Collection Homme Femme. En Famille (1/5)

Je m’appelle Julie, j’ai 28 ans et je suis fiancée à Paul depuis quatre mois.
Je l’ai connu à Rome où je travaille à l’ambassade de France comme réceptionniste.
C’est pour donner suite au vol de son portefeuille qu’il s’est présenté et qu’il m’a repéré.
Certes, il est beau, mais des hommes beaux, j’en rencontre cent tous les jours dans le cadre de mes fonctions surtout en Italie.

- Oh ! Mademoiselle, j’ai de la chance de vous retrouver ici, seule devant votre verre de Coca, je peux vous dire que vous êtes très jolie.

Les dragueurs italiens qui sont les plus beaux, les plus forts, je connais.
Je sors d’une liaison avec l’un d’entre eux pendant un an, qui serte, sexuellement, me comblait, mais qui intellectuellement arrivait à la hauteur de son sexe.

- Je vois que vous avez déjà oublié qui je suis, je suis déçu.
Je croyais que ma prestance vous avait sauté aux yeux et que la chance de me revoir de façon fortuite allait vous faire défaillir.
- Si je vous regarde bien, bien que vous soyez dans le soleil, j’ai du mal à vous reconnaître.
Si vous le dite, je vous crois, alors je défaille, ah oui ! ah oui ! oh ouiii !
Ça vous va, j’ai fait assez de ah ! et de oh ! en voulez-vous encore, ai-je assez rendu hommage à votre beauté ?
- Vous vous moquez, c’est la première fois qu’une femme me fait l’effet que vous me faîte, je me permets de m’asseoir, vous me verrez mieux, alors qu’en dites-vous ?
- Je suis sensé, vous dire que oui, vous êtes d’une beauté inégalée et je mouille ma petite culotte rien qu’à vous regarder.
- Non, là vous allez trop vite, sinon trop loin, contentez-vous d’avoir la chatte qui vous démange, la mouille, ce sera l’étape suivante lorsque je vous prendrai dans mes bras et que nous échangerons notre premier baisé.
- J’ignore qui vous êtes et vous en êtes déjà au premier baisé, voir un viol sur cette terrasse directement sur cette table ça vous irait.


- Je suis celui qui est venu déclarer le vol pas le viole de son portefeuille à l’ambassade de France, mais si votre seule fantasme, est que je vous viole, je vais essayer d’y penser.
Toutefois j’attendrais quelques jours pour vous faire dire des mots d’amour, car je suis un homme civilisé.
J’attire les jeunes femmes comme vous dans mon lit pour les séduire et leur faire l’amour seulement lorsqu’elle me le demande.
Je suis vieille école, j’évite les fantasmes et je fais l’acte sexuel classiquement en principe dans un lit où je le concède sur un canapé voire une table mais sûrement pas devant le ministère de la justice d’Italie.
Je voudrais éviter d’y entrer entre deux gendarmes menottés pour choper plusieurs années de prison.
- Signore che vi volete bere ?
- Expresso.
- Si signore.

L’intrusion du serveur m’a fait perdre le fil de notre conversation passionnante.

- Revenons aux choses sérieuses, avez-vous retrouvé mon portefeuille ?
Je m’appelle Paul, je suis responsable d’une banque française ayant pignon sur rue en étant le responsable pour l’Italie.
- Moi, vous savez déjà que je travaille à l’accueil de l’ambassade, mais ce que je peux vous dire sans trahir un secret, c’est que je m’appelle Julie.
Pas la peine de me dire que mon prénom est joli pour essayer de me draguer, invité moi plutôt au restaurant si vous avez toujours de l’argent pour payer bien sûr.

C’est comme cela que la nuit qui a suivi, je me suis trouvé à remplacer une Italienne par un Français qui plus est beau gosse et qui sait se servir de sa queue.
J’adore sa prévenance un peu Marie-Chantal lorsqu’il me prend bien que j’aime que l’on me baise de temps en temps comme une chienne.
Cette tendance vient de mon premier amant qui me prenait sauvagement et mon corps a aimé être légèrement rudoyé.
Ce que j’ai retrouvé avec lui, c’est la sodomie que mon précédent amant italien refusait systématiquement, trouvant cette pratique homosexuelle hors nature.

Il me parlait fréquemment de la Bella Mama qui allait à la messe tous les dimanches.

Paul avant de m’inviter au restaurant et au dessert de m’offrir une bague qui devait coûter bonbon, a su me faire jouir et entre ces pratiques au lit et surtout sa paye substantielle que son métier lui rapporte, je l’ai acceptée.
J’aurais pu tomber plus mal comme le garçon qui m’a dépucelé et qui comme je l’ai dit avaient des pratiques assez violentes.
J’habitais Dijon dans ces temps-là.
Il a pris comme motif la visite de Rome avec l’idée de me vendre dans un bordel pour que je fasse la pute.
J’ai réussi à me sortir de ses griffes lorsqu’il m’a habillé avec les fringues allant avec le métier dans une boutique où il semblait bien connaître la patronne.
Je suis allé à l’ambassade pour me faire rapatrier, car il m’avait pris tous mes papiers et sauf le stop, j’ignorais comment revenir dans la capitale de la moutarde.
Un membre de l’ambassade m’a reçu, après m’avoir demandé tous les renseignements pour la police italienne et française.
J’ai permis à faire tomber un réseau de proxénètes lié aux deux pays où la plaque tournante était la boutique de fringues que j’avais quittée précipitamment.

Simon, l’attaché d’ambassade qui a suivi mon affaire a été mon deuxième amant et pendant les deux ans qu’il est resté en poste à Rome avant d’être muté avec toute sa famille à Acapulco au Mexique, il m’a couché sur son bureau pour me pénétrer sans vergogne voulant même me faire muter avec lui.
Le poste a l’accueil qu’il m’a trouvé a été plus intéressant que sa bite surtout qu’elle avait fait trois gosses à sa femme une petite grosse toute boudinée ressemblante plus à un crapaud qu’a une des femmes sur le calendrier Pirelli.
Moi non plus d’ailleurs, mais je dois reconnaître que je les approchais avec seulement un petit manque de poitrine.
C’est ce que m’a dit un jour Simon qui voulait que je mette des implants m’avouant qu’il en aurait voulu un peu plus sous la main.


Lorsqu’il est parti, j’ai eu ma période sportive pour faire disparaître le manque de sexe qui échauffait ma chatte et comme j’avais du mal avec la masturbation le jour où Adelia est venue me faire travailler ma position dans la course sur le tapis, nous courrions en duo et elle me faisait prendre des positions pour mes talons, mes bras et le port de tête.
Elle m’a bien conseillé jusqu’au moment où mes pieds se sont mélangés et où je suis parti en arrière nous entraînant jusqu’au sol.
Je suis arrivé sur elle et j’ai senti ses seins pointés sur mon dos, ce qui m’a électrisée.
La salle était vide et sans que je le veuille moi qui dans ma vie n’avais pensé baiser avec une fille, me retournant, nos bouches se sont retrouvées collées.
J’ai déménagé chez elle et pendant un certain temps dans son immeuble, dans notre dos, j’entendais des murmures qui parlaient des gougnottes du deuxième étage.
Elle m’a tout appris des amours féminins, nos chattes que nous frottions pour que nos clitos entrent en contact, en passant par les godes qu’elle possédait en très grand nombre et aux plugs qu’elle m’enfilait dans l’anus en même temps que je lui enfilais le même en tout point identique.
Elle en mettait un de 7 de diamètre, j’en avais un de 7 aussi en moi, elle montait à 9 ce qui me procurait une légère douleur et je lui plaçais son 9.
Même les godes, elle les achetait en double jusqu’à se procurer un gode avec deux glands dont nous nous introduisions chacune un bout et en les manœuvrant nous faisaient trouver des jouissances bien sympathiques.
Je garde le meilleur pour la fin.
Dans cette salle dès le premier jour lorsqu’elle m’a placé en 69 sur le tapis souple où nous avions atterri, lorsqu’elle a joui, son sexe a expulsé de tout petits jets de liquide que j’ai eu plaisir à avaler.
Je m’en suis inquiété, elle a ri, me parlant des femmes fontaines dont elles faisaient partie bien que les quantités de cyprines expulsées étaient loin de ce que certaines femmes sont capables de faire sortir et qu’elle avait connu.

J’ai été fidèle jusqu’au jour où le bel italien qui a su me séduire, mais qui manquait de cerveau, a réussi à me sauter sur le siège avant de son Italienne malgré l’espace exiguë de cette voiture.
J’ai bien des défauts, mais j’ai une qualité la franchise, je l’ai fait avec Adelia, j’ai repris ma valise et j’ai changé d’appartement.
Un peu plus haut dans mes confidences, c’est pour cela que je dis avoir remplacé une Italienne par un Français.

Lorsque Paul est venu s’asseoir à ma table, je venais de louer une petite chambre que j’ai quittée quelques jours plus tard pour rejoindre l’appartement qu’il habitait près du Vatican.
D’une chambre de bonne, je passe dans un appartement de cinq pièces avec vue sur le Tibre.
C’est aussi comme cela que nous prenons l’avion pour revenir à Paris pour que dans trois semaines, j’épouse Paul.
Mes parents étant décédés, je suis seule avec ma belle-mère pour organiser notre mariage.
À l’aéroport ils nous attendent et la maman de mon futur me démontre tout de suite beaucoup d’intérêt.
Il faut dire que si je suis jolie, elle, a l’aube de ses cinquante ans reste une femme appétissante.
Il est drôle qu’après mon épisode lesbien avec Adelia, je regarde Isabelle d’une autre manière que je l’aurais vécu auparavant.
Mes beaux-parents nous conduisent chez eux Avenue Carnot dans un immeuble du vieux Paris, mais avec un appartement qui ferait pâlir bien des personnes qui cherchent à se loger.
Robert, mon futur beau-père était directeur d’une banque sur les Champs Élysée et si j’en doutais encore, je me félicite d’avoir accepté ma bague de fiançailles.
Il est plus vieux que sa femme de plus de 10 ans, mais l’entente semble régner dans le couple.

La chambre de jeune homme de Paul sent encore la peinture fraîche après avoir été rénovée.
Un lit à deux places est installé pour que nous puissions dormir ensemble.
Ma future belle-mère semble avoir l’esprit assez ouvert surtout envers moi, car chaque fois qu’elle le peut, elle me montre des marques d’affection plus marquées qu’envers son fils.
Quelquefois des mères ont du mal à couper le cordon or elle l’a fait sans aucun problème, semble-t-il avec Paul.
Le soir après le dîner servi par une femme de service très proche de Paul car elle a été sa nourrice, lui ayant fait prendre le sein pour éviter à ma belle-mère de perdre sa ligne de jeunes filles, elle engage la conversation.

- Julie, tu souhaites nous donner des petits-s.
- Nous en avons parlé avec Paul et bien sûr, vous serez grand-mère.
- Évitons d’être pressée, mais je t’apporterais toute l’assistance dont je peux.
Je vais te faire un aveu, j’ai accouché de Paul par césarienne pour éviter d’avoir le bassin qui s’évase et que mon corps reste celui que j’ai à ce jour, nous ferons pareil pour toi.
- Isabelle, permettez-moi de vous appeler Isabelle.
- Bien sûr, ma petite Julie, j’allais te le proposer, tu as su séduire mon fils et lorsque je te regarde, je le félicite, pendant que l’on y est, tutoyons-nous !

Il y a pire comme entrée en matière dans sa nouvelle famille…

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