Le Voisin Bricoleur A Des Mains En Or Et Un Sacré Outil. 2/5
Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil.
Chapitre deux.
Je ne sais pas sil a pris un coup de chaud dans les combles, mais il sassoupit presque aussitôt. Sa poitrine se gonfle régulièrement. Sa verge est si longue quelle arrive à toucher la serviette posée sur le transat. Je ne sais pas sil revit en rêve son aventure avec la locataire du gîte mais au bout de vingt minutes je vois avec ravissement cette chose flasque se gorger de sang. Il doit rêver et rêver à des choses coquines.
(Suite)
Je suis avec beaucoup dattention le processus. Quand les corps caverneux commencent à se gorger de sang, le gland frotte sur le tissu-éponge par à-coups avant de décoller dans les airs. La hampe grossit et sallonge, encore courbée comme un pénitent. Avec difficulté, elle arrive à vaincre la pesanteur et les cuisses qui la retiennent pour venir se poser sur sa cuisse droite. Jai de la chance car cest de mon coté. Je ne me prive pas de regarder. La nature est bien faite, quand même
Les pulsations continuent dabreuver de sang son vit qui prend des dimensions que je nai pas connues dans ma vie de femme. Jentrçois le bout du gland rosé qui narrive pas à saffranchir du prépuce. La progression de cette flamberge magnifique suit son bonhomme de chemin. Elle décolle régulièrement de la cuisse, gagnant un centimètre à chaque fois pour amener son engin par étapes sur son ventre. Sa tige est si longue que quand elle passe létape intermédiaire, elle couvre entièrement la largeur de sa cuisse.
A partir de ce moment là, le mouvement saccélère. Les derniers degrés pour amener ce jonc vigoureux au centre de ses tablettes de chocolat sont effectués le temps de trois inspirations.
Cette barre de chair que jai déjà admirée à plus de trois mètres est maintenant à portée de mains.
Je voudrais résister à cette attirance subite mais ma volonté abdique au bout de quinze minutes devant la lubricité qui me domine.
Doucement, je pose ma main sur sa cuisse, remonte au creux de laine, caresse ses abdominaux avant de couvrir sa verge. Enfin couvrir, cest un bien grand mot, car mes deux mains ne suffiraient pas pour la cacher. Et bien sûr tout mon corps prouve l'excitation que j'ai en moi. Mes seins ont gonflés, les aréoles se sont tendues et les tétons ont durci.
Je suis aux anges et ne bouge plus, je sens la chaleur que dégage cette partie de son corps. Il me faut de nombreuses minutes avant que je menhardisse et referme ma main sur cette formidable trique. Je suis ébahie quand je réalise que lextrémité de mon pouce touche à peine mon majeur. Quel pieu !
Avec une infinie délicatesse, je serre mes doigts sur la tête de ce gourdin et baisse ma main. Soudain la peau fine du prépuce cède et une grosse prune violette me nargue. Je mamuse avec mon jouet quand soudain il commence à réagir à mes sollicitations secrètes. Jinterromps rapidement mon petit jeu et fais semblant de dormir.
Je me demande sil ne faisait pas semblant dêtre assoupi depuis quelques temps car à peine cinq minutes après que jai lâché avec regret laxe de son corps, je sens sa main se poser sur ma cuisse.
Mes mamelles sont encore toutes excitées et maintenant la chair de poule me saisit sur les cuisses, remontant sur le ventre et la poitrine. Je ferme bien les yeux, attendant la suite.
Il attend un moment pour voir ma réaction. Comme je ne bouge pas, ses doigts partent en exploration. Avec légèreté, sa main remonte sur ma peau, elle effleure un sein, glisse sur mon cou et ses doigts passent sur mes lèvres. J'ai envie de sortir ma langue mais je n'ose pas.
Puis la main suit le sens inverse pour finir entre mes cuisses. Ses doigts recommencent leur manège, mais cette fois les lèvres ne sont plus les mêmes.
Comme je soupire, ne pouvant me retenir, Marc retire sa main et (reprend son somme).
Cet instant de béatitude est fini. Quelques minutes après, ayant attendu que sa verge reprenne une position plus soft, il se relève. Marc me remercie pour cet instant de repos et membrasse avant de regagner sa maison.
Il ne prend même pas la peine de se rhabiller, me laissant admirer le jeu de ses fesses à chacun de ses pas. Il a de superbes fesses bien fermes.
Je suis heureuse car il ne ma pas rejetée, Je suis sûre quil a apprécié mes caresses. Autrement, pourquoi me les aurait-il rendues ?
Mais est-ce que ça va sarrêter là ou me permettra-t-il de pousser un peu plus loin ?
Jai tout avoué à Paul le soir même car il me posait des questions sur le bon samaritain qui réparait la maison en son absence et je ne veux pas lui mentir plus longtemps sur lattirance sexuelle que je ne peux réfréner dès que je voie Marc.
Contrairement à ce que je croyais, il le prend assez bien. Il faut dire aussi quil est plus âgé que moi. Il sait que je laime mais que jai connu des hommes avant lui (dont le père de mes s). Comme il ne voudrait pas que lon se quitte, il préfère que je papillonne à droite, à gauche et que je lui revienne une fois ma fringale assouvie.
Depuis quelques temps, un rituel sest installé. Je trouve toujours une bricole à soumettre à Marc en labsence de Paul.
Et ça finit immanquablement au bord de la piscine. Nager nus devient une habitude.
Aujourdhui, il a décalé les transats ce qui fait que jai son bassin à la hauteur de mes épaules. Il sest étendu sur le coté et semble dormir. Moi aussi suis allongée mais ai gardée mes yeux bien ouverts et quand vient la séance érectile, son mandrin vient percuter mon épaule, comme une invite silencieuse à aller un peu plus loin que dhabitude.
Je me tourne de son coté et me retrouve la bouche à moins de cinq centimètres de son mat de misaine. Je le prends en main et dirige pour la première fois ce boutefeu si convoité vers ma bouche entrouverte.
Il se laisse faire comme si vraiment il dormait, mais je sais quil nen est rien. Un frisson (de froid ou de plaisir) secoue son corps.
Je nai jamais fais une fellation aussi longue. Sa queue a une odeur de chlore au début mais les phéromones mâles prennent le dessus. Je voudrais mettre mon nez dans ses poils pubiens mais je dois abdiquer devant la grandeur de la tâche, (ou plutôt de la queue).
Toute ma science y passe, coups de langue sur le frein, mordillement du gland, pétrissage des bourses, et jen passe, mais rien y fait.
Ce nest quaprès une quinzaine de minutes à me décrocher les mandibules quil commence à geindre.
Un gonflement supplémentaire de la verge et ses bourses qui viennent se coller sur la hampe annoncent le feu dartifice tant attendu. Je ne veux plus bouger.
Il agrippe soudain ma tête à deux mains à linstant fatidique.
Je naime pas quun homme jouisse dans ma bouche mais là, cest trop tard pour le lui dire.
Je me rappelle avec horreur les flots de foutre quil a éjaculés sur cette pimbêche de vacancière la semaine dernière (voir épisode 1). Vais-je subir le même sort ?
Son gland est en butée sur ma luette, je reprends ma respiration pour lui dire de me lâcher au moment ou son premier éjacula digne dun étalon saillant une jument se déverse au fond de ma gorge suivit de deux autres tout aussi fournis.
Je métouffe, mes poumons essaient de recracher par tous les moyens possibles ces corps étrangers. Le sperme âcre et épais se fraie un chemin dans mes bronches et trouvant le passage pratiquement obturé par une énorme banane fait comme tout liquide, il cherche une autre issue. A chaque convulsion, des filets de sperme sortent de mes narines.
Quand il redescend sur terre et aperçoit enfin ce quil a fait, il se répand en excuses :
-OH ! Pardon Béatrice ! Cétait si bon ! Si planant que je ne sais pas ce qui ma pris ! Je nai pas réalisé que javais poussé mon sexe aussi loin ! Pardon ! Pardon !
Je ne dis rien, mon sourire parle pour moi mais Il ma fallu un long moment pour reprendre ma respiration et vider mes voies supérieures de sa lave blanche. Jai dû remplir de nombreux mouchoirs en papier pour me dégager le nez et les bronches.
Cette journée sest terminée ainsi. Un peu honteux de ce quil mavait fait subir, il cest éloigné comme à son habitude, nu comme un vers, la queue entre les jambes. Moi je suis partie vers ma maison, heureuse et comblée.
Ça fait quelques temps quil joue avec ma patience, me mettant sur les charbons ardents mais se dérobant au dernier moment, jen deviens folle, attendant de ses nouvelles.
Hier, Paul ma demandé dinviter Marc. Il me taquine en me parlant de ce voisin, qu'il ne connaît pas encore, disant que je ne devrais pas trop l'épuiser avec les tâches que je lui demande. Je ne sais pas comment interpréter ses allusions !
-Je voudrais quand même faire la connaissance du "plombier polonais. Me dit-il en éclatant de rire, ajoutant :
- Depuis le temps que tu men parles, je voudrais connaître aussi bien ce super bricoleur que lhomme dont tu me rebats les oreilles depuis quelques temps. Invite-le à manger dimanche !
(A suivre)
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