Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double (34)

Un plaisir partagé est un plaisir double (34)

Nous recevons un appel de Mélanie et de Franck. Ces derniers nous invitent à les rejoindre chez des amis à eux, qui louent un grand appartement dans le quartier naturiste. On comprend vite que « grand appart' » signifie «orgie ». Nous nous s’empressons de leur dire que nous arrivons.

Notre repas fut vite expédié, nous prenons rapidement notre douche, un doute nous étreint tout à coup.

« - Vous pensez que nous devons nous habiller ? S’il est entendu qu’on doit le faire pour se rendre en club échangiste, qu’en est-il d’une rencontre libertine en plein après-midi, dans un espace où la nudité est de mise ? » Nous demanda Annie.

Finalement, nous optons pour rester à poil. Le rendez-vous a été fixé autour de quinze heures. Nous sonnons à l’adresse indiquée.

C’est la maîtresse de maison qui nous ouvre. A notre grand soulagement, elle est entièrement nue. Mélanie nous accueille tout sourire, avec un bisou sur la bouche pour toute cérémonie. Nous sommes devant une jeune femme d’une trentaine d’année, mignonne et mince. Elle reluque rapidement la bite de mon chéri et nous invite à entrer. Nous voyant arriver, Anna et Ulrich se lèvent pour nous saluer, nous saluons à notre tour les autres couples présents.

Se trouvent ici trois couples, un couple allemand (Anna et Ulrich), que nous connaissons pour les avoir rencontré sur la plage. Un couple belge. Dont mari est rondouillard à un joli petit bidon, je ne peux pas en dire autant de sa quéquette qui sort à peine de ses roustons, c’est bien dommage pour sa femme qui est une ravissante rouquine à la peau blanche avec quelques coups de soleil qui contraste avec tous les corps bronzés qui l’entourent. Une jolie italienne brune aux cheveux longs et aux seins menus qui a l’air d’être seule. Tous se montrent très sympathiques avec nous. A vrai dire, la plupart d’entre eux ne connaît qu’Anna et Ulrich.

On nous sert un jus de fruits. Alcool et libertinage font rarement bon ménage.

Quand arrivent un nouveau couple. Nous reconnaissons l’Anglaise qui était derrière nous sur la plage le premier jour, qui se faisait caresser la moule par un jeune homme avec la bénédiction de son mari candauliste. Les premiers rapprochements sont en train de se faire. De notre côté, nous restons sous le charme de l’Allemande et de son homme. Très vite, nous nous retrouvons les uns contre les autres. J’adore la peau d’Anna, j’aime son odeur, la façon qu’elle a de me caresser timidement, mais tout de même très érotiquement.

Un peu partout dans l’appartement, l’orgie a commencé. Au départ, les couples se réunissent deux à deux. Mais le logement n’est pas si grand que cela. La promiscuité va vite se transformer en proximité érotique. Mon chéri a la tête entre les cuisses d’Anna. Ulrich fait de même avec moi. Un cunnilingus, pour démarrer, constitue bien la moindre des politesses. Franck que ses yeux bleus ont le pouvoir de me perturber m’att par le cou et m’embrasse, je suis sous le charme et mon cœur bât la chamade. J’ai peur de tomber amoureuse de ce bel homme aux yeux bleus.

Anna se redresse, les yeux mouillés de plaisir. Elle embrasse à pleine bouche mon mari et lui chuchote à l’oreille :

« Es war seh schön ».

Il ne sait pas ce que cela veut dire mais ce doit être un compliment.

Je lui entends répondre :

« - Vielen dank meine liebe »

J’ai vu Anna surprise de la réponse de mon chéri mais toujours souriante, elle dit en regardant son mari :

« Ha ! diese Franzosen trotzdem. »

« - Qu’est ce que tu as dit à Anna pour qu’elle soit étonnée de la sorte ? »

« - Si mes souvenirs d’armée passée en Allemagne que cela voulait dire : « Merci beaucoup mon amour. »

« - Tu exagères et qu’est-ce qu’elle t’a répondu ? »

« - Je n’en sais rien, mais elle n’avait pas l’air offusqué, même Ulrich a rigolé.
»

Je jette un coup d’œil vers Annie, qui est en train de sucer Ulrich, les fesses tendues vers moi. Elle lui grimpe dessus, la chatte au niveau de mon sexe. S’appuyant sur mon torse, elle se tortille dans tous les sens et frotte son clitoris contre sa bite. Il parvient à se redresser et à prendre ses tétons durcis dans sa bouche. ( Ils sont plus gros que les miens que vous pouvez voir sur mon avatar.) Elle pousse de petits râles de plaisir.

Autour de nous, tout s’agite encore un peu plus. Les quatuors initialement formés se mélangent à nouveau. André s’approche de la belle italienne et lui tend sa bite à sucer.

Fanck, à côté de moi s’occupait de deux femmes à la fois, pendant qu’il était en train de pénétrer la petite rouquine, il me caressait un sein.

Sur la table au milieu de la pièce il y avait un petit panier en osier rempli de préservatifs certaines femmes préféraient le no-capote tandis que d’autres demandaient à leur partenaire d’en mettre une.

Anna s’occupait maintenant du belge en essayant de le faire bander, nous avons vu émerger de son paquet de couilles, une nouille ou plutôt un cannoli farci d’un bout de saucisse. Elle que je croyais plutôt réservée avale sans retenue l’éjaculation de son partenaire.

A côté de moi, Mélanie que je n’avais pas encore vue à l’œuvre était debout face à mon homme, cuisses ouvertes et une jambe posé sur le canapé, elle lui offrait son «origine du monde » en lui attrapant la tête pour la coller contre son vallon. Mon chéri devant le fait accompli, glissa sa langue dans sa fente, comme un spéléologue découvrant une nouvelle grotte.

Franck lui était sorti du «frifri » de la petite rouquine pour venir visiter le mien. Je me suis empalée sur son zob en érection que je venais de découvrir. Serrée sur lui, sa tête contre ma poitrine, il avait glissé une main dans ma raie des fesses, bienveillante il me glissa son doigt dans mon anus dilaté et détendu.
Il entra son index en profondeur dans mon fion. J’étais prête à tout accepter de cet homme que je trouvais particulièrement beau. Il m’a pris dans ses bras, nous avons collé nos lèvres dans un long baiser d’amoureux.

Ulrich est allé tendre la main à Emma, l’Anglaise qui était assise à côté de son mari plus âgé qu’elle, pour l’inviter à participer. Après lui avoir fait un bisou à Peter, son mari, elle s’allongea sur la carpette devant lui pour qu’il puisse assister de la regarder s’accoupler. L’Allemand se positionna sur elle en position de 69. Elle prit la bite en érection qu’elle avait devant les yeux pour la mettre entre ses lèvres.

Ulrich répétait sans cesse : « Öffne deine Schenkel » Emma n’avait pas l’air de comprendre, et nous non plus d’ailleurs, il a fallut qu’il lui tape sur les cuisses pour qu’elle comprenne qu’il lui demandait de lui ouvrir son petit intérieur. Il plongea sa tête entre ses jambes pour lui prodiguer un cunni d’expert. Emma souleva sa croupe du sol, pour mettre en valeur son mont de vénus devant la bouche d’Ulrich. Il lui avait passé les mains sous ses fesses pour lui écarter sa rondelle. Sa langue passait de sa boutique à son arrière boutique. Pendant qu’elle lui suçait les bonbons en le branlant, lui se délectait du sirop de son corps de femme. Peter couvait des yeux sa femme qui prenait du bien-être en se masturbant. Ulrich venait de balancer sa semence sur le visage de la belle Emma.

Mon mari caressait les petites fesses fermes de la petite rouquine, qui ne se retourne même pas pour savoir qui la pelote. La jolie italienne s’est approchée de lui. Elle lui roule une pelle puis fonce sur sa bite, qu’elle prend entre ses lèvres. Il est à genoux, elle lui tripote les couilles. Il lui caresse ses tout petits nichons.

Tout cela peut sembler soft aux échangistes purs et durs. N’empêche que de l’appartement tout entier résonne des cris de jouissance et des râles de plaisir.

J’ai tout essayé, en passant entre les mains de chaque partenaire mâle mais je ne peux me retenir de venir retrouver ma copine Annie qui avait les tétines de ses gros seins dans la bouche du belge, l’Italienne est venue me rejoindre pour me brouter le minou.
J’embrasse ma copine en lui caressant sa fente, elle est toute mouillée. Je ne sais pas si c’est du sperme qui s’écoule entre ses lèvres, mais cette mouille m’aide à lui lubrifier sa petite pastille brune. Voyant que je voulais la doigter, elle s’est mise à quatre pattes sur le canapé, la tête dans les affaires d’Arthur, le belge à qui elle était en train de pétrir les testicules. Je la fiste en lui enfonçant un doigt dans son trou de balle, puis un second en lui caressant de mon autre main son centre de volupté. Elle avait réussit à faire apparaître un semblant de bite d’environ six centimètres du paquet d’Arthur en le faisant dresser. Il tente de la prévenir qu’il allait jouir. Mais elle n’en a cure. Elle avale sa jouissance sous les compliments de sa petite femme.

Franck était venu me retrouver, me prit par la main et m’emmena sur un canapé qui s’était libéré. Il m’y allongea. Il s’agenouilla pour venir m’embrasser, d’une main il me caressa les seins puis elle s’aventura en direction de ma zézette. Un frisson me parcourra tout le corps. Mes cuisses s’étaient ouvertes pour lui, son index glissa le long de ma fente. Je mouillais comme une salope. Son doigt fouilla mon nénuphar pour atteindre le cœur de ma fleur, il me le branla énergiquement. Je m’accrochais à son cou, serrant son torse contre mes seins. Je n’avais qu’une envie c’était de me donner à lui. Franck avait compris ma démarche, il s’installa sur moi, j’ai placé son bigorneau dans ma moule. Je n’ai pas osé lui demander de mettre une capote, trop impatiente d’éprouver les sensations de nos sexes imberbe flirter ensemble dans ma grotte détrempée. Je me suis positionnée, mes deux jambes sur ses fesses pour qu’il me pénètre en profondeur. Nos lèvres ne se détachaient plus et nos langues s’entremêlaient entr’elles. Il galvanisait mes escalopes en me ramonant la cheminée. Nous ne faisions qu’un, unis par nos lèvres et nos sexes. Puis vînt le moment divin de me repeindre la caverne. Plusieurs giclées de sperme sont venues nourrir ma bouche sans dents en tapant dans le fond. A croire qu’il s’était réservé pour moi. Nous sommes restés un bon moment soudé l’un à l’autre, jusqu’à ce que sa femme qui avait vu qu’on se plaisait est venue lui dire :

« - Chéri, il faudrait que tu t’occupes un peu plus de nos invités qui commencent à avoir soif. »

Une façon très élégante de lui dire que je n’étais qu’une relation de vacances. ( Très intime mais seulement un amour de passage.)

Pendant ce temps nos deux hommes avec complicité ( A nous la petite Anglaise) s’étaient accaparés d’Emma, toujours allongée sur le tapis, ouverte, prête à être saillie par tous les trous, devant son mari bienveillant et content de voir son épouse se faire tringler par toutes les queues de notre petit comité libertin. Cette fois c’est André que s’est allongé sur la carpette en prenant dans ses bras la petite anglaise. Il n’a pas cherché bien longtemps pour lui enfiler sa bite dans sa fontaine du plaisir. Il la serrait contre lui et leurs langues se sont entremêlés, ses deux mains posées sur son popotin, lui ouvraient son fion. Bob lui fit un anulingus pour la lubrifier puis pointa son gland à l’entrée de sa porte de service et sans frapper, il l’encula. Emma poussa un petit cri de douleur, étouffé par son baiser collé. Prise en sandwich entre nos deux hommes, elle était euphorique. Mon mari s’était penché sur elle pour lui tripatouiller les seins. Je pense que c’était sa première double pénétration et elle avait l’air de bien aimer cela en la voyant répondre en cadence aux assauts de nos maris. Des râles de plaisir avaient remplacé le petit cri de souffrance lors de son introduction. Bob s’était mis à genoux et la tenait maintenant par les hanches. Sa queue avait disparue dans les profondeurs de son anus. Des mots parfois incompréhensibles sortaient de sa bouche qui nous faisait penser qu’elle n’était pas loin de jouir : « Oh ! !Yes, its good, don’t stop, again, I wiill cum. » La jouissance n’a pas de frontière, c’est pour toutes les femmes pareil. Un long Yeeees et elle s’étala de tout son long sur André enfermant en serrant les fesses les deux membres dans son petit intérieur. Nos hommes ont attendu que leurs pénis s’amenuisent pour se sortir de ce bagne bien sympathique. ( C’est le trou ou toutes les têtes dures y entrent et qui en ressortent toutes ramollies.)

Amélie qui avait vu que nos combattants n’avaient plus de ressource nous proposa de boire le verre de l’amitié avant que l’on se quitte vers dix neuf heures. Nous garderons de cette orgie de bons souvenirs, mais aussi quelques contacts de couples venant presque tous les ans au Cap d’Agde. J’espère pour ma part retrouver Franck l’année prochaine et pourquoi pas refaire un tour au paradis avec lui ces jours prochains.

En cours de route pour rentrer chez nous, nous entendons nos hommes discuter ensemble :

« - Nous ne nous coucherons un peu moins bête ce soir André puisque nous savons maintenant que les Françaises, les Belges, les Allemandes et les Italiennes ont toutes la fente de leur tirelire dans le même sens. »

« - Oui mais nous ne savons pas encore si c’est pareil pour les Japonaises. »

A la porte de l’appartement, il y avait accroché à la poignée de porte un sac en plastique avec à l’intérieur l’appareil qui avait fait monter ma copine au septième ciel en quelques minutes. Notre vendeur de la plage avait tenu sa parole. Bob donna le sac à Annie en lui disant qu’elle avait bien mérité ce petit cadeau.

Le reste de la soirée nous sommes restés sur la terrasse pour que chacun parle de l’après- midi que nous avons passé chez Mélanie et Franck. Ma copine qui avait bien vu que le mari de la maîtresse de maison, ce beau mâle aux yeux bleu profond me plaisait dit tout haut une phrase qui m’a fait rougir jusqu’aux oreilles.

« - Les amis, je crois que Chantal s’est trouvée un nouvel amour, j’ai vu leur complicité et le bonheur qu’ils avaient de forniquer ensemble, d’ailleurs tout le monde a du le remarquer. Tu as vu Bob comment ta femme se plaisait dans les bras de ce Franck. Je pense cette fois que cet homme lui a fait chavirer le cœur et que tu es cocu. »

« - Je ne m’inquiète pas, ce n’est qu’un amour de passage, une aventure de vacances qui lui laissera de bons souvenirs. »






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