Une Infinie Douceur...

L’autre samedi, je suis allé dans un petit café de mon quartier où j’ai un peu mes habitudes.
J’aime m’y attarder en lisant le journal ou des magazines. En observant la salle aussi. C’est ainsi que je l’ai remarqué. Assis à une table contre le mur, en face de moi, entrain de lire. Ce qui frappait le plus en le regardant c’et son incroyable chevelure blonde très très fournie. Et un air de douceur infinie qui émanait de lui. Coupe à la mode, très travaillée. Il avait l’air absorbé par son livre mais relevait quand même la tête de temps en temps pour balayer la salle. C’est ainsi que nos regards se sont croisés la première fois. Il me sourit de toutes ses dents. Un sourire franc et ravageur. Je lui rendis la pareille.. Un beau visage, bien dessiné. J’aurais dit dans les 18 / 20 ans. Il buvait une grande tasse de chocolat fumant. J’essayais de voir le titre du roman qu’il dévorait. En tous cas, la couverture caractéristique de l’éditeur, je connaissais. A plusieurs reprises, il me sourit franchement. Etait ce une invitation. A sa façon d’attarder son regard quelques secondes de trop, je crus deviner que oui. Je décidai de tenter ma chance. Je me levais pour aller vers les toilettes en longeant, très lentement, sa table. Il releva à nouveau la tête et me sourit. J’eus le temps de lire le titre de son roman, sur la couverture. Bingo ! Je venais juste de finir de le lire ! En revenant des toilettes, je repassais devant sa table et décidais d’entamer la conversation.

« -Ca vous plait ?
-Oui, beaucoup. Je n’arrive pas à me décrocher » Il avait une belle voix grave, suave.
« -Je viens juste de le finir, je ne vous raconterai pas la fin quand même !
-Vous ne voulez pas vous asseoir, on pourrait en parler plus facilement
-Attendez, je reviens. Je vais chercher mon café ».
Et nous voilà partis dans une longue conversation sur ce qui nous a plu, à chacun, dans ce bouquin. Puis, la conversation dérive sur nos vies.

Il habite le quartier, pas loin, depuis peu. Je le trouve intéressant. Très doux dans ses propos mais pas mièvre ou falot. Assez joyeux, même. Il rigole souvent. Bref, ça se prolonge. Au point que le serveur, qui me connait bien, arrive en nous charriant :
« -Qu’est ce qu’ils vont boire les zamoureux ? »
Ca fait rigoler Rémi. Il s’appelle Rémi. Mais oui, c’est bien son mollet que je sens se coller doucement contre le mien sous la table…et ça n’a pas l’air accidentel su tout… Du coup, la conversation s’oriente plus sur le sexe. Oui il est homo. Non il n’a personne en ce moment. Oui je lui plais beaucoup. Bref, il parle cash.
Doux, mais décidé.
J’adore ces moments là. Pleins de promesses, d’incertitudes, d’excitation. Lui aussi je pense. Alors, on fait durer. A la fin ; il n’y tient plus.
« -On va chez toi ?
-Oui. »
Le serveur me fait un clin d’œil égrillard quand on part. Dans la rue, on marche en se frôlant, l’air de rien. Tous les deux, on sent monter le désir pour l’autre. Tout en marchant, je me demande comment un gars aussi doux peut bien s’y prendre pour faire l’amour…Avec la part de sauvagerie animale qui l’accompagne souvent. Du coup, je décide d’être complètement passif sur ce coup là. Ce qui n’est pas dans mes habitudes. Comme je ne sais rien garder pour moi, je lui en fais part. Ca le fait rire.
« -Tu verras bien ! »
A la première porte cochère, il me pousse gentiment. Il vient se coller contre moi, le bassin en premier. Je sens nettement son sexe durci se coller contre le mien. Ses lèvres cherchent les miennes. La pointe de sa langue entrouvre me lèvres. S’ensuit un long et doux baiser. Je fonds. C’est long, lent, voluptueux, doux. Sa langue s’enroule doucement autour de la mienne. La pression de son sexe augmente sur mon jean. Je lui masse le cul. Il aime. On se remet en route., en se tenant par l’épaule, collés l’un à l’autre. En montant les escaliers, il me masse le cul gentiment. J’ai trop envie de lui mais je me suis promis de ne pas lui sauter dessus.
La porte à peine fermée, il se met à me déshabiller très très lentement, en me fixant droit dans les yeux. A chaque fois qu’il m’enlève un vêtement, il fait de même avec lui. On se retrouve ainsi tous les deux en slips. Lui avec un très joli brief bleu, siglé d’une grande marque, bien tendu. Moi, en mini vert flashy, un de mes préférés. Il est plus grand que moi, finement musclé, la peau légèrement halée. Un bel animal. On s’est avancé jusqu’à la chambre. Il parcourt mon visage, mon torse, mon ventre de bisous mouillés. Ses mains glissent lentement sur moi. Je ne vais jamais tenir. Après un prodigieux effort de contrôle, j’arrive de nouveau à me laisser faire sans lui sauter dessus. Sur son torse, il a une belle toison courte de poils blonds qui filent jusque dans son slip. La dreamline… J’ai empoigné doucement sa tête. Mes mains se perdent dans son abondante chevelure. Quand je veux qu’il s’attarde un peu plus sur un endroit, je lui appuie légèrement sur la tête. Très lentement, il a fini par se mettre à genoux, en m’appuyant contre le mur. Ses lèvres agacent mon fin mini slip tendu et déjà auréolé. Il me mordille la bite à travers le tissu, agace mes couilles. Il a passé son majeur sous le tissu et caresse mon périnée. Je baisse légèrement l’avant de mon slip pour lui offrir ma bite qui jaillit à la verticale. J’avais portant dit que je ne prendrai aucune initiative ! Ses doigts caressent doucement ma queue entièrement rasée, qu’il prend le temps de contempler. Il approche ses lèvres et me prend lentement le gland en bouche. Il le mouille abondamment de salive. Trop bon ! Commence alors une incroyable fellation. La plus longue que j’ai jamais connue. Toute en douceur, en maîtrise, en progression lente et savante. Plusieurs fois, j’ai envie de lui baiser la bouche furieusement, sauvagement, comme je le fais parfois avec Paulo. Et puis, petit à petit, je me laisse gagner par une sorte de plénitude. Toujours en tension sexuelle mais n’ayant pas ment envie d’arriver au paroxysme dans la minute qui suit.
Bref, je viens d’être contaminé par sa zénitude. Quand il me prend la bite à fond dans sa gorge, c’est très lent : trop bon. Les caresses de ses mains sont précises, appuyées, dosées, savantes. Je n’en reviens pas d’une telle maîtrise chez quelqu’un d’aussi jeune. Il m’expliqua plus tard que c’était un Hindou qui l’avait initié aux plaisirs du sexe. Il adorait particulièrement le fait que je sois entièrement rasé. Il me promit d’en faire autant, même si sa toison me paraissait déjà savamment entretenue.
A un moment, il m’entraina vers le lit. Pieds à terre, ventre contre le matelas, jambes écartées. Il vient se placer derrière moi et commence à me lécher la raie. Quelle volupté ! Quel savoir faire ! Quel délice ! J’aurais voulu que ça ne finisse jamais, tellement c’était bon. Je poussais de petits gloussements de plaisir. Je sentais ses petits coups de langue qui cherchaient à percer mon intimité. Je lui favorisais le passage en tirant sur mes fesses pour les écarter au maximum. Puis, il me demanda du gel. Je lui demandais si je pouvais enduire sa bite. Accordé ! J’en profitais pour le branler doucement tout en l’enduisant. Bel engin ! Dans les 20 centimètres, au moins. Fine, longue. Je sens que je vais aimer de recevoir un tel engin dans mon cul. Il m’enduit le trou copieusement et commence des petites poussées très très lentes.
« -Viens, viens !! » je lui souffle, impatient.
« -Attends ! » me chuchote-t-il à l’oreille. Je sens son gland. Je veux sa bite en moi, toute entière. Mais je sais que ce sera très lent. L’impatience fait grandir mon désir. Il pourrait me pénétrer facilement. Je me sens assez dilaté mais je le sens n’engouffrer que son gland, le retirer, le remettre…Parfois, il se retire complètement et vient souffler de l’air chaud dans mon trou ! petit à petit, très voluptueusement, je sens sa bite s’enfoncer en moi en de lents et longs allers et retours. Il se maîtrise parfaitement, n’étant à aucun moment, débordé par son désir. Cette fois, je le sens entièrement en moi.
Je veux le retenir. J’agrippe son cul et le retiens collé à moi. Sa bite ne bouge plus.
« -Tu la sens ma bite ?
-Oh oui, je la sens super bien ! C’est trop bon ! Reste ainsi. Elle est douce comme toi. Longue aussi…»
Je sens sa bite se mettre à vibrer en moi, en se dilatant et en se contractant. Je contarcate mon sphincter en cadence.
« -Wouaaah ! Trop bon ! Continue ! Tu connais ça ?
-J’en connais d’autres aussi, si tu veux bien… » Je me dégage de sa bite et vais chercher le petit anneau vibrant de Paulo dans la table de chevet. Je lui enfile sur sa bite et le mets en marche…
« -Wouaaah ! Super ! »
Il m’encule à fond doucement. Je sens l’anneau vibrer sur ma rondelle : trop bon !. Il commence à me limer alors comme jamais. Avec une volupté infinie. Il sait décidément y faire ! Je prends mon pied à sentir sa bite chaude et fine me labourer doucement le ventre. Parfois il s’arrête, se recule et vient me tirer vers lui pour que c soit moi qui coulisse sur sa bite. Pas fou, il garde le contrôle du rythme des va et vients. A un moment, je lui propose qu’il me prenne par devant. Ca me permettra de l’admirer et de l’embrasser en même temps. On change donc de position. Je pose mes pieds sur ses épaules, jambes écartées, offert à sa bite. Il me pénètre en douceur et reprend son limage. J’empoigne sa tête, l’attire vers moi et l’embrasse de tout mon cœur. Je le sens fourrager en moi avec son barreau chaud et vibrant. Il a commencé à me limer de manière différente. Toujours aussi lentement mais plus puissamment. Je sens une légère accélération. Veut-il en finir ?
« -Jouis Rémi ! Jouis !!
-J’arrive !! ».
Il ne se déchaîne pas pour autant pour arriver à l’orgasme. Au contraire. C’est puissant, appuyé mais contrôlé. Putain, le pied !! Je sis qu’il va venir, mais quand ? J’adore me faire ainsi labourer. De la sueur apparaît sur son front, sur son torse. Il continue à me défoncer le cul, tout en puissance contrôlée. Wouaah ! Sans même me toucher, ma bite commence à cracher un jet de sperme sur nos deux ventres, puis un autre et encore un autre. J’ai joui avant lui ! Encore de nombreux allers et retours, il se raidit et lâche trois longs jets chauds dans mon ventre en poussant un cri rauque. Il continue à me limer à la même cadence. Puis commence à ralentir tout doucement . Ses yeux sont chavirés. Je crois qu’il a pris plus que son pied.
« -C’était trop bien ! Toi aussi ?
-Ca m’a jamais fait ça ! Jouir sans me toucher ! J’ai adoré ! ».
On s’embrasse longuement, collés l’un à l’autre. Enchassés l’un dans l’autre. Je ne sens pas sa bite se distendre comme d’habitude. On reste ainsi, l’un sur l’autre, comateux et repus. Sa bite ne dégonfle toujours pas…
« -Tu as encore envie ?
-Pourquoi ?
-Ben, ta bite est toujours raide !
-Ah ! Elle peut rester un bon moment comme ça, tu sais…
-Ah ouais. Ben moi non
-Ben moi, ça m’a toujours fait ça…
- Tu bandes souvent alors ?
-Presque tout le temps
-Veinard !
-Dis pas ça. A la piscine, à l’école, j’étais vachement emmerdé… »
J’adore aussi ces moments. Après l’amour, quand on est dans l’intimité la plus totale. On a envie de se livrer totalement.
« -Ca t’as plu ?
-Et comment ! T’as remarqué que j’avais joui sans même me toucher ?
-Ouais. Normal. T’avis tellement envie que je te défonce. A un moment, ça t’a submergé.
-Dis donc, t’n sais toi des choses sur la bite !
-Je t’ai déjà dit que c’était en Inde qu’on m’avait initié à tout ça, non ? Ils en savent bien plus que nous sur tout ça, tu peux me croire ! »
On reste là à parler. Il finit par me poser pas mal de questions sur Paulo car il a vu les photos un peu partout dans l’appart. Il y en a même certaines où on voit parfaitement sa bite en érection… Il me dit que j’ai bien de la chance d’avoir un copain aussi beau et d’être aussi libre. Puis on passe sous la douche. On se lave en se savonnant – se caressant- mutuellement et en s’embrassant goulûment. Sa bite étant raide comme la justice, j’entreprends de la sucer. Cette fois, je n’applique pas sa méthode mais plutôt la mienne assez déchaînée. Se sentant venir, il me demande si je n’ai pas une position favorite. Je n’osais pas en rêver. Je lui explique. Il veut essayer. Il me colle au mur de la douche. J’agrippe sa taille avec mes jambes croisées. Comme il est plus grand que moi et plus costaud : pas de problèmes. Il me pénètre doucement et commence à me limer avec plus de frénésie. Je cherche sa bouche. L’eau tiède ruisselle sur nos deux corps.
« -J’adore ! J’adooore !! » Je lui crie. Il continue à me labourer puissamment. Pourtant, ce n’est pas ainsi qu’il veut se finir. Je redescends et il m’offre à nouveau sa bite à ma bouche. Je me déchaine sur sa queue ; Avec la bouche, avec les mains. Je lui malaxe les couilles, lui passe un doigts en force. Je finis par l’avoir. Il me gratifie d’une superbe éjaculation faciale qu’il vient lécher jusqu’à la dernière goutte.
« -Salaud ! Tu m’as eu ! J’ai pas pu résister !
-hé, hé ! La méthode occidentale…C’est bien aussi, non ?
-Bien sûr !! »

On promet de se revoir, ….avec Paulo.

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