Sensible

"Je ne vois pas ce que j'aurais pu faire d'autre!"
"Comment peux-tu affirmer une chose pareille?"
"Après une demi-heure de ce qu'il m'avait fait, comment pouvais-je réagir autrement?"
"Tu l'as laissé batifoler avec ... tes parties intimes?"
"Il jouait déjà avec tout le reste ..."
"Mais tu l'as laissé faire!"
"Je n'ai pas laissé faire. Je ne le souhaitais pas. Mais c'est un médecin. Il m'auscultait. Je m'attendais à ce qu'il me touche!"
"Mais il ne portait pas de gants!"
"Je vous l'ai déjà expliqué. L'infirmière était allée en chercher, le stock était vide."
"Tu aurais dû revenir le lendemain!"
"C'est ce que j'aurais dû faire? Lui dire que je reviendrai le lendemain?"
"Tu aurais dû!"
"Mademoiselle Grange. Je n'ai que dix-huit ans. C'est un médecin. Je lui dois le respect. S'il me dit que ça va, alors c'est bon!"
"Ce n'était pas correct."
Cherry ferma ses jolis yeux. Elle secoua ses longs cheveux noirs.
"D'accord, d'accord" dit la professeure en se calmant, posant une main apaisante sur l'épaule de la jeune fille.
"Où a-t-il mis ses mains sur toi?"
"Partout. J'avais enlevé mes vêtements ..."
"Est-ce qu'il a palpé tes seins?"
"Bien sûr."
"Longtemps?"
"Assez longtemps … Oui."
"Les tétons?"
Les yeux de Cherry s'abaissèrent vers le sol. "Oui" reconnut-elle, à voix basse, un peu agacée.
"Je vous l'ai dit. Il m'excitait. Il m'a tripoté les seins, les a caressés, et il a légèrement tiré sur mes tétins."
"Juste légèrement?"
L'étudiante ferma les yeux, comme pour se concentrer. Elle parla lentement, distinctement, comme une .
"Au début, c'était léger. Juste une caresse. Mais quand mes tétons se sont érigés et qu'ils ont durci, il les a griffé, puis il les a pincé avant de tirer dessus et de les tortiller."
"Et entre temps, la caresse redevenait plus agréable, plus sensuelle?" L'enseignante s'était radoucie.


"Oui" reconnu la jeune fille, à voix basse, les yeux toujours fermés, en penchant la tête.
"Était-ce excitant pour toi?" lui demanda doucement l'enseignante.
La jeune fille releva ses jolis yeux, un petit froncement de sourcils montrait son embarras.
"Mademoiselle, je n'ai que dix-huit ans, beaucoup d'endroits de mon corps sont très sensibles. Toutes les filles de mon âge sont comme ça. Nous nous modérons. Mais quand un homme nous touche, ça nous excite!"
"Ne me dis pas que ça t'est déjà arrivé!" s'exclama l'enseignante.
Cherry baissait de nouveaux les yeux, la tête penchée, boudeuse: "Non. Cela ne s'était jamais produit auparavant!"
"Mais tu y as déjà pensé?" Souriante, Mademoiselle Grange provoquait la jeune fille.
La jolie étudiante secoua négativement la tête. En retour, la jeune enseignante secoua la sienne.
Elle était assise sur le bureau, juste sur la pointe des fesses, jambes écartées, la jeune étudiante était debout entre ses pieds.
Elles étaient seules dans la classe, les autres étudiantes étaient parties depuis un moment déjà. La nuit tombait.
La salle de classe s'obscurcissait de plus en plus.
La jeune enseignante tendit son bras et, frôlant les cheveux soyeux de sa jeune élève:
"Dis-moi ce qu'il t'as fait ensuite?" L'expression de son visage s'adoucissait davantage tandis qu'elle caressait la tête de Cherry.
"Je vous l'ai déjà raconté" rétorqua la jeune fille, exaspérée, le regard baissé, les doigts de sa prof câlinant ses cheveux.
"Tu t'es allongée sur la table d'examen. Il n'avait pas de gants et t'a demandé s'il était correct de t'examiner sans gants. Tu lui as dit que c'était bon. L'infirmière est revenue en disant qu'ils n'avaient plus de gants en réserve. Elle est partie juste après. C'était encore tôt mais tu es restée seule, juste le doc et toi, dans son cabinet de consultation. Alors, et ensuite …?"
La jeune fille inclina très légèrement sa tête vers la gauche.
Les doigts de l'enseignante s'étaient glissés dans ses cheveux, et effleuraient délicatement le lobe de l'oreille. Après l'avoir énervée, il fallait calmer la fille.
Cherry a capitulé: " Alors il m'a examinée, et ce faisant, il me demandait au fur et à mesure d'ôter mes vêtements, progressivement, jusqu'à ce que je me retrouve entièrement nue sur la table d'examen."
"Pendant ce temps, il te touchait?"
"Oui, tout le temps."
"De quelle façon?"
"Il me palpait. D'abord par-dessus les vêtements, puis il me demandait d'ôter le vêtement, et il me caressait, peau contre peau".
"Est-ce qu'il t'a pressé les seins?"
"Oui."
"Par-dessus ton soutien-gorge ou poitrine nue?"
"Les deux. Il m'a parlé de la bonne santé des seins en caressant ma poitrine par-dessus le soutien-gorge. Puis, du bout des doigts, il a commencé à réveiller mes tétons. Quand ils se sont dressés, il m'a demandé d'ôter mon soutien-gorge."
"C'est ce que tu voulais? … Tu le voulais?"
La jeune fille haussa les épaules sans répondre.
Sa prof avait glissé un doigt dans son oreille, et elle jouait délicatement avec les contours.
Elle glissa plus profondément ses doigts dans la chevelure épaisse de la jeune fille, qui aussitôt accentua l'inclinaison de sa tête pour intensifier le doux toucher de son enseignante.
Cherry gardait les yeux baissés, ronronnant comme une jeune chatte.
Tandis qu'elle caressait la fille, la jeune femme inclina elle aussi son visage pour lui faire face et chercher son regard.
"Est-ce que c'est ce que tu voulais? " l'enseignante répétait sa question, insistante, déterminée.
L'action de caresser la jeune fille les avait rapproché.
Leurs genoux, leurs jambes se touchaient. L'enseignante enserrait les jambes de l'étudiante avec ses jambes, leurs ventres, leurs poitrines s'effleuraient, leurs visages étaient à quelques centimètres l'un de l'autre.
"Il a su m'éveiller!" la jeune fille expliquait, rougissante, ses mains posées sur les hanches de l'enseignante.

"Que les seins?"
"Partout! Avant de me faire retirer ma jupe, il avait caressé mes jambes et mes cuisses. Avant que je retire mon chemisier, il m'avait caressé le cou et le ventre."
La main de l'enseignante descendit dans le cou de son élève. Cherry avait un cou gracile et lorsque la main de l'enseignante la caressa doucement, la jeune fille releva son menton, les yeux fixés sur les yeux de la prof.
Elles étaient presque de la même taille, Mademoiselle Grange était un petit peu plus grande, mais surtout plus pulpeuse, avec des formes plus pleines au niveau des hanches et de la poitrine.
Cherry était encore une jeune fille, Mademoiselle Grange était déjà une femme.
Enserrant Cherry dans son giron, Mademoiselle Grange, accentuant la pression de ses jambes sur les mollets de la jeune étudiante, plaquait contre elle son élève. Maintenant, leurs lèvres se frôlaient presque.
"Quand est-ce que tu t'es sentie excitée?" demanda la prof en lui caressant la nuque.
Cherry ferma les yeux. Son visage se redressa vers le plafond.
"Presque tout de suite. Quand il a posé ses mains sur moi, même quand j'étais vêtue. Même avant de me coucher sur la table d'examen. Son toucher n'était pas ferme comme celui d'un doc. Il était beaucoup trop doux pour cela. Trop caressant. Il me pelotait la poitrine, comme un amoureux."
Puis, dans un souffle: "Comme vous!"
"Comme ça?"
"Ooh! ... Oui, oui."
"Et alors?"
"Il a pressé mes seins, les a malaxé...!"
"Comme ça?"
"S'il vous plaît ... mes seins sont si sen ..." Les épaules de la fille se soulevèrent tandis que la prof pinçait ses tétons.
"Ooh ..." elle cherchait à reprendre son souffle. "Si sensibles" elle finit par terminer.
"Tout va bien" dit l'enseignante, les yeux rivés sur les yeux de la fille, observant ses réactions.
"Ooh...s'il vous plaît!" suppliait Cherry. Elle posa ses mains sur celles de l'enseignante, sur sa poitrine, mais sans l'empêcher.

"Qu'est-ce qu'il a fait ensuite?" L'enseignante gardait ses mains où elles étaient, recouvrant la poitrine de la fille.
Cherry avait posé ses mains par-dessus celles de sa prof, mais ne les repoussaient pas.
La prof serrait ses jambes et ses cuisses autour de celles de la fille, l'emprisonnant dans son giron.
Leurs pubis étaient étroitement rivés. Elle continuait de malaxer fermement la poitrine de la fille.
Cherry a posé son front contre l'épaule de l'enseignante. Aussitôt, celle-ci a commencé à déposer plein de petits baisers sur la joue de la gamine, allant du lobe de l'oreille jusqu'à la commissure des lèvres.
Bientôt, l'enseignante libéra une de ses mains pour palper les fesses de la fille.
"Il ..." essayait de poursuivre Cherry, comprenant que sa narration allumait l'enseignante:
"Le docteur a mis sa main sous ma jupe. Il me parlait ... s'il vous plaît, Mademoiselle Grange, je suis très sensible ... là en-bas!"
"Tout va bien, Cherry" murmura la prof, continuant ce qu'elle était en train de faire.
"Il t'a touchée? Où? Ici? Entre les jambes?"
"Vous ... Oui ... Ooh! ... S'il vous plaît ... Ooh!"
Cherry avait posé sa main sur celle de sa prof, mais celle-ci était déjà à l'intérieur du chemisier de Cherry, les boutons n'assurant que peu de défense.
La main malaxait maintenant furieusement les seins de la jeune fille, roulant fort les tétons de son élève.
Cherry se cambrait en soulevant ses épaules, les yeux fermés, haletante et gémissante, surprise par la vigueur du pétrissage .
"Quand tu es entrée dans son bureau, au début, qu'est-ce qu'il t'a fait?" murmura l'enseignante, en adoucissant sa prise sur le sein de Cherry, et en introduisant sa main dans la culotte de son élève, l'obligeant à écarter encore plus les jambes.
La fille déglutit difficilement, se laissant basculer contre sa prof, restant allongée sur elle avec complaisance, gardant les yeux clos, et poursuivit:
"Il était assis sur sa chaise, derrière son bureau, près de la porte. Il m'a fait venir près de lui, tout près. Je me tenais debout devant lui, entre ses jambes écartées. Il a commencé par palper ma poitrine, puis il a glissé ses mains sous ma jupe, caressant mes cuisses en me posant toutes sortes de questions."
"Quel genre de question?" demanda l'enseignante, caressant doucement la fille, une main dans son chemisier ouvert, l'autre errant lentement entre ses fesses.
"Quelles maladies j'avais eu, quand j'avais mes règles, si elles douloureuses et abondantes, si j'étais vierge …?"
"L'es-tu?" murmura la prof, ses lèvres effleurant la bouche veloutée de la fille.
Cherry secoua négativement la tête.
"As-tu dit cela au doc?"
"Oui" répondit l'élève.
Les yeux de la jeune enseignante regardèrent les seins de la jeune fille, sa main dans le chemisier grand ouvert, ce téton qui s'échappait du bonnet. Elle avait envie de le sucer et de le mordiller.
Elle remarqua que la gamine avait laissé retomber ses bras le long de ses flancs, elle se laissait aller contre l'enseignante, dolente, son joli visage était maintenant enfoui contre le creux de son épaule.
"Vas-y, raconte" l'encouragea-t-elle.
"Pendant que je répondais à ses questions, ses mains erraient ... sur moi, tantôt caressantes, tantôt...indiscrètes!"
"Qu'est-ce que tu as fait?"
"Rien. Que pourrais-je faire?"
"Tu as laissé ses mains se balader sur toi, te tripoter?"
"Bien sûr. C'est un médecin. Je suis allée le voir pour qu'il ausculte, il m'a auscultée!"
La prof laissa ses lèvres s'entrouvrir doucement sur la joue de la fille.
Si douce, si délicate!
"Vas-y, continue" l'incita-t-elle en frottant ses lèvres sur la peau lisse et satinée.
"Il voulait me tester, je pense. Comme s'il étudiait mes réactions. Ses mains caressaient toutes les parties visibles. Mes jambes, mes bras, mon cou et mon visage."
"Mais tu n'as pas réagi?" s'insurgea l'enseignante, caressant lentement la joue lisse de la fille, se rapprochant des yeux toujours fermés.
"Non. Rien d'autre que déplacer un membre, ma main ou mon pied, afin de lui faciliter l'accès vers l'endroit qu'il voulait atteindre."
"Comme ta jupe?"
"Oui."
"Entre tes jambes?"
"Oui."
"Il t'a touché entre les jambes?"
"Oui. Je vous l'ai dit!"
"Il t'a tripoté sur ta culotte?"
"Oui!"
La main de l'enseignante s'était glissée sous la jupe plissée de la fille, caressant des fesses.
Maintenant, elle a replié ses doigts, et le majeur s'est glissé entre les jambes de la fille, contre le coton de sa culotte, appuyant sur le sillon.
"Comment as-tu réagi à cela?" elle lui a demandé, pendant que son doigt commençait à la frictionner.
La jeune fille a le souffle coupé.
"Je suis très sensible là en-bas!" murmura-t-elle dans le cou de sa prof.
"As-tu eu le souffle coupé quand le doc t'a fait ça?"
La fille secoua la tête. Puis réfléchit et sembla acquiescer.
Puis, alors que l'enseignant déplaçait sa main plus à l'arrière et enfonçait son majeur dans l'ouverture, elle gémit et passa un bras autour des épaules de l'enseignante.
"As-tu eu le souffle coupé quand le doc t'a touchée ici?" l'enseignante murmurait, sa bouche entrebâillée contre l'œil fermé de la fille, les doigts palpant les parties génitales recouvertes d'une culotte de coton.
"Vraisemblablement" murmura la fille dans le cou de l'enseignante.
"Alors, quand est-ce qu'il t'a notifié de t'allonger sur le canapé?" l'enseignante a demandé.
"Après m'avoir caressée."
"Sur les seins ou entre les jambes?"
"Ooh, oui!" haleta la fille, ses doigts se crispaient sur l'épaule de la prof.
"Bien" dit le prof. De la pointe de sa langue, elle a caressé la paupière fermée de la fille.
Doucement, accompagné de petits coups de langue, elle a laissé glisser sa bouche vers la bouche de la fille.
La gamine a tourné légèrement la tête, pour que sa bouche vienne à la rencontre de celle de sa prof.
Au début, les lèvres se frôlaient entre séduction, légèreté et délicatesse, mais ensuite les lèvres ont commencé à s’entrebâiller … timidement au début ... puis la femme a dardé sa langue pour envahir la bouche de la fille, les deux langues se sont mêlées … puis elles ont lutté ensemble, s'enroulant, se repoussant, se joignant, tandis que les lèvres s'écrasaient les unes contre les autres.
L'attraction évidente qu'exerçait la jolie asiatique sur l'enseignante lesbienne, de loin la plus jolie fille de la classe, a augmenté l'émoi causé par les révélations de la fille sur les attentions lascives prodiguées par le doc.
Bientôt, les deux filles se superposèrent et se mêlèrent. Passionnées et sirupeuses, luxure et sexe.
La jeune étudiante a joui deux fois, la prof une fois, mais puissant comme un coup de tonnerre.
"Alors est-ce que tu ...?" la prof questionna, pendant que les deux filles remontaient leur culotte, redressaient leur coiffure, arrangeaient leurs vêtements et reprenaient leur souffle.
"Bien?" l'enseignante a insisté, en boutonnant son chemisier, dévisageant l'élève pendant qu'elle redressait ses bas.
"Est-ce que j'ai quoi ...?" la fille a demandé.
"Est-ce que tu as eu un orgasme?"
"Vous ne pouvez pas le dire?" dit Cherry, surprise.
"Je voulais dire avec le doc" dit l'enseignante, souriante, en déposant un baiser sur le bout de son nez.
Cherry acquiesça en baissant les yeux.
"Combien de fois?"
La fille lissait les plis de sa mini-jupe en tartan: "Trois" souffla-t-elle, son regard évitant celui de la prof.
"Waouh!" dit l'enseignante en secouant la tête, admirative. "Cinq orgasmes en un après-midi!"
"Je vous l'ai dit" insista Cherry. "Je suis très sensible."

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