Marie, Paul (Le Mari), Alain (L'Amant)

Marie passa le reste de la journée, comme dans un rêve, à parler, rire, faire le service, entre son mari et son nouvel ami, elle ne voulait pas encore parler d’amant. Vers 16h, les deux hommes allèrent s’occuper de la branche tombée dans la propriété, pendant qu’elle s’occupait de ranger.
Après quoi, elle alla s’allonger, pour se reposer, sur le canapé du salon de jardin. Il n’y avait pas un bruit. Elle se dit : ça fait du bien avec ce soleil encore fort !

A l’instant où elle pensait fort, elle revit l’image du sexe de Alain, devant ses yeux. Elle se remémora, la taille et la chaleur de cette bite bien raide rentrant dans sa bouche. Son goût, sa douceur sur sa langue, c'était si nouveau.

Cette évocation, lui donna une bouffée de chaleur. Elle sentit son ventre se contracter. Ne pouvant se retenir, elle écarta les cuisses, baissa sa culotte, commença par se caresser doucement.
Lentement ses doigts descendaient le long de ses grandes lèvres. A l’entrée du vagin, elle sentit l’humidité. Elle remonta, pour venir titiller son petit bouton rose, déjà très sensible. Elle avait fermé les yeux, se mordait les lèvres. Ses doigts reglissèrent, le long du sexe, elle ne put résister à l’envie de se pénétrer.
Son majeur, appuya légèrement, ses lèvres s’ouvrirent, elle sentit les muqueuses humides et chaudes. Elle enfonça son doigt au plus profond, dans le même temps elle appuyait la paume de sa main sur son pubis, et par un mouvement du poignet, se masturba en faisant des va et vient avec son doigt et en frottant son clitoris. Toujours en pensant au sexe de son voisin planté dans sa gorge.
Elle partit tout à coup dans une jouissance intense, dans un râle de plaisir, elle détendit ses jambes qu’elle resserra très fort pour emprisonner sa main entre ses cuisses le plus longtemps possible. Après quelques minutes, elle sortit de sa torpeur, libéra sa main, qu’instinctivement, elle porta à sa bouche. Elle aimait bien, après le plaisir, lé-cher ses doigts et goûter sa mouille, ou du sperme, si un homme avait éjaculé en elle !
Elle remit précipitamment de l’ordre dans sa tenue, car elle entendait Paul et Alain revenir.



Elle voit les deux gars arriver, en riant, se racontant des histoires, comme de vieux copains de régiment.
Marie : Alors cette branche ?
Paul : Liquidée, il n’en reste que des fagots pour la cheminée. Alain une dernière bière ?
Alain (regardant marie) : Non merci j’ai assez abusé de votre gentillesse.
Paul : Non, reste, je vais sortir le barbecue, Marie qu’en penses-tu ?
Marie : Si tu veux mais je ne fais rien, c’est vous qui travaillez les garçons.
Paul : Ok ma chérie, je m’occupe de tout, reste dans ton canapé.
Alain : Bien j’accepte, mais je vais quand même aller prendre une douche, car cette branche nous a bien fait transpirer.
Paul : Vas-y, tout sera prêt quand tu reviendras.

Après 30 minutes, quand Alain réapparaît, le feu est en route. Il voit Marie mettre la table dans la salle à manger.
Alain : Coucou me revoilà, le cuistot est parti ?
Marie (surprise) : Oh ! non, non il est monté prendre une douche aussi, il va redescendre dans quelques minutes. Mais qu’as-tu apporté encore ?
Alain (se rapprochant doucement) : 2 bouteilles de rosé bien fraîches.

Ils étaient tout proches, il la fixait. Elle lui prit le vin des mains, se retourna pour le poser sur la table. Alain lui prit la taille et se colla, contre elle. Il lui embrasse le cou, juste sous l’oreille. Elle ne bougeait pas, savourait ce baiser, juste là où ça lui faisait des frissons, partout, surtout dans le bas-ventre.

Marie (se reprenant) : Arrêtes, Paul va redescendre d’une seconde à l’autre.
Alain (lui prenant les seins) : J'ai envie de toi.
Marie (cherchant a se défiler) : Oui mais tout de suite pas possible, soit un peu patient.
Alain (la lâchant) : Ok mais je veux que tu enlèves tes sous-vêtements, que tu sois nue sous ta robe, durant toute la soirée
Marie : Mais ça ne va pas !

Paul arrivant, ils s’écartèrent l’un de l’autre. Les hommes, comme convenu, préparèrent le dîner, pendant que Marie, les regardait assise dans un fauteuil.

A chaque fois que Paul sortait pour s’occuper du barbecue, Alain lui disait doucement, d’aller se mettre nue sous sa robe. Elle le fixait en souriant, elle se demandait quoi faire. Son mari, sa pudeur, lui disaient qu’il ne fallait pas rentrer dans ce jeu. La partie coquine de son cerveau lui disait, "vas-y".

Le repas se passe dans la bonne humeur, les rires, et surtout le rosé qui coule à flot. Ce sont surtout les 2 garçons qui boivent, Marie, préférant avoir les idées claires, car elle se doute bien qu’a la première occasion, Alain va se jeter sur elle, et elle ne sait pas si elle va pouvoir résister longtemps.

Paul revenant, en titubant de la terrasse où il est allé s’assurer que le barbecue était bien éteint, s’affale, dans un fauteuil, il commence une phrase incompréhensible, et s’endort en ronflant bruyamment. Marie et Alain se regardent droit dans les yeux.
Marie (se levant et sortant sur la terrasse) : Alain je crois bien que la soirée est terminée.
Alain (s’étant rapproché rapidement) : Non au contraire elle ne fait que commencer.

Et la prenant dans ses bras, il l’oblige à se retourner et il pose ses lèvres sur les siennes.

Marie (tournant la tête légèrement) : Il ne faut pas Alain, et puis il y a Paul qui peut se réveiller à tout instant.
Alain : Vu ce qu’il tient, il ne va pas émerger avant plusieurs heures. Et je sais que tu en as envie autant que moi.

En disant ça, il la serre contre lui, ses mains passent, dans le dos et sur les fesses de Marie.
Ils s’embrassent. Et tout à coup Alain sursaute, il s’écarte, tire sans ménagement, sur le devant de la robe, qui s’ouvre, et laisse apparaitre le corps nu de la maîtresse de maison.
Les boutons se sont ouverts les deux pans sont écartés, Marie n'a ni soutien-gorge ni culotte.

Alain (s’écartant pour apprécier la vue) : Mais tu es magnifique, tes seins sont superbes, tu es comme ça depuis quand ?
Marie (avec un large sourire) : Depuis le début du repas, quand nous sommes sortis de la cuisine, toi et Paul vous étiez devant j’en ai profité.

Alain : Et moi qui n’ai rien vu, ça t’a fait quoi ?
Marie (se serrant contre lui) : J’ai mouillé toute la soirée.
Alain (la faisant se retourner) : Cochonne, tu vas voir !

Puis la faisant se pencher en avant, il relève la robe sur ses reins. Il sort son pénis tendu, le guide vers la grotte en feu, en le tenant dans une main. A peine à l’entrée, c’est Marie qui d’un geste brusque s’empale sur la bite. Elle est remplie, ils ne bougent pas, ils savourent ce moment où pour la première fois leurs deux sexes se rencontrent, se touchent, se pénètrent. Au bout d’une minute, il ressort lentement. Son gland est à la lisière des grandes lèvres. Il rentre, ressort, recommence ce va et vient. Il la tient par la taille, il va de plus ne plus fort, de plus en plus vite.
Elle gémit, soupire fort. Ses bras posés sur le dossier d’un fauteuil, elle se cambre un maximum, pour qu’Alain puisse s’enfoncer au plus profond de sa chatte en feu.

Alain ( la limant de plus ne plus fort) : Jouis, vas , tu aimes te faire défoncer hein tu aimes ! (criant presque) dis-le.
Marie (en jouissant fort) : Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore ta bite, défonce moi, fort, fort, ouiiiiiiiiii ouiiiiiii , oooooooooooh oui, je mouille, c’est trop bon, trop bon.

Puis elle tombe à genou. Alain qui n’a pas joui reprend son souffle. Elle se retourne, tombe nez à nez avec le pénis toujours tendu. Elle le gobe et le lèche lentement. Elle récupère sa mouille.

Alain (la faisant se relever) : Viens-je ne veux pas jouir dans ta bouche mais dans ton sexe.

Elle le suit sans rien dire, encore sonnée par son orgasme. Ils rentrent dans la salle à manger.
Pendant qu’Alain se met nu. Elle remarque que Paul dort toujours et il est plus allongé sur son fauteuil.
Alain (se couchant sur le canapé) : Viens te mettre sur moi, je veux pouvoir te caresser les seins, les embrasser, t’embrasser, ne t’occupe pas de lui, il dort bien, viens.

Très lentement, elle vient enjamber Alain, s'assied sur les jambes de son voisin, elle passe la main entre leurs corps, et guide la tige vers son ventre, où elle s’enfonce une nouvelle fois, très progressivement.
Ils sont les yeux dans les yeux, elle se penche en avant, leurs bouches se rencontrent, pour un baiser fougueux, où les langues et les salives se mélangent.
Il voit, il sent ses seins lourds, sur sa poitrine, leurs lèvres se séparent.

Marie, se relève, elle est assise sur le sexe d’Alain, qui est au plus profond de son intimité.
Ils se regardent, elle prend appui sur la poitrine de son amant. Il lui caresse les dessous des seins, là où la peau est fine et soyeuse. Il remonte sur les côtés de ses mamelles, elle frissonne de plaisir, ses tétons pointent tout durs. Alain se redresse, et enfouit le visage entre les deux seins lourds et denses.

Ils les embrasse, mordille les bouts qui se rallongent. Marie commence à bouger le bassin d’avant en arrière, toujours empalée, elle frotte son clitoris contre le pubis d’Alain, elle ferme les yeux, savoure ce moment, c'est elle qui se masturbe par ces mouvements.

Tout à coup elle sursaute car deux mains douces, viennent de faire glisser la robe en jean qu’elle avait conservée ouverte. Les mains descendent le long de son dos, glissent sur sa raie, pour venir à l’entrée de sa chatte (déjà bien remplie), et finir par une caresse sur les testicules de son amant.
Marie se retourne et est face à son homme, face à Paul qui la fixe avec un beau sourire.

Marie (cherchant à se mettre debout) : Paul, je suis désolée, je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça, je t’aime.

Et elle se met à pleurer.

Paul (se collant contre elle, et l ‘embrassant sur la joue) : Ne bouge pas ma chérie, moi aussi je t’aime, tu es tellement belle quand tu jouis en faisant l’amour. Tu viens de réaliser un de mes fantasmes, te voir faire l’amour avec un autre homme.
Marie (reprenant ses esprits) : Merci mon amour, mais c'est sincère ?

Elle se tourne, pour le prendre dans ses bras, toujours plantée sur le pénis d’Alain, (qui ne bouge et ne parle pas). Ce dernier observe la scène mais son sexe reste bien dur, preuve qu'il apprécie la situation nouvelle. Elle s’aperçoit à cet instant que Paul est complètement nu. Et avant qu’elle ne parle, Paul l’embrasse, à pleine bouche. Sa main droite descend sur ses fesses, et vient se positionner sur son petit trou.
Alain commence à bouger. Marie se penche en avant, offrant sa croupe à Paul qui en-fonce doucement deux doigts mouillés de cyprine, dans l’anus de sa femme. Elle tourne la tête, vers son mari, lui fait comprendre, qu’elle veut le sucer en ouvrant la bouche. Il s’approche, elle le prend en bouche, le couvre de salive, le lubrifie un maximum.

Marie (reprenant sa position) : Sodomise-moi, j’ai envie de vous sentir tous les deux en moi.

Paul se positionne derrière sa femme qui se cambre un maximum pour présenter son œil-let, Paul pose son gland, appuie et se sent comme aspiré. Il se retrouve au fond, les couilles contre les fesses de sa femme, qui pour ne pas montrer la douleur, embrasse Alain.
Après un instant sans bouger, les deux hommes se mettent à faire des va et viens, à leur rythme.
Marie après quelques minutes, jouit quand Alain éjacule et jouit lui aussi au fond de son vagin.
Elle sent la chaleur du sperme en elle. Elle est tellement mouillée, que tout de suite elle sent, couler sous elle un liquide chaud. Alain doit éjaculer beaucoup se dit-elle. Elle ne bouge plus, seulement secouée par les coups de reins de Paul qui continue toujours, qui, la tenant par la taille, accélère de plus en plus vite et fort.

Paul (au moment où il jouit) : Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaa, c’est bon de jouir comme ça, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tu es trop bonne ma chérieeee, j’adore quand tu te laisses baiser comme une chienne hooooooooooooooooooo ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Quelques minutes plus tard, ils sont assis les trois sur le canapé. Ils reprennent leurs esprits, ils semblent comblés, satisfaits, heureux.

Marie (souriante) : Vous m’avez tendu un piège tous les deux !
Paul : Quand nous sommes allés voir la branche, Alain n’a pas arrêté de me faire des compliments sur toi, ta beauté, ta douceur, ta peau, ton sourire, ton corps. il a continué en me disant, je cite : "Que tu devais être bonne au pieu". Depuis longtemps, tu sais que j’ai pour fantasme de te voir avec un autre homme, alors, nous avons convenu, le petit stratagème de ce soir. Il devait essayer de te séduire, pendant que je faisais semblant d’être ivre. Et ça a marché.
C’était magnifique.

Et se tournant vers elle il lui dépose un baiser sonore sur la joue. Alain a écouté en silence, il a rougi.
Alain (faisant la même chose) : Tu es superbe et j’avais raison super bonne.
Marie (se levant) : Merci messieurs pour tous ces compliments et tout ce plaisir que vous m’avez donné, mais vous avez quand même un gage pour m’avoir utilisé.

Ce faisant elle passe sa main sur son sexe, récupère du liquide sur ses doigts et leur donne à lécher. Les deux approchent leurs lèvres et avidement ils lèchent ces doigts qui sont trempés.
Ils sont si proches l'un de l'autre que leurs têtes se touchent.

Marie (une fois bien nettoyée) : Et maintenant, au lit les gars.

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