Une Infinie Jouissance

UNE INFINIE JOUISSANCE…

L’autre matin, j’étais au petit marché de mon quartier. Je choisissais des fruits quand, tout à coup, je sentis sur ma nuque un souffle chaud et, n même temps, une main aux fesses, bien insistante…
Je me retournais. Rémi ! Je ne l’avais pas revu depuis notre première et seule rencontre, bien torride ( voir « une infinie douceur « ). J’en avais gardé le souvenir de quelqu’un de très très doux, zen, réservé même mais…chaud comme la braise une fois lancé sexe. Eh ben, on dirait qu’il avait un peu changé le Rémi ! Rien que dans sa façon de m’aborder… Bon, ce n’était pas pour me déplaire non plus car j’en avais plutôt gardé un trop bon souvenir de Rémi. Visiblement, lui aussi. Très vite, on se retrouve comme si on s’était quitté la veille. En plus, ça tombe pas mal ca&r Paulo est absent depuis un bon moment déjà et il n’est pas près de rentrer de suite…Ca commence à me démanger pas mal côté bas ventre…Aussitôt, Rémi m’invite à boire un verre de blanc avec lui en terrasse. On s’installe en vis-à-vis, les yeux dans les yeux, seuls au monde. Rémi m’a déjà rebranché sexe et me redemande où j’en suis avec Paulo. Visiblement, il cherche à renouer. Déjà, sous la table, sa jambe vient se coller contre la mienne. C’est sa technique, ça, la jambe collée… Son pied me caresse avec insistance. A la table d’à côté, un jeune couple se dévore la bouche avec délice en nous lançant des coups d’œil amusés et complices. Rémi ne se gêne absolument pas et évoque, à voix très haute, les exploits amoureux de notre première rencontre… S’ily avait encore un doute sur notre relation, cette fois, il est totalement levé pour nos voisins.
« -Viens, on va s’acheter des trucs à grignoter. Tu n’as pas faim, toi ? «
Aussitôt dit, aussitôt fait. On passe d’un marchand à l’autre pour acheter nems, ailes de poulets, fajitas, salades… Et on s’en revient au café, à notre table. Le petit couple est toujours là. On dévore tout ce qu’on a acheté, en se faisant goûter, en se léchant les doigts l’un de l’autre.

Bref, un ballet amoureux se met en place autour de la bouffe.
« - Tu sais, je crois que je vais pas pouvoir tenir jusqu’à chez toi…J’vais voir s’ils ont des chambres. »
Aussitôt il se lève, va demander et claironne de l’autre bout de la salle :
« -C’est bon, ils ont des chambres. Viens ! »
Pour le coup, nos voisins de table sont écroulés de rire.
« -J’crois bien qu’on va faire comme vous ! »
La montée dans l’escalier fut plus qu’épique. Rémi m’a déjà délesté de mon blouson, il me colle conttre le mur, me dévore la bouche en glissant ses mains sous mon sweat. J’en profite pour glisser les miennes dans son jean. Tiens, il n’a pas de slip. On n’en finit plus de se dévorer et de se caresser au point que notre petit couple nous double dans l’escalier pour rejoindre leur chambre, eux aussi et nous vannent au passage. A peine franchis la porte, Rémi se jette sur ce qui me reste de fringues à enlever. Pour le coup, je ne reconnais plus du tout mon petit « zen zen » d’avant.
« -Dis voir, t’as pas baisé depuis qu’on s’est vu, ma parole !
-Tu crois pas si bien dire. » me lance – t il.
Très vite –trop vite-, il m’a mis en slip. Il se colle littéralement à moi de tout son corps. Je le déshabille lentement, très lentement pour exacerber encore plus son désir. Le voilà nu, bandé comme un dieu grec. Toujours sa belle bite longue et fine, bien droite. Un joli corps bien proportionné, longiligne fin, très agréable à regarder. Avec ça une chute de reins qui n’a rien à envier à celle de Paulo. Il me jette sur le lit et vient s’écraser sur moi. Il commence à me lécher partout, partout. Puis il vient se mettre à califourchon sur mon visage, m’offrant sa bite, ses couilles et sa raie. Je choisis de commencer par ses couilles. Je les gobe une à une, le soulève un peu, passe mon visage sous son périnée et commence à le rimmer. Il grogne de plaisir. Il cherche à se faire titiller la rondelle, il a l’air d’aimer ça. Il cherche à s’enfoncer sur ma langue pointée.
J’aime beaucoup sa rondelle, parfaite. Je la vois se distendre sous les caresses. Il tire à fond de ses deux mains sur ses globes pour s’offrir au mieux. Je lui malaxe doucement sa bite qui est dégoulinante de mouille. Je la sens trembler de désir contenu dans ma main. Je commence à la lui mordiller du bas vers le haut. Arrivé au gland, je le gobe d’un seul coup et le caresse abondamment avec ma langue. Je le sens se raidir, tendu comme un arc. Je le pompe ainsi un moment, pas trop vite, en lui titillant la rondelle du bout de mon majeur. Je le sens monter en pression de plus en plus. Je me mets en levrette devant lui et viens frotter mes fesses couvertes du slip sur sa tige vibrante. Il m’arrache presque le slip et vient coller sa bite dans ma raie. Il glisse son gland tout le long de ma raie et cherche aussitôt le passage en essayant de me forcer à sec. De l’autre côté du mur, dans la chambre voisine, on commence à entendre très distinctement des gémissements et des craquements de lit. C’est sûrement nos deux jeunes voisins de table qui déploient le grand jeu…
« -Ah ! Tu veux du hard ? OK, alors ça sera donnant donnant »
Aussitôt je me reglisse sous lui et essaie de le pénétrer par en dessous, à sec. Il couine.
« -Je parie que tu te balades jamais sans ton tube de gel !
-Exact ! Comment t’as deviné ? »
On se « gélifie mutuellement nos bites, copieusement. Il cherche à nouveau à me pénétrer. Je me laisse faire, moyennant une très légère douleur. Une fois bien au fond, je commence à coulisser sur sa tige, en me retirant presqu’entièrement à chaque va et vient, et je me fais désirer quelques secondes…En fait, j’essaie de le rendre fou de désir trop longtemps contenu. J’inverse alors les positions et cherche à le transpercer. Il s’empale bien volontiers, en force. Puis il commence ses monte et baisse. Il me dit adorer ça. Faudra que je pense à lui demander ce qu’il n’aime pas question sexe ! Il sait très bien onduler du ventre à chaque fois qu’il descend, il sent ainsi mieux ma bite lui frotter l’intérieur, comme il dit.
D’ailleurs, avant de remonter, il fait plusieurs mouvements de bassin d’avant en arrière, à chaque fois. Trop délicieux, je sens ma bite qui lui caresse tout l’intérieur du ventre. De ce côté-là, il est bien comme Paulo : il adore TOUT ce qui à trait au sexe. Après un bon moment de cet échauffement, je me mets face à lui, jambes écartées, relevées, offert. Il m’empale d’un coup sec, à fond. Je sens sa longue tige qui me remplit pleinement. Je lui dis. Il commence à me limer avec force mais pas trop rapidement. Cette fois, je crois que je vais le laisser aller au bout de sa jouissance de cette manière. Il se met à me bourriner de plus en plus puissamment. A chaque fois qu’il se retire, je ressens comme un grand vide en moi, je n’aspire alors qu’à une chose, qu’il me remplisse à nouveau, au plus vite. Je lui dis encore. Car j’ai remarqué qu’il aimait ça, qu’on commente les sensations qu’il donne avec sa queue. Ca doit le rassurer. Il continue à me pistonner ainsi pendant un sacré bout de temps – que je voudrais infini -. Je lui malaxe le cul, le tire vers moi, l’encourage à me défoncer encore plus fort. Il commence à se couvrir de sueur. Trop beau dans l’effort. Son visage irradie le plaisir.
« -Viens ! Viens ! Vide-toi ! Remplis moi ! »
Dans la chambre à côté, le mur de séparation se met à encaisser les coups de boutoir de notre jeune voisin. La tête de lit claque en cadence contre le mur, de plus en plus vite, les gémissements frisent les hurlements de plaisir. Ca rend complètement fou Rémi – et moi aussi d’ailleurs-. De notre côté aussi, la tête de lit claque, en écho, sur un rythme soutenu contre le mur. Stéréo parfaite ! Rémi, quant à lui, me secoue comme un prunier depuis un sacré bon moment. Je sens sa longue bite qui coulisse à un rythme d’enfer de plus en plus facilement dans mon fourreau brûlant. Ses couilles claquent avec force contre mon cul à chaque coup de bite.
C’est alors que, sans que rien ne l’annonce, je me sens envahi par des ondes de chaleur qui partent de mon cul.
La sensation de chaleur est très forte. Ca arrive par vagues et ça me submerge complètement. Je ne peux retenir des cris de jouissance sauvages et je me mets à hurler. Rémi a réussi à me faire jouir du cul ! Sans même me toucher, ma bite se met à cracher, inondant nos deux ventres collés. L’odeur est terrible. Et les vagues se succèdent. Ca dure bien plus longtemps que le plaisir d’une éjac.
« -Oh ! Merci ! Merci, Rémi ! »
Est-ce l’ambiance générale qui est à la jouissance tous azimuts ? Voilà que Rémi se met à juter lui aussi, m’inondant le cul de son foutre brûlant. Et ça coule, et ça coule. Et ça me remplit. Trop trop bon. Il crie son plaisir.
« -Wouaah ! Quel pied ! On s’y est tous mis, là ! »
On rigole tous les deux de bon cœur, repus, apaisés. De l’autre côté du mur, on entend deux petits coups frappés. On répond de même, heureux. Mon bel amant est retombé sur moi, pantelant. Je le garde sur moi, en moi. Je sais, par expérience, qu’il va débander très très lentement. Tant mieux. Je le caresse doucement partout, le couvre de baisers, de mercis. Je le doigte doucement…
« -Oh, Rémi, si ça te dit, tu viens chez moi quelques jours, et quelques nuits. ..J’ai trop envie de revivre ça…
-…Et Paulo ?
-Il ne reviendra pas avant quelques jours et, de toute façon, je lui dis tout, et lui aussi. On est très libre, tu sais…
-Si ça te fait plaisir, je demande pas mieux, en fait j’en crève d’envie, mais je ne te garantis rien tu sais
-Je sais, je sais. »
On reste ainsi un sacré long moment en descente très très lente. On est trop trop bien. On discute, en chuchotant. On se livre nos secrets de sexe les plus intimes. On ne peut être plus proches, plus fusionnels.
« -Tu sais, j’ai adoré quand tu as joui comme un fou, c’et rare ça.
-C’est grâce à toi Rémi. Merci !!!!!!!!! C’est fou comme tu as changé !
-Changé ?
-Ben, oui. Avant, t’étais plutôt « zen zen », non ? Et maintenant, plutôt hard ?
-Ah, ouais…T’as pas aimé ?
-Si, si !!!
- En fait, je me cherche…Alors, je change !
-OK. En fait, j’ai adoré les deux. Notre rencontre cool cool et notre combat corps à corps ! Finalement, j’aime bien aussi quand on me malmène un peu…, je crois ».
Finalement, Rémi est un sacré coup ! Tout juste 20 ans et déjà une belle assurance et pas mal d’expériences, côté cul. Une belle ligne de poils, savamment coupée qui file vers un pubis de poils bien drus, coupés à pas plus d’un centimètre. Une toison bien drue, parfaitement délimitée au rasoir. D’ailleurs, il ne comprend pas que je me rase entièrement, perso, il pense que ça lui ferait perdre de la …virilité ! Très branché sexe. Jamais il dit non. Toujours partant. Toujours dispo. Toujours prêt aux expériences les plus folles ou les plus limites. C’est qu’en trois jours – et deux nuits -, on en a essayé des trucs ! Très intello aussi mais sensuel aussi. Un mélange réussi, en fait. Facile à vivre, toujours gai, franchement agréable. Un super coup. Et avec ça, un petit cul bien bien serré, agréable comme tout à transpercer. Très exubérant aussi pendant l’amour. Toujours à encourager, à commenter, à gémir bruyamment. Franchement, il donne envie de remettre ça encore et encore. D’ailleurs, c’est ce qu’on a fait abondamment pendant ces trois jours. On était tout le temps fourré sous la douche pour se nettoyer, et…peu après, il me ressautait dessus. Finalement, on s’est découvert plein de passions communes. Le sexe bien sûr. Les slips aussi et la lecture de bons bouquins. En parlant de slips ou de maillots de bain, il a tout de suite été bluffé par la collection incroyable de Paulo. Il m’a tout de suite demandé s’il pouvait se servir dedans régulièrement. Ce qu’il a fait à peu près chaque heure, alternant slips et maillots. Ce que je fais depuis longtemps quand je suis chez moi car je me balade toujours en slip. Là aussi, il s’est vite coulé dans le moule. Quant à la lecture, c’était craquant de le voir, en slip, vautré sur le canapé avec un bon bouquin et ses grosses lunettes d’intello. Quand il lisait, il se tripotait toujours une mèche de ses cheveux du bout de ses doigts. Le monde aurait pu s’écrouler autour, je ne suis pas sûr qu’il s’en serait aperçu. Quoique…Quand on est tous les deux vautrés sur le canapé avec chacun un bouquin et que sa tête se pose négligemment sur mon slip ou que son pied s’égare sur mon slip…Comment voulez-vous, dans ces conditions, vous concentrer sur ce que vous lisez ? On sait, tous les deux, comment cela va finir…Bien ! Rémi se sert aussi beaucoup de sa chevelure dans ses ébats amoureux. On voit tout de suite qu’il y est très attaché, qu’il en prend le plus grand soin. Comment pouvez-vous résister quand il vous caresse la bite et les couilles, ou qu’il vous parcourt la raie du bout de ses mèches tombantes ? Vous j’sais pas mais moi, ça m’électrise complètement. Paulo fait aussi ça avec un très gros pinceau à blush qu’il a récupéré du boulot.

L’autre nuit, d’un coup, je me réveille à moitié et ne sens pas sa présence à mes côtés. J’ouvre un œil, il est là, face à la porte fenêtre de la chambre. Il a l’air captivé par ce qu’il voit. Je devine que ça doit se passer chez les voisins d’en face, Paul et Fabrice ( voir « Trop chaud partie 1 »). Sans bruit, je me lève et m’approche derrière lui. Je me colle à lui et lui chuchote à l’oreille :
« -Ca t’excite ? » Il sursaute, il ne m’a pas entendu arriver.
« -Carrément, oui ! »
Je passe ma main dans son slip, il bande comme un âne, son gland est déjà tout mouillé. Sans se retourner, il glisse aussi sa main dans le mien »-Trop beau de les voir ainsi…Tu les connais ?
-Oui…
-Intimement ?
-…Oui. Si tu veux, on les rencontrera.
-Et comment ! Parce que vous avez déjà baisé ensemble ?
-…Oui. Ca te dirait d’en faire autant ?
-A qui le dis tu !
-Bouge pas, j’arrive ! »
Je vais chercher dans la table de nuit le pot de gel. En revenant vers lui, je rallume dans la chambre.
« -Hé ! Qu’est ce que tu fais ? On va nous voir…
-C’est le but. Voir et être vu. Voyeur ET exhib. C’est le jeu. Laisse toi faire, tu ne le regretteras pas. »
Je me mets à genoux derrière lui et lui fait glisser très très lentement son square cut jaune citron, liseré vermillon, en mousseline, le long de ses cuisses fuselées. Ses superbes fesses se dégagent et m’explosent littéralement au visage. Superbe panorama de collines avec une vallée merveilleuse et un puits de délices…Je le débarrasse de son slip et le fais s’incliner à l’oblique, jambes écartées, en appui sur la vitre. J’écarte ses deux globes et enfouis mon nez, ma bouche, ma langue dans sa raie. Je la parcours en la léchant doucement. Je sais qu’il adore particulièrement ça. Je m’attarde sur sa feuille de rose…parfaite. Je lui titille du bout de ma langue. Il souffle. J’alterne les coups de langue et les poussées de doigt. Je la vois se dilater doucement.
« -Oooooh ! Encore ! Ouuiiii ! »
Puis je me mets à l’enduire copieusement de gel, ainsi que ma bite. En face, Paul nous fait un grand signe du pouce. Ca met Rémi en joie. En transe, aussi. Je me relève, me colle à lui et lui chuchote.
« -Je te préviens, je vais t’embrocher comme un vulgaire poulet !
-Oh oui ! »
Ce que je fais d’un coup sec. Je l’encule à fond. Il souffle et pousse un cri mais me dit quand même de ne surtout pas arrêter. Je me mets à le limer consciencieusement. Je me retire alors puis l’encule à nouveau. Lentement cette fois. Et ainsi de suite, de nombreuses fois. Cette fois, ma bite coulisse vraiment bien dans son cul. Il apprécie beaucoup et me le fait savoir bruyamment. Je pense que la situation insolite, l’exhibition - au seul bénéfice des voisins -, le spectacle hard donné par nos deux voisins d’en face, tout cela contribue à le chauffer au plus haut point. Il me demande de le défoncer à fond. Il se met à se frotter contre la vitre, de plus en plus vite. Ca ne traîne pas. Il envoie de grandes giclées sur le carreau. Aussitôt, il récupère son sperme et…le passe dans ses cheveux !
« -Hé ! C’est comme dans le film « Mary à tout prix » !
-Exactement ! » On rigole.
Sur ce coup là, il me finira dans sa bouche, avalant tout. On finira la nuit n dormant un peu quand même.

Le lendemain, en faisant les courses, on rencontre nos voisins. On discute autour d’un verre, en terrasse. Ils nous proposent de nous retrouver à la piscine l’après midi. Pourquoi pas ? Rémi les trouve sympas.
L’après midi, on se retrouve à la piscine tous les quatre. J’ai bien fait de conseiller à Rémi le mini slip de bain jaune et moi le vert car je savais qu’eux, ils seraient en rose et bleu. A nous quatre, on fait un bonne partie du dau des gays. Bref, on annonce la couleur ! On passe un grand moment à nager, chahuter, se reposer. Paul et Fabrice ont l’air conquis par Rémi….Qui ne le serait pas ? On passe ensuite au sauna, hammam. Ils ont réservé une heure en privatif. S’ensuit de longues plages de sudation sèche ou humide, entrecoupées de séances de douches glacées. Tout cela se faisant bien sûr complètement nus. C’est hyper relaxant mais…ça montre aussi que Paul et Fabrice ne sont pas du tout insensibles au charme de Rémi ! Lui non plus, d’ailleurs. La cohabitation se fait de plus en plus proche, de plus en plus collée mais, ça n’ira pas plus loin pour cette fois car on s’est promis de se revoir à cinq, dès le retour de Paulo.
La seconde nuit sera douce, douce. Tout l’inverse de la première. On aurait dit que Rémi avait repris son penchant naturel : la douceur. J’ai adoré la façon dont il m’a pris cette nuit là. Il m’a d’abord laissé m’endormir. Puis, avec une infinie lenteur, douceur- tendresse ? -, il a commencé à me caresser partout. Déclenchant chez moi ce que j’ai cru être un rêve érotique. J’ai assez vite émergé mais je n’ai surtout pas voulu me réveiller totalement, me laissant flotter dans un entre deux des plus agréable. Rémi sait vous sucer très très lentement pendant un temps infini, sans jamais s’exciter lui-même…Il gobe les couilles comme personne, il vous rimme comme un dieu…Il vous gode…vous avez l’impression que c’est sa propre bite ! Il vous fait monter en pression avec une infinie lenteur, au point que la jouissance est une apocalypse et une délivrance. Quel savoir faire pour quelqu’un d’aussi jeune ! On sent qu’il adore donner du plaisir. J’ai retrouvé là le Rémi que j’avais connu lors de notre première rencontre. Mais, je dois dire que j’aime bien les deux faces, au propre comme au figuré !

Le lendemain soir, la séparation ne fut pas évidente. Mais on promit de se revoir avec Paulo et les voisins, le plus vite possible…

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