Voyage 2

Apres cette journée aux sources d’eau chaude, je suis plus tout à fait le même je regarde toujours les filles, mais je ne peu m’empêcher de regarder le bas du ventre de certains hommes.
Je remarque dans les rues le regard de certains hommes, pendants la visite des souks des mains me caressent les fesses, dans les endroits bloqués par la foule des doigts s’insinuent dans ma raie, certain en profitaient pour presser leur sexe entre mes fesses ou contre ma cuisse. J’avais peur que les personnes avec qui je voyage remarquent quelque chose.
Tous ces attouchements me troublaient, parfois me faisaient bander, partagé par un sentiment de honte et un plaisir d’être sollicité, de faire naître du désir.
De retour a Islamabad Rachid nous dit qu’il y a un Hamann a l’hôtel mais que s’est mieux d’aller a ceux qui sont en ville.il va chez des amis qui habite près d’un Hamann pour manger, qu’il peut emmener et ramener tous les homme qu’ils veulent y aller, qu’il part vers 19heures.
Je suis le seul vouloir y aller, Rachid me dépose devant l’entré et me donne rendez vous à 22 heures à la fermeture.
Il est très beau les murs sont recouverts de mosaïques, Je suis accueilli par un home qui me tend une serviette et me montre une cabine quand je sorts la serviette nouée autour de la taille, il prend mes affaires les posent dans un casier et me temps un élastique avec un numéro et me montre comment le mettre autour de mon poigner et me désigne un escalier. En bas il fait très sombre l’ambiance est feutré, la douche est collective un homme nu se lave, embarrassé j’ôte ma serviette et je me douche.
L’homme me regarde étonné sans de voire un touriste. Il se passe de l’huile sur le corps, surtout sur ces très gros testicules, sur son sexe long et épais me provoquant d’un clin d’œil.
Embarrassé je me dépêche et me dirige dans un couloir qui me conduit dans une salle entourée de bancs en marbre, au milieu il y une table aussi en marbre ou un homme en masse un autre avec un gant de crin.


Je continue l’air est plus humide je passe devant une porte vitré ou on aperçoit des ombres noyées dans la vapeur. Je continu et j’arrive dans une salle avec des banquettes remplies de coussins un home allongé sirote un thé. A l’évidence je suis le seul touriste ce qui me crispe un peu. Je retourne au haman et m’installe dans une alcôve on ne voit que des ombres, il y a un feulement qui me fait tourner la tête, une main puissante empoigne mon poignet, mes doigts entrent en contact avec une bite dur et tendue, je me dégage et sort.
Se n’est pas la première fois qu’un me prenait la main et la posait sur son sexe, ce qui ne laisse aucun doute sur ces intentions, j’ai fais une tentative décevante, le type m’à enculé a joui rapidement et il est parti. Je n’ai rien ressenti et pris aucun plaisir, je ne voulais pas recommencer.
J’arrive à escalier, l’homme de la douche me barre le passage je ne comprends pas ce qu’il dit, son corps huilé fait ressortir ces muscles. Dominateur il dénoue sa serviette dévoilant deux énormes couilles, surmontées d’une bite raide et noueuse avec un gland qui trône nettement au dessus de son nombril.
Ahuri, je regarde effrayer ce sexe complètement rasé, dressée comme i. Il profite de ma stupeur, pour me plaque fermement contre le mur, ca jambe glisse entre mes cuisses les écartent, son index s’enfonce brutalement dans mon anus. Sa main remonte m’obligeant à me hissé sur la pointe des pieds, il arrache ma serviette, me pousse en grondant jusqu’à la table de massages déserte.
Je résiste, mes mains glissent sur son corps huilé
Il me prend fermement mes couilles et les serrent pose ma main sur sa bite, mes doigts instinctivement se referme sur ca hampe. Cela le fait sourire. Des que mes doigts quittent sa bite, il m’écrase les couilles et serre jusqu’à ce que mes doigts entourent de nouveaux ca bite.
Il me regarde droit dans les yeux et enfonce son pouce, me titille l’anus, me faisant comprendre ces intentions
Je lui fais « Non » de la tète, effrayé par ce sexe énorme.
il est arrogant et vindicatif, il me plaque sur la table, paniqué je me débats son corps huilé rend la lute inégal ces mains écrasent mes reins, écartent mes fesses ca bite remonte dans ma raie son gland pousse sur ma pastille et glisse dans ma raie.
« J’hurle non ! Non ! No ! No ! Non ! Tu es trop gros ! Non ! »
« Tu me fais mal ! Arrête ! Arrête ! Haaaaiiiiiiiieee ! haaaaiiieee ! »
Il recommence plusieurs.
Devant ma résistance, il me lâche soulagé, je me redresse.
Il se précipite sur moi fou de rage, me bloque contre le mur en rugissant, relève mes cuisses je sens le gland sur ma rondelle.
Je le griffe, tambourine de mes poings son torse.
Je lui cris – « T’est trop gros ! Not ! Not ! »
Ca l’excite.
Il fait « oui »avec ca tète, relâche légèrement mes cuisses, ma rondelle sous la pression s’élargit à l’extrême, se rompt, son gland introduit, dans mes reins.
J’hurle, Je m’accroche à son cou, glisse sur se corps huilé, millimètre, par millimètre je m’empale sur son mandrin jusqu’aux couilles
J’ai le souffle coupé, des larmes coulent sur mes joues. J’ai l’impression que mes fesses vont se séparer.
Il parait satisfait, sourit
Il soulève mes fesses et me fait coulisser sur son pieu de chair avec vigueur.
Mes bras brassent l’air Sans s’occuper de mes cris.
Il me trimbale jusqu’à la table, mon dos entre en contact avec le marbre froid, il relève mes jambes les posent sur ces épaules tout en me sodomisant de plus belle.
Je n’ai plus la force de lutter, de crier, je sui pris d’un plaisir masochiste je bande honteux, de ne pouvoir cacher le plaisir qui monte en moi.
Ca le fait sourire ca bite quitte mes reins il me retourne, me place en travers de la table. Dompter je laisse ces mains écarter mes fesses, ma pastille n’offrant plus de résistance il m’encule toute ca longueur à grand coup de butoir bousculant tout sur son passage au plus profond de moi.
Tout mon cul se ramollit, s’ouvre à ce pieu qui me pistonne les reins le plaisir monte en moi et je joui en longues saccades.
Satisfait il quitte mes reins me laissant le cul ouvert, et sans force, il fait le tour de la table prend ma tête dans ces mains enfonce ca bite entre mes lèvres, son gland empli toute ma bouche me faisant mal aux jointures.
Un jet puissant et abondant envahie ma bouche surpris j’éructe du sperme sort de mes narines, et aux jointures des mes lèvres distendues, il enfonce son gland au-delà de ma glotte m’obligeant à déglutir ca liqueur jusqu’à la dernière goutte.
Il bredouille des mots incompréhensibles, je ne peu m’empêcher de toucher ma rondelle brulante et débridée, il claque mes fesses le sourire aux lèvres et disparaît.
Je reste un long moment engourdi, le cul éclaté, fataliste je me dirige vers la sortie ou Rachid m’attend.
Il me regarde en souriant, ca ta plus ?
Tu as fait la connaissance de mon cousin
Je comprends qu’il a tout organisé.
Le voyage n’est pas fini.



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