Une Nuit, Une Seule...


L’autre soir, j’entends sonner à la porte de l’appart. J’ouvre. C’est Paulo ! Je me précipite sur lui, sur sa bouche. On se dévore un bon moment, sur le palier. C’est trop trop bien ces surprises là. Il ne veut jamais dire quand il revient. Il ne le sait pas toujours longtemps à l’avance non plus. Finalement, c’est moi qui le fais entrer car on avait déjà commencé à se dépecer… La voisine est plutôt cool et n’a rien contre les homos. Elle dit juste que c’est pas juste que de si beaux mecs ne lui soient pas réservés !
A peine la porte claquée, le couloir jusqu’à la chambre n’est qu’un long chapelet de fringues tombées à terre. Pas les miennes en tous cas car je me balade toujours en slip -ses slips- dans l’appart et comme je l’ai encore sur moi pour l’instant…Ca y est, j’ai déballé le cadeau et Paulo m’apparait en string ficelle rose, superbe sur sa peau café au lait -tout lui va-. On se jette littéralement sur le lit, affamés l’un de l’autre, fous de désir retenu. Pour une fois, c’est moi qui suis à l’initiative. D’habitude, quand il rentre, le premier rapport c’est lui qui mène. Pas cette fois…Il se laisse même faire comme un grand bébé. Mon grand bébé adoré. Comme j’entreprends d’aller voir ce qu’il a sous le slip, il m’interrompt ;
« -Oh ! I forgot ! I have a present for you, in my bag. You can bring it ? »
Je me décolle et vais voir dans son sac. Je trouve un petit paquet souple emballé.
« -What is it ?
-Open, you will see… »
Je déballe et tombe sur un masque d’avion, quatre petites cordelettes rouges et un gros tube de gel…
« -It’s for me or for you ?
-choose…
-for…YOU ! »
Je viens de comprendre pourquoi il se laissait faire ainsi. Il veut un plan SM. De la part de Paulo, question sexe, rien ne me surprendra jamais. Il a envie de TOUT essayer. Il ne veut pas mourir idiot !
« -Hard or soft ?
-as you want »
Alors, on va dire semi hard, pour cette première.


« -Can I take a shower before all this ?
-No problem. I am THE lifeguard. » Il rigole.
Je lui passe le masque de sommeil sur les yeux et le guide vers la douche en le frappant gentiment sur les fesses pour le faire avancer. Arrivés dans la salle de bain, je lui attache ses deux poignets dans le dos avec une des cordelettes. Je le vois sourire. Et surtout bander comme un cerf au point de tendre le string rose à l’extrême. Ca me donne une idée. Je le fais entrer dans la cabine de douche, prends la douchette, règle sur froid maxi et lui verse le jet sur la bite. Ca le fait hurler puis rigoler aussitôt. Mais, ça ne le fait pas débander pour autant. Je lui glisse le string en bas de ses jambes et entreprends de le laver comme un bébé. Partout, partout. Il se laisse faire, trop content. Je ne dis pas que, temps à autres, je ne l’ai pas frôlé malencontreusement avec ma bite, ni que j’ai beaucoup trop insisté sur certaine parties de son corps…ni que parfois je me suis pris carrément pour une serviette…Disons que j’ai essayé de le laver, de l’exciter, de m’exciter et de faire monter notre désir à tous les deux. Ca sert pas à ça les douches ? Avant de le laisser aller vers le lit, il fallait que je le chauffe un max. Je lui délie les mains et lui relie aussitôt sur le devant, je lui monte les bras contre le mur, au dessus de sa tête, je lui écarte les jambes au maximum, à l’oblique, comme les flics américains dans les films. Je fais tout cela un peu rudement. Je le palpe partout pour voir s’il n’a rien de caché sur lui !!! Je tape sur ses fesses plusieurs fois assez fortement. Il m’encourage à continuer en me disant qu’il adore. Je vois sa bite qui tremble littéralement de désir. Je lui écarte les globes et lui passe le majeur entièrement, d’un coup sec. Il souffle, se cabre et me crie :
« -YEAH ! »
J’essaie de lui en passer deux. Je ne veux pas le martyriser non plus. Je mouille mes doigts avec de la salive. Je force avec les deux. Il ondule. Aussitôt, je présente ma bite, simplement mouillée par l’eau du jet.
Il sent mon gland et crie :
« -Come on ! »
J’essaie de m’enfoncer en lui. Je n’y arrive pas trop. Ca me fait mal, à lui aussi sûrement.
« Take the dildo ! »
Je vais le chercher dans la chambre, j’ai pris le plus gros. J’essaie de lui mettre au fond, à sec. Qu’est ce qui m’arrive ? Pourquoi cette brutalité ? C’est parce qu’il est attaché, aveugle, sans défense ? Ou parce qu’il me l’a demandé et que je veux le satisfaire ? Va falloir que je me pose certaines questions…Finalement, je l’enduis de gel et le pousse sur sa rondelle. Je force et il passe, je continue à lui enfoncer, il souffle. Je suis maintenant à fond. Je me mets à le limer avec le gros gode. Il encaisse sans broncher. J’ai quand même envie de lui faire plaisir, alors je retire le gode et le remplace par ma bite bien dure. Il gémit. Je le lime durement. Il gémit encore. Je le plie en deux, sa tête touchant presque ses pieds et le réenfile aussitôt. Je me mets à le bouriner. Je décide alors d’en rester là pour le moment. Je le sèche et lui réenfile son string ficelle et le guide vers le lit.
Je le mets en levrette et lui attache les mains et les pieds aux bois de lit avec les quatre cordelettes. Je lui présente alors ma bite pour qu’il la suce, ce qu’il fait bien volontiers. Je prends alors les choses en mains et me mets à lui baiser carrément la bouche en la lui enfonçant sur toute sa longueur. Je m’active et il est vite à la limite de la suffocation.
Je me place alors derrière lui, j’écarte la ficelle de son string, lui enduis copieusement la rondelle et l’encule d’un coup sec, à fond. Je me mets à le limer puissamment. Je sens qu’il se met à apprécier. J’accélère un peu la cadence. Il me crie presque :
« -Wank me ! Please, wank me !!
-No ! You are my slave. My beautiful slave, but my slave. No wank !
-Please…
-No ! ».
Je sais que c’est ainsi que je vais jouir mais je fais tout pour faire durer. Paulo gémit sous mes coups de bite de plus en plus violents.

« -Go ! Go ! Fuck me hard ! » Il en redemande le bougre.
Va-t-il, comme je l’ai déjà vu deux fois, « jouir du cul » ? A force de frotter sa prostate à outrance, ça déclenche parfois un orgasme anal. En tous cas, les deux fois, c’était plus que spectaculaire. Paulo ne se contrôlait plus du tout. Lui qui a toujours été « sonore » dans ses ébats, là c’était carrément la coupe du monde 2018 ! Je ne l’avais jamais vu hurlé comme ça…En plus, j’étais vachement fier que ce soit ma bite qui lui ait fait ça. Et content pour lui pour son super pied. Je crois que c’est la situation qui lui plaît. Il s’imagine probablement être violenté tout en étant sans défense. Ce qui est un peu, beaucoup le cas. Je me déchaîne sur son trou. Ma bite me brûle mais dieu que c’est bon ! Juste avant de jouir je l’empoigne par les cheveux et le tire vers moi à la verticale, à genoux. Sous le coup de l’excitation je lui déchire carrément le string en voulant lui arracher. Je jute dans son ventre en poussant un cri de bête. Presqu’aussitôt, je vois sa bite trembler et lancer deux longs jets de sperme sur le drap. Lui aussi a joui sans même se toucher. Je crois bien que c’est la déchirure de son string, ma jouissance brûlante dans son ventre, le fait que je le tire brutalement pas les cheveux qui ont déclenché son orgasme. On retombe, pantelants, comblés par la séance qu’il avait demandé. Je me demande bien ce qu’il va me faire subir en retour… Je sombre presque aussitôt.
Eh bien, je me trompais. Le round suivant fut hyper doux. Ce fut très très long et d’une infinie tendresse. Paulo sera toujours aussi surprenant et imprévisible. Paulo était déjà presque en moi quand j’émergeais de mon sommeil. Je me sentais un peu beaucoup coupable de lui avoir infligé tout cela en début de nuit. Je lui en parle et il me rassure en me disant que ça lui avait beaucoup plu et qu’en plus, c’est lui qui me l’avait demandé. Je m’étonne même qu’il m’ait laissé me reposer tout ce temps. Je le remercie.
Mais maintenant, j’ai envie de lui, j’ai envie de sa bite en moi, j’ai envie de retrouver tous nos gestes de tendresse habituels. Il me fourre tout doucement. J’adore sentir sa queue se glisser ainsi en moi dans mes entrailles. J’adore le sentir se coller contre mon dos et me serrer fortement dans ses bras. Je tourne la tête et cherche sa bouche avec avidité. Une fois sa bite totalement en moi, il ne bouge plus du tout. Je crois que les Italiens appellent cette position immobile « la carezza ». On se parle à voix basse, il me raconte ses périgrinations de la semaine. Je lui répète combien chaque nuit a été difficile sans lui. Il me couvre le cou de bisous mouillés en me caressant les cheveux. Je le sens bouger très très doucement en moi.
« -Oh meu Paulo, it’s so good ! »
Cette fois, il coulisse doucement de toute la longueur de sa bite. A chaque fois, je sens son gland qui vient me caresser la prostate. Trop bon ! Il me met sur le dos et me pénètre doucement aussitôt. Il a allumé la lumière et on se dévore des yeux tout en s’embrassant doucement. Je ne le reconnais plus. Habituellement, quand on se retrouve, le premier rapport est toujours très « sportif », mais là c’est super cool.
« -I want to wank you, now… » Je lui propose.
Il se retire et vient s’offrir à ma main. Je pose ma tête sur son ventre, tout près de son sexe et je commence à le branler doucement du bout de trois doigts. Je passe mon autre main sous ses fesses et cherche sa rondelle de mon majeur. Je lui passe un doigt sans problème. Il aime. J’alterne les mouvements à trois doigts et la prise en main d’une parie de sa hampe qui déborde largement de ma main. Son gland ruisselle de mouille. Je m’en enduis les doigts et les porte à sa bouche. Je ne veux pas le faire jouir ainsi, je le laisse décider de la façon dont il veut que ça se passe. Aussi près, je peux, à loisir, contempler sa bite et ses couilles. Trop belle queue. Je dirais dans les 18/19 cm, fine, lisse. Paulo dit toujours que c’est pas la longueur qui compte mais la façon de s’en servir. Entièrement d’accord ! Il sait y faire ! Par contre, je n’ai jamais vu de couilles aussi grosses de ma vie. On dirait deux petits kiwis. Est-ce que c’est cette taille qui lui donne un tel appétit sexuel ? Si la testostérone est produite dans les couilles, ça se pourrait… Paulo m’a dit une fois que, dans son boulot, on avait tendance à le spécialiser dans les sous vêtements et les maillots de bain parce qu’en « temps normal » la taille de son paquet était plus qu’avantageuse et que ça mettait bien en valeur le vêtement… Je suis trop tenté de prendre son gland en bouche. Je glisse ma joue sur son ventre et l’entoure avec mes lèvres. Je coulisse doucement, tout en lui branlant doucement le bas de sa tige et ses couilles. Je remarque qu’il a commencé à laisser repousser sa toison qui reste très rase avec de grandes stries obliques sans poils du tout. Très joli. Toujours impec dans le moindre détail. Il m’a expliqué un jour qu’il n’avait pas le droit - par contrat- de raser sa ligne poils mais, qu’au niveau du pubis, il pouvait faire ce qu’il voulait ! J’accélère légèrement la cadence du va et vient de ma bouche et de ma main…
« -Bom demais ! »
Oui, je sais que c’est trop bon, mon Paulo. Moi aussi j’adore te donner ces plaisirs.
Il me demande s’il peut me pénétrer à nouveau. Je ne demande que ça. Entretemps, il a enfilé sur le bas de sa bite, un anneau vibrant. Il appelle ça sa « love technology ». Il a ainsi tout un tas de « machins » qu’il trimballe tout le temps avec lui dans son sac. Une fois que sa bite est entièrement en moi, que ses couilles sont collées contre mon trou, je sens très très bien la vibration de son anneau. Trop bon. Trois vitesses, en plus ! Paulo va ainsi me limer, me trombonner, me pistonner pendant un très très long moment délicieux. Je voudrais que ça ne s’arrête jamais, tellement c’est bon. A chaque coup de reins, je sens parfaitement son barreau palpitant me pénétrer doucement. Je la connais bien sa bite, je ne m’en lasserai jamais.
« -Do you feel me ? You feel my cock ?
-Oh, YESSSS ! I feel it ! I like it ! I love your cock and what’s behind ! » Il rigole, rassuré.
Je me noie dans ses yeux. Il me murmure des mots doux en portugais à l’oreille. Je lui en chuchote d’autres en français. Je caresse son torse, je pince ses tétons - il adore ça -, je caresse ses pecs, ses abdos, je tire sur sa ligne de poils, je prends ses fesses à pleines mains et les tire vers moi, je lui caresse l’intérieur des cuisses près de ses couilles. Bref, je joue de ce superbe corps de mec qui, pour l’instant, est tout à moi. Je l’admire aussi, à demi dressé entre mes cuisses, j’ai le plus beau mec que j’ai jamais eu. Son visage, ses yeux rayonnent de plaisir. Je m’empare du gode sur la table de nuit et lui enfile doucement. Il me sourit. Maintenant, il se met à me limer de plus en plus vite. Je comprends qu’il veut jouir ainsi. Il se passera encore cinq bonnes minutes d’un limage intensif avant qu’il n’explose à nouveau dans mon ventre, m’inondant de son jus brûlant. Il retombe sur moi et se met à comater. Je le garde tout contre moi, en moi, longtemps.
Sur la fin de la nuit, il me reprendra une fois encore. En douceur. Au matin, il m’annonce qu’il doit repartir avant midi. Je pleure en silence. Il se sauve, bouleversé.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!