Retour De Brousse ; Le Petit Train

Retour de brousse 5 Le petit train

Eprouvante pour Awa, la séquence du flipper ; la journée n’est pas terminée pour autant, et la soirée promet d’être rude, car Jean a demandé de mettre en place le matériel du « petit train » dans la salle de jeux.
Encore une drôle d’invention, j’imagine. En principe, sous le nom de petit train on désigne un jeu érotique entre gays. Tout le monde à poil, un derrière l’autre, un dans l’autre et … on y va.
Ce doit être un peu différent ici, car, s’il y a des mecs prêts à tout, il y a aussi des femmes qui prennent tout, on l’a vu, et qui n’ont pas froid aux yeux. Ni ailleurs.
En tout cas, l’après-midi se résume à « sieste + piscine + boissons fraîches sans alcool ». Sans alcool, certes, mais Yasmina et Awa m’avoueront plus tard que certains jus de fruits ont des vertus spéciales; en douce elles les appellent le Viagra des tropiques. Et ça marche pour les deux sexes. C’est tout dire.
Ce soir, dîner calme. Personne sous la nappe ; ce qui n’empêche pas les uns et les autres de se faire quelques douceurs. A un moment, je suis vers la cuisine. Yasmina attire mon attention et me montre sous la nappe. Les deux femmes ont la culotte à mi-mollet, et leurs contorsions en disent long sur ce qui se passe dans leur sexe. Les salopes ! Vraiment increvables …
- Le petit train va entrer en gare ; nous allons tirer au sort les positions. D’abord, la loco. Il nous faut une dame. Awa ? Yasmina ? Bénédicte ? la Sultane ?
Le tirage désigne Yasmina ; à vrai dire elle s’y attendait un peu. Et je crois bien qu’elle souhaite ce poste. Mais elle sait qu’elle va en prendre un bon coup, il est vrai qu’elle est un peu maso. Son gros souci est : qui sera derrière elle, dans le tender ? Pourvu que ce ne soit pas la Sultane ; une vraie sadique dans ce rôle, semble-t-il. Ouf, le sort désigne Bénédicte, mais on dit qu’elle est plus vicieuse qu’il n’y parait ; à voir. Puis Amidou en premier wagon, et enfin Jean en wagon de queue.


Il reste Awa, qui sera en quelque sorte chef de train; la Sultane, qui sera chargée de la technique ; et moi, pour une fois simple spectateur. Mais un clin d’œil d’Awa me fait comprendre que je ne serai peut-être pas un spectateur passif. Et que, de toutes manières, nous aurons droit à quelques distractions quand le petit train sera arrivé à bon port.
Awa met en place ses personnages-objets. Il faut que ce soit réussi.
En premier, la loco. C’est donc sa copine Yasmina. En un tournemain, elle la met toute nue, ce qui est vite fait car elle ne porte presque rien. Et elle la dispose en levrette, genoux serrés par une petite liane, la tête et le buste engagés dans un petit bâti en plastique, genre flipper. Un petit bâillon pend devant son visage; on verra plus tard si c’est nécessaire.
Juste derrière, le tender. En l’occurrence, Bénédicte. « A poil, ma petite chérie, je vais t’équiper ». Un petit mot de Jean à l’intention d’Awa; « tu prends le triple, en XXXL ; il faut que Yasmina s’en souvienne ». Il s’agit d’un énorme gode en bois à triple embout. Heureusement, il est légèrement articulé pour s’adapter à ce qu’il trouve. Awa équipe Bén, un gode bien épais dans la chatte. Il tient bien, et les deux embouts de devant la font ressembler à un petit monstre. On dirait un mâle en rut. On la dispose en levrette derrière Yasmina qui commence à gémir : « ça ne rentrera jamais ! » Une pincée de beurre de karité, ça aide un peu. Surtout dans le cul car, tout le monde l’a compris il y a un embout pour la chatte et un pour le fondement ; c’est par celui-ci qu’on commence. « Si tu continues je te bâillonne ». En quelques minutes l’attelage loco-tender est prêt. Bénédicte et Yasmina sont arrimées entre elles par le triple gode ; une sorte de ceinture les empêche de se séparer. Il y a des trucs qui pendent, une sorte de tuyau et un genre de fil électrique, on verra plus tard à quoi ça sert. Pour le moment, à rien. Par précaution, les poignets de Yasmina sont attachés.
Les dimensions des trois embouts sont impressionnantes, en diamètre et en longueur. Le ramonage va être brutal. Et elle ne pourra rien faire que subir ! Elle ne pourra pas gémir ni crier, car la Sultane vient de la bâillonner, bien serré.
Le reste est plus simple. Amidou se cale derrière Bénédicte, ; son braquemart fait peur, il n’a pas besoin de sex-toy. Et c’est à croire qu’il ne débande jamais, le bougre. Que va-t-il faire ? La chatte ? ou le trou du cul ? J’ai le sentiment qu’il voudrait double visite, mais la chatte est déjà prise. Il va viser le trou du cul. Bon courage, Bén, c’est du gros. Et du solide !
Et en dernier, Jean. Pas d’hésitation pour lui, il n’a pas le choix. Pour le moment il ne bande pas, mais … la Sultane prend les choses en main, au sens propre et au sens figuré. Et hop, le voilà bien enfilé dans l’anus d’Amidou . Sacré spectacle, bel attelage.
A l’évidence, cette cochonne de Sultane s’y entend pour toucher les burnes. Elle tripote les couilles des deux mecs de belle façon. Comme dirait un littéraire, voilà une masturbation de belle facture…
C’est jean qui, du fond, donne la mesure. Et ça rentre, et ça sort, et ça re-rentre, et ça re-sort. Du côté de la loco, ça commence à se tortiller dans tous les sens malgré les attaches. Finalement, la Bénédicte, bien enculée par Amundi et la chatte bien empalée sur le gode d’ébène, s’agite en mesure dans les deux trous de Yasmina. Le pire pour cette dernière, c’est qu’elle sait ce qui l’attend.
C’est là que j’entre en scène. Le triple gode est en fait équipé d’accessoires de plaisir, ou de , c’est selon. Tout d’abord, les trois embouts sont percés dans le sens de la longueur. Et ils sont reliés à un tuyau assez gros où l’on peut brancher une canule, comme pour un lavement. Et, à côté, une poire en caoutchouc de belle dimension, aboutée précisément à une canule.
- A nous de jouer, me dit Awa. Tu vois les seaux placés à côté de toi, ils sont pleins. La Sultane va tremper la canule dans un seau de son choix.
Tu presses à fond la poire, puis tu relâches lentement. Du coup elle va se remplir.
- Qu’y a-t-il dans les seaux ?
- C’est variable. De l’eau froide, de l’eau chaude, de l’eau salée, ou autre chose , plus ou moins assaisonné. Comme les seaux sont bien fermés, on ne voit rien ; c’est la surprise. Mais la Sultane, elle, elle sait ce qu’il y a dans les seaux.
- J’ai compris. Quand la poire est bien pleine, je mets la canule dans l’entrée du gode, et je presse à fond.
- Oui, à fond. Et d’un seul coup. Il faut que ça aille vite au fond des deux chattes et au fond de l’anus de Yasmina.
- Et alors ?
- Tu verras ; il arrive que ça hurle . C’est pour ça que Yasmina est bâillonnée. Surtout que la Sultane est assez sadique. Mais je suis sûr que Bénédicte va aussi passer un bon moment.
- Et l’autre fil, qui est raccordé aux trois embouts ? Tout fin ? On dirait du fil électrique.
- On verra plus tard.
La séance continue. A l’évidence, Jean s’apprête à décharger dans l’anus de notre ami Amidou. Quant à ce dernier, il aime cela et, suivant le rythme de Jean, il a percé le cul de Bénédicte comme si de rien n’était, et il va lui aussi la remplir de jus de mâle d’un instant à l’autre. On sent que, du côté des mecs, c’est bien engagé, c’est bientôt l’apogée.
C’est l’instant que la Sultane choisit pour le premier seau. Tout se déroule comme prévu ; j’écrase la poire à fond et j’inonde les deux meufs. Juste un petit cri du côté de Bén. La surprise, sans doute. Awa goûte, c’est de l’eau froide. Rien à dire.
Deuxième seau, et j’aperçois de la vapeur d’eau. Au signal, je balance le contenu de la poire dans les tuyaux. Et là, pour le coup, Bén se met à hurler tandis que Yasmina cherche à se défaire du baillon. Ma goûteuse fait son petit test. Eau bouillante, salée. C’est sûr que l’on sent la différence. Pour éteindre un peu, on remet une dose du premier seau.
Troisième seau, la Sultane remue bien le contenu avec une spatule, c’est à la fois liquide et pâteux.
Elle enfonce résolument la canule ; je remplis le bazar. Avant d’envoyer la sauce, elle me fait comprendre que je devrai envoyer deux doses. C’est parti … Hurlements de Bén, elle en a plein le cul ; contorsions de Yasmina, elle en a de partout. Et sans attendre , deuxième service. Bèn est près de la syncope ; heureusement qu’Amidou est bien branché, il la secoue dans tous les sens. Awa retire le bâillon de sa copine, elle allait s’. Et ça hurle comme une hyène.
Quelques minutes passent ; nos deux mecs se sont bien vidés, nos deux nanas se sont bien remplies et ont arrêté de gueuler. Le calme après la tempête.
- C’était quoi ?
- Harissa forte. Et je crois bien que le cuistot n’y est pas allé de main morte.
Piscine pour tout le monde.
Je note que les fils électriques n’ont pas servi. Je suppose que nous aurons une autre séance. Entre filles. Les deux qui n’étaient pas dans le petit train mais à côté. Et moi, peut-être ; qui sait ?
Cela ne tarde pas. C’est la Sultane qui s’équipe du triple gode. Et Awa qui se met à quatre pattes, en levrette. A moi d’enfiler les trois embouts ; ça rentre comme dans du beurre, inutile de dire combien je bande ; un vrai poinçon. C’est le moment que choisit Amidou pour m’abouter au cul de la Sultane, en levrette également. Je n’ai jamais fait ça. J’y vais ? J’y vais pas ? C’est elle qui décide. Un coup de rein en arrière, un anus grand ouvert… et Olé ! Me voilà dans son rectum. Facile ! Je saurai par la suite que ce n’est pas toujours aussi facile.
A côté de nous, Bén et Yasmina se frottent les mains, prêtes à se venger de ce que nous leur avons fait subir une heure avant. Elles branchent le fil électrique à une sorte de batterie, on se contentera d’un courant faible, Yasmina vérifie le tout et la Sultane envoie la sauce. Tout doucement d’abord, les deux femelles gémissent. Puis plus fort et ça contorsionne dans tous les sens. Puis très très fort et ça se met à crier, à juter, à remuer comme des dingues. Au point que, de mon côté, j’envoie la purée à mon tour dans les boyaux de la Sultane, qui se met à me serrer la bite comme une folle pour me garder longtemps…
Décidément, je m’en souviendrai. Douche pour tout le monde.
La soirée se prolonge. Tout va bien dans la nuit africaine.
- Avant d’aller dormir, la Sultane souhaite un digestif triple, sans alcool.
- C'est-à-dire ?
- Vous allez bien voir ; vous ne le regretterez pas. Awa, tu vas vers Gregory ; Bénédicte, vers notre ami Amidou ; et toi, Yasmina, occupe toi de moi.
- Que faut-il faire, Jean ?
Jean a déjà dégrafé son bermuda blanc et tout le monde aperçoit son gland qui commence à pointer. Pas besoin de se faire un dessin, nous l’imitons et les trois nanas s’agenouillent et nous administrent une belle fellation. Seule la Sultane n’a rien à sucer.
Comme prévu, c’est moi qui tiens le moins longtemps. La Sultane s’approche, écarte et remplace ma bienfaitrice et, en quelques coups de langue, arrive à ses fins et recueille dans sa bouche une belle dose de sperme ; et sans attendre elle fait la même opération avec Jean ; à son tour le voilà essoré . Le spectacle continue avec Amidou. D’habitude il est très endurant ; mais là, il est prêt à tout lâcher, il s’écarte un peu, l’autre ouvre en grand sa bouche et reçoit une belle giclée bien ajustée. Tout ça en moins de cinq minutes.
- Et maintenant, le final, le triple digestif.
La Sultane s’allonge sur la table, ouvre enfin la bouche, montre combien elle est pleine, comme une coupe, du jus des trois mâles qu’elle vient de finir, et se met à déglutir lentement avec un plaisir évident.
Et quand elle en a terminé, elle montre avec fierté qu’il ne reste pas une goutte, pas une trace, et rejoint sa place sous les félicitations des trois autres filles.
Sacrée soirée !
Repos pour tout le monde. Je vais passer la nuit chez Jean. Quant à Amidou et sa Sultane, ils rentrent chez eux. Le week-end se terminera sans eux .
A suivre





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