Collection Escorte. Escorte Par Goût Du Sexe (1/1)

Depuis mon plus jeune âge, l’argent dans ma famille, sans couler à flots, nous en avons assez pour bien vivre.
Bonne élève, bonne éducation, je me dirigeais tout droit vers la même situation que ma mère.
Femme mariée à un mec blindé de fric à qui je ferais au moins un héritier et qui devra se promener au bras de celui à qui elle devra tout.
En un mot soit belle pour ton mec et tais-toi !
Sans que ce soit prémédité, un ami m’a fait suivre une autre voie.
Je suis une escorte, une de ces femmes très élégantes, même très très élégantes qui font la pute pour gagner leur vie.
Pour vous dire si ma clientèle est aisée, je reviens de Cuba, ou j’ai séjourné dans un hôtel à touristes, le plus cher de La Havane avec un homme de 76 ans.
Je me suis envoyée en l’air comme avec tous mes clients.
Malgré son âge, même si ses éjaculations étaient très lentes, il arrivait à bander lorsque ma langue sollicitait sa verge.
Lorsqu’il pouvait me pénétrer, comme pour tous, mon corps se mettait à vibrer et je prenais un pied incomparable, le laissant bouche bée de pouvoir encore satisfaire une pute comme moi.
Pendant ce séjour, il dormait des heures pour récupérer, je faisais piscine seule dans la journée.
Rapidement j’ai été sollicité par de nombreux beaux gosses, si j’aime jouir, je sais être fidèle à celui qui me payait pour l’accompagner.
Nul doute qu’il m’a été difficile quelques fois de les rembarrer, l’envie folle de les suivre dans un coin sombre ou leur chambre me taraudant.

Comment j’en suis arrivée à vendre mes charmes pour du fric, c’est tout simple ?
À la fin d’une réception chez mes parents, j’avais 19 ans, il y a presque six ans.
Depuis l’âge de 17 ans, j’avais perdu ce que toutes les femmes friquées de mon entourage considèrent comme notre petit capital.
Ma vertu !

C’était intéressé, car souvent, elles avaient un fils avec lequel elles me verraient bien fiancer vu le niveau d’estime qu’elles ont de ma famille.


J’ai même eu l’approche avec une dame dont sa fille était lesbienne et avec laquelle elle m’aurait bien vue pour le restant de nos vies.
J’ai fait celle qui était trop prude pour comprendre l’appel du pied et elle s’est calmée.
Les amours féminins, j’ai appris à les connaitre au cours des années ou j’ai fait la pute.
J’ai comme cliente des femmes d’affaires qui me paye une fortune pour me bouffer la chatte.
Avec elle, c’est facile, 12 heures tu arrives à l’hôtel, 12 heures 10 tu touches ton enveloppe ou tu vérifies sur ton portable que la somme prévue a bien été transférée.
Tu te dénudes, tu t’occupes de la chatte de ta cliente qui jouit avec toi, car femme ou homme mon corps a les mêmes réactions pour les uns ou les autres.
Dès que l’on me touche, je démarre.
13 heures, tu quittes la chambre, elle retourne à son travail gagner du fric comme un homme et toi tu vas à ton institut de beauté te faire coiffer les quelques mèches que ta cliente t’a maltraitées.

Pour ma première fois, à 17 ans, je savais que les filles avaient mal lors de leurs dépucelages.
Il en fut tout autrement pour moi, Charles un vulgaire livreur m’ayant invitée à boire un verre, m'a touchée les seins et mon corps s’est enflammé.
Il m’a emmené dans sa chambre plutôt minable et m’a pénétrée alors que je criais de plaisir.
Mes amants successifs, aimant sortir, m’ont tous envoyé vers le sommet de nos plaisirs.

Depuis, chaque fois qu’un homme sait me séduire, je me donne ayant toujours des orgasmes à répétition.
Je lis les aventures érotiques de salope sur le site Histoire de Sexe.
Quand Chris71 rapporte la vie de Maryse, jeune femme comme moi lorsqu’elle a commencé à se donner à des hommes de tout âge, elle aurait suivi ma voie, elle aurait été une des plus grandes escortes de sa génération.
Baisé pour de l’argent, elle l’a fait à certains moments de sa vie, alors que moi, c’est plusieurs fois par mois que je me donne à des hommes friqués moyennant de gros versements sur mon compte.

C’est lors de cette réunion chez mes parents, qu’un copain de mon père assez friqué s’est intéressé à moi.
Il m’a fait danser et a vu que mon corps répondait au sien.
Le lendemain soir, il m’a invitée au restaurant, l’un des plus huppé de Paris.
Il avait plus de la cinquantaine, ce que l’on peut appeler un vieux beau.
Cheveux poivre et sel, j’ai bien sûr fini dans les étages dans une chambre qu’il avait réservée.
Je me suis donnée comme chaque fois, sans me poser la moindre question.

- Karine, une jeune femme comme toi est étonnante !
J’aime les femmes et malgré que je sois marié, il m’arrive de payer des escortes pour une nuit.
Tu es naturellement faite pour ce métier, jouir comme tu jouis sans feindre, car je l’aurais vu, c’est exceptionnel.
En plus, tu te laisses séduire par un homme de mon âge, tiens pour te remercier donne-moi ton compte, je te verse de suite 5 000 €.
Une prestation comme la tienne, c’est donné.

Je l’ai fait.
J’ai empoché les 5 000 sans compter ses amis à qui il a donné mon numéro de portable pour que je devienne définitivement Karine, maman m’ayant donné un autre nom que je cacherai bien sûr.
C’est le cas de mon client que je vais retrouver la semaine prochaine à Saint-Tropez sur le port où son yach est amarré.
Je vais y passer trois semaines, à me faire bronzer et admirer à en faire saliver les badauds qui vont rêver d’être à ma place.
J’adore voir les grosses dans leur haut moulant leurs seins de vaches laitières avec quatre ou cinq gosses pendus à leur jupe.
Être belle, c’est mon crédo et m’allonger pour baiser et ramasser un paquet de fric en est un autre avec en prime des orgasmes, des orgasmes et encore des orgasmes.

Comme l’a dit l’ami de mon père, en parlant de métier, on voit de tout.
Il y a quelques mois, j’ai reçu un message sur mon portable de travail d’un homme la quarantaine.

- Vous êtes Karine, c’est votre ami Luc qui s’est permis de me donner votre numéro, j’aurais besoin de vos services.

- Que puis-je faire pour vous, vous savez que je suis très chère ?
- Oui, sans aucun problème, mais c’est pour mon fils !
À 22 ans il me désespère, à part ses études de droit, il veut devenir l’un des plus grands avocats de son époque, rien pour l’intéresser encore moins les filles.
- Il est peut-être homo et hésite à vous le dire !
- J’y ai pensé, ce sera à vous de le découvrir.
Il va sans le dire, qu’il faut qu’il ignore que je vous paye pour cela.
Vous le trouverez tous les mercredis après-midi ou les samedis dans les jardins du Luxembourg près du bassin.
Il est toujours, été comme hiver avec une écharpe rouge autour du cou.
À oui, il est grand et brun.
- Approvisionnez mon compte, je vous envoie mes tarifs et je me mets en chasse.
Considéré que s’il est hétéro, c’est fait.

J’ai mis trois après-midi à le cerner.
Le premier afin de le repérer, le deuxième pour venir à ses côtés et engager la conversation et le troisième pour qu’il vienne avec moi jusqu’à son logement loué par son père.
Il était bien puceau et je l’ai fait découvrir le sexe, mal m’en ai pris.
Savoir que j’étais la première, dès qu’il m’a touché comme à son habitude, mon corps s’est enflammé, il était si fier de m’avoir fait monter au septième ciel.
Le soir même il m’emmenait au restaurant et de retour dans sa chambre, il m’a de nouveau fait jouir.
J’aurais dû refuser et couper les ponts, mais au matin il me demandait en mariage.
Quelle horreur, j’étais rentré dans le métier pour fuir la femme que l’avenir me proposait, si je l’épousais voilà que je faisais retour à la case départ.
Depuis, je reçois des mails enflammés, sur mon portable à mon propre nom, car au restaurant, j’ai eu un moment de faiblesse, il était si touchant, que je lui ai donné.

En prime, j’ai touché double paye.
Le fils dans son appartement et le père à l’hôtel lorsqu’il m’a rappelé pour me féliciter.

Son fils avait tellement été élogieux que son père a voulu connaître au réel, celle que son puceau de fils avait fait jouir dès sa première fois.
Confidence entre père et fils.
Eh oui, il faut savoir amorcer et je lui ai dit que moi aussi ce serait ma première fois.
Retrouver un moment mes 17 ans et la naïveté de ces deux garçons m’a fait revivre un moment de ma vie bien lointain pour la première fois.
Quant au père, j’ai retrouvé le même genre de client que les habituels baisant pour leur propre plaisir, même si moi, je pète le feu de Dieu sur un plumard.

Je sais, on va me dire, 25 ans, je vais coiffer Sainte Catherine.
De sainte, il y a seulement Catherine, car qui me donnerait le nom de sainte après toutes les bites et toutes les chattes que j’ai pu sucer ?
La multitude de fois où je me suis fait enfiler pour par tous ceux qui me rémunèrent pour me voir jouir sous eux, m’interdisent de revendiquer ce mot.
Lorsque je dis sous eux, ce peut être à quatre pattes, j’adore la levrette et les sensations que les bites entrent plus loin en moi.

Voilà, j’ai presque un mois de rendez-vous planifiés, si vous voulez rencontrer Karine, 07 00 00 00 00, elle sera toujours à votre écoute, si vous en avez les moyens bien sûr.
Excusez, un SMS, merde, encore l’ancien puceau, dois-je lui dire que son père est mon nouveau client ?

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