Le Voisin Bricoleur A Des Mains En Or Et Un Sacré Outil. 1/5
Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil. 1/5
Je me prénomme Béatrice, je suis une quinquagénaire encore assez appétissante. On me dit assez féminine malgré mes 1m64 et 60 kg. Mais surtout on remarque mes seins qui sont relativement gros. (Enfin à mon avis, 95-70-90).
Je vis dans le nord-est de la France. Jhabite une belle maison entourée d'un grand terrain à l'écart des autres habitations, près de la forêt et d'une ferme ou je vais chercher mes produits laitiers.
Les propriétaires ont aménagé une ancienne dépendance en petit chalet loué en gite.
Il y a aussi plus proche de chez moi une ferme délabrée qui vient dêtre vendue. Jai entrçu de loin le nouveau propriétaire, un homme seul.
Mon homme sappelle Paul, il dirige une imprimerie et est souvent absent, moi je ne travaille pas.
Je suis ce quon appelle une petite bourgeoise, un peu désuvrée car les s ne sont plus à la maison depuis longtemps et mon homme est très pris par son travail.
Le chalet vient dêtre loué à une femme dune trentaine dannées avec sa mère. Je les ai rencontrées à la ferme en prenant mon lait, elles sont là pour deux semaines. Cest là aussi que javais fait la connaissance de mon nouveau voisin, Cest le lieu de rencontre du quartier, en plus du lait, on peut acheter des produits de la ferme, des légumes, des fruits, de la viande, des ufs.
Mon nouveau voisin sappelle Marc. Un bien bel homme ma foi. Il doit avoir une bonne quarantaine.
Cest un sacré bricoleur. En quelques mois, il a déjà bien retapé la bicoque. Mais je commence à le regarder dun autre il, car avec les beaux jours, il seffeuille. Je le vois régulièrement travailler torse-nu avec un short tout déchiré taillé dans un vieux jean. Il a de belles cuisses, une poitrine musclée.
Ce nest pas que jaime espionner, mais à chaque fois que je le vois bosser, le buste luisant de sueur. Une chaleur intense me dévore le corps.
Lautre jour, je suis allée chercher un outil dans le cabanon au fond de mon jardin, et je me suis aperçue que de là, javais une vue un peu de biais sur sa salle de bain, il était là. Quand il est sortit de la douche, j'ai pu observer des fesses bien dessinées et très musculeuses pour le coté pile. Et pour le coté face, sous ses tablettes de chocolat, un véritable serpent barrant lourdement des sacs bien gonflés.
Mon homme à moi me néglige un peu. Des sensations que je croyais à jamais oubliées se propageaient de plus en plus au creux de mes reins. Un plaisir me saisit le bas-ventre, me fouilla les entrailles. Mais le spectacle fut trop court.
A mon âge des envies nouvelles se font jour. Et discrètement je suis lavancement de sa maison. Il vient de finir les travaux du salon, une immense baie vitrée remplace lancienne porte de grange.
Un soir, je suis allé fumer une cigarette dehors dans le noir. En faisant le tour de la maison, mon regard a été attiré par la lumière de la ferme dà coté. Marc était dans son salon, aucun rideau ne cachant encore lintérieur des regards indiscrets. Je lai vu, il déambulait complètement nu dans la pièce. Je me suis approchée subrepticement, me cachant derrière un bosquet. Sa verge brinquebalait à chacun de ses pas. Il sest étendu dans son divan, posant sa main sur sa hampe, comme sil voulait en cacher la vue dans un geste de pudibonderie. Je me suis sauvée comme une jeunette prise en faute.
Depuis ce jour, je ne pense plus quà lui. Le souvenir de cette vision me ronge. Je lespionne pour lui voler encore son intimité. Je nose même plus le regarder quand on se retrouve à la ferme voisine comme sil pouvait lire en moi mes pensées lubriques. Quand on s'y retrouve, on échange quelques mots et je rougis aussitôt mais il ne réagit même pas.
Cela fait une semaine que cela dure. Jessaie toujours en soirée de méchapper sous un prétexte quelconque pour rejoindre mon poste dobservation.
Je vois Marc qui sort délicatement sa verge de son short, un membre vraiment peu commun ! Je vois sa bite à moins de trois mètres de moi, il glisse ensuite sa main dans la culotte de la fille pour lui caresser la vulve. Je suis jalouse à en crever mais je mouille comme une malade à la vue de cette queue aux proportions peu ordinaires.
Pendant ce temps, la trentenaire commence lentement à le caresser et à retrousser son prépuce petit à petit. Je vois la taille de sa queue grandir, elle le branle énergiquement pendant quelques secondes jusqu'à ce que le chibre soit en totale érection.
Suffisamment dissimulée, par les arbustes du jardin, je suis tranquille pour me tripoter la chatte. Je me rince l'il et jai des bouffées de chaleur devant le spectacle torride.
A la vision de cette queue énorme tendue à craquer, je soupire de désir. On dirait quil détecte ma présence car il tourne la tête dans ma direction en tenant la base de son gourdin dans la main.
La porte vitrée est entrouverte et jentends la greluche lui demander :
- Oh oui ! Montre-moi ta grosse queue mon salaud ! Tu sais je ça fait un moment que je tespionne et que je voulais goûter de près ton bâton de berger ? Jattends ce moment depuis que je te connais ! Mais je vais rattr le temps perdu !
Elle est à quatre pattes, toute nue, en train dengloutir goulûment la belle grosse queue quelle pompe avec douceur. Javais imaginé un beau chibre en le voyant sortir de sa douche, mais là, je suis réellement intimidée par la proportion quà prise sa virilité. Mon cur bat la chamade. Je ne sais pas si cest parce que je viole leur intimité ou bien parce que jenvie cette bouche qui avale chaque centimètre de ce monstre entre ses lèvres.
Elle le suce pendant de longues minutes et jai limpression quil ne va plus tenir longtemps car on dirait que sa queue se tend de plus en plus.
Il me semble même que je peux sentir lodeur sirupeuse de son sperme comme sil dégoulinait le long de mes cuisses. Cest alors que je maperçois que cest moi qui dégouline tellement je suis excitée. Mais quand je vois quil veut soccuper de la chatte de cette figure de mode, je menfuie, pleurant de jalousie et denvie.
Il FAUT que je me le fasse !!!!
Heureusement, elle devrait bientôt ficher le camp !
Ça y est enfin ! Elles sont reparties et je vais lavoir pour moi toute seule !
Mais comment vais-je my prendre pour lattirer dans mes filets ?
Le lendemain, je le rencontre chez le fermier. Comme dhabitude, on parle de tout et de rien quand soudain jai une illumination.
-Euh Marc, vous qui êtes bricoleur, jai ma chasse deau qui coule, vous ne pourriez-pas ?
En homme serviable et galant, il me répond aussitôt :
-Il ne faut pas vous sentir gênée, Béatrice. Dans une heure, je viens voir ce que je peux faire !
Effectivement, une heure plus tard, il se présente à la porte. Il a remis son short et a passé un Marcel.
Moi je suis en jupe courte et débardeur, avec un string et pas de soutien-gorge.
En un rien de temps, il a résolu le problème et me demande :
-Rien dautre qui cloche pendant que je suis là ?
-Ben ! Si ce nest pas r, il y a bien dautres bricoles car Paul a deux mains gauches !
Entre les ampoules à changer, le joint du robinet de la cuisine, les piles de la télécommande et dautres vicissitudes de la vie à la campagne, le temps passe et il est déjà midi. Je linvite à déjeuner avec moi et il accepte avec plaisir.
Linstant est si magique que sans savoir pourquoi, nous nous épanchons lun lautre.
-Mon Dieu ! Je navais pas remarqué quil était si tard. Je nai pas vu le temps passer en votre agréable compagnie mais il faut que je vous quitte ! Ce fut un moment merveilleux. Je reviendrai demain voir votre problème de ventilation.
Je lui réponds :
-Pour moi aussi, je ne me suis pas sentie aussi détendue depuis longtemps. Mais je suis gênée de vous mettre autant à contribution.
Le jour suivant, il est revenu comme promis. Il est de nouveau en short, un short court qui met ses cuisses en évidence. Moi je ne porte qu'une robe tunique légère, pas décolletée du tout mais ample et courte. Il a dû monter dans les combles et je le plains car à trois heures de laprès-midi, cest une vraie fournaise. Je lui offre un rafraîchissement et lui propose :
-Venez faire un tour dans la piscine. Par ces grandes chaleurs, cest vraiment agréable ! Et vous en avez grandement besoin !
-Pourquoi-pas ? Me rétorque-t-il. Mais je nai rien sous mon short !
Je le rassure :
-Vous savez ! Avec Paul on fait un peu de naturisme. Alors ça ne pose pas de problèmes !
Il nhésite pas bien longtemps avant de retirer le maillot et le short. Il passe sous la douche pour se débarrasser de la sueur et de la poussière du grenier et plonge dans la piscine.
Il est nu mais ce fut si rapide que je n'ai pas eu le temps d'admirer son corps.
Pendant quil se détend dans leau, je rapproche les transats, retire moi aussi ma robe et minstalle pour bronzer. Il sort enfin de londe, leau ruisselle sur son corps, un filet deau coule au bout de son sexe. Il vient sétendre à coté de moi. Je le regarde, discrètement et me dis "Quel bel homme et quel sexe, cela change de Paul".
Je ne sais pas sil a pris un coup de chaud dans les combles, mais il sassoupit presque aussitôt. Sa poitrine se gonfle régulièrement. Sa verge est si longue quelle arrive à toucher la serviette posée sur le transat. Je ne sais pas sil revit en rêve son aventure avec la locataire du gîte mais au bout de vingt minutes je vois avec ravissement cette chose flasque se gorger de sang.
(À suivre)
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