Du Fantasme A La Dépravation ....1
Il vient de partir me laissant pantelante, jai mal partout, aux reins, aux cuisses, a
la mâchoire, a la chatte, a mon petit trou, je suis passée sous un véritable rouleau
compresseur ,une vraie machine a baiser , je suis devenue son esclave sexuelle
Il cest Jean-Luc mon beau père, le copain de ma mère, cela a commencé un dimanche
lord dune réunion de famille ou sortant de la salle de bain doù je venais de me
laver les mains après avoir fait pipi, quand je suis repassée devant les w c mon beau
père posté de coté urinait sans avoir fermé la porte, jai pus voir son sexe,
stupéfaite jai marqué un temps darrêt, il tenait entre ses mains un sexe énorme,
comme une grosse andouillette brune, mayant vue il a eu un mouvement de recul puis se
ravisant il sest posté face a moi et tirant sur la peau de son membre a dévoilé un
gland monstrueux ,un rictus étrange déformait son visage, je me suis précipitée dans
le salon rejoindre les autres invités le feu aux joues
- Que tarrive t il Mélodie ? tu as vu le diable ?
- Oui !! non !!... ce nest rien un simple étourdissement !
- Tu nes pas enceinte au moins ?
- Ne parle pas de malheur ce nest pas prévu au programme nest pas chéri ?
- Il faut attendre encore que jai un travail prés de chez nous, peut être dans
six mois
Mon beau père revenu des WC prend part à la conversation
- Ah cest vrai tu ne rentre que le weekend, dit moi Alain pourrait tu me prêter
ta remorque cette semaine ?
- Bien sur Jean -Luc vient la cherchez a la maison Mélodie sera là
Jean- Luc ma regardée dun air étrange
- Je téléphonerai avant de passer afin que dêtre sûr quelle soit là
A partir de ce instant là je me suis mise à fantasmer
il va a nouveau me la montrer,
je lui sucerais sa grosse bitte sil me le demande, a coté Alain fait figure de petit
garçon
cette grosse bitte doit faire du bien au vagin de maman, elle y fait allusion
quelquefois avec ses copines
.
un bon mari son salaire tévite de travailler
..
Le lundi matin vers neuf heures une voiture entre dans la cour, cest Jean-Luc ! Il
devait téléphoner avant de venir
je suis encore en robe de chambre, il frappe et sans
attendre de réponse entre carrément dans le couloir
- Mélodie ! tu es là ?
- Oui, oui je suis à la cuisine
- Tu nes pas encore habillée à lheure quil est ?
- Il est a peine neuf heures je sors de la douche !
- Muuuuuummmmm tu es donc nue là dessous ?
- Euuuuhhh
.. servez vous un café je vais mhabiller
Je file dans la chambre et ferme la porte, je fouille dans la penderie pour prendre
des sous-vêtements, jote ma robe de chambre pour enfiler le soutient gorge quand la
porte souvre, mon beau père entre dun coup, la fermeture éclair de sa combinaison de
travail est ouverte de haut en bas, son sexe dépasse encore plus gros et plus long que
dimanche, il bande monstrueusement
- Regarde ma fille tu ne la pas bien vue dimanche approche vient la caresser,
laisse tomber tes vêtements tu es si belle a poil, tu as de beaux seins dit donc,
Alain doit se faire un plaisir de mettre sa queue entre les deux !
- Sortez ! et puis dabord il ne me fait pas ça
- Alors je vais te le faire tu men diras des nouvelles
Il vient vers moi et me pousse sur le lit, je tombe les bras écartés les jambes
pendantes ouvertes dans une position qui laisse à penser que je suis consentante,
lhomme ôte en un éclair son seul vêtement et se jette a cheval sur moi, sa carrure et
sa puissance empêchent tous mouvements de ma part, je ne peux que battre des jambes
désespérément, sans doute pour faire illusion et donner le change
- Arrêtez ! arrêtez ! je le dirais a maman
- Tu ne lui ferais pas de mal tout de même ! elle serait trop malheureuse, cesse
de résister, depuis que tu as vue ma queue tu meures denvie de te la prendre, je me
trompe ? pose tes mains sur elle et tâte sa raideur avant que je te la mette entre
les seins, ALLEZ ! FAIS-LE !!
Sa voix mabasourdis, ses yeux expriment la colère oserait-il me frapper ? Mis
constante mis peureuse je saisi la queue dont mes doigts sont loin den faire le tour,
lil menaçant de son gland pleure dune énorme larme lubrifiante
- Décalotte moi salope, et presse tes nichons très fort sur ma bitte, je vais
mettre un oreiller sous ta tête a chaque coup de rein tu avaleras mon gland
Joublie toute pudeur et presse mes seins sur le membre qui commence à coulisser
librement grâce a son liquide séminal, au premier coup le gland butte sur mon menton
- Relève ta tête encore plus trainée !
Il donne des coups de reins puissant la queue pénètre de plus en plus loin dans ma
bouche a chaque poussée, je salive de bonheur, lhomme râle longuement avant de lâcher
son foutre jen prends plein la figure et la gorge jai même un il bouché, ça le fait
rire a gorge déployée
- Excuse moi je vise mal, la prochaine fois tu lauras si profond dans la gorge
que tu ne rateras pas une giclée, maintenant montre moi ce que tu as entre les
cuisses, expose ton bijou avant que je ne lexplose ha ! ha ! ha ! ha !
Je suis dans un état dexcitation tel que je refuse plus rien je veux être sa chose,
je veux cette queue dans le ventre, je remonte mes talons au plus prés de mes fesses
avec mes doigts je finis douvrir ma moule qui baille denvie
- Putain quelle chatte ! tu dois être plus serrée que ta chaudasse de mère
.
Ahhhh oui ! jarrive à peine à planter deux doigts, fait voir ce clitoris ?
.
Huuuuummmmmm il bande, je vais te le bouffer
.
- Oui bouffez moi léchez moi la chatte avant que vous ne me baisiez
- Ahhhh te voilà raisonnable ! cest bien nous perdrons moins de temps la
prochaine fois ! bon jy vais
..
Il se jette sur ma vulve comme un affamé, je soulève mon bassin pour que sa langue
soit le plus efficace possible, ce salaud me plante aussi deux doigts dans le cul, je
pousse des mugissements à faire trembler les murs, des jets puissant fusent de mon
vagin le dessus de lit est trempé
- Je crois que tes prête je vais te bourrer a quatre patte, cambre toi a fond,
je ne veux voir que tes trous, écarte bien les genoux que je mapproche au plus prés
de ton cul
Le nud écartèle mon vagin, marrachant des ondes de plaisir intenses il commence des
vas et vient de plus en plus amples
- Écarte bien les cuisses je vais te lenfoncer jusquaux amygdales, tu es
serrée tu va la sentir passer décontracte toi bien
- Ouvre-moi ! défonce-moi, personne na encore été au fond
- Alors je vais tagrandir la chatte a tout jamais, demande a ta mère comment je
lai déformée
..
- Je sais, moi aussi je veux me faire saillir comme une pute
- Jaime quand tu parles comme ça
hooouuuuummmmmm que cest bon une matrice de
jeune femme !
- Wooooouuuuuaaaaaahhhhhh va yyyyyyyyyyyy !!!!!!! je te sens bien ! cest
énooooooorrrme, ça frotte partoooooouuuut je vais jouir encore
- Tu va jouir encore et encore ma fille ! cest trop tentant je vais enfoncer
mon pouce dans ton boyau
- NOOOOONNNN !
- Trop tard ! il est entré jusqua la fourche
- Hhooooooooh baise moi à fond
- Cest parti
Les deux mains accrochées a mes hanches menues il me secoue comme un prunier, la tête
dans les mains je couine et lance mon cul a sa rencontre, ses couilles frappent
violement ma chair, un jus glaireux glisse entre mes cuisses, mes poils sont collés,
mes lèvres sont boursouflées, nous somment en sueur tous les deux, je sens le point de
non retour arriver sa verge se contracte régulièrement , il me bloque sur lui pour
sépancher au fond de mon ventre , les jets qui percutent ma matrice déclenche un
dernier orgasme , je me laisse tombe sur le coté complètement anéantie, mon souffle
redevient peu a peu normal , il séclipse en douce, jai dormis le reste de la journée
Le lendemain mon portable sonne
- Léo ? cest toi ? tu es partit sans me dire si nous pouvons nous revoir
.
- Tu y tiens vraiment ?
- Je suis a- croc de ta queue
- Tu es prête à faire tout ce que je te demanderais ?
- OUI ! OUI ! tout ce que tu voudras
- Alors rend toi dans la pinède cet après midi a quinze heures, évidement nue
sous une robe courte
- La pinède ? ce nest pas là ou des voyeurs viennent se rincer lil ?
- Oui ça te gêne ?
-
.. Jy serai
Je laisse le soin à Léo de raconter la suite
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