Découverte Du Candaulisme

Après quelques récits écrits à 4 mains, je reviens vers du plus classique. Ma femme n’a pas pu recommencer avec son ancien élève et son copain Max, et avec le confinement, bien sûr, cela va être difficile, il reste notre jeune voisin, mais ses parents télétravaillent. Ma femme va pouvoir trouver l’excuse des cours de maths, toutefois, deux de nos s sont à la maison, l’un travaillant en intérim, c’est donc très aléatoire d’un jour sur l’autre, compliqué à gérer et l’autre qui vient d’être diplômée en architecture est en recherche d’emploi, principalement en Allemagne, donc ce n’est pas simple. Tout ça pour préciser qu’elle doit se contenter de son mari ! Le fameux Nico devait passer avec un de ses cousins, mais ce sera certainement partie remise, wait and see…

Donc je vais raconter un vieux souvenir des années 80, nostalgie, qui a peut-être joué dans mon cheminement vers le candaulisme et cette excitation de voir, ou de savoir, ma femme avec un jeune homme.

Nous étions en 1985. J’étais en fac d’Histoire, à la Sorbonne, mais en dehors des TD, je n’allais pas beaucoup en cours, j’avais certes des facilités, mais les cours n’étaient le plus souvent que le récit des livres écrits par les brillants historiens qui nous les dispensaient, donc je préférais les acheter. D’autant plus que brillant ne veut pas ment dire passionnant en amphi ! Tout ça pour préciser que je traînais pas mal à Paris. Or, j’avais un camarade qui était dans une école d’attachés de presse rue Pierre Charron, école se trouvant à quelques dizaines de mètres des Champs Elysées. J’allais souvent le voir et nous passions des heures à jouer au flipper dans deux cafés, dont un était juste en face de cette fameuse école. Ce dernier était également fréquenté par de nombreux artistes, chanteurs ou acteurs, une maison de disque se trouvant juste à côté, nous eûmes notamment plusieurs fois l’occasion de jouer avec un chanteur pied noir très connu qui était un fou de flipper.

Nous étions d’ailleurs contents, car en général, c’est lui qui payait les parties et les bières ! Donc, un jour, comme souvent, j’étais allé voir mon pote et nous avions mangé un croque monsieur dans ce fameux café, nous rendions des services au patron (du style aller chercher du pain ou autre) et en échange, nous mangions souvent gratuitement. Mon copain avait cours à 14 heures et du coup je me retrouvais seul. Que faire ? Sorbonne or not Sorbonne ? Rentrer à la maison ? Je réfléchissais à la question, installé dans le fond du café, lorsque mon regard fut attiré par une paire de mollets gainés de nylon. Je levai les yeux et vis qu’ils appartenaient à une très jolie femme d’une quarantaine d’années qui était installée en bordure de terrasse. Elle portait une jupe sage, mais étant assise, celle-ci était remontée jusqu’au dessus des genoux, et étant légèrement fendue sur le dessus (en fait, je remarquai plus tard que c’était des pressions qui permettaient de plus ou moins ouvrir la jupe), on pouvait voir une de ses cuisses assez haut. Elle semblait avoir de très jolies jambes. C’était une femme brune, avec un visage fin, vraiment une belle femme. En plus, elle balançait négligemment son escarpin au bout de son pied et je trouvais ça éminemment érotique, je sentais mon sexe qui commençait à durcir dans mon caleçon (la grande mode des années 80). Je ne pouvais m’empêcher de la regarder, mais le seul souci, et il était de taille, c’est qu’elle n’était pas seule ! En effet, elle était avec un homme nettement plus âgé, au-delà de la soixantaine. Il était habillé de manière très chic, un couple aisé visiblement. J’essayais d’être discret, mais il me semblait qu’elle tournait ses jambes vers moi, je pouvais voir dans l’ombre de ses cuisses, et aussi qu’elle me jetait des regards furtifs. Il n’y avait que nous dans le café, donc c’était très gênant, car pour la discrétion, on pouvait repasser. De toute façon, son mari étant là, pas d’illusion à se faire, peut-être apercevoir un bout de dentelle, mais bon.
Je décidai d’aller à la Sorbonne, j’avais un exposé à préparer, donc du temps pour aller à la bibliothèque, mon endroit favori ! Mais avant, je passai par la case toilettes. Elles étaient en sous-sol, j’y vais et je commence à uriner. Soudain, je vois arriver le monsieur qui était avec elle. Il s’installe à côté de moi, devant le second urinoir, mais sans sortir son engin. Il regarde au contraire vers le mien. Bien que nettement plus costaud que lui (3ème ligne de rugby), je ne peux m’empêcher d’être tendu, il vient pour faire un scandale parce que je regarde sa femme ? Ou alors, il est homo ! Et là, il me dit :
- Elle vous plaît ma femme ?
Bam, c’est violent, ça coupe ma miction.
- Heu, ben non, ça va pas ?
- Ah, je croyais, vous aviez l’air de la regarder.
- Mais non, vous avez mal vu.
- Dommage, car vous lui plaisez, elle aime les jeunes gens dans votre genre, en plus elle apprécie les gros glands comme le vôtre !
Et là il remonte, me laissant totalement pantois. Il me fallut quelques secondes pour pouvoir terminer ce que j’avais commencé, mais ses mots tournaient dans ma tête. J’avais une boule au ventre, j’étais tremblant, qu’est-ce qu’il avait voulu dire ? Je remonte, ils sont encore là. Je retourne à ma place, je prends mon sac, elle me regarde et me sourit, lui aussi. Je pars, passe juste à côté d’eux, je suis complètement retourné, je ne sais comment réagir, ils me regardent encore, je suis sur le trottoir et pars vers le bus. Puis au bout d’une cinquantaine de mètres, je m’arrête, je prends le temps de réfléchir et je me dis « mince, c’est trop con », et je retourne vers le café. Ils sont toujours là, le mari sourit franchement lorsque je m’approche d’eux.
- Vous avez changé d’avis ? Elle vous plaît finalement ?
- Madame est très belle !
- Mais pourquoi avoir dit le contraire tout à l’heure ?
- J’ai été très surpris par vos propos, je ne m’attendais pas à ça, je croyais que vous étiez fâché que je la regarde.

- Oh non, j’aime que les hommes la regardent, surtout les jeunes. Vous vous installez que l’on discute ?
Je prends place et là, il m’explique :
- Vous avez remarqué que je suis nettement plus âgé que mon épouse ?
- Oui.
- J’ai 71 ans et surtout j’ai quelques soucis de santé, voilà, je ne bande plus depuis de nombreuses années. Ma femme m’aime, enfin du moins c’est ce qu’elle dit, dit-il en la regardant en souriant et en posant une main sur sa cuisses largement dévoilée à présent car il vient de faire sauter au moins 3 boutons-pressions, et elle s’est longtemps contentée de quelques caresses, mais depuis quelques années, je lui trouve des amants de temps en temps pour combler mon propre manque. Or, il s’est avéré que madame est friande de petits jeunes à dévergonder, et dès qu’elle vous a vu, elle m’en a parlé et à essayer d’attirer votre attention, ce qui a visiblement été le cas.
- Elle me plaît beaucoup oui.
- Voilà ce que je propose, nous allons chez nous, vous me semblez un jeune homme bien élevé, vous baisez ma femme, je dis bien baiser, pas de sentiments, du sexe.
- Heu oui, mais…
- Moi ? Et bien je regarde et surtout je filme ! Je peux aussi vous caresser, voire vous sucer quand vous baisez ma femme. C’est à prendre ou à laisser !
Pendant notre discussion, sa femme était restée totalement muette, hiératique. C’était assez irréel, elle semblait figée, pas un sourire, rien. Mais putain qu’elle était bandante, la bourgeoise sexy dans toute sa splendeur, mon fantasme absolu de l’époque. En plus je voyais la lisière de ses bas sur sa magnifique cuisse ! L’idée qu’il me tripote ne me plaisait pas beaucoup, mais j’avais trop envie de la baiser.
- Je suis d’accord, mais j’espère que vous n’habitez pas trop loin, je dois rentrer chez moi ce soir.
- On est dans le 92, et au pire, vous pourrez rester à la maison.
- Bon, on verra.
Je me demandai déjà quelle excuse j’allais devoir trouver pour éventuellement expliquer à mes parents que je restai sur Paris, et chez qui ?
- Vous restez ici ? Je pars chercher la voiture.

Le voilà qui s’en va, me laissant seul avec sa femme muette. Je ne sais pas quoi lui dire, c’est une situation très particulière d’être face à une femme que l’on va baiser dans quelques minutes, que l’on ne connaît pas, avec qui on n’a même pas échangé une seule parole. Miracle, elle parle !
- Vous avez quel âge ?
- 21
- Moi 48. Vous aimez les femmes plus âgées ?
- J’aime bien oui, ma première fois était avec la mère d’une copine, j’ai bien aimé.
- Et depuis ?
- J’ai eu deux aventures avec des femmes plus âgées, oui, l’année dernière dans un mariage et aussi une femme que j’ai abordée sur les Champs il y a quelques mois.
- Ça vous a plu ?
- Avec celle du mariage oui beaucoup.
- Pas l’autre ?
- Ben j’ai juste eu le temps de la pénétrer, on était pressé, j’ai joui tout de suite, elle devait partir pour aller chercher ses s à l’école. Elle avait l’air contente, mais j’ai pas eu le temps de lui demander son numéro de téléphone.
- J’espère que vous saurez prendre votre temps ! J’aime prendre du plaisir ! Et vous me plaisez beaucoup, j’ai des amies qui aimeraient certainement vous avoir dans leur lit !
- Ah bon ?
- Et oui, certaines femmes aiment les jeunes gens, donc si vous faites l’affaire, qui sait ? Et donc la femme du mariage ?
- C’était bien, on a eu plus de temps, on a fait ça dans sa voiture, mais c’était super.
- Quel âge ?
- 51 !
- Vous les aimez vraiment plus vieilles !
- Elle est très bien encore, quelques rondeurs, mais ça ne me dérange pas.
- Mieux que moi ?
- Je ne pense pas non !
- Pourquoi dans sa voiture ?
- Ben il y avait son mari dans sa chambre !
- Et bien, bravo !
- Il était soûl. Mais le lendemain, j’ai pu la retrouver dans sa chambre, c’était encore mieux.
- Et vous l’avez revu ?
- Non, elle habite dans le sud de la France, mais elle a mon numéro au cas où elle viendrait sur Paris, ce qui arrive de temps en temps. Elle m’a déjà appelé plusieurs fois.
- Je vous préviens, j’ai quelques …manies. Vous êtes jeune, ça peut vous surprendre. Mais j’y tiens.
- Je ferai tout pour vous faire plaisir.
- C’est bon à entendre, ah, mon mari arrive, on y va ?
Une grosse BMW grise se gare, effectivement, ces gens ne doivent pas avoir de soucis d’argent. Je vais pour m’installer derrière, la femme s’installe à mes côtés, ça fait bizarre, l’impression d’avoir un chauffeur, il ne manque que la casquette. Nous démarrons, le mari me parle :
- Jeune homme, sortez votre sexe !
- Heu là ?
- Oui.
Je ne suis pas très à l’aise, mais je le fais.
- Claire va vous sucer.
- Oui mon chéri.
- J’aime lorsqu’elle suce des hommes !
Et Claire se penche, gobe ma queue et en quelques secondes celle-ci est raide dans sa bouche.
- Il bande ?
- Oui, tiens regarde !
- Ah oui, j’avais vu son gland dans les toilettes, j’étais sûr qu’il te plairait.
- Oui, sa bite n’est pas très longue, mais elle est jolie, bien dure.
Dialogue surréaliste, comme si je n’étais pas là !
- Elle est épaisse, je crois qu’elle va me faire du bien.
- C’est bien mon amour ! Elle suce bien n’est-ce pas ?
N’étant pas un grand habitué de la chose, je ne peux que confirmer. J’avais peur de jouir trop vite, mais d’abord la fameuse Claire avait serré sa main sur la base de ma queue, mais en plus la situation me bloquait un peu, un moment on s’est arrêté le long d’un bus et deux jeunes ados regardaient, ils ont vite compris ce qui se passait, en plus le mari qui avait aussi remarqué lui demanda de remonter sa jupe pour leur montrer son cul !
- Montre leur ton cul ma chérie !
- Comme tu veux mon amour.
Ils étaient vraiment un peu frappés, enfin du moins à l’époque, c’est comme ça que je voyais les choses. Elle me suça jusque chez eux, pendant une bonne vingtaine de minutes. Ils avaient un superbe appartement en dernier étage avec terrasse donnant sur Paris, vraiment des pauvres ! Je dus laisser ma queue à l’air dans l’ascenseur, elle gardait la main dessus en me branlant, je n’étais pas du tout à l’aise, me demandant dans quelle galère je m’étais embarqué. Arrivé chez eux, madame part directement aux toilettes en me demandant de me mettre nu. Elle laisse la porte ouverte, me demande de venir et urine devant moi, mais de telle sorte que je ne puisse voir sa chatte, visiblement, elle s’était retenue longtemps, son jet était puissant, c’est la première fois que je voyais ça et ça me plaisait plutôt.
- Tu aimes ?
- Oui, c’est excitant !
- Tu vas me nettoyer, ça fait parti de mes petites habitudes, viens. Tu es beau nu mon chéri, j’aime ton sexe, je vais me régaler.
Elle part s’installer sur un grand canapé, me lança sa culotte en me demandant de la mettre, décidément des gens spéciaux, je le fis avec difficulté, ma queue et surtout mes testicules ressortaient de partout ! Elle sourit à cette vue !
- Je trouve ça trop sexy ! Viens me nettoyer maintenant.
Elle écarte ses cuisses en grand et soulève sa jupe, elle était tellement sexy avec ses bas sur ses belles jambes, bien que jeune, j’étais largement fétichiste de bas ou de culotte. Je vois enfin son sexe, une belle toison brune l’entoure, mais on voit la fente rose. Je m’agenouille et approche la tête, je l’avais déjà fait, mais très rarement.
- Passe ta langue partout mon lapin !
J’avoue avoir eu un moment de répulsion. Autant j’aime maintenant manger la chatte de ma femme après qu’elle a pissé, autant à cette époque j’avais des préventions sur le côté sale de la chose. Je m’approche et je commence à la lécher. En fait, c’est bon, j’adore le goût et j’oublie vite qu’elle vient d’uriner. Elle écarte ses cuisses à fond et me demande de mettre ma langue le plus profondément dans son vagin, elle mouille beaucoup et j’ai bientôt les joues trempées. Je n’avais pas vu beaucoup de chattes, mais avec le recul, la sienne était très belle, des lèvres parfaites et un clitoris qui ressortait juste ce qu’il fallait. Elle guidait ma tête avec ses mains.
- Lèche-moi ici !
- Ici maintenant ! Mets ta langue bien profond.
- Suce mon clitoris (je ne l’avais fait), hummm oui, comme ça.
Un moment, je sens une main sur mon sexe, c’est son mari !
- Il bande bien le salaud, sa bite coule, tiens goûte !
Et il passe son doigt sur mon gland, ramasse mon liquide pré séminal et fourre ses doigts dans la bouche de sa femme.
- Suce bien ma salope !
Je n’étais pas habitué à l’époque à ce genre de discours, je voyais l’amour de manière très romantique, même si mes hormones me poussaient à faire ce que j’étais en train de faire, et j’étais très surpris de voir un mari visiblement amoureux traiter sa femme de salope et elle visiblement apprécier. J’ai appris depuis que cela peut augmenter le plaisir en brisant les limites imposées par notre éducation. Toujours est-il que je commençai à avoir mal à la mâchoire lorsqu’elle me commanda :
- Mets tes doigts dans ma chatte, vite, je vais jouir !
Je m’exécute et sous ma bouche je sens son bassin qui se soulève, elle colle littéralement son sexe sur mon visage et jouit assez bruyamment, chose également à laquelle je n’étais guère habitué.
- Merci mon lapin, c’était très bon. Je t’ai barbouillé le visage, je mouille beaucoup quand je suis excitée, désolée ! Viens m’embrasser !
Ah, enfin, un peu de tendresse ! J’avance mon visage prêt à lui fourrer ma langue dans la bouche lorsqu’elle me dépose juste un baiser chaste en me disant :
- Non, la langue, c’est pour mon mari ! Bon, j’ai soif moi, on se désaltère ?
- Oui ma chérie, jeune homme, une bière ?
- Heu oui, pourquoi pas.
Le voilà qui part et je me retrouve avec ma queue toute dure et baveuse qui dépasse de la culotte, elle qui n’a qu’une envie, pénétrer cette belle chatte qui se dérobe à mes regards. Bon, je vais patienter. Nous nous installons comme si de rien n’était dans le salon, elle est rhabillée, mais sans culotte, lui toujours très élégant, et moi comme un couillon presque nu avec ma queue dure qui déborde de cette foutue culotte, c’est une scène qui est restée gravé en moi tellement ça me semblait surréaliste. Discussion de salon :
- Vos études ? Vos loisirs ? Vos parents ? Vous avez une petite copine ? Bla bla bla.
Moi je lorgnai ses cuisses largement découvertes, elles étaient belles, j’avais mal au sexe tellement il était dur ! Claire regardait ma bite de temps en temps !
- Mais tu ne débandes jamais mon lapin !
Ah non, je ne débandais pas, il ne fallait pas non plus que je touche ma queue sinon, ça partait tout seul.
- J’ai trop envie de vous madame !
- Il est mignon, madame, je trouve ça excitant, hein chéri ! Tu vas chercher l’anneau ?
- Oui mon amour.
Mon amour, mon chéri, ils commençaient sérieusement à me gonfler, mais j’avais trop envie de la baiser, elle ressemblait vraiment à mon fantasme absolu, même si je n’avais pas encore vu son corps nu. Mais cette histoire d’anneau ? Encore une de ses manies ? Son mari revient avec un truc assez petit dans la main.
- Tu lui mets ?
- Oui ma chérie !
Aïe, le vieux vicieux va encore me tripoter ! Bon je pense à sa femme pendant que ses doigts se baladent sur ma queue, d’ailleurs c’est peut-être mieux que ce soit lui, sinon j’éjaculerai des litres de sperme !
- Tu vois mon lapin, les jeunes bandent bien, mais ils jouissent trop vite, avec cet anneau, ça va retenir ton éjaculation, tu vas tenir plus longtemps.
D’accord ! Je ne connaissais pas ce genre d’accessoires à l’époque, pas d’internet pour se documenter et je ne fréquentai pas les clubs échangistes, si tant est que je sache ce que c’était à l’époque. Monsieur le pose, effectivement, ça serre, il me branle un peu.
- C’est bon ma chérie, il ne jouit pas, mais c’est plein là-dedans ! dit-il en me soupesant les testicules.
- Hummm, allez, approche-toi mon lapin, tu vas me faire plaisir encore, j’ai une petite manie, j’aime qu’on s’occupe de mes pieds.
J’étais assez perplexe, ses pieds ? C’est sale les pieds ! Que veut-elle que je fasse ? Je m’approche d’elle, elle tend ses jambes vers moi, elle porte encore ses escarpins.
- Ils sont à toi mon chéri !
Heu oui, et alors ? Maladroitement je saisis ses chevilles, du coup sa jupe s’écarte et je revois cette chatte que je rêve de pénétrer. Je caresse ses chevilles, ses mollets.
- Et mes pieds ? Si je garde mes chaussures, ça va être difficile !
- Heu, oui, d’accord.
J’enlève ses escarpins, il y a une odeur de cuir assez forte, mais aussi de pieds, ce qui est normal ! Je commence à caresser ses pieds, je ne sais franchement pas trop quoi faire.
- Tu n’as pas l’habitude visiblement !
- Je n’ai jamais fait ça !
- Alors commence par les caresser, s’il te plaît.
- Oui madame.
Donc, je masse plus ou habilement ses pieds, peu à peu je vois ce qui visiblement lui fait plaisir, au final c’est plutôt agréable.
- Tu les lèches ?
Ah, je ne m’y attendais pas, heu, ça ne me tente pas vraiment, mais je veux la baiser, donc je prends un de ses pieds et je lèche sa plante des pieds. Finalement, l’odeur n’est pas désagréable, je suis étonné.
- J’aime ça, avoir un homme à mes pieds ! Tu suces mes orteils aussi ?
Bon, puisqu’il le faut, je m’exécute, il y a une odeur plus forte, mais étrangement, je sens que ça me faire encore plus bander. Son mari qui filmait abandonne sa caméra, je ne sais pas ce qu’il va faire et je comprends lorsqu’il commence à me sucer ! Horreur, j’avais oublié ça, le pire c’est je bande comme un taureau ! Cette situation dure quelques minutes, moi avec les pieds de madame dans la bouche, lui qui me suce et elle qui a remonté sa jupe et se masturbe devant moi jusqu’à jouir ! A ce rythme, je me demande si je vais un jour la baiser.
- Jouis sur mes pieds mon lapin.
Ah, ok, bon j’aurais préféré ailleurs, mais j’ai trop envie. Je me lève et approche ma queue des ses pieds qu’elle me tend. Son mari approche la caméra pour filmer en gros plan. Je pose ma verge sur un de ses pieds, je le frotte sur le nylon, je dois avouer que c’est très agréable, mais j’ai trop envie de jouir, j’en ai mal au sexe, j’enlève ce fichu anneau et mon sperme se déverse par flot sur ses pieds.
- Superbe ! Ma chérie, il t’en met partout
Je jouis vraiment longtemps et intensément. Lorsque j’ai fini, son mari lèche mon sperme, beurk, puis il embrasse sa femme. Il lui nettoie les pieds et à chaque fois lui donne mon sperme en l’embrassant, voilà des pratiques qui à l’époque me semblaient particulièrement perverses.
- Il bande toujours le coquin.
Et oui, à cet âge là, capable de recommencer dans la foulée !
- Allez, on va dans la chambre, viens mon chéri.
Enfin, je vais pouvoir la pénétrer, elle se lève, je la suis, elle est toujours habillée du coup, à part cette culotte qui me sert toujours les couilles. Elle se déshabille enfin ! Elle est vraiment bien conservée, beaux seins, un petit ventre, mais presque rien, de belles hanches.
- Je te plais ? J’essaie de m’entretenir, mais après 40 ans, ça se dégrade, dit-elle en pinçant son ventre.
- Oh oui, vous êtes très belle.
- Merci, si j’en juge par ton érection, ce doit être vrai.
Ça y est, je vais la baiser, son mari rapplique avec sa caméra, j’ai fini par oublier, trop envie de sauter sa femme. Elle s’allonge, je m’apprête à la rejoindre lorsqu’elle se retourne, se met à genoux, la tête dans son oreiller, me présentant son cul que je n’avais pas encore vu. Il est très beau ce cul !
- Chéri, tu t’occupes de mes fesses avant de me prendre ?
- heu oui.
En fait je ne sais pas quoi faire, je la caresse avec les mains, la pétrit un peu, mais en fait je ne comprends pas vraiment ce qu’elle attend. Elle se retourne, me sourit :
- je crois que tu n’as pas compris, mon petit trou s’il te plait.
- Ah heu oui, madame.
Je pose un doigt timide sur son anus qu’elle me dévoile bien en effet.
- Mais non, il est mignon, il est vraiment innocent, dit-elle à son mari.
- Elle veut que tu lui lèches ! Tu ne veux pas ? Tant pis, tu ne pourras pas la baiser.
A vrai dire, je ne pensais pas ce que ça se faisait, les pieds déjà, mais c’est vrai que c’était plutôt agréable en fait, mais son anus ! Bon, j’approche ma langue, je tourne autour, je l’effleure avec une appréhension certaine, l’odeur, le goût, ma langue revient dans ma bouche, un petit goût quand même, mais légèrement poivré, je ne m’attendais pas à ça. J’y retourne, un peu plus, je passe ma langue cette fois-ci sur l’ensemble de son anus, j’y reviens, en fait j’aime ça ! Je la lèche de plus en plus fort.
- N’hésite pas à lui mettre ta langue !
Je le fais donc, la dame, Claire, remue du derrière, elle pousse ses fesses en les écartant avec ses mains, elle pousse des petits gémissements très excitants, au final j’adore ça ! Une super découverte, je ne verrai plus les dames de la même façon à présent ! Je lui dévore littéralement le cul.
- Pour quelqu’un qui hésitait, c’est bon hein ? Tu leur feras ça à tes copines maintenant !
Pour sûr que si elles veulent, je suis partant. Je sens une main qui passe sur mon menton, la dame se caresse ! Et soudain, son cul s’ouvre, ma langue va encore plus profond, je crois comprendre qu’elle jouit car son anus se referme régulièrement sur ma langue. Elle s’allonge sur le côté et me sourit.
- Tu mérites ta récompense, viens.
Elle écarte largement ses cuisses, son mari prend ma queue et l’introduit dans le sexe de sa femme. Enfin ! Ma verge vibre toute seule. Que c’est bon ! J’arrive à tenir un certain temps, ce qui me permet d’essayer diverses positions, à genoux entre ses cuisses bien relevées, ses jambes sur mes épaules, ses cuisses repliées sur mes bras, comme ça je vois bien ma queue la pénétrer et je finis allongé sur elle, ses jambes repliées sur mes reins, quand elle m’entend haleter, elle m’encourage, voilà quelque chose que ne font pas les filles de mon âge. Ses pieds accompagnent mes coups de rein
- Remplis-moi mon chéri, vas-y, baise moi fort !
Et je lâche tout mon désir, j’ai l’impression que ça n’en finira jamais, je pousse de petits cris. Lorsque j’ai fini, elle garde ses jambes sur moi et me caresse le dos.
- C’était bon ? Tu m’as bien rempli !
C’est seulement à ce moment là que j’ai réalisé que je venais de la baiser sans préservatif, alors que nous étions en pleine période de sida. Moi, je savais que j’étais clean, car j’avais fait un test quelques mois auparavant pour l’armée, et comme je n’avais pas baisé entretemps, mais eux n’avaient rien demandé.

J’ai enfin pu enlever cette fichue culotte, je suis resté nu toute la soirée pour le « plaisir des yeux » de madame qui me tripotait régulièrement la queue, elle s’amusait à me faire bander, j’ai passé la nuit avec elle pendant que son mari dormait à côté, mais ils avaient laissé les portes ouvertes pour qu’il m’entende la baiser, une nuit très agréable. Je suis parti le matin avec son numéro de téléphone, cela m’a permis d’avoir deux autres rencontres avec elle, mais surtout, elle a parlé de moi à certaines de ses amies, et j’ai découvert que certaines femmes appréciaient beaucoup les jeunes garçons, mais c’est une autre histoire.

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