Collection Anne Ma Muse. Comptable, Je Fais La Pute Pour Aider Mon Patron (2/2)

- Anne, j’ai besoin de vous à double titre, pouvez-vous vous libérez demain soir auprès de votre mari !

C’est comme ça que Jean, mon patron me propose une chose incroyable pour moi femme de 58 ans toujours fidèle depuis ma rencontre avec Pierre qui est mon ami.
Je travaille à la comptabilité d’une entreprise de transports.
Jean qui, au moment du début de mon histoire, je n’appelle que « patron » me fait une proposition plus que mal honnête.
Soit, je viens à ce repas, soit je signerai à Pôle emploi et ce à quelques mois de ma retraite.
Je devrai me faire passer pour son amie, en un mot sa maîtresse, et au cours du repas, je dois regrouper les informations pour faire rapidement une proposition de prix à ce client africain, en présence de Gisèle, une escorte destinée à séduire Monsieur Abdalla

La soirée ne se déroule pas exactement comme me l’avait vendue mon patron.
Gisèle la pute qu’il a embauchée pour satisfaire Abdalla est plate, pas de seins apparents et son client n’aime que les femmes ayant du chien comme moi, des femmes avec des formes.
Souvenir de sa nourrice l’ayant dépucelé dans son pays !
Du chien, je devrais plutôt dire de la chienne, c’est ce que je deviens après que Jean m’eut fait une proposition malhonnête.
10 000 € pour coucher avec Abdalla qui a flashé sur moi !
Il n’hésite pas à proposer à mon patron de baiser sa maîtresse, je ne sais plus comment il me dit, ah oui, une partie carrée dans sa chambre.
Si j’ai le sens de l’entreprise, mon patron l’a aussi, il est en train de sauter Gisèle, à l’ancienne sur le lit, alors que je suce Abdalla, première verge noire que ma langue caresse du mieux que je peux.
Du mieux que je peux car elle est si épaisse que je n’arrive pas à la mettre en bouche.

Même ses boules que je soupèse n’arrivent pas à entrer dans ma bouche.
Qu’importe, il me relève et fait tomber ma robe.
Je me retrouve seins nus, seins de femme mure qui semblent le fasciner, sexe nu et lisse.


Je dois dire, quand je me suis préparée à cette soirée, que j’ai essayée le string, la ficelle n’étant pas agréable entre mes fesses, j'ais décidée de sortir à ce diner la chatte à l’air.

Incroyable, ma bouche a été incapable de faire rentrer ce pieu, mais quand je suis pendu à son cou, sa verge trouve son chemin et entre en moi facilement, tellement je suis mouillée.
À partir de là, inutile d’en dire plus, j’en suis incapable !
Il me fait monter et descendre, un premier orgasme suivi d’un deuxième, un troisième.
À partir de là, rideau, j’ai dû tomber dans les pommes.
Ce fut fabuleux.

Je reprends vie, je suis moi aussi couchée sur ce lit qui doit mesurer deux mètres de large.
Je n’avais pas remarqué ce détail en entrant tellement concentrée sur ce qui allait m’arriver et surtout ce que je devais faire.
Ce qui allait m’arriver, non, ce qui m’arrive.
Je suis encore enfoncée dans la verge d’Abdalla qui m’a fait basculer et qui est sous moi.
Son sexe est dure, entièrement bandé.
Là encore, depuis mon mariage puis avec Pierre je n’ai connu que la simple position sur le dos, les cuisses écartées.
Abdalla est toujours aussi puissant, mais ce qu’il dit à Jean me glace le sang.

- Dis-moi, Jean, on est copain, tu me prêtes ta maîtresse, c’est sympa, l’as-tu déjà enculée ?
- Bien sûr, nous sommes un couple moderne, pourquoi ?
- Viens derrière Anne et sodomise-la, tu verras deux verges en elle, elle en redemandera !

C’est ainsi que malgré sa promesse Jean quitte Gisèle qui a un sourire ironique, nul doute qu’en temps normal, c’est elle qui se serait retrouvée entourée de deux hommes dont l’un place sa verge sur mon anus inviolé à ce jour.
Inviolé, pas pour longtemps car comme j’ai le bâton d’Abdalla dans la chatte, je suis tellement réceptive que je me fais prendre en double pénétration sans aucune douleur.
Un instant une image traverse mon cerveau comme celle de la piscine.

C’est Jean qui est sous moi et Abdalla qui m’encule.
Ce serait impossible me dis-je dans un éclair de lucidité.
J’échappe à la déformation à vie de ma rosette, quoi que, si l’on m’avait dit que ma chatte était capable d’avaler un tel sexe, j’aurais crié au viol.

Combien de fois, mon corps et surtout mon intimité sont à l’unisson des deux bites qui sont maintenant entièrement en moi.
Si je me retourne une seconde sur ma vie, devenant de plus en plus gnangnan, cette soirée risque de devenir le point d’apothéose.
Je n'ai jamais connu pareille situation mais aussi pareil plaisir !
Baisée en double pénétration, je savais que ça existait, mais si j’avais le fantasme des grosses bites noires, celui-là n’était pas dans mes plans.
Mais que c’est bon, merde, la sensation est si bonne que je crains de trouver mes moments d’intimité avec Pierre, d’ailleurs trop rares un peu fades.
Je n’oublie pas que j’ai un âge qui avance et payer des gigolos pour retrouver ces sensations, je ne dois même pas y penser, surtout quand je vois Gisèle qui doit se faire payer très cher.
Faire l’escorte moi aussi, encore moi, très peu pour moi car le fric dans mon aventure est secondaire, il n'y a que le risque de chômage qui me fait peur, toujours ces putains de trimestres qui me manquent.

Gisèle doit se sentir seule, a-t-elle l’impression que je gagne son fric pour elle ?
Aime-t-elle plus les femmes que les hommes ?
L’appât du gain est le plus fort et elle accepte des verges en elle alors que ce sont les femmes qui semblent être son fantasme, c'est ce que je ressens.
Et les femmes ont des intuitions qui se vérifient souvent.
Quand elle se penche, c’est sa bouche qui me touche le lobe de l’oreille.
De son autre main, elle me prend le sein qui est à sa portée.
Si j'en avais fait autant avec les siens, ma main aurait largement suffi à les couvrir, elle doit avoir un bonnet A alors qu’elle est dans l’impossibilité de le faire sur les miens qui sont des bonnets D.


J’ignorais, c’est un mot qui revient souvent dans mon aventure, j’ignorais que le lobe de l’oreille titillé, mes seins câlinés et doublés de deux sexes en moi pouvaient être aussi jouissifs.
Je m’embrase, je suis en feu, j’ai un peu mal partout d’être la proie de ces trois garçons.
Gisèle quitte mon oreille pour me donner sa bouche.
J’avais entendu dire qu’une pute ça n’embrasse pas.
Je sens que le courant passe si bien entre nous qu’elle a dépassé les barrières des préjugés entre pute et client, bien que je l’aie vu mettre une enveloppe dans son sac avant de sucer Jean.

Les deux bites en moi, commencent à s’énerver, je veux rester lucide, ne pas perdre le contrôle de moi-même, là encore non pas parce qu’une pute ça ne jouit pas.
Mais je ne suis pas une pute, je suis la comptable de l’entreprise de Jean et je jouis deux fois plus de la situation quand les hommes déchargent de longs jets de sperme en moi.
Je sens dans mes conduites une chaude sensation qui m'envahit.

Je sens qu’on me libère, je me trouve allongée le long du corps de Gisèle, je sens du sperme couler, sortant de ma chatte et de mon anus.
Mes deux hommes devaient avoir des bourses bien remplis.
J’ai eu beau dire que je voulais rester lucide, j’ai dû perdre pied, j'ai eu des absences pendant quelques minutes dont quelques minutes de ma vie seront de nouveau perdues à vie.

Gisèle a son regard dans le mien.
Je n’avais pas vu que ses yeux sont d’un bleu profond.
Les hommes se lèvent et partent vers la salle de bains.
La main de ma nouvelle amie se pose sur ma chatte.
Le sperme ne semble pas l’effrayer, elle glisse deux doigts dans ma chatte, j'entend un bruit de sucions quand elle me caresse.
Bien sûr ils entrent sans mal, c’est à ce moment qu’elle me fait une chose que je ne croyais pas possible.
Ses doigts en crochet trouvent le point improbable de la femme, ce fameux point qui fait tant fantasmer les hommes et les femmes.

Le point G, la jouissance qu’elle déclenche quand son extrémité vient masser cette petite surface n’a d'égale que celle que j’ai eue quand les garçons ont déchargé dans mes deux orifices.
Je veux lui rendre le pareil, mais je n’en ai pas le temps, comme la liane qu’elle est, ses doigts m’abandonnent, sortent de mon vagin.
Elle glisse le long de mon corps.
Je peux dire que cette soirée restera celle de toutes mes découvertes, non pas sa bouche sur mon vagin, mais moi qui écarte mes jambes pour mieux lui offrir mon abricot.
Me faire lécher du vagin à mon anus, récupérant au passage le sperme de ces hommes que j’entends se doucher dans la salle de bains, rigolant assez fort.
Est-ce moi qui suis l’objet de ce que je pourrais prendre comme des moqueries ?
Je m’en fiche, je vis une nouvelle vie.
Une vie hors des tabous, une vie de fantasmes que je réalise avant de les faire apparaître dans mon cerveau.

Avais-je déjà pensé à celui-là, la chatte entièrement dépourvu de poils sur ma bouche qui s’ouvre pour la recevoir ?
J’écarquille les yeux devant cette mangue fendue, qui suinte de désir.
Est-ce moi qui a mon âge réussit à apporter du désir à une personne de mon sexe ?
Mes mains écartent cette fente et ma langue comme elle me le propose entre récupérer ces perles qui coulent l’une après l’autre.
Sa langue me fait du bien, la mienne aussi quand je la sens se tortiller, se plaquant sur mes lèvres.
De longs jets d’un seul coup se déversent dans ma bouche.
Ça me fait le même effet que lorsque je bois une coupe de champagne.
Je déglutis, il en vient encore, ça coule à la commissure de mes lèvres.
Je suis calice qu’elle remplit et qui se vide par le bas dans mon estomac.
À mon tour, je pars, dans l’impossibilité d’exprimer le plaisir que Gisèle m’apporte.

- Bravo les filles, vous êtes superbes, vous nous avez donné un véritable spectacle porno lesbien.
Allez à la douche, il faut que je dorme, demain j’ai un client à voir à 9 heures.

Nous nous levons, Gisèle prend son sac à main.
Elle entre dans la douche, la cabine se remplit rapidement de buée.
Pour combien se prostitue-t-elle ?
L’enveloppe est là, je l’ouvre, 1, 2, 3, 10 billets de 200 €.
2 000 € la soirée, si je calcule rapidement 10 passes par mois, 20 000 €, en un soir elle se fait autant que moi en un mois.
Bien sûr ce soir, je suis bien mieux payée qu’elle, j'aurai 10 000 €, même si Jean ne me les a pas encore donnés, j’ai confiance comme il a eu confiance en moi.

Rhabillée, je rentre chez moi, Pierre dort, c'est normal, il est presque 2 heures.

- As-tu passé une bonne soirée ?

Il se retourne et se rendort, ce sera la seule chose qu’il me demandera.

Le lendemain, je suis un peu en retard au boulot.
Carrément 5 heures, j’arrive après la pose déjeuner.
Sur mon répondeur un message.

- Dès que tu es là, passe à mon bureau.

J’entre il est seul, je referme la porte.

- Viens là.

Je contourne son bureau, il me tend une enveloppe.

- Je t’avais promis 10 000, les voilà.
- Tu as signé ton contrat ?
- Non, il vient d’appeler, le rendez-vous de ce matin c’était avec un autre transporteur, il a signé avec lui.
- Je suis renvoyée, malgré tous ce que j'ai fait pour nous ?

Il me glisse sa main entre les jambes, je n'ai que ma jupe courte et mon pull moulant.
Je m’appuie sur son bureau, les pattes coupées par l’attaque, mais j’écarte mes cuisses pour qu’il m’atteigne plus facilement surtout qu’il contourne ma culotte.

- Non, il m’a donné le nom d’un ami qui a besoin de faire plus de voyages dans son pays.
Nous avons rendez-vous ce soir dans un autre hôtel de haut standing.
Tu as déjà la robe, une autre enveloppe pour toi pour m’accompagner.
Es-tu prête à te libérer ?
- Oui !

Qu’il est facile de faire la pute, pardon, l’escorte même à 58 ans.
Mais dans quoi vais-je m'embarquer ?
Qui sera ce soir à table, avec mon patron et moi ?

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