, sur lequel prit place le mari et qui était un excellent poste d’observation pour lui.

Joseph Martin se débarrassa rapidement de ses vêtements et se retrouva lui aussi dans le plus simple appareil. Il fut lui-même impressionné par l’importance de son érection. Cette femme avait sur lui un effet aphrodisiaque qu’il n’avait jamais connu. Il était en rut, il n’était plus qu’un mâle qui allait saillir sa femelle.

Et puisque ce mari aimait ce genre de spectacle, il allait être servi !

Joseph Martin grimpa à son tour sur le lit, s’approchant d’Olga. Il parvint à maîtriser son envie de la prendre immédiatement. Il voulait montrer l’emprise qu’il avait sur elle, du moins le pensait-il.

Il prit les lèvres de son amante, dans un baiser interminable, seulement interrompu par le besoin de reprendre leur souffle.

Les mains de Joseph n’étaient pas inactives. Il entreprit de caresser sa maîtresse, insistant sur ses petits seins si érogènes, qu’il empoignait. Olga devait avouer que peu d’amants avaient les mains aussi douces que ce docteur. Elles étaient diaboliques, ces mains, parcourant son corps, déclenchant chez elle des frissons et accroissant encore son excitation. Joseph le constata en fouillant de ses doigts la chatte béante et trempée. Il eut un moment la tentation de la fister, certain qu’elle devait aimer cela. A vrai dire, « fister » était un mot qu’il ne connaissait pas, mais c’était l’envie de la faire jouir manuellement qui lui était venue à l’esprit.

Mais au fond, ce n’est pas ce qu’il voulait. Il l’embrassa encore, alors qu’elle avait les yeux mi-clos, voilés par la montée de son plaisir.

• Tu me rends fou, tu sais. Tu es à moi, je te veux, Olga !

• Tu m’as manqué, toi aussi.

• Dis-moi ce que tu veux !

• Tu le sais bien ! Prends-moi ! Baise-moi !

• Devant ton mari ?

• Oui, il est d’accord et il aime être le témoin de mon plaisir.

Joseph jeta un œil vers le mari, installé sur son fauteuil, son poste d’observation. Il avait lui aussi sorti sa queue et bandait, prenant soin de ne pas se toucher. L’échange de regards entre lui et Joseph valait assentiment, il voulait dire : « baise-la, qu’est-ce que tu attends ? »

***

Joseph se positionna face à Olga, mit les jambes de la femme sur ses épaules et la pénétra d’un coup, commençant le coït. C’est ce qu’elle attendait. Elle, qui était vaginale, avait souhaité cette position dite de l’enclume, parce qu’elle permet de se faire pénétrer plus profondément.

Joseph se sentait vraiment en train de la pénétrer. Ses fesses étaient remontées, il se sentait le seul maître des va-et-vient. Il eut tout de suite envie d'être plus animal et d'y aller fort. Il la sentit se donner complètement à lui, tout en la dominant. Il la regarda dans les yeux sans pouvoir l'embrasser. Le docteur se lâcha alors totalement. Il se sentait dominateur, voyeur et animal. Bien installé en elle, Joseph en profita aussi pour posséder les seins de son amante.

Joseph voulait que ça dure et se maitrisa, alors qu’Olga, multi-orgasmique, montait inexorablement dans la gamme de son plaisir, ses gémissements laissant la place aux cris, de plus en plus sonores.

Excité et voulant lui aussi que cela dure, Philippe intervint, sans perturber les amants :

• Il te baise bien, mon amour ?

• Oh mon chéri, il va me de plaisir. Oh Joseph, oui, comme ça, continue, encore !!!!!


Sentant venir le sommet de son plaisir, qui correspondrait à l’instant où son amant allait jouir en elle, Olga demanda à Philippe, d’une voix voilée, d’approcher.

C’était le signal que celui-ci attendait et qui est un rite pour le couple candauliste. C’est Joseph qui baisait la jolie brune, mais c’est Philippe qu’elle embrassait avec fougue. Entre deux baisers, elle le remerciait, lui murmurait son amour.

Au moment fatidique, Olga prit la main de Philippe et la serra avec une force inouïe, à lui faire mal, à la hauteur de l’orgasme qui la submergeait comme une vague, alors que Joseph se répandit longuement en elle, envoyant vers l’utérus de sa maîtresse de puissantes giclées. Reprenant des réflexes professionnels, le docteur Martin se dit alors que si son amante avait été dans une période favorable, nul doute qu’il l’aurait fécondée. Quant à Philippe, il avait accompagné l’orgasme final des amants, qu’il avait senti venir, en se masturbant. Dans un état second, Olga ne pouvait le prendre en bouche, comme il l’aurait aimé. Mais lui aussi la gratifia de plusieurs puissantes giclées qu’il dirigea vers son visage, ses cheveux et ses seins.

Les trois complices venaient de passer un moment de plaisir si fort qu’ils devaient reprendre des forces.

Pour Joseph Martin, ce qui venait de se passer était une nouvelle découverte. Passé un bref moment d’interrogation, il n’avait eu aucune gêne à baiser cette femme devant son mari. Il avait fini par oublier qu’ils avaient un spectateur attentif et complice. Et finalement cette présence et les encouragements de l’homme avaient accru l’excitation de Joseph. C’était nouveau pour lui, spécial, choquant même, mais il devait convenir que cet homme, à sa façon, aimait follement son épouse, et que tout ce qu’il voulait était satisfaire sa libido débordante. D’une certaine façon, il la baisait par procuration.

Tous les trois étaient allongés sur le grand lit, brisés par le plaisir. Olga était entre son amant et son mari. Elle donna un petit baiser à Joseph et lui murmura à l’oreille « merci ». Mais c’est vers son homme qu’elle se tourna ensuite, se faisant chatte amoureuse avec lui, posant sa tête sur son épaule, l’embrassant avec force. Les époux exprimaient ainsi leur amour, un étrange amour, mais oh combien fort.

Pour Joseph, si cartésien, c’était étrange et c’était aussi une découverte. Il comprenait qu’Olga avait besoin d’amants, qu’elle offrait son plaisir à son mari mais que c’était seulement celui-ci qu’elle aimait.

Cette philosophie du couple, si particulière, si dérangeante, troublait Joseph et le poussait à s’interroger sur son propre couple. Alors qu’il était dans ce grand lit et que son amante était près de lui, mais dans les bras de son mari, il pensa à Karine. Il se demanda alors si le libertinage n’était pas le moyen de sauver son foyer. Car Joseph devait se l’avouer : s’il désirait Olga et avait tant besoin de la baiser, c’est Karine qu’il aimait.

Sans le savoir, Philippe et Olga avaient conduit Joseph à réfléchir sur son couple, à partir de ce qu’il avait vécu avec Olga et Philippe et surtout de la façon dont ils affichaient et affirmaient leur complicité et leur amour. Aussi étrange que cela pouvait paraître, le couple si particulier que formaient Olga et Philippe était en définitive bien plus solide que bien des couples plus classiques.

Joseph voulait retrouver Karine, poursuivre leur vie commune. Il fallait pour cela sortir des mensonges de leur double adultère et envisager une autre voie, celle du couple libertin. Karine serait-elle d’accord pour le suivre sur ce nouveau chemin ? Joseph voulait en tout cas essayer.

***

A suivre : chapitre 4 « quatuor »

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