Série Textes En Commun, Olga Et Le Docteur, Chapitre 4, La Maison De Campagne

AVERTISSEMENT : écriture en commun et publications alternées
Cette série de textes fictifs, Olga et le Docteur, est le fruit d’un travail en commun sur HDS entre Olga T et Micky.
Le premier chapitre, « le cabinet », a été publié sur la page d’Olga T le 1er juillet 2021 :
https://www.histoires-de-sexe.net/serie-textes-en-commun-olga-et-le-docteur-chapitre-premier-le-cabinet-40214
Le second chapitre, « hôtel et téléphone mobile », a été publié le 7 juillet sur la page de Micky :
https://www.histoires-de-sexe.net/serie-amp-quot-textes-en-commun-amp-quot-olga-et-le-docteur-chapitre-deux-hotel-et-telephone-mobile-40265
Le chapitre trois, « visite à domicile » a été publié sur la page d’Olga T le 16 juillet 2021 :
https://www.histoires-de-sexe.net/serie-textes-en-commun-olga-et-le-docteur-chapitre-trois-visite-a-domicile-40342
Ce chapitre, le quatre, est publié sur la page de Micky. Cette alternance dans les publications a pour objet d’inciter nos fidèles lecteurs et lectrices à découvrir les publications de chacune des deux auteures.
RESUME :
Olga, hypersexuelle quadragénaire, a mal vécu les confinements successifs qui l’ont privé des étreintes qui lui permettent, avec la complicité de Philippe, son mari candauliste, de répondre aux besoins de sa libido exacerbée. Elle a en conséquence a jeté son dévolu sur un médecin, le Docteur Joseph Martin. Malgré ses principes déontologiques, qu’il pensait bien ancrés, malgré des années de fidélité à son épouse Karine, Joseph Martin a fini par répondre aux attentes de la volcanique Olga, en la baisant dans son cabinet, lors d’une consultation pour soigner le mal de dos de la jeune femme.
Ayant découvert par hasard l’infidélité de son épouse Karine, Joseph a repris contact avec Olga. Les deux amants ont alors passé une nuit torride dans un hôtel. Joseph s’est laissé aller à retrouver Olga à son domicile, où il l’a baisé devant Philippe.

Une découverte qui change beaucoup de choses pour le Docteur et ouvre de nouvelles perspectives.
***
Depuis l'expérience candauliste, qui lui avait montré une nouvelle facette de sa personnalité, Joseph se sentait comme si on lui avait changé le cerveau. Il ne considérait plus les choses que sous l'angle du sexe, à tel point que certaines de ses patientes, plutôt jeunes, surprenaient un regard malicieux de sa part lorsqu'elles se déshabillaient devant lui. Certaines s'en offusquaient in petto, d'autres s'en flattaient, et elles n'étaient pas les moins nombreuses. Mais Joseph se gardait de pousser son avantage, du moins dans l'immédiat, car il ne faut jamais insulter l'avenir.
Celle qui avait très bien perçu ce changement était son épouse Karine. Autant il s'était révélé calme à l'heure du coucher pendant des années, autant il était devenu pressant au point qu'elle lui céda à plusieurs reprises. La manière dont il la prenait, vigoureux et inventif, lui procurait même un plaisir incontestable et, pour la première fois depuis des lustres, il la fit crier de plaisir un soir suivant une journée où il n'avait cessé de penser à Olga. C'est évidemment à elle qu'il songeait en labourant son épouse, avec d'autant moins de difficulté imaginative que les deux femmes se ressemblaient étrangement. Karine, brune, mince, élancée, cheveux longs, aux pommettes saillantes et aux yeux de braise, avait dans le plaisir le cul aussi mouvant que la maîtresse de Joseph. Lorsqu'un de ces soirs, il lui proposa de la sodomiser, le doute ne fut plus permis pour elle : il était entré dans une nouvelle vie sexuelle. Et elle voulait en connaitre la cause.
Les mois s’étaient écoulés, marqués par les confinements et par la poursuite de la relation entre Joseph et Olga. Le médecin était devenu insatiable et il avait besoin de revoir régulièrement Olga. Sous couvert de consultations au cabinet ou au domicile du couple, il s’agissait pour les amants de baiser. Ca s’était même passé dans la voiture du médecin ou de la jolie brune.
Et tout cela avec la complicité bienveillante du mari candauliste et souvent en sa présence.
Joseph attendait depuis un moment une occasion de « tout mettre à plat » avec Karine. Cela se produisit alors qu'ils étaient au lit, nus, en prélude à un nouveau coït.
• J'ai une maitresse passionnante qui a révélé la bête en moi. Et j'ai d'autant moins de scrupules que je sais que tu as toi aussi un amant.
Surprise, Karine mit quelques secondes à réagir et finit par lâcher :
• Comment le sais-tu ?
• A des petits détails qui ne trompent pas. Et qui ne t'ont pas trompée non plus. On se connait depuis longtemps, non ?
• Qui est cette fille ? Je la connais ?
• Non. C'est une de mes patientes.
• Ah bravo. Bien, le serment d'Hippocrate.
• Cela n'a rien à voir. Et toi au fait, qui c'est ce mec qui te baise ?
• Le jeune gars qui m'a aidé à changer ma roue quand j'ai crevé, tu te rappelles ?
• Ah oui, tu m'en avais parlé. Et alors ?
• Il me fait jouir et c'est tout ce que je lui demande.
• Tu es devenue une belle salope.
• Exact et crois-moi, j'en suis ravie. Et d'ailleurs, tu ne t'en plains pas, non ?
• C'est vrai que tu baises vraiment bien.
• Et si tu me baisais maintenant. Tu m'as mis le feu et tu bandes.
Joseph pénétra Karine mais au lieu de la ramoner avec ardeur, il se prélassa en elle et lui tint un étrange discours.
• Tu sais que je l'ai baisée en trio, devant son mari ?
• Tu as fait ça ? Mais tu es un gros cochon ! C'était bien ?
• Génial. Olga est une aussi belle salope que toi.
• Elle est belle ?
• Superbe, comme toi.
• Et son mari ? Il est beau ?
• Autant que je puisse juger, oui.
• Tu l'as baisé aussi ?
• Ah non. J'avais assez à faire avec Olga.

• J'aimerais bien connaitre ce couple.
• Pour baiser avec lui ?
• Pourquoi pas ? Je ne veux pas mourir idiote et j'ai des copines qui font ça aussi.
Pendant cet échange, le rythme du fessier de Joseph s'était accéléré et Karine lui avait planté ses ongles dans le cul, manifestant clairement son excitation. Tout en la fouillant avec de plus en plus de profondeur, Joseph déclara :
• Tu veux que j'organise une rencontre ? C'est un couple très libre qui serait sûrement enchanté de faire ta connaissance.
• Je... mmh c'est bon, continue... Oui, je n'ai jamais fait ça avec... mmhh encore... un autre couple et... mmhh ouiiii c'est ça, vas-y... il a une belle bite le mari... ahhh...
• Il bande dur, comme moi maintenant, hein, tu l'aimes ma queue, dis ?
• Oui oui, je suis Olga, hein, dis-le.
• Tu es Olga et Karine à la fois. Tiens, prends ça, tu aimes hein ?
• Oui ouiiii t'arrête pas, tu m'excites avec ton histoire...
• J'ai baisé Olga pendant qu'elle suçait son mari. Tu ferais ça aussi ?
• Oh oui oh ouiii encore encore...
Et Joseph se tut, pleinement accaparé par le corps de Karine qui gigotait sur le lit, le regard vitreux, en chemin vers un orgasme ravageur provoqué autant par la queue de son mari que par ses propos crus. Elle se cabra sous lui en criant et il gicla d'abondance, sans jamais avoir changé de position. Et les deux corps s'affaissèrent, repus.
Plus tard, après avoir repris ses esprits, Karine lâcha :
• C'était sérieux, ta proposition avec ce... couple.
• Oui, mais seulement si tu en as envie.
• De toute façon, tu vas revoir Olga, non ?
• Oui, je l'espère mais j'aimerais avec toi.
• Tu veux me faire partouzer, hein ?
• J'avoue que je serais curieux de te voir dans cette situation. Et toi, ça ne te dérangerait pas de me voir baiser avec une autre femme ?
• Ben, au point où on en est.
.. Au moins, on ne se cachera pas. Mais dis-toi bien que je n'irai pas pour tenir la chandelle.
• Je m'en doute, petite salope. Bon, je m'occupe de tout ça. Et maintenant, dodo, tu m'as tué.
Et le lendemain, lors d'un de leurs coups de fil amoureux, Joseph demanda à Olga d'organiser ce « plan à quatre » qui allait à nouveau révolutionner sa vie sexuelle... et celle de son épouse.
***
Olga pensait au départ que le coup de fil de Joseph était pour prévoir leur prochain rendez-vous. Après de longues semaines de « disette », son aventure avec le docteur Martin exacerbait sa libido. Elle était donc impatiente de retrouver son amant et savait que c’était réciproque.
Elle fut stupéfaite quand Joseph lui fit part de sa conversation avec Karine et lui expliqua ce que le couple souhaitait. Elle ne s’attendait absolument pas à ça de la part de ce docteur qui lui avait paru si sage.
• Je ne m’attendais pas à ça !
• A vrai dire, moi non plus. Les circonstances ont voulu que Karine et moi, chacun de notre côté, nous nous lâchions totalement, après vingt ans de vie commune tout ce qu’il y a de plus conventionnel.
• Tu verras qu’au final, cela consolidera votre couple.
• Je l’espère bien !
• Si j’ai bien compris, Karine a des visées sur Philippe.
• C’est exactement ça ! Je lui ai montré des photos de vous, que tu m’avais données, elle l’a trouvé bel homme.
• Ca va te paraître bizarre, mais d’habitude, je ne suis pas partageuse. Je suis très jalouse ! C’est MON Philippe, il est à moi et rien qu’à moi. La seule exception que je fais d’habitude, c’est quand il baise avec un homme. Il faut dire que j’adore ça !
Joseph fut troublé par cette dernière confidence. Il pensa à la question que Karine lui avait posée au sujet de Philippe. Lors de la séance candauliste, au regard que Philippe avait porté sur lui, Joseph avait deviné la bisexualité de Philippe.
Olga expliqua ensuite à Joseph ce qui s’était passé avec Flavienne et, plus récemment, avec Ambre, qui avaient essayé de lui « prendre » Philippe.
• Dans ces cas-là, je suis une vraie tigresse !
• Je n’en doute pas, dit Joseph. Mais il ne s’agit pas de ça. Karine veut seulement baiser avec lui. Vous m’avez fait découvrir le candaulisme, j’ai envie de la voir avec un autre homme. Et comme je veux te revoir sans continuer à me cacher d’elle, ne plus nous mentir. Dis-oui, s’il te plait !
• Je te dois bien ça, toi qui as mis fin à des mois de frustration et qui me donne tant de plaisir. Et je suis certaine que Philippe n’aime que moi. Donc c’est d’accord, mais préviens Karine que ce ne sera que du sexe, car sinon !
Le médecin sourit à l’ordre bout du téléphone :
• J’ai bien compris, si ça va au-delà, tu lui arracheras les yeux !
• Comment vois-tu les choses ?
• Nous possédons, Karine et moi, une jolie maison de campagne. Nous sommes en période de vacances scolaires, nos deux s vont chez leurs grands-parents. Donc Karine et moi nous vous invitons pour le prochain week-end.
• De mon côté, je peux m’arranger avec mon amie Christine et avec Agun pour prendre en charge les s.
Olga avait expliqué à Joseph qui étaient ces femmes et en particulier Agun, avec qui elle entretenait une relation saphique.
• Philippe sera d’accord ?
• Il sera surpris mais il sera partant. Et puis, tu sais bien que c’est moi décide !
C’est ainsi que fut organisé ce week-end particulier, qui bénéficia du soleil généreux de ce mois d’avril.
***
Philippe et Olga arrivèrent en début d’après-midi à la maison de campagne du Docteur Martin et de son épouse. C’était une ancienne ferme, une maison d’apparence simple à l’extérieur, mais grande, un lieu chaleureux où Joseph se ressourçait et qu’il avait aménagée au fil des années. Il en était très fier, d’autant que ça avait toujours été son nid d’amour avec Karine.
Joseph accueillit ses invités dans la cour de sa maison. Il était habillé de façon décontractée comme Philippe d’ailleurs. Le hasard avait fait que l’un et l’autre avaient choisi des jeans serrés, qui cachaient mal les érections quand elles se déclenchaient.
Olga sortit la première de la voiture. Le temps clément lui avait permis de porter à même le corps une robe qui lui allait à mi-cuisses, sous laquelle elle ne portait ni soutien-gorge, ni culotte. Elle avait volontairement omis de fermer les deux boutons du haut, de telle sorte qu’on ne pouvait ignorer que ses petits seins étaient libres.
Alors que Philippe sortait les bagages du coffre, Olga s’approcha du docteur pour se blottir dans ses bras et échanger avec lui un long baiser. Les choses étaient sans ambigüité, d’autant que Karine était apparue à son tour sur le pas de la porte, accueillant ses hôtes avec un grand sourire. Karine avait, quant à elle, une jupe courte et un chemisier échancré. Comme son invitée, elle avait choisi de laisser ses seins libres.
Joseph rougit, même si Karine savait. Il fit les présentations, quand bien même les protagonistes avaient déjà échangé des photos. Philippe fut toutefois stupéfait de la ressemblance entre les deux femmes, deux brunes quadragénaires, aux longs cheveux noirs, fines, avec de petits seins et un petit cul. Il allait découvrir qu’elles se ressemblaient aussi pour ce qui était du tempérament.
De nature réservée, craignant de susciter une réaction négative de sa femme si possessive, Philippe tenta de garder une certaine distance, vouvoyant « Madame Martin ». Karine eut un grand rire quand le mari de la maitresse de son époux lui fit un baisemain.
• Je ne suis pas Mme Martin, je suis Karine. Nous savons tous les quatre pourquoi nous sommes là. Olga et Joseph ont montré comment il faut se saluer. Viens !
Karine prit Philippe par la main, l’attira vers elle et, à son tour, lui offrit ses lèvres pour un long et torride baiser. Chassant toute inhibition, Philippe répondit à l’invitation de la femme, sans se demander ce que pouvait penser son épouse, d’habitude si jalouse.
Comme Olga avant elle, Karine marquait ainsi son terrain. Elle avait d’ailleurs senti contre elle l’effet qu’elle faisait à l’homme.
Karine s’adressa à Olga :
• Tu es magnifique ! Joseph m’a non seulement beaucoup parlé de toi, mais tu l’as transformé, lui qui ne pensait qu’à son boulot, il ne pense plus qu’à baiser et j’en profite aussi. Je vous remercie, Philippe et toi d’avoir accepté notre proposition.
• C’est aussi un plaisir pour nous !
• Joseph m’a expliqué que ce tu acceptais ce week-end était exceptionnel.
• Ce n’est pas dans mes habitudes en effet de voir MON mari dans les bras d’une autre. Joseph a su me convaincre.
• Et je compte bien en profiter ! Joseph, faisons à nos amis les honneurs de la maison
Karine montrait la même détermination qu’Olga. C’était la rencontre de deux femmes de caractère. Les deux couples entrèrent dans la maison, Olga prenant Joseph par la main, Karine faisant de même avec Philippe.
Karine présentait les différentes pièces de la maison. Elle insista sur la chambre d’amis, où furent déposés le bagage des invités et sur la chambre des hôtes. Olga et Philippe furent stupéfaits par le lit de grande taille. Joseph, pensant au lit « king size » du couple candauliste, crut bon de préciser que c’était une question de confort. Karine rebondit sur la remarque :
• L’usage n’est pas le même que chez vous. Du moins jusqu’à présent. Comme je pense qu’Olga dormira avec Joseph, tu verras, Philippe, nous y serons très bien.
Olga était stupéfaite par les initiatives que prenait Karine, qui assumait en quelque sorte la direction des opérations. Certes, Olga avait très envie de Joseph, mais l’idée que SON Philippe passe la nuit avec une autre, lui déplaisait.
Bien que les deux femmes étaient impatientes de passer aux choses concrètes, Karine conduisit le quatuor au grand salon, où il y avait deux canapés qui se faisaient face. Karine fit asseoir Philippe à ses côtés, Joseph prenant place sur l’autre avec Olga.
Presque simultanément, Joseph et Karine marquèrent leur terrain, elle en posant la main sur la cuisse de Philippe, lui sur la cuisse d’Olga.
Karine demanda à Joseph de servir le champagne, pour que tous lèvent leur coupe à ce magnifique week-end. Pour Karine et Joseph, l’alcool devait lever leurs dernières inhibitions. Depuis des mois, ils avaient, chacun de leur côté, pratiqué l’adultère. Pour la première fois dans leur couple, ils allaient se voir avec un autre partenaire.
***
Alors commença un étrange jeu de rôle. Tout en sirotant leur coupe, les deux duos s'observaient sans être pour autant passifs. La main libre de Karine et Olga n'avaient pas tardé à se poser sur la braguette de leur voisin. En même temps, elles se défiaient du regard. Qui, la première, passerait vraiment à l'acte ? Karine savait qu'elle risquait de provoquer un clash. Olga lui avait bien signifié que telle la fourmi de la fable, elle n'était pas prêteuse. Mais c'est son côté cigale qui finit par l'emporter. C'est elle qui posa la première sa coupe vide et se pencha sur l'entre-jambes du docteur pour en dégager un pénis tendu comme un arc. Et c'est encore elle la première qui l'emboucha, tout en jetant un regard en coin vers le couple en face.
Celui-ci ne réagit pas immédiatement. Curieux de la suite, il observa le duo en phase préliminaire, Karine se contentant de masser à travers le jean la protubérance de Philippe. C'est finalement celui-ci qui craqua :
• Arrête. Suce-moi maintenant. Fais comme Olga.
Et c'est ainsi qu'un intrus aurait découvert, dans une parfaite symétrie, deux belles brunes face à face pompant avec ardeur le dard de leur partenaire à demi déculotté, se jaugeant du regard tandis que les deux hommes, la tête rejetée en arrière sur le dossier du canapé, savouraient le velouté de la bouche experte qui les menait l'un et l'autre à une érection magistrale.
Mais un homme reste un homme et à un moment donné, son excitation est telle qu'il doit absolument pénétrer. Joseph ayant pris, en quelque sorte, un peu d'avance, c'est lui qui craqua le premier. Olga fut troussée en un tournemain sur le canapé. La robe encore autour du cou, mais très provisoirement, la tête sur l'accoudoir et un pied sur le dossier, elle accueillit, très ouverte et très humide, la bite tendue du docteur qui avait encore son pantalon sur les chevilles.
• Doucement ! Que tu es impatient ! lui souffla-t-elle, mais au fond impatiente elle aussi d'être fouillée dans ses profondeurs.
Et Joseph se mit à creuser avec vigueur, les yeux dans ceux d'Olga comme pour vérifier le plaisir qu'elle prenait à sa pénétration.
En face, l'autre couple avait assisté un peu stupéfait à cette copulation aussi rapide que frénétique. Ce n'était certes pas la première fois que Philippe voyait sa femme baiser avec un autre homme mais la voir planter ses ongles dans les fesses de son partenaire lui était pourtant comme une nouvelle révélation. Bon dieu qu'elle aimait le cul ! Il sortit de sa fascination quand Karine lui glissa à l'oreille :
• Qu'est-ce qu'on attend pour en faire autant ?
A peine eut-elle prononcé ces mots qu'elle se releva, se débarrassa de sa robe et apparut à Philippe dans toute sa nudité de fausse maigre, à la fois mince et charnue là où il faut. Poussant son avantage, elle déshabilla elle-même son visiteur encore assis et, sans transition, vint s'empaler sur lui, face non à son amant mais au couple déjà bien engagé dans sa fornication. Tout en dansant sur la bite de Philippe, pieds au sol, Karine ne manquait rien du spectacle sexuel offert par Joseph et Olga alors que Philippe était pour ce faire obligé de tourner la tête sur le côté, tout en matant le cul somptueux de Karine. Laquelle lança à son mari entre deux halètements :
• Tu pourrais au moins finir de te déshabiller, ça fait un peu rustaud, ce pantalon sur les chevilles.
Joseph se le tint pour dit et se retira pour se mettre nu, Olga se débarrassant en même temps définitivement de sa robe. C'est elle qui prit l'initiative de la posture suivante. Karine la défiait par sa manière d'imposer le pal vaginal à son mari. Elle fit asseoir Joseph sur le canapé et adopta rigoureusement la même attitude que son hôtesse. Et c'est ainsi que les deux femmes se firent face, tressautant sur la bite de leur amant provisoire, tantôt la tête rejetée en arrière, tantôt penchées en avant, les mains sur les genoux de l'homme, exhibant en se relevant d'une pression des cuisses la bite tendue qui les honorait avant, en se laissant retomber, de l'engloutir dans leurs tréfonds, et ce à un rythme soutenu ponctué par leurs soupirs de plaisir.
• Elle est bonne, hein, la queue de mon mari, petite salope ! s'exclama Olga.
• Comme celle du mien, à t'entendre gueuler ! répondit Karine tout de go.
En s'excitant ainsi mutuellement, tant par la voix que par la vue, les deux brunes ne tardèrent pas à atteindre l'orgasme. Olga se cabra la première et eut le réflexe de comprimer la queue de Joseph pour qu'il n'explose pas prématurément en elle car elle le sentait de plus en plus pointu. Plus maitre de lui, Philippe trouva les ressources pour retenir son sperme bien que le cul virevoltant de Karine avait tout pour le faire lâcher prise.
Puis les deux femmes basculèrent sur le côté, pas mécontentes de soulager leurs cuisses de la pression mais déjà apaisées par ce premier orgasme quasi simultané qui confortait cette rencontre si particulière.
C'est alors qu'Olga déclara :
• Bon, allez, tous au lit maintenant, on n'en a pas terminé.
(A suivre)

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