Ma Dépravation, La Fameuse Soirée Du Jeudi

En début de semaine, j’ai rencontré Sebastien dans les toilettes de la gare. Malheureusement nous avons rapidement été interrompu par l’arrivée de la police. J’ai quitté la gare avec mon inconnu et nous sommes allé boire un verre dans un café. Apres quelques gorgées de bière, il m’a proposé de le rejoindre aux chiottes pour finir ce que nous avions commencé à la gare.

Franchement je n’ai pas regretté d’être descendu avec lui. Nous avons passé un bon moment entre hommes dans cet endroit exigu. A sa demande je me suis mis à le fesser, j’avais l’habitude avec les femmes mais pas encore avec les hommes. J’y ai pris pas mal de plaisir mais ça a surtout amené Sebastien à me proposer de participer à une soirée plutôt mystérieuse.

Comme je suis dans une période ou je ne refuse rien sexuellement je me laisse convaincre à l’accompagner même s’il ne m’a pas donné beaucoup de détails. Je dois dire que depuis qu’il m’a confirmé notre soirée de jeudi, mon imagination sexuelle n’arrête pas. C’est pas évident de se priver de masturbation quand autant de scénario érotiques tournent dans ma tête.

Quelques minutes avant que Sébastien passe me chercher je dois dire que je suis intrigué, stressé mais aussi excité. Quand je suis devant mon immeuble à guetté sa voiture j’ai une boule dans la gorge et une autre dans mon boxer. Quand son véhicule s’arrête juste devant moi, les deux montent encore d’un cran.

Nous roulons déjà depuis 20 bonnes minutes à discuter de notre semaine depuis notre rencontre quand je remets le thème de la soirée sur le tapis. Il commence enfin à m’en dire un peu plus. Un soir dans un crusing de la région, il a rencontré un homme d’une bonne cinquantaine d’année bien actif et plutôt directif.

Il a passé un bon moment avec lui, parce que l’homme est plutôt dominateur et comme je l’ai compris dans la cabine des toilettes, Sebastien est un bon passif plutôt soumis. Du coup l’homme, que tout le monde appelle monsieur N, lui a proposé de participer à des partouzes avec des amis lui.

Evidement mon nouvel ami à accepter et à bien profiter de ces soirées.

Petit à petit, le bourgeois à voulu voir plus grand et il a confié une mission à notre ami commun: lui trouver des hommes. Croyant que ce genre de soirée et d’histoire n’existaient que dans les films j’ai été surpris d’entendre tout ça. Je demande à Sebastien des précisions sur le déroulement de la fête.

J’ai du mal à obtenir des informations, le seul truc qu’il finit par me lâcher c’est:
« On se branle, on se suce, on s’encule, certains pratiquent le SM. Chaque soirée est différente et c’est vraiment monsieur N le maitre de cérémonie. Mais ne t’inquiète pas, tu vas adorer. »

Après plus d’une heure de conduite nous avons arrivons enfin dans une très grande propriété. Nous traversons un immense jardin pendant bien deux minutes et Sebastien se gare devant une partie de l’énorme demeure. La maison est éclairée de l’extérieur comme on le fait pour des monuments, c’est magnifique.

Il me fait rentrer par les cuisines dans lesquelles s’affairent deux cuistots. Il y a aussi des serveurs qui rentrent avec des plateaux remplis de vaisselles salles et repartent avec des boissons ou de la nourriture. Sebastien salue tout le monde, il leur fait même la bise, évidement il me présente aussi.

Un homme assez grand et fin, tout de noir vêtu, fait son entrée dans les cuisines. Le silence se fait très rapidement alors qu’il se dirige vers nous. Il serre chaleureusement la main de mon nouvel ami et me présente à Monsieur N. Le maitre des lieux n’a pas une beauté d’Apollon mais quelque chose se dégage de lui.

Il précise à Sébastien qu’il attend encore deux invités et la fête sera au complet. Il lui dit de m’amener dans le petit salon où un buffet est à disposition. Il ajoute qu’il va nous rejoindre dès que tout le monde sera là mais qu’on peut déjà commencer à s’amuser.

Nous traversons d’immenses pièces, quand nous arrivons enfin, à proximité d’une salle éclairée d’où s’échappe pas mal de bruit.
Le petit salon doit faire plus de deux fois mon appartement, il y a déjà 8 hommes à l’intérieur. Sur les murs sont accrochés 3 grands téléviseurs qui diffuse des films gay.

Le premier a l’air d’une production américaine, les acteurs ne doivent pas dépasser les 25 ans. Ils sont tous musclés, bien faits et bien montés; pas trop mon genre. Sur l’autre c’est une partouze de mec qui ressemble plus à vous et moi, je sens ma queue frétiller. Le troisième est allumé mais ne diffuse rien.

Je me dirige vers le buffet, je me dis qu’un petit verre d’alcool me fera partir la petite boule que j’ai dans la gorge. Quand je demande au serveur ce qu’ils ont comme alcool il me répond:
« Monsieur N a demandé que l’on serve uniquement des jus de fruits. »
Alors qu’il m’énumère les différents fruits qu’il a en stock, un homme vient se coller à moi.

Il doit remarqué mon air dépité car il me dit:
« Ne t’inquiète pas, après ils serviront du champagne. »
Je l’examine des pieds à la tête et remarque que sa bite pointe hors de sa braguette. Je fais le tour des entrejambes présents et ils sont tous dans le même cas. Avant de prendre un verre je sors aussi la mienne.

Je n’arrive pas à décoller mes yeux de ce sexe qui me fait oublier toute appréhension quand je m’entends dire:
« Ta queue est magnifique. »
Je n’en reviens de parler comme ça à un inconnu mais je crois que sa réponse me surprend encore plus:
« Merci, en plus elle est très douce. Caresses la, tu verras. »

Je ne sais pas ce qu’il me prend, j’ai envie de me mettre à genoux et de le sucer mais je me contente de le branler doucement. Au bout de 3 ou 4 allers retour, alors que son sexe grossit entre mes doigts, je lui confirme qu’il est effectivement très doux. Je continue de balader mes mains sur cette tige quand deux hommes se rapproche de nous.

Le première est à peu près du même gabarit que moi mais à une queue presque infantile.
Le deuxième est un petit black plutôt sec par contre il a une bite énorme qui pend entre ses jambes. Je n’en ai encore jamais vu une de cette taille. Alors que je masturbe toujours mon voisin j’ai envie de profiter de son mat d’ébène.

Nous sommes interrompu par la voix de Monsieur N, qui déclare:
« La soirée va bientôt commencer. Tout le monde à poil. »
Et il tape dans ses mains. Je vois tout le monde autour de moi commencer à se déshabiller alors j’en fait autant. L’homme à la queue douce se colle bien à moi, j’aime son contacte.

Une fois que j’ai retiré tout mes vêtements, je me présente quand même; il s’appelle Henry. J’examine tout son corps, il est légèrement poilu et ses couilles pendent pas mal. Mais ce n’est rien à côte de ses tétons qui me semble énorme. Quand il remarque que je les fixe, il m’explique qu’il les travaille avec une pompe pour qu’ils soient comme ça.

Il att mes deux mains, en repose une sur son sexe de plus en plus tendu et l’autre sur sa poitrine. Alors que je pince un de ses tétons il fait la même chose avec les deux miens. Tout en continuant mes caresses je fais un tour de la salle avec les yeux.

Voir tous ces corps d’hommes complètement nus, m’enivre de plaisir. Certain se touchent comme nous, mais il y a déjà un mec à genoux entrain d’en sucer un autre. Vu que ça fait un moment que j’en ai envie, j’abandonne sa poitrine et m’agenouille devant lui.

Je commence par déposer de petits baisers sur toute la longueur de sa tige puis je descends sur ses couilles. Je remonte tout aussi lentement que je suis descendu, une fois que mes lèvres sont sur son gland, je me mets à le lécher. La seule protestation de mon compagnon du moment est un long gémissement alors que je le prends en bouche.

Je fais coulisser mes lèvres à différents rythme le long de son sexe dur. Je lui malaxe les couilles tendrement. Je le suce de plus en plus goulument quand j’entends une série de coups comme au début d’une pièce au théâtre.
Je le garde en bouche et observe de grandes portes en bois s’ouvrirent.

Je vois apparaitre Monsieur N, lui aussi totalement nu mais avec une cape posée sur ses épaules. Derrière il y a un autre homme, à peu près du même âge qui est dans la même tenue. Henry m’informe que le deuxième homme s’appelle Aloïs, c’est en quelque sorte son second, puis il m’aide à me relever. Monsieur N tape dans ses mains pour réclamer le silence complet et commence à déclamer:

« Messieurs bonsoir et bienvenus dans mon humble demeure. Je vois que vous avez commencez à vous amuser et c’est très bien. Nous allons tout de suite débuter par quelques distractions et ensuite je vous laisserai vaquer à vos plaisir. »
Il se retourne vers Aloïs, chochotte à son oreille puis continue de parler:

« Vous allez tous vous mettre en ligne et nous allons designer la plus belle queue de la soirée. »
Les hommes de l’assemblée commencent à s’aligner et pendant que Henry m’entraine avec lui j’entends le second dire à voix basse:
« Je crois que le choix va être facile. »

Monsieur N se retourne vers lui et lui répond de façon très audible:
« Attention mon ami! Il ne faut pas seulement se fier aux apparences, il faut bien tâter et même gouter! »
Puis il ajoute à notre intention:
« Le vainqueur gagnera deux cents euros. »

Chacun des deux hommes en cape se dirige vers une des exterminé de la file. Monsieur N démarre avec Sébastien alors que son complice prend à deux mains la seule bite noire de la soirée. Je connais déjà la bite de celui qui m’a invité à cette soirée alors je regarde Aloïs faire.

Il branle vigoureusement l’homme pour bien le faire bander puis il se met à genoux devant lui. Il avale son gland et pendant que sa langue doit tournoyer autour de ce morceaux de chaire, il malaxe les grosses couilles devant lui. Une fois qu’il les a bien titiller il empoigne à deux mains ce mat et commence à faire coulisser ses lèvres.

Il a beau s’empaler de plus en plus sur cet énorme sexe, il n’arrive pas à en avaler beaucoup plus que la moitié. Chaque fois qu’il la recrache pour reprendre sa respiration, il utilise toute la salive qu’il a laissé dessus pour branler le mec. Je tourne la tête vers Monsieur N, il est déjà entrain de sucer sa deuxième bite. Avec Henry, on est à peu près au milieu de la ligne, l’attente va être longue mais très excitante.

Le première à se présenter devant moi est Monsieur N, il commence par empoigner ma bite qui est déjà très raide. Ses doigts commence à me pianoter dessus et je frétille dans la paume de sa main. Quand il s’agenouille devant moi pour relever mon sexe et me lécher les couilles, Aloïs s’occupe d’Henry.

Je sens la langue du maitre des lieux remonter le long de ma queue puis avaler mon gland et me prendre en bouche jusqu’à ce que je cogne l’entrée de sa gorge. Sa bouche est très experte du sexe masculin, il applique un doux mélange de succions, aspiration, compression entre ses lèvres mais aussi entre ses dents. Je me retiens pour ne pas gémir.

Quand sa bouche m’abandonne, il me masturbe énergiquement grâce à sa salive. Il me reprend en bouche, fait quelques allers retours et exige de son second, d’échange de partenaires. Alors il reste agenouillé, se décale un peu et me suce directement. Je trouve sa bouche beaucoup moins à mon goût mais avant qu’il me recrache je me retiens quand même pour ne pas jouir.

Quand il m’abandonne, j’ai encore des frissons qui parcourent mon corps pendant un bon moment. J’ai envie de me caresser et me faire jouir mais je n’ose rien, je ne connais pas encore assez les coutumes de ce genre de soirée. Je suis tiré de ma rêverie quand Henry se penche vers moi et me chuchote:
« J’adore la façon de sucer de Monsieur N, mais Aloïs est beaucoup moins expert que toi. »

Je suis d’accord avec ses propos mais aussi flatté. Les deux hommes s’occupent des derniers entrejambe qui pendent devant eux et les font bien se redresser. Ils vont dans un coin de la pièce et reviennent rapidement pour annoncer le résultat. Aloïs annonce:
« Le gagnant est…. Victor. »
Monsieur N, sort deux billets de 100 euros de la poche de sa cape et les tend à l’homme noir.

Victor, sort de la file pour ranger les billets dans son pantalon quand le maitre des lieux reprend sur un ton de cérémonie:
« Monsieur, retournez vous car maintenant nous allons designer le plus beau cul! »
Dans cette position difficile de voir ce qu’il se passe alors j’attends patiemment mon tour même si avec mes fesses poilues je suis sûr de perdre.

Je sens enfin des mains se poser sur mes globes, les masser longuement puis les écarter. Je sens un doigt se poser sur ma rondelle, par réflexe je me contracte mais souffle bien et laisse cet index me faire du bien. Je sens mon petit trou se détendre aussi et même s’ouvrir.

Le petit jeu dure encore un moment quand je reconnais la voix de Monsieur N appeler:
« Aloïs, viens voir. »
Les mains se remettent à masser mes fesses alors qu’il continue de s'exclamer:
« Regarde ce beau cul qui ne peut être qu’à un mec! »
Il les écarte encore plus qu’avant et rajoute:
« Et cette rondelle bien serré qui semble vierge. »

Je sens une langue se poser sur ma raie est descendre jusqu’à mon oeillet. Cette fois c’est une bouche qui me masse et m’ouvre jusqu’à me pénétrer. J’ai de plus en plus de mal à me retenir de gémir alors je mords mes lèvres et me cambre un peu plus. La bouche se retire mais un doigt la remplace et commence à aller et venir un peu trop brutalement dans mes entrailles.

La voix d’Aloïs dit:
« Un peu trop serré quand même, non? »
Le doigt décule doucement et est remplacé par un autre bien plus doux. Le plaisir reprend le dessus et de nouveau je suis obligé de me mordre les lèvres quand Monsieur N conclue:
« Justement, c’est sa qui est bon. »

Le doigts me quittent délicatement, des baisers se posent encore sur ma rondelle et mes fesses puis les deux hommes continuent leur inspection. La sensation est très différentes des fellations de tout à l’heure mais j’ai tout aussi du mal à reprendre mes esprits. Cette fois je suis coupé dans mes songes par le mettre des lieux qui demande:
« Retournez vous! »

Ils ne vont pas se concerter mais il déclare directement:
« Le vainqueur est Romain. »
Et il me tend deux billets de 100 euros. Je sens la chaleur me monter au visage, je dois avoir les joues toutes rouges. Je suis très gêné, avec mon argent dans les mains, quand j’entends:
« Maintenant nous allons unir la plus belle queue avec le plus beau cul. »

Je commence à bredouiller que je ne veux pas quand Monsieur N s’approche de moi et me prend à part pour me demander des explications. Je luis dis que je n’ai rien contre Victor ou le fait de me faire sodomiser mais que j’ai repris la baise entre homme que très récemment. Je pensais qu’il avait compris mais me demande de finir ma phrase alors je lui chuchote à l’oreille.
« Son calibre me fait peur, je vais avoir trop mal. »

Il prend mon visage entre ses mains, mais avec douceur puis me chuchote à son tour:
« Fais moi confiance, Victor sait y faire. Tu vas voir après c’est toi qui en redemandera. »
Il laisse un moment de silence et me dit:
« Ok? »
Pour que je confirme. Je fais oui de la tête, il dépose ses lèvres contre les miennes.

Quand nos visages se décollent, il se retourne et se dirige vers Sébastien sur un ton énervé:
« C’est quoi ces vierges effarouchées que tu nous amènes? J’en ai marre de toi! »
Il claque dans ses mains avant de crier:
« Qu’on amène la croix de Saint André! »
Je ne connais pas ce truc mais vu le large sourire de Sébastien je me dis qu’il va aimé sa punition…

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