Un Nouveau Départ

Après avoir raconté nos aventures et surtout nos déboires précédents avec l’amant dominateur de ma femme, notre vie sexuelle était redevenue beaucoup plus calme, même si mon épouse continuait à voir son jeune amant Jérôme de temps à autre et aussi son ami Hugo, mais ces rendez-vous étaient de plus en plus espacés, les deux garçons ayant aussi une vie sentimentale en dehors de Martine, ce qui était totalement normal. Jérôme en particulier s’était inscrit sur un site de rencontre et fréquentait un certain nombre de femmes mariées entre 40 et 55 ans. Il avait visiblement un certain succès, même s’il gardait une affection particulière pour ma femme. De même pour les autres amants et notre désormais amie Nathalie, que nous voyions peu, bien que lors de ces rencontres, nous retrouvions régulièrement au lit tous les trois.
Pour ma part, ayant vécu de nombreux fantasmes, je pensais que tout ça était dernière moi et après avoir joué avec le feu avec N., il était temps de se calmer. Donc nous reprîmes une sexualité plus classique, en deux ans j’organisai seulement deux trios où je pus voir Martine prise par ses deux jeunes amants, c’était quand même très excitant de la voir jouir sous les assauts de ses deux étalons ! Mais le petit diable qui était en moi continuait à me tourmenter, je me masturbais souvent en imaginant ma femme prise dans des parkings par des inconnus ou des fantasmes de ce genre. Je lui demandais régulièrement d’exciter des jeunes en s’exhibant en ville ou ailleurs, certes de manière discrète, mais explicite. Elle râlait, mais finissait en général par le faire car elle savait que cela me faisait particulièrement plaisir.
De plus, je ne pouvais pas m’empêcher de regarder des vidéos pornos amateurs ou de lire des histoires qui m’excitaient particulièrement. J’étais en particulier fasciné par les femmes offertes par leur mari en voiture ou ailleurs parfois, style bourgeoise données en pâture à des jeunes. N.

l’avait fait à ma femme une fois en allant sur Nantes, moi une fois pour mon cadeau d’anniversaire avec deux puceaux. Maintenant, ça me manquait vraiment, mais comment remettre ça sur la table alors que j’avais promis de ne plus le faire ? Ensuite, serais-je aussi directif que N. alors que dans cette histoire, j’étais en position de soumis cocu ? Mon éducation faisait qu’il m’était difficile de franchir certaines limites, notamment au niveau du langage. Tout ceci commençait à me prendre sérieusement la tête, j’essayai de plus y penser mais mes envies étaient trop fortes, il fallait que je m’en libère, je pris la décision, j’en parlerai à Martine. J’attendis que l’on ait eu une bonne partie de jambes en l’air et pendant qu’elle récupérait de son plaisir, je lui soumis l’idée de recommencer certaines virées coquines parce que ça me manquait. A ma grande surprise, elle me répondit en souriant :
- Je me demandais quand tu allais remettre ça sur la table !
- Vraiment ?
- Avec tes histoires d’exhibition, les petits trios avec Jérôme et Hugo, je me doute bien que tes fantasmes continuent à te tourmenter. Que proposes-tu ?
- Je ne sais pas vraiment (Là, je mentais !). Et toi ?
- Tu veux que N. me reprenne en main ?
- Et toi ?
- Pour être franche, lorsqu’y pense, ma culotte se mouille parfois, il était très doué avec son instrument !
- Tu as des nouvelles ?
- Il m’envoie régulièrement des photos de sa queue !
- Ah bon ? Tu ne m’as rien dit.
- Non, mais il ne s’est rien passé, donc pas utile de t’en parler. Tu veux le remplacer ?
- Je ne sais pas, je ne me sens pas aussi directif !
- Je pense aussi que ce n’est pas ton truc ! Si tu trouvais quelqu’un de directif, mais qui sache s’arrêter plus tôt, pourquoi pas ?
- Tu serais d’accord ?
- Oui, j’avais pris goût à certains jeux sexuels. Et la vie est courte après 50 ans !
- Je commence à chercher ? Que voudrais-tu ?
- Pour le physique tu sais, pour l’âge, autour de 25 ?
- Ok, j’essaie de trouver la perle rare.

Excité par cette conversation, je me lançai à la recherche de l’individu en question. Mais contrairement à la première fois où N. m’avait séduit dès le début, je n’arrivai pas à me décider, pourtant les candidats ne manquaient pas. Cette recherche prit plusieurs mois. Entre ceux qui vivaient à 500 kilomètres, ceux qui avaient 60 ans ou qui avaient un ventre qui retombait sur leur queue, ce fut compliqué. On finit par tomber d’accord sur un dénommé « Maître J », qui paraissait correspondre, plutôt bien physiquement, qui prétendait vouloir être le dominant d’un couple mature et qui avait 22 ans. Il nous avait répondu dans les premiers, mais ma femme le trouvait trop jeune, et puis il avait une expérience très limitée, ce qui était logique vu son âge. Mais il revint à la charge régulièrement, car il disait avoir très envie de ma femme. Sa persévérance finit par aboutir car ne trouvant pas vraiment d’autres propositions, nous finîmes par lui répondre favorablement. Donc rendez-vous fut pris chez lui. Martine s’était faite bien sexy, je bandais en voiture en la regardant car nous avions pris la sienne et elle conduisait. Sa robe noire était courte et bien remontée sur ses cuisses pleines mises en valeur par des bas couleurs chair. Une fois arrivés, nous trouvons avec quelques difficultés l’appartement de notre hôte, il nous attendait avec une impatience certaine. L’apéritif commence, il nous parle de lui, de ses envies et de ses expériences, à vrai dire peu nombreuses. Il avait une fois baisé une femme mature devant son mari, ça lui avait beaucoup plu et l’idée d’être le dominant d’une relation à trois avec un couple de nos âges lui était venue car cette femme dominait son mari, voir ce dernier lui obéir l’avait excité, mais elle ne lui plaisait pas physiquement, bien que très salope à ses dires. Je le voyais dévorer du regard les cuisses de ma femme et au bout de quelques instants je proposai à Martine de remonter sa jupe afin qu’il puisse profiter de la vue de celles-ci.
Elle le fit sans problème et s’arrêta à la lisière des bas. Notre hôte était ravi et il la complimenta sur ses cuisses appétissantes. Il profita que ma femme aille aux toilettes pour me faire part de son impatience à la baiser, car elle lui plaisait beaucoup, il n’était pas déçu, bien au contraire. Je lui dis alors de commencer à s’imposer, que nous étions là pour ça, tester ses capacités de dominant et ses capacités sexuelles. Dès que Martine revint, il se lança :
- Tu as mis une culotte ?
- Tu veux la voir ?
- Oui, mais pas sur toi, alors tu l’enlèves, non, ton cocu va le faire !
Je me levai et fit glisser la culotte de Martine qu’elle enjamba afin que je puisse la récupérer. Je la donnai à J. qui ne put s’empêcher d’y donner un coup de langue.
- Elle est jolie cette culotte ! Humm, c’est trop bon, il me semble qu’elle mouille déjà, un peu de pipi peut-être aussi, j’aime ça. Tu mouilles ?
- Un peu oui, je dois avouer, c’est mieux non, vu les circonstances ? dit-elle en nous regardant avec un grand sourire.
- Je sens qu’on va bien s’amuser ! Juste avec tes bas, ça va être encore plus excitant.
L’apéro reprit comme si de rien n’était, j’étais excité de savoir ma femme cul nu sous sa robe. Après quelques minutes, J. posa une main sur ses cuisses, commençant ainsi à s’approprier mon épouse et à découvrir le corps de celle qui était censée devenir sous peu sa maîtresse. Sa main parcourait sa cuisse, puis remonta sous la jupe. Puis il fit comprendre à Martine qu’il en voulait plus et fit pression sur elle, ce qu’elle comprit et se souleva légèrement afin de laisser passer sa main sous elle, la main exploratrice s’empara d’une de ses fesses et la palpa vigoureusement.
- Putain, ce cul, ton mari me l’a montré en photo, mais là, il est sous ma main, je l’adore, un beau cul de mature, le tien est bien ferme, vive le sport. Mets- toi devant moi et montre le moi.
Docilement, elle se mit debout dos au canapé.

- Penche toi, hummm oui, comme ça, ah le voilà. Vraiment un cul superbe ! Beaucoup de jeunes peuvent te l’envier.
Il lui palpait avec les deux mains, écartait les deux lobes, puis il lui lécha les deux fesses avec un plaisir évident.
- Je résiste à l’envie de lécher ton petit trou, je suis attiré par cet endroit, mais les jeunes n’aiment pas, les « vraies » femmes sont plus ouvertes pour ça, je le garde pour tout à l’heure.
- Maintenant tourne-toi et montre-moi ta chatte. Humm, une belle chatte poilue, moi j’aime les chattes poilues, tu garderas tes poils, d’accord ?
- Oui.
- Oui maître !
- Oui maître.
J’étais très surpris de la docilité de ma femme, elle montrait son sexe sans problème, même si nous savions très bien qu’elle venait ici pour ça.
- Ca vous tente une pizza ?
- Pourquoi pas ?
- Ok, je commande. (Il passa dans la cuisine et commanda)
- Il arrive d’ici une quinzaine de minutes. En attendant, tu te mets sur le canapé, tu lèves ta robe, tu écartes les cuisses et tu te caresses.
- Oui
- Maître !
- Oui, maître !
J’étais quand même très étonné de la voir jouer le jeu (parce que tout ça reste un jeu) aussi facilement. Elle fit ce qu’il demandait, elle commença à se caresser doucement le sexe, il faut savoir qu’elle aime beaucoup qu’on la caresse, mais elle n’est pas une grande adepte de la masturbation. Notre hôte le savait, c’était un excellent moyen de tester sa bonne volonté.
- Passe bien le doigt dans ta fente et montre-nous comment tu mouilles !
- Hummm, mais elle est bien excitée la salope, suce ton doigt, continue ! Elle est belle ta femme, notre femme, dit-il en me jetant un petit clin d’œil.
C’était encore tôt pour le dire, même si la soirée semblait bien partie et Martine bien dans le jeu.
- Essuie-toi avec ta culotte. (Il savait que c’était un de mes fantasmes)
Martine s’exécuta, je commençai sérieusement à bander.
- Mouille la bien, j’ai prévu un truc avec. J’ai acheté un gode, je l’apporte.
Elle semblait apprécier, son clitoris était bien gonflé, peut-être avions-nous trouvé notre larron, mais son jeune âge me laissait tout de même perplexe. Il avait visiblement bien préparé sa soirée en échangeant avec moi, j’espérais que la suite soit torride, Martine était en tout cas était chaude !
Il revint avec l’objet en question et le déposa à côté de ma femme. C’était un gode classique représentant une verge d’une taille conséquente.
- Tu lui mets ?
- Ok
Je glissais l’engin dans le sexe de mon épouse. Je mis seulement le gland, attendant qu’elle se l’enfonce d’elle-même en venant au-devant du sexe artificiel. Elle continuait à se caresser le clitoris et je vis peu à peu le gode disparaître dans sa chatte jusqu’aux bourses en silicone.
- Maintenant, tu te branles avec !
Obéissante, elle commença à faire aller et venir le sexe dans le sien. Je voyais bien qu’elle n’était pas loin de l’orgasme, le jeu lui plaisait bien pour le moment ! Mais juste à ce moment, la sonnerie de l’entrée retentit ! Les pizzas ! J referma la porte du salon en intimant à ma femme de continuer sa masturbation et partit les récupérer. J’entendais le bruit d’une discussion et la porte s’ouvrit, laissant le passage à J et à un tout jeune homme, le livreur de pizza. Lorsqu’il vit ma femme les jambes écartées, yeux fermés et le gode enfoncé jusqu’aux couilles, ses yeux s’écarquillèrent ! Ma femme sursauta et referma ses jambes.
- C’est ma surprise, c’est le neveu du propriétaire de la pizzeria, Enzo, il a 16 ans et il est puceau. Montre-toi !
Je me dis alors que c’était le moment de vérité, c’était bien joué de sa part par rapport à mes fantasmes, mais il était possible que dans 5 minutes nous soyons dans la voiture pour rentrer chez nous. Quelques secondes durant lesquelles tout le monde était suspendu à la décision de madame, J. pour savoir si sa prise en main était bien partie, moi pour vivre mes fantasmes et le gamin pour revoir cette belle chatte de femme mature offerte. Elle me regarda et je vis ses cuisses s’écarter.
- Bien, mets des pieds sur le canapé pour te montrer plus à notre invité !
Obéissante, Martine s’exécuta, humm la soirée allait être top !!!
- Enlève le gode et essuie-toi avec ta culotte, mouille la bien. Maintenant, tu la donnes à Enzo.
Ma femme le fit et le jeune prit la culotte tout en regardant la chatte ouverte dans son écrin noir. Il la regarda, la porta à son nez et se mit à en lécher l’intérieur. Tout ceci était très excitant. Puis J. décida de passer à la vitesse supérieure.
- Enzo, agenouille toi et installe-toi entre ses cuisses, toi, ouvre bien ta chatte avec tes doigts qu’il puisse la découvrir.
Ce jeune était finalement assez inventif et il avait bien préparé sa soirée. Martine écarta bien les lèvres de son sexe et le jeune Enzo avait les yeux qui sortaient littéralement de ses orbites.
- Elle est belle cette chatte, tu aimes ?
- Heu oui, j’aime bien !
- Elle est à toi, n’est-ce pas Martine ?
Elle ne disait rien même si elle gardait ses cuisses grandes ouvertes.
- Elle est à lui, d’accord ? Allez, dis-le !
- Ma chatte est à toi Enzo, finit-elle par dire
- Bien, que veux-tu faire ?
- Heu, je ne sais pas vraiment !
- Tu veux la baiser ?
- J’aimerai bien oui, mais…dit-il en me regardant
- Comme je te l’avais dit, son mari regarde, il aime voir sa femme se faire baiser par d’autres ! C’est le deal, si tu veux la baiser, tu dois le faire devant lui ! Tu es toujours d’accord ?
- Ben oui !
- A la bonne heure ! La dame aime bien se faire prendre par des petits jeunes, elle aurait été déçue ! Tu ne veux pas la lécher avant ? C’est bon ça, et les femmes aiment bien, hein ma chérie tu aimes ? Dis à Enzo que tu as envie qu’il te lèche la chatte !
- Enzo, je veux que tu me lèches la chatte !
J’étais toujours aussi surpris par la facilité avec laquelle ma femme se prêtait au jeu ! Enzo approcha son visage et commença maladroitement à donner quelques coups de langue sur le sexe de mon épouse, il ne savait visiblement pas comment faire. Martine décida de prenne les choses en main si l’on peut dire, elle lui attrapa la tête et l’amena jusqu’à son clitoris.
- Tiens lèche ici, tu vas me donner du plaisir, oui, comme ça, c’est bien, suce moi aussi.
Nous n’avions rien à dire, elle prenait une belle initiative et le jeune Enzo dût trouver le bon endroit car au bout de quelques minutes, nous la vîmes se crisper, elle appuya sa tête très fort contre son sexe et jouit en soupirant, son bassin se levait pour aller à la rencontre de cette langue qui lui donnait du plaisir. Elle prenait le temps de savourer son orgasme, c’était très beau. J. attendit qu’elle redescende et intima à Enzo de boire sa jouissance, ce qu’il fit du mieux qu’il pût.
- Tu avais déjà léché une femme ?
- Non.
- Tu as aimé la faire jouir ?
- Ouais, c’est top comme elle m’a serré avec ses cuisses.
- Tu as aimé boire son jus ?
- Aussi, c’est un peu salé, c’est bon.
- Elle te plaît ?
- Oh oui, elle est un peu vieille, mais elle est trop bonne, les copains ne vont jamais me croire. Il y a une vieille qui me reçoit souvent en nuisette transparente, mais elle est moche, celle-là elle est belle !
- Tu vas la baiser alors, le grand jour est arrivé !
- Martine, tu veux qu’il te prenne ?
- Bien sûr, nous sommes là pour ça, hein mon chéri, dit-elle en me regardant. Enzo, montre-moi ta queue, j’en ai envie maintenant.
Le dénommé Enzo nous regardait, visiblement gêné, mais finit par enlever son jean, il hésita encore avec son boxer, mais la vue de cette chatte offerte était trop forte, il le baissa, laissant apparaître une bite tout à fait correcte, pas très longue, mais bien épaisse, bien dure et qui bavait déjà de désir.
- Veux-tu que je te suce avant ?
- Heu, j’ai un peu peur.
- Que je te fasse mal ? dit-elle avec un sourire. Ne t’inquiètes pas, en général, mes amants aiment, j’ai eu un bon professeur !
- Non, c’est pas ça, mais j’ai trop envie de vous !
- Tu as peur de jouir trop tôt ?
- Oui !
- Et bien prends moi tout de suite, comme ça tu pourras jouir en moi, c’est ce que tu veux ?
- Oui.
- Alors viens, j’ai très envie que tu me prennes. Ce ne serait pas mieux sur le lit ? Pour une première fois, un canapé ce n’est pas terrible.
- Tu as raison, venez à côté.
Nous passâmes à côté, J. avait tout préparé, le lit était découvert, la lumière tamisée, ça faisait cocon, plutôt agréable.
- Enzo, tu veux me voir nue ?
- Oui, j’aimerai bien.
- Et bien déshabille moi alors !
Martine était décidément très à l’aise ! Son futur baiseur lui enleva donc sa robe et son soutien-gorge, il la regardait avec envie.
- Je te plais toujours ? Je n’ai plus mon corps de 20 ans !
- Vous êtes encore très belle madame !
Vu la raideur de son sexe, ce devait être vrai ! J. aussi la voyait pour la première nue en direct, il savourait la vision de sa future maîtresse.
- Je suis d’accord avec lui, tu es très belle et ce corps hummm, juste quelques rondeurs de mère de famille d’une grande sensualité !!!
Martine prit la main d’Enzo, et ils s’allongèrent sur le lit. Elle se mit sur le dos, écarta ses cuisses, fit installer le jeune homme sur elle, lui caressa le dos en lui disant de se calmer, ce qui prit quelques temps avec des petits bisous, puis elle saisit son sexe.
- Elle est bien dure, ça va rentrer tout seul, hummm voilà, tu es en moi, je te sens bien, elle est grosse, j’aime ! ( Elle savait y faire pour le rassurer) Ne bouge pas, que ton sexe s’habitue doucement, c’est bon ?
- -Oh oui, mais j’ai trop envie !
- Suce mes seins pour penser à autre chose.
Devant cette invitation, Enzo se jeta sur les tétons bien dressés de ma chère épouse. Elle grimaçait parfois, car il était un peu vorace !
- Doucement, tu me fais mal, sois plus délicat, …c’est mieux là, oui, c’est beaucoup plus agréable !
Mais tout ceci ne pouvait être qu’un hors d’œuvre, ma femme prit la tête d’Enzo, l’approcha de son visage, sortit sa langue et lui pénétra sa bouche. Il faut savoir qu’aux dires des ses amants, c’est une experte en « patin », ce que je confirme. Elle a une langue d’une agilité extraordinaire. Les voir s’embrasser était particulièrement sensuel. Nous vîmes les reins d’Enzo commencer à bouger, il se mettait enfin à la baiser. C’était très doux, on sentait qu’il voulait que cela dure et qu’il savait que son éjaculation n’était pas loin. Martine leva les cuisses afin qu’il puisse mieux la pénétrer et noua ses chevilles au-dessus de ses reins. Ni J. ni moi-même ne disions un mot. Elle mit son visage sur le côté et commença à murmurer aux oreilles d’Enzo.
- C’est bon ? Parle si tu as envie.
- Oui, c’est doux, j’aime vos cuisses aussi.
- Caresse-les en même temps. Tu aimes les bas ?
- Oui, c’est trop sexy, mais…
- Tu ne peux plus te retenir ?
- Non, j’ai trop envie !
- Alors viens ! Regarde-moi pendant que tu jouis, viens bien profond.
Enzo releva la tête, fixa ma femme qui le regardait avec bienveillance, ses coups de rein s’accélérèrent, ses yeux se fermèrent et il jouit en râlant pendant que Martine l’encourageait doucement et lui appuyait sur les fesses pour qu’il la pénètre bien. Quand il eût fini, elle lui caressa doucement la tête et le dos.
- Ca y est, tu es un homme accompli !
- Je vous aime, c’est trop bon
- Ton enthousiasme fait plaisir à voir, mais je suis bien trop vieille pour toi mon chéri. C’était bon pour moi aussi, tu m’as bien rempli mon cochon.
- Vous me faîtes quoi là ?
- Tu n’aimes pas ?
- Oh si, mais c’est quoi ?
- Et bien je serre ta queue avec mon périnée, j’aime bien te sentir.
- Ouah, j’adore.
- Et je constate que tu es encore très dur ! Tu veux recommencer ?
- Vous êtes d’accord ?
- Moi oui, je suis un peu ici pour ça tu sais ! Alors ?
- Oui, je veux encore vous baiser.
- Ok, mais on va changer de position, tu veux ? Les hommes aiment bien et moi aussi d’ailleurs.
- Hé, mais c’est moi qui suis censé diriger les ébats ! dit J.
- J’avais oublié, désolée.
- Maître !
- Maître.
- Tu veux qu’il te baise comment ?
- En levrette !
- Et bien en avant, exécution ! A 4 pattes !
Martine se retourna et s’installa la tête dans l’oreiller, nous offrant ainsi son merveilleux cul en pâture.
- Oh putain ce cul, s’exclama Enzo. Pour une vieille, il est … ouah !
- Ouais t’as raison, elle a un sacré cul la vieille. D’ailleurs son mari va bien te l’écarter pour que tu puisses la baiser.
Ce que je fis bien volontiers, heureux de montrer les trésors de mon épouse à ce jeune coquin.
- Maintenant, tu frottes ta queue sur sa chatte sans la pénétrer.
Enzo exécuta cette demande, frottant bien son gland encore plein de sécrétions sur les lèvres de Martine.
- Toi, tu viens t’empaler sur sa bite.
Le cul de ma femme recula et engloutit doucement la jeune queue de son amant.
- Enzo, tu ne bouges pas, c’est elle qui va travailler, elle va baiser ta bite. Allez, au boulot !
Le cul de Martine commença à aller et venir régulièrement, Enzo visiblement savourait les sensations que cela lui procurait. Aux petits soupirs de ma femme, il était clair que la chose lui plaisait de plus en plus.
- Caresse-toi en même toi !
La main de Martine fila directement entre ses cuisses et elle commença sa masturbation tout en savourant la pénétration. Peu à peu ses coups de rein étaient de plus en plus profonds et rapides et sa jouissance éclata assez vivement. Elle fit glisser la bite d’Enzo jusqu’aux couilles et jouit dans cette position. Puis J. reprit les commandes.
- Bon, suce-moi pendant qu’Enzo continue à te baiser.
Il sortit sa queue et l’agita sous le visage de Martine.
- Elle te plaît hein ? C’est pour elle que tu es ici !
Nous l’avions vu en photos et vidéos, moins longue que celle de N., mais un beau membre d’une vingtaine de centimètres et capable d’éjaculer souvent et de bonnes quantités de semence. Il nous avait envoyé 4 vidéos en moins d’une heure sur lesquelles il jouissait sur ma femme.
Elle l’engloutit sans soucis. Il lui prit la tête et lui imprima un mouvement de pénétration, il baisait la bouche de ma femme. Enzo annonça qu’il allait jouir et il le fit sous les encouragements de J. qui sortit sa queue de la bouche de ma femme et lui aspergea copieusement le visage. Il avait en effet une sacré éjaculation, le sperme coulait partout, il lui avait recouvert la face. Il frottait sa queue sur les joues et les lèvres de Martine en la complimentant sur le plaisir qu’il avait eu grâce à elle.
- Tu nettoies la queue d’Enzo ?
Elle prit la jeune bite et la nettoya consciencieusement pendant qu’Enzo savourait la caresse tout en caressant les cheveux de ma femme. Lorsqu’elle eût terminé, je ne pus m’empêcher de l’embrasser, elle sentait le sperme, mais dieu que c’était bon.
- Bon, et les pizzas ?
- Elles doivent être froides ! dit Martine en souriant.
- Enzo, tu restes ou tu retournes chez ton oncle ?
- Je peux revenir ?
- Demande à Martine !
- Heu, je peux revenir ?
- Tu veux encore baiser ?
- Oui !!!
- On t’attend alors, vers quelle heure ?
- 23 heures ! Je peux venir avec un pote ? Il a jamais baisé, il est mignon, mais il est timide.
- Je demande à mon mari ! Chéri ?
- C’est toi qui décide !
- J. ?
- Mais bien sûr, viens avec ton pote.
Enzo reparti, nous reprîmes notre place dans le salon, ma femme avec ses bas après avoir remis sa culotte, car le sperme du jeune Enzo avait tendance à couler, J. se baladait la queue à l’air, j’étais le seul encore habillé.
- Bon, cette nuit, Martine reste ici, toi, si tu veux, tu peux dormir dans le salon, dit-il à mon adresse.
- Je n’ai pas pris de change ! s’exclama Martine.
- Pas grave ça, tu resteras cul nu ! Et bien, comment trouves-tu notre premier contact ? me dit-il.
- Prometteur ! Martine a visiblement apprécié.
- Je dois dire que oui, Enzo a été une bonne surprise. Espérons que son copain le sera aussi.
- Tu aimes vraiment baiser avec des jeunes !
- En général oui, je ne sais pas vraiment pourquoi, mais j’y prends du plaisir même si je ne jouis pas toujours.
- Bon, même si j’ai toute la nuit pour te baiser, je n’ai toujours pas visité ta chatte ma belle ! J’ai plein de cochonneries en tête te concernant, je ne sais pas par quoi commencer ! Je pense que je vais éviter de te pénétrer, si Enzo et son pote arrivent, tu vas bien prendre et moi après, on va éviter, je suis délicat et respectueux, c’est ce que nous avons vu avec ton mari. Donc, je vais faire ce dont j’ai envie depuis que j’ai vu ton cul, mets –toi à genoux sur le canapé, voilà, j’enlève ta culotte, punaise elle est trempée, il t’en a mis une bonne dose le puceau ! Je vais lécher ton petit trou.
Je le fais régulièrement, mais ce n’est pas ce que préfère Martine. Mais elle s’installa comme demandé et J. darda sa langue avec un plaisir non dissimulé dans son anus. Vu la raideur de sa queue, il est clair que ça l’excitait un maximum. Il avait une langue plutôt pointu et il l’enfilait avec une certaine adresse dans son cul, on pouvait parler de pénétration linguale. Il la tournait avec rapidité, écartait les lobes des fesses afin de la faire pénétrer le plus loin possible. Voir ma femme se faire lécher le derrière par ce jeune homme était très érotique. En même temps, il lui titillait le clitoris tout en ayant introduit son pouce dans sa chatte. Au bruit, il était clair qu’elle était bien humide, à moins que ce soit le sperme d’Enzo. Après quelques minutes de ce traitement, elle eut son troisième orgasme de la soirée. J. ne put résister et il lui enfonça son sexe jusqu’aux couilles.
- Ah, depuis le temps, c’est bon, serre-moi la queue comme tu as fait avec Enzo. Oh putain que c’est bon ! Mais je vais résister à l’envie de te remplir la chatte, j’ai encore le temps.
Il ressortit son vit et le présenta à ma femme qui l’emboucha sans barguigner. Elle le suça avec vigueur et il lâcha sa semence assez vite. Elle poursuivit jusqu’à ce qu’elle ait tout avalé.
- Tu es ma deuxième mature, mais toi tu es belle, ton mari peut être fier de toi ! Tu me fais trop bander ! Deux fois que je gicle et je bande encore ! Rien qu’à te regarder ! Embrasse moi un peu, j’ai encore le goût de ton cul !
Je sais que Martine n’apprécie pas trop, mais elle sortit sa langue et fit ce qu’il demandait. Nous finîmes la pizza et en attendant le retour d’Enzo, J. décida de goûter à la chatte de ma femme, ils s’installèrent sur le lit et il lui lécha dans tous les recoins en prenant bien soin de ne pas la faire jouir et régulièrement il l’obligeait à l’embrasser goulûment afin de la faire goûter à ses sécrétions. La sonnette retentit, j’allai ouvrir et fit entrer Enzo et son pote, qui avait l’air effectivement plutôt timide et quelque peu intimidé. Je leur demandai alors de se préparer, à savoir de se déshabiller afin d’honorer mon épouse. Enzo cette fois-ci le fit sans problème, il bandait bien, mais son copain resta en slip. Je comprenais sa réserve, il ne connaissait personne et se mettre nu devant un vieux comme moi pour baiser sa femme devant lui, c’était un peu difficile.
- Ils vous attendent dans la chambre. J. est en train de la baiser je crois.
Effectivement, J. préparait le terrain aux jeunes, il s’était installé entre les cuisses de Martine, avait passé ses bras sous ses genoux et la baisait vigoureusement.
- Alors les jeunes, on est prêt, je vous la mets en forme, elle est vraiment bonne, mais toi Enzo tu le sais déjà ! Qui commence ?
- Ben on pourrait laisser Dylan en premier ? Il a jamais baisé.
- Bonne idée, mais avec son slip, ça va pas être facile !
J. se retira la queue raide et luisante, laissant ma femme les jambes écartées, offerte aux regards des deux jeunes. Enzo encouragea son copain qui finit par baisser son slip et sous nos yeux stupéfaits se déploya une énorme bite !
- Putain l’engin, ne pût s’empêcher de dire J.
Il regardait sa queue dont il était si fier, elle paraissait bien chétive ! Enzo aussi était surpris.
- Ben je savais pas, ouah le truc de ouf !
Le dénommé Dylan avait l’air plutôt embarassé avec sa trompe, on avait l’impression qu’il voulait la cacher. Mais ma femme avait déjà connu une queue de cette ampleur avec celle de Loïc à Nantes, donc même si elle reconnut plus tard que celle-ci l’impressionnait, elle se sentait prête à la recevoir, avec quelques précautions. Du coup, c’est elle qui prit les choses en main, demandant à Dylan de s’allonger. Elle s’installa à ses côtés et commença à caresser sa queue qui grossissait encore. Elle embrassa aussi Dylan qui commença à se sentir plus à l’aise, répondant doucement à sa langue. Elle le rassura en lui disant que tout allait bien se passer. Puis elle donna quelques coups de langue sur le gland, enjamba son jeune (futur) amant et commença à frotter la queue contre sa chatte et l’enfonça peu à peu en elle. Elle contrôlait la pénétration tout en embrassant le jeune Dylan. Elle finit par s’empaler complètement, comme quoi le travail de N., son précédent amant avait payé. Elle commença à bouger doucement, mais nous vîmes Dylan se crisper et il jouit à ce moment là. Elle continua à aller et venir doucement sur le pieu qui était toujours dressé, voir sa chatte glisser le long de cette superbe queue avec des trainées blanches était très excitant. Ses fesses allaient et venaient, c’était trop beau. J. fit signe à Enzo de venir se placer près d’elle pour qu’elle le suce, ce qu’elle fit immédiatement. J’étais aux anges. Les floc-flocs venant du sexe de ma femme montraient clairement qu’elle était excitée et elle y allait de bon cœur. Le malheureux Dylan ne pût pas résister longtemps à son entrain et éjacula une seconde fois, mais cette fois-ci, il exprima sa joie de façon bien plus véhémente. Martine le laissa récupérer et se « désemboita » avec un bruit étrange, comme un bouchon de vin, une espèce de « ploc ». Elle se précipita aux toilettes car visiblement, il avait généreux avec sa jeune semence. Puis elle revint et trouva Enzo allongé, la queue dressée. Elle s’empala directement sur lui et recommença son manège, mais il avait clairement décidé de prendre son temps. C’est à cet instant que J. décida d’intervenir. Il s’installa derrière elle, tira sur ses hanches, ce qui eût pour effet de faire sortir la queue d’Enzo et c’est la sienne qui la remplaça. Les partenaires se remplacèrent plusieurs fois, c’est la première fois que je voyais ça, c’était plutôt réussi, elle avait l’air d’apprécier. Puis J. l’empala de nouveau sur la queue d’Enzo et pointa la sienne sur son anus. Elle arrêta ses mouvements, laissa l’intrus la pénétrer doucement. Le sexe de J. disparut peu à peu dans le fondement de mon épouse. Lorsqu’il fut à fond, ils ne bougèrent plus pendant un certain temps, le temps que Martine s’habitue à cette double pénétration, puis ils commencèrent à la baiser. Les deux étaient résistants, l’action dura un certain temps, et elle en profita pour se caresser en même temps et les trois acteurs jouirent à peu près en même temps. La soirée se terminait, Dylan eût le droit à une dernière fellation avant de partir, il était ravi. Comme prévu, ma femme et J. dormirent dans la chambre pendant que je m’installai dans le canapé.
La nuit fût calme dans la chambre, Martine avait eu sa dose. Ce n’est qu’au matin que des bruits caractéristiques m’indiquèrent qu’ils avaient remis le couvert. Je préférai aller chercher des viennoiseries, que je trouvai assez vite. Je rentrai juste à temps pour entendre J. clamer sa jouissance tout en complimentant sa « bonne salope mariée ». Il lui demanda de rester le cul en l’air pour le mitrailler pour dit-il le montrer à d’éventuels volontaires. Ils sortirent pour prendre leur petit déjeuner, lui la queue à l’air, encore pleine des sécrétions de ma femme adorée. Nous en profitâmes pour débriefer cette soirée, J. était très content de sa nouvelle « conquête » et moi aussi. Mais c’était un début, il fallait que les limites soient claires et J. me semblait plutôt carré à ce sujet.
Sur le chemin du retour, Martine me confirma qu’elle avait passé une très bonne soirée et qu’elle m’en remerciait et qu’elle me récompenserait dès que nous serions à la maison en me précisant qu’elle avait gardé le sperme de J. en elle comme j’aimais. Elle était impatiente surtout de changer sa culotte qui était en piteux état. Comme promis, je pus profiter de sa chatte généreuse, bien ouverte et me vautrer dans la semence de J. et peut-être d’Enzo et Dylan. Dans ces cas là, j’appréciai tout particulièrement la tendresse de ma femme qui m’encourageait à jouir avec beaucoup d’amour ! En tout cas, je jouis en criant ma joie, dieu que c’était bon, ça m’avait manqué ! Peut-être le début d’une belle histoire…






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