Retour De Brousse

Cette aventure se déroule en 2010. A cette époque, je viens tout juste d’avoir 20 ans. Curieusement, je suis encore puceau. Certes, il m’est arrivé de voir des potes à poil aux douches du stade mais il n’y a jamais rien eu. Quant aux filles j’ai dû me contenter d’entrevoir des seins nus de-ci de-là. Mais au final, rien. Un vrai puceau.
Ceci dit, grâce à Internet j’en ai appris pas mal, et je me masturbe régulièrement. Et plusieurs fois de suite. De ce côté-là, tout fonctionne bien.
Donc, nous sommes en 2010. J’ai 20 ans, et je fais une mission O.N.G dans un pays africain, une de nos anciennes colonies. De retour d’une sortie détente, un peu crevé à cause de la chaleur. Un coopérant français me propose de me ramener en ville dans son pick-up. Un confortable pick-up de luxe, de vrais sièges devant et une banquette à l’arrière.
Après quelques minutes, cet homme, environ 40 ans, athlétique, laisse aller sa main du levier de vitesses jusqu’à ma cuisse. Je précise que je suis en short kaki, un peu comme les militaires, avec un large ceinturon. Surpris, je ne bouge pas. La main me caresse lentement et je sens nettement un doigt glisser dans l’échancrure du short, et … un début d’érection.
- Il fait chaud, tu ne trouves pas ?
- Oui, très chaud.
- Mets-toi à l’aise si tu veux ; torse nu, tu seras bien mieux.
J’enlève mon t-shirt et, machinalement, je desserre le ceinturon .
Moins d’un km plus loin, la main de mon conducteur revient. Sur le genou tout d’abord puis la cuisse. Je laisse faire. Hmmmm.
- Dégrafe la braguette, tu seras mieux, dit-il sans lâcher le volant.
De mon côté je bande de plus en plus. J’ai honte, mais c’est si bon … J’obéis. Me voilà torse nu, le short entr’ouvert, ma bite en majesté, mais soigneusement cachée dans un slip, kaki comme le short mais en plus clair.
- C’est bien. Tu aimes ?
Je ne réponds pas, mais je sens bien que mon silence vaut approbation.

Du coup, entre les changements de vitesse, la main s’active. Tantôt sur la cuisse, jusqu’à l’échancrure du short et enfin jusqu’à l’entrejambe du slip. Tantôt sur le slip lui-même puisque le short est à présent grand ouvert, et là je sens bien tout ce qu’il me fait. La bite, les couilles, tout y passe, à travers le tissu. Je n’en peux plus.
- Enlève.
- Quoi ?
- Enlève tout. Je dis bien tout.
- Mais …
- Ne discute pas, je veux te faire jouir, là, tout de suite.
Il en a trop dit, ou trop fait, je veux lui obéir mais je n’ai même pas le temps de m’exécuter. Une belle giclée de sperme m’échappe, dans mon slip. Honte à moi …
- Désolé, vous aviez dit « tout de suite », c’est parti trop vite. Je bandais trop. J’ai honte.
- Oui, on va t’appeler Rapido, alors. Bon, pas grave, enlève ton short maintenant pour ne pas le tâcher. Reste en slip ; avec la chaleur qu’il fait ce sera vite sec. Et… appelle-moi Jean. C’est plus facile.
- Moi, c’est Jeremy.
- O.K.

Quelques kilomètres et pas mal de cahots plus tard, alors que je m’étais assoupi, je sens quelque chose glisser sur mon torse. C’est Jean qui, conduisant d’une seule main, passe un bout de bambou sur mon buste, puis il descend sur mon slip. Tout doucement. Assez flexible, ce bambou, c’est super bon. Je laisse faire.

Puis il arrive à le glisser dans l’entrejambe jusqu’à toucher ma bite sans la sortir du slip. Je continue à laisser faire. Je fais comme si je me réveillais. Je ne bande pas encore, mais je sens bien que ça va venir…

- C’est sec ?
- Oui, Jean, bien sec.
- Tu aimes ce que je te fais ?
- Oh oui… c’est super
- Passe ta main dans ton slip, pour voir.
- …
- Tu me montres ?

Je suis gêné ; je sens ma bite en train de durcir, elle va sortir toute seule de mon slip. Je n’ose pas lui dire, mais je sens bien comment tout ça va finir.

- Allez, ne te dégonfle pas, Jeremy, mets-toi tout nu.
Je veux te voir. Tout voir.
- Et toi ?
- Petit polisson, tu veux voir aussi ?
- Pourquoi pas ? J’en ai jamais vu ni touché d’autre que la mienne.
- Tu es puceau ?
- Oui, c’est comme ça qu’on dit, je crois. Puceau 100%.
- Jamais vu une autre bite ? Jamais touché une foufoune ?
- Jamais.

On s’arrête dans un coin à l’ombre. Pas une âme qui vive ; il fait trop chaud. Jean ouvre sa portière et passe à l’arrière. Je sens que je vais y passer, comme on dit.
- Ne sois pas timide, Jeremy, viens derrière; je te promets, tu verras tout.

L’arrière du pick-up est très confortable, et les vitres noires renforcent l’intimité. Me voici toujours en slip, tendu à fond, avec un homme mûr de quarante ans, costaud et sans doute bien endurant. Après avoir ôté son t-shirt, il desserre son ceinturon et le haut du pantalon en toile.
- Vas-y, à toi de jouer.

Je m’efforce de reproduire ce que j’ai subi tout à l’heure. Ouvrir la braguette, mettre en place à tâtons le sexe bien comme il faut dans le slip sans le sortir, masser tout doucement, sentir la tige de plus en plus dure. Hummmm…. C’est un slip fendu, le bout commence à apparaître, c’est génial. Le pantalon en bas des chevilles à présent ; c’est plus facile que je croyais.
- Continue, Jeremy, tu es super…
Je m’attaque, si je puis dire, au slip.
- Alors, qu’en penses-tu, tu la trouves à ton goût ?
Je ne réponds pas, mon silence est éloquent. Jean est maintenant tout nu, la bite toute droite, à portée de mains. J’y vais, je me lance, je le branle comme si c’était la mienne. Tout doucement, puis plus fort. J’ose même la prendre à la bouche et la lécher, la sucer, l’aspirer comme j’ai vu sur internet.
- Hmm c’est trop bon, continue mon Puceau, continue. Je vais t’inonder la bouche si tu continues si bien.
Je n’ai guère le choix, je m’exécute. En fait, j’en ai follement envie.
- Oui, Jean, laisse-toi aller, j’en veux…
- Encore, Encore.
Je joui, Jeremy, prends tout, avale tout, c’est magnifique !!!
Comme prévu, je prends tout au fond de la gorge. Pour une première, c’est particulièrement réussi.

Mais, pas le temps de réfléchir, Jean s’en prend à moi. Il m’arrache mon slip, il me masturbe tout en douceur et il n’a pas grand mal à m’amener au garde-à-vous car il n’a pas lâché un instant mon sexe pendant la séquence précédente. Vais-je tenir ? C’est toute la question.
L’arrière du pick-up est suffisamment grand pour que je me mette à quatre pattes. Il m’oblige à prendre cette posture. « Quel joli cul, … Mais, pas aujourd’hui, pas tout à la fois ». Il n’empêche, je sens sa langue, puis un doigt puis deux. Génial ; ce toucher de mon fondement, tout en douceur, me fait bander encore plus. Je n’y croyais pas.
- Viens autrement, je vais te faire du bien.
Pas toujours facile en voiture. Il m’installe sur le dos; pourvu qu’on ne me voie pas, j’ai tout mon bazar à l’air. Quelques caresses bien ciselées, puis une fellation d’expert. Il s’y connaît, le Jean, et il s’applique à me serrer les couilles au bon moment pour retarder la chose quitte à me faire un peu mal. Le top c’est quand il a décidé de me finir et qu’il m’a mis un doigt dans le cul bien au fond comme il faut. Juste le temps de me dire « Ça, c’est la Royale, un plaisir rare, tu t’en souviendras »
et il s’est pris une giclée comme je n’avais jamais eue. Bien entendu il n’a pas perdu une goutte.

- Il est temps de rentrer ; je suis sûr qu’on t’attend à l’ONG.
- Je les avais oubliés, ceux-là.
- Dans l’immédiat, on passe chez moi, une bonne douche pour te rafraîchir, t’arranger un peu, que tu sois bien présentable. Je te déposerai à ton local, je connais l’endroit.

Une heure plus tard, comme prévu, il me dépose, tout beau tout propre, à 100 mètres de notre local.
- Au revoir, Jean, les bonnes choses ont une fin.
- Pas toujours, Jeremy, pas toujours. Nous verrons bien.

- C’est d’accord.
- A présent, tu sais où j’habite, tu viendras un soir. Disons vendredi si ça te va. Et prévois de ne pas rentrer le soir, je te garde tout le week-end.
- Entendu. A vendredi

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