Ma Femme Devient Obsédée Des Gros Calibres. Suite De Découverte Du Candaulisme

Après avoir découvert que ma femme me trompée avec son fournisseur, Philippe, je les a coucher avec lui devant moi. J’ai pris un plaisir fou à admirer Larence dans les bras d’un autre, le sucer mais aussi se faire prendre par sa grosse queue. Evidement je n’ai pas pu m’empêcher de les rejoindre.

Bien que la situation était burlesque nous avons tous les trois pris un pied fou. Avec Laurence nous avons mis du temps à reparler de ce moment. C’est elle qui a remis le sujet sur le tapis et d’une façon très inattendue. Un soir alors que la maison était calme, nous avons tout rangé avant de nous poser devant la télé avec un verre à la main.

Alors que nous regardons une émission de merde à la télé, elle me dit:
« J’ai adoré me faire baiser par Philippe alors que tu nous regardais. »
Je lui réponds que moi aussi j’ai pris beaucoup de plaisir, je n’ai pas le temps de lui préciser que j’ai encore préféré les rejoindre qu’elle rajoute:
« J’aimerai bien que l’on recommence. »

On a déjà fait des plans à trois au début de notre relation mais aussi plus tard par contre je ne pensais pas que ça aller revenir « à la mode ». Attention je ne suis pas contre, j’adore les moments à trois mais je me dis que ce n’est pas la meilleur façon de sauver notre couple surtout si on couche avec son amant. Je ne sais même pas si elle continue à voir Philippe ou pas.

J’ose enfin lui demander:
« Tu le vois toujours, alors? »
Sans aucune gêne, elle me répond:
« Depuis notre moment à trois je ne l’ai pas revu »
Je me sens soulagé sauf qu’elle rajoute:
« Mais ce n’est pas à lui que je pensais. »

Je lui demande un peu plus d’explication alors elle se met à me raconter, que ma bite lui fait beaucoup de bien (même si nous ne baisons presque plus!) mais qu’elle a envie d’essayer de plus gros calibres. Je n’en reviens pas qu’elle soit capable de dire ça à son propre mari.

J’ai connu d’autres femmes qu’elle dans ma vie et jamais personne ne s’est plaint de la taille de mon sexe!

Elle continue en m’expliquant qu’elle a déjà posé une annonce sur internet pour rechercher des mecs vraiment bien membrés. Elle a eu plusieurs réponses, à chaque fois, évidement, elle a demandé des photos de « leur bite en pleine forme ». Beaucoup n’ont pas donné de suite après sa demande, d’autres n’étaient pas si bien montés que ça.

Après un silence, elle continue:
« Par contre… »
Avant de finir sa phrase elle se lève, va chercher sa sacoche et en sort son ordinateur. Elle l’allume, rentre le code que j’essaye de voir mais elle est trop rapide. Elle se connecte sur un site, ça a l’air d’être des annonces pour des plans cul. Elle rentre ses identifiants et va sur sa messagerie. Elle ouvre un message, puis un dossier et tourne l’ordinateur vers moi en me disant:
« Regarde celui là. »

Je dois dire qu’avec mon sexe d’environ 18 centimètres, je suis ridicule à côté de lui. Sa bite est tellement grosse et lourde qu’il la soulève à deux mains. Ce black doit avoir une queue de plus de 25 centimètres, à part dans les films je pensais pas qu’un truc pareil existait. Il arrive même pas à en faire le tour avec avec sa main. Je n’en reviens pas qu’elle imagine se la prendre, même dans la chatte.

J’ai plein d’interrogations qui tournent dans ma tête quand elle les interrompt en me demandant:
« Tu es d’accord? »
Trop de mots fusent dans ma tête, je bredouille:
« Mais… enfin… »
« Je ne te demande pas une dissertation, de toutes les façons je le vois demain. J’aimerai que tu nous observes faire depuis le fauteuil »

Rien que d’imaginer ma femme se faire prendre par ce mat de chair me fait bander mais je n’arrive toujours pas à sortir un mot, elle se colle à moi, caresse ma bite qui a gonflé, à travers mon pantalon et elle me dit avec une voix de petite fille:
« S’il te plait »
Je lui réponds avec un air vexé:
« De toutes les façons tu as tout décidé sans même m’en parler puisque tu as déjà fixé le rendez vous! »
Elle appuie encore plus fort avec la paume de sa main et me redit « s’il te plait » toujours avec sa voix de petite fille.


Je finis par lui dire oui, elle m’embrasse fougueusement et monte sur moi. Ensuite elle se glisse entre mes jambes, sort ma chemise et ouvre mon pantalon pour sortir l’objet de sa convoitise qui est bien raide. Elle se jette sur ma queue et me suce goulument pendant de longues minutes.

Elle se relève, éteint la télé et m’attr par la main pour me lever. Elle empoigne ma queue et me dirige vers notre chambre sans me lâcher. Au passage elle éteint tout les lumières sauf celles de nos tables de chevets. Une fois la porte fermée elle me déshabille, j’enlève son jogging, elle est complètement nue en dessous.

Elle me pousse sur le lit et monte sur moi en 69, nous bouffons mutuellement le sexe alors qu’elle dégouline dans ma bouche. Puis elle se retourne et me chevauche pendant un moment jusqu’à a ce que je me dégage. Je la fait se mettre à 4 pattes et la prends en levrette avant de la sodomiser d’un coup sec. Au début elle couine un peu alors je lui dis:
« Si ton black veut te sodomiser il faut que tu t’habitues à encaisser ».

Je ponctue même ma phrase par une bonne claque sur ses fesses qui ne fait qu’augmenter ses gémissements. Je la lime comme un sauvage pendant de longues minutes et je finis par me vider dans son cul sans m’en faire de son orgasme. Je m’affale sur le lit et m’écroule très rapidement.

Le lendemain quand je me réveille, je suis seul dans l’appartement. Tout pour mon petit déjeuner est prêt et il y a un même un petit mot:
« Bonjour,
J’ai adoré ta façon de m’avoir baisé hier. J’en déduis que tu es aussi excité que moi pour tout à l’heure. Je lui ai donné rendez vous à 16 heures, taches d’être à l’heure pour ne rater aucun moment du fabuleux spectacle que je vais t’offrir. »

Rien qu’en lisant ce message et en laissant vaqué mon imagination, je bande comme un âne. Je bois mon café et quand je vais me doucher, je suis toujours excité malgré la veille. Je me branle sous l’eau, puis je m’habille pour mes rendez vous et je quitte la maison pour attaquer ma journée en gardant toujours dans un coin de ma tête, l’énorme queue de ce mec et la chatte de ma femme.


On dit souvent que les merdes arrivent toujours au mauvais moment. Aujourd’hui je ne déroge pas à cette règle, alors que j’ai réussi à bien enchainé mes rendez vous sans prendre de retard avec le dernier ce n’est pas pareil. Heureusement que j’ai annulé, dès le matin, le suivant! Il est déjà 16h40 et je ne vois toujours pas la fin.

A 17h25, je quitte enfin ses bureaux. Ok, je ne suis qu’à 15 minutes de chez moi mais ça doit faire une bonne heure qu’il baise déjà. J’espère qu’il est endurant ou qu’il recharge vite parce que j’aurai les boules de ne pas du tout en profiter. Il est 17h46 quand je passe le pas de la porte. J’entends déjà les gémissements de ma femme.

J’accroche ma veste et enlève mes chaussure avant de me diriger vers les gémissements, ils sont dans notre chambre. Quand je m’approche j’entends une voix très rauque dire:
« C’est l’instant de vérité mais ne t’inquiètes pas, je vais y aller progressivement. »
Je me demande bien ce qu’ils sont entrain de faire.

Quand je rentre dans la chambre, qui a abrité nos ébats de la veille, je découvre un homme grand et musclé, presque totalement imberbe, qui se tient debout. Il porte ma femme à bout de bras et la soulève pour que son entrejambe soit au niveau de son torse. Il la manipule avec une facilité déconcertante, il la fait tout doucement descendre vers sa tige que Laurence empoigne, à deux mains pour la faire tenir bien droite.

Le très large gland du black est entrain de disparaitre dans la chatte, que je vois ruisseler, de ma femme. Je vois son visage se crisper légèrement, pourtant elle gémit en même temps. Il fait délicatement coulisser son mât en elle et après quelques centimètres la bloque. Il la soulève légèrement et quand il la fait redescendre, elle s’enfonce un peu plus.

Je n’en reviens pas avec quelle facilité ce bâton d’ébènes pénètre la moule de ma femme. En plus son visage est totalement détendu et je vois qu’elle prend énormément de plaisir.
Je remarque qu’à coté du fauteuil, il y a un guéridon avec une lampe et un verre de whisky. Je m‘installe et allume la lumière pour leur signifier ma présence.

Quand Laurence remarque la lumière, elle me dit, entre deux respirations haletantes:
« Tu as raté le début mais pas le meilleur. J’approche de mon deuxième orgasme »
A peine elle finit sa phrase qu’elle se met à chanter son plaisir. Je remarque qu’elle a bien les 3/4 de cette énorme bite en elle. Il augmente le rythme de montées et descendantes de ma femme alors qu’elle jouit.

Il calme le rythme jusqu’à la bloquer alors qu’elle est toujours empalé sur sa tige, ou plutôt sa branche. Il la soulève tout doucement, jusqu’à entièrement ressortir. Il la fait se pencher et me montre sa chatte totalement dilatée. J’ai souvent vu le con de ma femme bien ouvert mais jamais à ce point.

Je bande comme un taureau alors pour me calmer je prends le verre qui est à côté de moi et j’avale une bonne gorgée. Pendant ce temps il se réintroduit en elle et commence à la limer lentement, pour qu’elle se réhabitue bien à son calibre. Je vois l’élixir de ma femme couler le long de cette bite et même sur ses couilles totalement rasées. Je prends une autre gorgée et me dit que je devrais aussi me les raser.

Il accélère progressivement le rythme mais ma femme est trop gourmande ou elle veut encore une fois me narguer, en tout cas elle lui dit:
« Vas y défonce-moi bien!  Je veux sentir ton énorme queue me défoncer la chatte! »
J’admire ce chibre qui fend de plus en plus rapidement le con de Laurence.

Elle crie de plus belle, elle hurle même. Tant mieux la nouvelle voisine, avec qui j’ai partagé l’ascenseur, va peut être avoir des envies en attendant ma femme manifester à ce point son plaisir. C’est normale qu’elle réagisse ainsi, elle a la totalité de l’énorme mat en elle. Il la soulève maintenant par des petits mouvements secs et la laisse retombe toute seule sur ses énormes couilles.

Il la maintient maintenant qu’a une seule main, il plonge l’autre entre leur deux corps, la ressort en pointant son index et son majeur, qui son recouvert de la mouille de ma femme. Il les lui donne à lécher, elle les déguste goulument alors qu’elle a mis des années à accepter de me sucer après que je l’ai pénétré.

Une fois que ses doigts sont propres il les replonge entre leurs corps. Il les ressort dans le même état que la première fois mais au lieu de les lui donner à lécher il se plante totalement en elle puis il va s’assoir sur le lit avec toujours Laurence assise sur sa queue.

Avec une main il écarte les fesses de ma femme alors qu’il plante ses deux doigts luisant de nectar dans les fesses. Je sais qu’elle adore ça, alors je ne suis pas étonné de l’entendre crier un nouvelle orgasme avec de tels diamètre. Il fait aller et venir ses doigts dans les entrailles de ma femme pendant son orgasme et j’en profite pour avaler une nouvelle gorgée de whisky avant de me caresser à travers mon pantalon.

Son corps est pris de spasmes pendant un long moment alors que la bite dans son con ne s’agite même pas. Je ne crois pas avoir déjà vu Laurence jouir de cette façon par contre 3 orgasmes d’affilés c’est mon record avec elle et je pense que la dessus aussi je vais avoir honte.

Ma femme ne s’est toujours pas remise de cette orgasme qu’il commence à s’exciter aussi dans sa chatte. Ses doigts se plantent encore plus profondément dans son cul, j’ai même l’impression qu’il s’en sert de crochet pour la faire monter et descendre sur son mat.

Alors qu’elle vient de jouir, elle se remet déjà à gémir, je n’en reviens pas de l’effet qu’il lui fait. Je me caresse le gland, à travers le pantalon, avec la paume de la main pendant que je continuer à admirer cette très grosse bite aller et venir dans la grotte de ma femme avec deux doigts planté dans son cul. Cerise sur le gâteau, elle lui dit:
« Continue de les faire tournoyer en moi. »

Je sens mes couilles gonfler et ma queue durcir encore plus, je relâche la pression sur ma bite toujours emprisonné dans mon boxer. Par contre les deux cocos s’excitent de plus en plus et jouissent en coeur. Il continue à la faire monter et descendre sur elle alors que je vois du sperme couler sur le couvre lit.

Il la ramoner un moment et la soulève pour l’allonger sur le lit. Quand il se lève sa bite, molle, est contre sa jambe mais est de la même taille que moi en érection. Il vient vers moi, je vois son gland se recalotter, il me tend la main et me dit:
« Bonjour Romain, moi c’est Charles. »
Je lui sers la main mais je suis halluciné et encore plus quand il rajoute:
« J’espère que jusqu’à présent le spectacle vous a plu. »
Je ne répond pas mais ma femme le fait à ma place en disant:
« Je peux t’assurer que oui. »

Il se retourne vers elle, avance vers le lit et annonce à Laurence:
« Allez ma belle, il va falloir me remette d’attaque pour que je prouve que tu as bien un cul à black. »
Elle att sa queue molle à deux mains et se jette dessus, comme une affamée, pour le sucer…

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