Le Cadeau De Mariage 11

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

L’initiation du couple
Agnès à cet instant voudrait s’enfuir. Fuir ces hommes dont elle devine les desseins.
Mais il est trop tard pour s’enfuir la cérémonie est engagée. Elle comptais sur Antoine, mais lui est déjà dans ses fantasmes. Alors, de guerre lasse, elle s’abandonne malgré son refus de redonner de la force à ses pulsions dévastatrices.
Elle s’allonge sur le dos pour ne pas voir l’homme qui s’avance vers elle. Antoine lui tient la main et lui murmure, innocemment, des mots d’amour. Elle les entend avec bonheur. Si elle s’abandonne et c’est pour lui. Les yeux fermés elle attend les assauts des vieux pervers.
Quand elle sent deux mains s’emparer de ses chevilles pour lui ouvrir les jambes, elle ne peut contenir un réflexe de détresse. Elle résiste, relève la tête et aperçoit le beau-père d’Antoine. Une image horrible !
- Non, s’il vous plait, laissez-nous tranquilles. Je ne veux plus. Gardez ce cadeau. Notre bonheur est ailleurs.
- Tout doux ma chérie. Fait moi plaisir. Laisse-les juste te toucher un peu. Juste un peu.
Agnès est abasourdie par ce qu’elle entend. C’est son Antoine qui vient de lui parler. Alors, elle referme les yeux et s’abandonne.
Les traits du visage du beau-père déformés par l’envie, cette envie frustre animale, sont incrustés dans sa mémoire. Ses yeux sont injectés de sang et gonflés par ce qu’ils voient, fixés sur la chatte béante d’où sourd le sperme déversé en grande quantité par Antoine seulement quelques minutes auparavant. Le regard de l’homme est fasciné par ce qu’il voit. Il est subjugué. On sent qu’il est dépassé par le désir de posséder sa belle-fille, cette pimbêche qui l’a vampé ce fameux dimanche et qui l’a méprisé à plusieurs occasions. Il tient là sa vengeance et le moment d’assouvir son obsession de la posséder et que ce soit malgré elle l’excite encore plus. Il sait qu’elle va lui appartenir contre sa volonté tout en sachant qu’une fois dans ses bras la belle va succomber au plaisir de sa queue.

Sa grosse queue ! La présence d’Antoine ne le gêne aucunement. Il lui adresse même un regard plein de mépris.
Son ami, qui a eu le loisir d’apprécier la plastique de la belle ce fameux dimanche, n’a cessé de penser à elle. Le beau-père lui a bien sûr promis de se « servir » quand le moment serait venu. Il est là pour cela ce soir, pleins d’idées et d’envies salaces qu’il a imaginées et qu’il désire exprimer maintenant. Il s’est assis sur le côté d’Agnès, à même le lit, face à Antoine. Il pose lentement une main sur le sein près de lui. Comme pour reculer le moment de jouir du fruit à sa disposition, il prend son temps. Il sait que la belle sera à lui à un moment, qu’elle ne pourra pas lui échapper. Cette idée stigmatise sa libido et l’excite au plus haut point.
A cet instant cette main qui caresse son sein fait rejaillir en Agnès le souvenir du corps d’Antoine collé au sien alors qu’il la pénétrait. Cette découverte de leur peau a été une nouvelle sensation pour elle car elle accompagnait celle de son sexe en elle, s’activant juste avant de déverser sa semence.
Maintenant, ce contact lui répugne elle ressent une aversion pour cette caresse. Elle n’en éprouve aucun plaisir. Pourtant elle est surprise par l’apparition d’un frisson quand, entre deux doigts, l’homme lui pince les pointes des seins. Ce frisson annonciateur du plaisir.
C’est le moment que choisit le beau-père pour approcher sa tête de son ventre, les jambes largement écartées. Elle sent sa chevelure glisser le long de ses cuisses. Là où la peau est si sensible. En s’approchant des lèvres de sa chatte, son souffle chaud chargé d’une haleine fétide remonte jusqu’à ses narines lui donne la nausée.
Mais pourquoi les pincements sur son sein lui procurent-ils encore ces frissons au bas du ventre ? Elle tourne la tête vers son tourmenteur. Elle ressent comme une injure les yeux de l’homme rouler sur ses seins et sur ses épaules. Elle en frissonne de dégoût. Elle se souvient qu’il n’avait pas cessé de reluquer ses petits seins, ses fesses déjà rondes au cours de cette journée en famille chez Antoine.
Ce vieux vicelard, comme tous ceux rassemblés ici sont des pervers attirés par la jeunesse des filles à peine pubères.
Quand la langue du beau-père lui frôle les lèvres et commence à laper les sécrétions qui sourdent de sa vulve, Agnès est prise de tremblements. Elle ne sait pas exactement si c’est le dégoût ou le plaisir. Elle se refuse, résiste. « Non pas la descente en enfer ». Mais le plaisir s’accroît quand elle sent l’organe franchir la barrière de ses grosses lèvres, lécher les petites puis le petit bouton tout gonflé de plaisir, s’enfoncer pour enfin pénétrer sa vulve qu’elle sent devenir brûlante. Sans réaliser vraiment, elle s’est emparée de la tête entre ses jambes et la presse contre elle comme un étau. Elle ne peut plus résister au plaisir qu’elle sent monter en elle. La conjugaison de ces doigts sur ses tétons et cette langue, en elle maintenant, lui font perdre la tête. Elle serre fortement la main d’Antoine. De sa voix douce, il l’encourage à se laisser aller. Il ne pense qu’à lui et Agnès l’a bien compris. Mais elle l’aime tellement !
Maintenant, tout son corps est parcouru de frissons. Elle connaît bien cette sensation, elle annonce le plaisir. Sa peau est prise d’un frémissement qui n’échappe à personne dans le bar, surtout que sans s’en rendre vraiment compte, sa respiration est devenue plus forte et saccadée.
- Tu vois ma petite salope que tu aimes ça ! Tu es faite pour l’amour, pour la baise.
Quand elle sent la bite du beau-père frotter ses cuisses, elle est sur le point de crier. A ses côtés, l’ami a pris sa bouche et lui pétris les seins. Elle sent sa langue la fouiller. Une langue baveuse, mobile, puissante. Petit à petit Agnès se prend à apprécier ce viol buccal.
Elle entrouvre les yeux. Maintenant elle veut voir, elle se sent des envies de participer.
Le beau-père a saisis ses cuisses et les a déposées sur ses épaules. En même temps il a tiré Agnès vers le bord de la table, amenant sa chatte juste au niveau de son gland.
Il se saisit de sa queue d’une main et commence à la frotter sur les lèvres écarlates. Il s’apprête à la faire s’enfoncer dans ce ventre si désiré.
- Tu vois, je t’avais dit que je te baiserais. Tu la sens ma bite ? Dis-le à ton pédé de fiancé. Il ne t’a pas autant remplie, hein ?
Agnès est déjà ailleurs, submergée par le plaisir. Elle sait que dans très peu de temps elle va jouir, indécente. Son orgasme est là, tout violent. La petite mort va la surprendre, elle la laisse venir. C’est si bon. Antoine sent les ongles d’Agnès s’enfoncer dans sa main. Il comprend à son tour l’abandon de la jeune femme. Il bande, il l’aime quand elle est la proie à ses pulsions.
D’un coup de rein, le beau-père vient de pénétrer la vulve encore toute pleine du foutre d’Antoine. Il entreprend un va et vient brutal, violent.
- Regarde comment je la travaille ta petite ! Elle est encore étroite et vierge de grosse bite. Mon foutre va l’engrosser, c’est sûr. Humm quel délice ces parois qui je frotte avec mon gland !
Il parle entre deux souffles. Sa respiration est saccadée, rythmée par son va et vient. Agnès n’entend plus. Elle est hors circuit. L’orgasme la submerge, elle se met à crier son plaisir. L’homme accélère et trop excité pour se retenir, il éjacule dans la chatte à peine déflorée d’Agnès avec le sentiment de l’engrosser ce qui augmente son plaisir pervers.
Repus il se retire alors, avec un regard de victoire envers la petite.
Son ami se branle avec violence devant son visage. Le plaisir du beau-père déclenche le sien. De concert, il éjacule sur le visage de la jeune fille qui est au sommet de son orgasme. Son sperme, épais et visqueux est abondant. Il a dû se réserver pour cette soirée. Le foutre en plusieurs salves, souille son visage, ses seins.
Antoine, hagard, assiste silencieux à la débauche de sexe dont sa fiancée est l’objet.
Un silence s’ensuit pendant lequel Agnès reprend lentement ses esprits. Elle reste les yeux fermés, incapable de réagir.
La honte ? Entre ses cuisses le foutre d’Antoine, mêlé maintenant à celui de cet homme qu’elle hait, s’écoule lentement le long de ses cuisses. Elle se tourne vers Antoine qui lui adresse un sourire d’encouragement. Délicatement, il essuie avec un mouchoir de papier les traces de souillures sur le visage et le corps de la belle.
L’assistance a bien compris qu’Agnès est de nouveau soumise à ses pulsions.
Les trois hommes masqués sont restés à leurs places. Cela devait avoir été défini par le messager.
Un d’entre eux a souillé ses vêtements, incapable de retenir son plaisir devant l’intensité du spectacle. Les deux autres, sont invités à leur tour à venir profiter de la belle et de parfaire son initiation et celle d’Antoine.
Le plus gros, s’approche et prend place entre les cuisses encore ouvertes. Il contemple la vulve. Il avance sa main et fait pénétrer un doigt puis deux. Quand il les fait ressortir, ils sont chargés d’un mélange du foutre des deux hommes qui se sont vidés en elle et de sa propre cyprine. Il les présente à Agnès qui les prend en bouche sans hésiter. Elle les suce, goûtant la sève qui sort de son ventre.
L’homme est nu sous la ceinture. Il bande tout droit. Sa bite est plus grosse. Même si la chatte d’Agnès est bien dilatée par les précédentes pénétrations, la taille de son membre laisse entrevoir qu’il va quand même se sentir à l’étroit.
Le second homme masqué s’est approché derrière Antoine, toujours aux côtés de sa bien aimée. Il lui prend la main et la pose sur sa queue encore à demi bandée. Le message est clair, il attend d’Antoine qu’il le branle. Ce dernier s’exécute après une petite seconde d’excitation.
- Tu as bien aimé branler tes copains, petit pédé. Fait moi jouir.
Agnès qui assiste à la scène est toute meurtrie à la pensée que son chéri peut être mal mené. Mais bien vite cependant elle se rend compte qu’au contraire, Antoine apprécie de tenir cette queue dans sa main et commence à la branler, faisant coulisser le prépuce pour découvrir le gland turgescent de l’homme. Très vite elle prend forme.
Agnès lève la tête au moment que choisit l’homme entre ses cuisses pour la pourfendre de son dard. Elle pousse un petit cri de surprise tant il est plus gros et a du mal à se frayer un passage dans sa chatte déjà meurtrie. Une fois planté en elle, l’homme marque un temps. Il glisse une main, puis une autre sous les fesses de la femelle et lui soulève le bassin pour mieux la posséder. En même temps, il lui introduit un doigt dans l’anus. Il l’encule. Agnès est surprise, jamais encore elle n’avait été touchée en cet endroit interdit. Elle a honte et veut se dégager. Mais la main est ferme et maintient sa prise. Pire, elle sent un second doigt la perforer. Mais surtout, une onde de plaisir vient de naitre. Une onde encore inconnue et qui grandit quand le doigt progresse dans son fondement et commence des mouvements rotatifs destinés à masser les parois de son anus. Alors elle laisse les doigts la violer et prendre le pucelage de son cul.
Fort de sa prise, l’homme entreprend les va et viens dans la chatte de la jeune femme. La conjugaison des doigts et de la bite en elle emmène lentement Agnès vers sa jouissance. Elle pousse des gémissements de plus en plus forts.
Elle cherche Antoine du regard. Le jeune homme est accroupi entre les jambes de l’homme masqué et est entrain de le sucer. Son Antoine ! Cette image, au lieu de la choquer, l’excite. La perversion de son fiancé l’excite et en même temps la dédouane de ses scrupules.
Elle jouit au moment même où elle se rend compte qu’Antoine reçoit le foutre dans sa bouche et que l’homme lui ordonne de tout avaler. Elle a à ce moment un troisième doigt dans le cul et quand le foutre jaillit de la bite pour inonder sa vulve, elle est submergée par un nouvel orgasme encore plus intense. Il dure plusieurs minutes pendant lesquelles elle perd connaissance. C’est l’apothéose pour elle.
Quand l’homme repus abandonne le ventre de la jeune femme, Agnès n’a pas recouvré ses esprits. Antoine s’est relevé et tendrement lui caresse le visage. Quand elle lit toute cette tendresse dans cette caresse, elle éclate en sanglots. Trop de sensations l’ont amenée au bord de sa résistance. Elle apprendra plus tard qu’Antoine s’est branlé en suçant l’homme masqué et qu’il a jouit lui aussi de cette situation.
Lentement elle récupère. Les hommes masqués, le beau-père et son ami ont disparu. Elle pense que la fête est finie.
- Antoine, Agnès. Vos épreuves sont terminées. Demain je vous attends pour finaliser les souhaits de mon mandataire. Soyez heureux. Vous avez tous les deux découvert des aspects inconnus de votre sexualité. Vous êtes aujourd’hui complices dans l‘amour et dans la jouissance sexuelle brute. Cultivez les deux.
Alors qu’Agnès est sur le point de se lever, elle sent deux mains la saisir aux chevilles et lui ouvrir encore le chemin de son ventre. C’est le barman qui présente sa bite entre les cuisses d’Agnès et qui veut à son tour profiter de l’aubaine pour baiser la belle, offerte. Sans aucune considération pour elle, étranger au plaisir de la belle dont il n’a cure, il la « travaille » à peine avant de déverser à son tour sa semence dans le ventre de la jeune déflorée.
Agnès et Antoine se sont mariés. Couple heureux, épanouis. Un bébé est prévu.
Ils vivent un amour intense, sincère et profond. Tous deux ressentent tous les jours leur complicité dans cet amour. Leurs sentiments sont si forts qu’ils suffisent pour alimenter leur sexualité. Pour autant chacun sait qu’un jour ou l’autre, resurgiront ces pulsions qui leur ont donné tant de plaisirs et de jouissances.
Ce jour là, Antoine téléphone à son épouse pour lui annoncer qu’il a invité un collègue à venir dîner chez eux. Agnès comprend vite. Et c’est avec une douce chaleur au ventre et un léger picotement entre ses cuisses, qu’elle décide de s’habiller jolie pour recevoir cet « invité » surprise.
(à suivre)

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