Le Voyage Du Ce, Jour 2

Résumé du premier jour du voyage du CE : ayant partagé ma chambre avec Olivier pour ce voyage de CE à Naples, j’ai eu, à 39 ans, une première expérience avec un collègue de mon âge. Juste regarder et toucher … Mais une forme de révolution en ce qui me concerne…
Et donc, après le petit-déjeuner, départ vers Pompéi en autocar. Bon… Les visites vont sans doute me permettre de me remettre la tête à l’endroit. Surtout, penser à autre chose pour éviter les érections intempestives, ne pas s’asseoir à côté d’Olivier.
En vrai, je n’arrive quand même pas tellement à penser à autre chose qu’à l’épisode de ce matin.
J’essaye de repasser la soirée d’hier et l’avant petit-déj, et au fond, cela me laisse un souvenir très confus et troublant : j’ai l’impression que je ne regrette pas ce que je devrais regretter.
Ce que je devrais regretter, c’est d’avoir craqué, d’avoir laissé toucher mon sexe… Et j’ai plutôt le regret de ne pas avoir assez regardé. Si je me souviens parfaitement de ce que j’ai ressenti, je ne me souviens plus de certains détails physiques. Je me souviens bien que les couilles d’Olivier étaient rasées, mais sont-elles grosses ou pas ? Et sa queue ? Je ne me souviens plus comment elle est … Je ne me souviens pas avoir vu de veines la gonfler, plutôt lisse, mais je ne suis pas sûr. Agréable au toucher, ça c’est sûr. Longue, un peu plus que la mienne, je pense. Tiens, au fait, combien elle pourrait mesurer ? Je n’ai jamais mesuré ma queue. D’ailleurs, je ne sais même pas comment ça se mesure : d’où à où ? On prend sur le dessus, du côté où il y a les poils sur le ventre ? Ou du côté des couilles ? … Faudra que je lui demande ce soir. Et son cul, il était musclé, c’est sûr. Un peu bronzé aussi, mais poilu ? Et ses seins ? pas regardé si c’étaient des petits tétons ou des ronds larges …
Au fur et à mesure que je retrace ça dans ma tête en me promettant de mieux regarder ce soir, une sourde angoisse monte en moi : et si j’avais rêvé ? Et si Olivier avait juste fait ça pour se marrer ? Et si ce soir il me disait « Ah, désolé, ce soir Nathalie m’a invité dans sa piaule, profite ! »… C’est vrai que Nathalie, elle est pas mal : petite brune, fine.

Et c’est sûr qu’Olivier ne la laisse pas indifférente (ni moi non plus, d’ailleurs). En plus, aujourd’hui elle a choisi une petite jupe au-dessus du genou … juste pour que ça aguiche un peu, mais que ça reste correct dans le cadre du bureau…
Le pire, c’est que dans cet autocar où on est tous ensemble, je ne peux même pas tenter une question, un geste ou une allusion pour vérifier. Et, probable qu’en sa baladant dans les allées de Pompéi, ce sera du pareil au même … Je vois pas comment je pourrais faire les deux minutes juste avec Olivier pour faire les vérifications qui me turlupinent … et que probablement je n’oserai pas faire. Même une main aux fesses discrètement, c’est juste pas possible : il y a 50 collègues autour !
Après tout, attendons ce soir, on verra bien…
De visites en conférences, la journée me semble interminable. Heureusement, c’est tellement magnifique que je finis par entrer plus dans la visite, le souvenir de la main d’Olivier sur ma queue ne se présente plus que par intermittence …
De retour à Naples, il faut encore se taper le repas …
Et moi qui croyait qu’après le repas, peut-être… Même pas : il y a une piste de danse au sous-sol de l’hôtel… Je suis piètre danseur, mais difficile de se défiler. De toutes façons, Olivier descend aussi…
Classique, on est entre collègue et ce n’est que le début de soirée … Alors c’est 100% rock… Pas mon fort. Je fais plutôt du rock en solo (ça s’appelle aussi du n’importe quoi !) … Mais bon, c’est sympa et détendu. Nathalie est en forme, Carole aussi. Toutes les deux se sont changées. Je me demande si elles sont dans la même piaule… Mignons petits décolletés… Petits seins chez Nathalie, un peu plus de volume chez Carole. Tiens où est Olivier ? Justement, face à Nathalie… Je jette un coup d’œil à son entrejambe de manière à voir s’il n’y aurait pas de mouvement suspect … Je n’ai jamais maté comme ça, et j’ai peur de me faire choper !
Peu avant minuit, la moitié du groupe est déjà au pieu (ou, en tous cas, plus sur la piste), et Olivier déclare :
- Bon, je suis cuit …j’y vais, salut la foule ! A demain.

Je patiente encore deux ou trois danses, de manière à donner le change, mais déjà, je ne pense plus qu’à une chose : monter !
Je m’éclipse donc rapidement pour regagner la chambre ... Dans l’ascenseur, j’ai tout le temps de gamberger : comment vais-je trouver Olivier ? Va-t-il à nouveau avoir branché un film porno ? Va-t-il se passer quelque chose ? Et s’il dort déjà ?
J’ouvre la porte, il est allongé sur son lit, il a l’air douché, mais il est tout habillé sauf les chaussures et les chaussettes. Un Jean, un Lewis il me semble et une chemise assez fine, manche longue, rouge vif. Il est en train de bouquiner un magazine :
- Ah, quand même, te voilà !
Je suis inquiet de le voir tout habillé… Mais la seconde phrase me rassure sur la suite de la soirée :
- Tu me déshabilles ou tu préfères que je le fasse moi-même ?
Ouahhh … J’attendais une soirée festive, mais cette entrée en matière dépasse mes espérances. Comme ce matin, je reste muet, mais je m’approche.
Il interprète bien cette approche :
- Ah, cool ! Il jette le magazine par terre et relève ses bras derrière sa tête.
Sauf que je ne sais pas comment ça se déshabille un garçon : je suis supposé commencer par la chemise ? Par la ceinture ? Par la braguette (je jette un coup d’œil à la braguette, ce sont des boutons …)
Je choisis de ne pas me casser la tête : je fais comme je ferais avec une fille : je vais commencer par la chemise, et d’ailleurs, comme il n’y aura pas de sous-tif, ça fait une difficulté en moins !
Le bouton sous le cou résiste un peu. Je caresse doucement le haut du torse, puis le deuxième bouton, et le troisième. Au troisième, j’écarte un peu les deux pans de la chemise.
Ca libère les tétons… J’en profite pour bien regarder : petits et très bruns, un peu comme ceux des maghrébins quand j’en vois à la piscine. Je touche et ils sont tout durs. Le petit bout du milieu est presque pointu. J’écarte bien à gauche, puis bien à droite.
J’ai le sentiment que je dois tout regarder, tout toucher… Le torse n’est pas poilu. Le quatrième et le cinquième bouton suivent et la chemise est complètement ouverte. Quelques poils autour du nombril, très brun, et le ventre qui se contracte lorsque j’y passe la main.
Mais Olivier ne fait pas mine de se redresser ou de sortir les mains de derrière sa tête pour virer la chemise en entier. Il est torse nu, mais d’une certaine manière encore en chemise.
Il va donc falloir passer à la ceinture. Je pose la main droite sur la ceinture et, avant de tirer la boucle, je le regarde droit dans les yeux et cherche une approbation ou un encouragement dans son regard… Je ne trouve pas son regard : il vient de fermer les yeux et laisse échapper un :
- Mmmmh.
C’est mieux qu’un encouragement … Du coup, je tire la boucle et ouvra la ceinture. Je pose la main sur son jean, à l’endroit du sexe. Sans serrer, juste posée. J’ai l’impression qu’il est très bandé.
Trop de boutons, tout de même : il y en avait déjà 5 à la chemise, et là encore 4. Avant de m’attaquer au premier, je me demande s’il est à poil dessous … ou en slip ? ou boxer ?
La victoire sur le premier bouton donne une partie de la réponse : il y a un sous-vêtement, blanc. Slip ou boxer, c’est trop tôt pour le dire, mais ce n’est pas un caleçon !
Le sort des trois autres boutons est plus vite réglé : c’est comme s’ils s’enlevaient tout seul quand j’écarte les deux côtés de la braguette…
Plus de doute : dessous, il s’agit bien d’une très belle érection. Les poils noirs bordent le sous-vêtement blanc. Je pose mes lèvres sur le sous-vêtement. Olivier :
- Mmmh, tu apprends vite !
J’enlève ma bouche. Je choisis de libérer le sexe avant d’enlever le pantalon : je soulève le haut du sous-vêtement, le baisse un peu. La queue d’Olivier bondit hors de sa boite. J’en prends le bout dans la main et caresse un peu… J’ai un vrai sexe de mec dans la main. Et en plus, il bande. Je remets le sexe à sa place et le recouvre avec le sous-vêtement.

Je prends le jean et tire vers le bas … Enfin, il m’aide en levant un peu les fesses !
J’ai la réponse : c’est un boxer !
Bien plein, le boxer. Je m’enhardis en palpant les couilles, caressant le haut des cuisses poilues. J’ose passer la main bien à l’intérieur des cuisses et je remonte vers les boules. Je masse les couilles à travers le boxer. Le boxer est serré et je vois bien la place que prend la queue là-dedans : bien dressée et positionnée un peu vers la gauche. Elle occupe toute la place jusqu’à l’élastique. Quand je la flatte par-dessus le boxer, elle semble vivante : elle bouge un peu, les muscles du ventre aussi bougent lorsque je passe la main sur la queue. Et j’ai l’impression que les tétons aussi. Comme si ce n’était pas seulement la queue, mais le corps entier qui se dressait, se tendait !
Je tire le boxer jusque sous les couilles, en libérant d’un seul coup le sexe en entier et les deux boules. La queue bondit, elle est tellement droite qu’elle ne touche plus le ventre : il y a deux ou trois centimètres entre le haut de la queue et la forêt de poils. Les couilles sont magnifiques, je ne résiste pas à l’envie de les prendre en main. Rasées, rondes. Comme bien pleines.
Olivier se redresse alors :
- T’as pas trop chaud avec toutes ces fringues ?
- Chaud, ce n’est pas le problème principal, c’est plutôt que je suis serré là !
Lui réponds-je en montrant mon entrejambe.
Il avance le bras et prend ma queue à pleine main à travers le jean.
- Ouh là, en effet… Pauvre Eric, c’est super serré là-dedans ! Allonge-toi sur le lit, je vais t’arranger ça.
Olivier se redresse, finit d’enlever son jean et son boxer (pour lesquels j’avais arrêté le boulot aux genoux). Il se lève le long du lit, entièrement nu sauf la chemise ouverte sur son torse, la queue fièrement dressée vers le ciel et tapote sur le lit en disant :
- Allez, à toi !
Je m’allonge et il se met à califourchon sur mes jambes.
Un mec à poil, en érection, sur moi … Voilà une chose qu’avant-hier je n’imaginais même pas … Et encore moins que ça me fasse bander à ce point.
Par contre, contrairement à ce qu’a dit Olivier, il ne libère pas du tout mon sexe (l’enfoiré !), mais il se contente de relever mon sweat. De passer ses mains partout sur mon ventre, mon torse, mes tétons.
- Lève les bras, dit-il en prenant le bas de mon sweat. Pour passer mon sweat par-dessus ma tête, il s’avance et j’ai ses couilles et son sexe (toujours tendu) à quelques centimètres de mon visage. Mon sweat enlevé, il revient à cheval sur mes cuisses, du bout des doigts il excite mes tétons. Et assez vite, il remplace les doigts par la langue. Un téton, puis l’autre puis descend doucement dans l’espace entre les deux pour se rapprocher du nombril, en fait le tour et mouille bien mes poils jusqu’à l’extrême limite de la ceinture, même un peu en dessous. Je suis tétanisé !
Olivier se redresse et s’attaque à ma ceinture… l’attaque est rapidement menée. Il faut dire que l’attaqué (moi !) n’offre que peu de résistance…
Et après ce sont les boutons (oui, pour moi aussi les boutons : il n’y a pas de raison que j’aie été le seul à en baver avec les boutons !). Bizarrement, les 4 boutons n’offrent eux aussi qu’une résistance symbolique et voilà les pans du jean écartés, laissant la place à mon boxer bleu.
- Ah ben oui, dis donc : c’est de plus en plus serré. On va libérer ça … Dit-il en soulevant l’élastique. La moitié de ma queue sort de sa boite. Il la flatte en la prenant en main et en branlant doucement en s’adressant à elle :
- Voilà, ma belle : un peu d’air !
Puis, s’adressant à moi :
- Je vais te montrer comment on s’en sert.
Il se penche vers mon ventre et met mon gland dans sa bouche. C’est divin. Il tourne sa langue autour puis, en écartant davantage l’élastique du boxer enfonce quasiment toute la queue dans sa bouche et fait trois ou quatre aller-retour comme ça, avant de se relever avec un sourire :
- Ca va ?
- Plutôt bien, oui !
- Alors, lève les fesses…
Il descend mon boxer et mon jean jusqu’à mi-cuisse, libérant ma queue, mes couilles. Il prend la queue dans la main droite et recommence à branler doucement en saisissant les couilles de la gauche. Après deux minutes de ce traitement qui me rend dingue, Olivier se lève, fait le tour du lit et se rapproche de mes pieds pour retirer tout ce qui restait : chaussures, chaussettes et finir le boulot avec le jean et le boxer.
- T’es mieux comme ça, non ? … En tous, cas, moi je préfère !
Il écarte légèrement mes jambes et vient se positionner au milieu, puis se penchant à nouveau vient promener sa langue sur mes couilles, sur ma queue qu’il tire ensuite un peu pour la remettre en bouche.
Je me régale … Le seul truc qui est dommage, c’est que quand il a sa bouche sur ma queue et que je suis comme ça, allongé sur le lit, je ne profite plus de la vue de son matériel à lui …
Il doit deviner mes pensées car quasiment aussitôt, il dit :
- Tu veux essayer ?
Je n’hésite pas une seconde. De toutes façons, j’en avais super envie. Il se dégage de mon entrejambes, je me relève, prend sa queue dans ma main et descend ma tête d’une manière lente mais assurée vers ce sexe qui hante mes pensées depuis hier soir.
Ce premier contact entre ma bouche et un sexe d’homme n’est pas du tout désagréable. Sa queue, large et longue mais sans excès, emplit bien ma bouche de sorte que je trouve très agréable de monter et descendre sur son sexe. Spontanément je prends ses couilles dans le même geste pour masser et sucer simultanément… Ca n’a pas l’air de lui déplaire :
- Non d’un chien, on croirait que t’as fait ça toute ta vie !
- Je te jure que c’est la première !
Dans le même temps, il se déplace un peu pour pouvoir caresser mon sexe pendant que je suce le sien… Un vrai feu d’artifice.
Au bout d’une dizaine de minutes, il relève gentiment ma tête pour approcher à nouveau la sienne de ma queue. Il gobe une couille, puis l’autre (… Comme pour me montrer comment il faut faire ?), puis aventure sa langue sous les couilles, pas tout à fait jusqu’à mon trou du cul, mais presque. Remonte sur les couilles, remet la tige en bouche, la ressort. Caresse un peu les poils pubiens, tire légèrement dessus, remet la main sur les couilles, masse à nouveau. Je deviens dingue !
Il se relève, me repousse sur le lit en position allongée, resserre mes jambes et se remet à califourchon sur moi, couilles contre couilles, comme ce matin (voir épisode précédent) et reprend la branlette des deux queues à la fois.
Je n’en peux plus de toucher, de mater, de sentir. Je suis comme obligé d’éveiller tous mes sens à la fois et en même temps j’ai l’impression qu’il n’y a plus de place dans ma tête : juste son sexe, le mien, les odeurs, la vue…
- Olivier, attention, je crois que je vais venir …
- Pas de souci, chouchou … Mais ce soir, le jus il est pour ton torse à toi !
Il lâche les deux queues pour ne s’occuper que de la mienne. Je prends quant à moi la sienne en main. Il relâche, se lève de mes jambes pour les écarter et se positionner entre elles. Il me lève les jambes et passe la droite par-dessus son épaule pour me faire lever un peu les fesses. Ma jambe gauche reste à plat sur le lit. Il masse bien les couilles puis descend sa main plus bas, masse la fesse qui est levée, passe la main dans la raie. Il insiste dans la raie. J’ai l’impression que je ne respire plus. Je sens un doigt sur ma rondelle et pose, juste posé, caressant. Il s’enfonce un petit peu, mais vraiment très peu : pas un doigtage en règle… Sans doute me sent-il émoustillé … Je ne peux plus bouger… j’en ai même oublié sa queue !
Il redescend alors ma jambe, se remet à califourchon sur mes cuisses et recommence à me branler après avoir passé une nouvelle fois sa langue et sa bouche partout :
- On ne va pas tout apprendre à la fois ! dit-il…
Totalement affolé, je ne contrôle plus rien quand je sens sa main à nouveau sur ma bite :
- Olivier, je viens !
- Laisse-toi aller, chouchou : je suis prêt aussi !
Dans un grand râle, je jouis. Je lâche plusieurs giclées de sperme qui viennent sur mon torse, jusqu’à mon cou et sur mon ventre. Je suis secoué de spasmes et de tremblement. Il est fou : il continue à branler jusqu’à la dernière goutte. C’est comme si le plaisir remontait jusqu’au fond des couilles, avec une force que je ne rappelle pas avoir éprouvé une autre fois. Je suis tellement exténué que je ne peux même pas le finir !
Je relève toutefois la tête pour le regarder faire… Sympa, il s’est relevé se mettant sur les genoux afin que je profite pleinement du spectacle. Sous sa main qui accélère, sa belle queue semble plus raide que jamais, ses couilles rondes et rasées se balancent en rythme.
Et voilà qu’à son tour il envoie un Ahhhh très sonore et des giclées de sperme sur mon torse. Pour moi recevoir du sperme sur le torse (autre que le mien) est une grande première. Il est chaud, différent du mien, plus liquide, je dirais… J’en ai partout… Et je suis content.
Comme si nos deux jus n’étaient pas déjà suffisamment mélangés, Olivier passe la main sur mon torse et réussit sans doute à mêler les quelques gouttes qui avaient réussi à rester isolées !
Puis il allonge son torse sur le mien :
- Moi aussi, j’en veux.
Il se relève, ma claque un baiser sur la bouche et conclut :
- A la douche, chouchou !
Il s’écarte pour me laisser me lever. Quand je suis debout au pied du lit, il m’envoie une petite tape sur les fesses, approche sa bouche et me dépose une bise sur le cul :
- Pas mal non plus, ce côté-là !
Nous filons sous la douche, comme ce matin, mais mieux que ce matin, je fais attention à bien tout regarder pour graver tout cela dans ma mémoire.
Les queues se réveillent déjà, mais nous sommes raisonnables : il est déjà 2 heures du mat, et demain il y a petit-déj à 8 heures avant la visite de Capodimonte, ce magnifique musée Napolitain avec des œuvres de Bellini, du Caravage, de Boticelli… Ce serait dommage de ne pas, aussi, jouir de tels trésors…
Olivier conclut :
- On dort dans le même lit ? T’en fais pas, il ne va pas t’arriver de bricoles ! Et puis si on se gêne dans la nuit, l’autre lit n’est pas loin …
Je me couche, me tourne et pour la première fois de ma vie m’endort en sentant une queue, tout de même assez raide, contre mes fesses…
- Bonne nuit !

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