Un Plaisir Partagé Est Un Plaisir Double

Un plaisir partagé est un plaisir double

Nous connaissons depuis plus de quatre ans un couple qui est devenu nos meilleurs amis. Nous les apprécions pour leur savoir-vivre et leur sympathie. A tour de rôle nous nous invitons et aujourd'hui c'est notre tour. Comme d'habitude nous préparons un petit repas pour le soir afin de terminer la soirée dans une entente cordiale.

Pour l'occasion j'avais revêtu une nouvelle petite robe courte qui m'arrivait à mi-cuisse car je savais qu'Annie serait très élégante dans la simplicité. Dès leur arrivée, ce fût les embrassades, nous sommes toujours très contents de nous retrouver même s'il n'y a pas très longtemps que nous nous sommes vus. En prenant le café et le gâteau, nos discussions étaient de parler de tout et de rie, de choses et d'autres en toute complicité mais rarement de cul pour ne pas mettre dans l'embarras nos invités.

Comme il y avait du soleil dehors Bob proposa de manger notre deuxième morceau de tarte et de boire nos bulles dans le jardin. Chacun pris son assiette et son verre pour s'installer au soleil. Annie s'installa sur un relax, elle portait une robe tablier marron qui lui arrivait aux genoux et déboutonna les deux derniers boutons dévoilant ses cuisses encore bronzées de cet été. Elle avait une forte poitrine, son soutien gorge devant être un peu petit, elle montrait son joli nid de pigeon. André son mari était assis en face de moi et nos discussions reprirent de bon train. Au bout d'un moment j'ai proposé à tout le monde une tasse de thé ou autre chose, les hommes ont opté pour une bière et les femmes pour un thé. Je suis donc partie en cuisine pour préparer les collations.

Ma copine m'a suivi pour venir m'aider, pendant que je faisais chauffer l'eau elle était derrière moi elle m'embrassa dans le cou et posa ses deux mains sur mes seins par-dessus ma robe.
- « Qu'est-ce que j'aurais aimé avoir des petits seins comme les tiens ma chérie »
- « Nous les femmes ne sommes jamais contentes, alors que moi j'aurais voulu que les miens soient plus gros, ils sont très bien tes seins puisqu'ils plaisent à ton mari »
- « En parlant de lui tu as vu comment il regardait tes cuisses, il a même bougé sa chaise à un moment pour avoir une meilleure vue »
- « Il n'a pas pu voir grand chose car j'ai un string blanc, de toutes façons les hommes sont comme cela dès qu'ils ont L’occasion de voir quelque chose ils n'en perdent pas une.

Tu vas voir leur réaction, je vais retirer mon string, mais seulement tu fais de même »
- « Non. Je n'ose pas et puis-je ne veux pas donner des idées à ton mari... »
- « Ne t'inquiètes pas les idées il les a déjà, tu ne t'es jamais promené jamais sans culotte ? »
- « Non, j'ai toujours peur que quelqu'un me voit »
- « Tu as tords essayes une fois tu verras comme c'est excitant et puis tant mieux pour celui qui verra tes fesses, un cul vu est un cul qui n'est pas perdu, c'est le moment d'essayer »
Sans attendre sa réponse je soulève ma robe et je tombe mon slip, Annie s'est sentie obligé, elle en fait de même avec sa petite culotte noire en dentelle qu'elle fourre dans sa poche, puis nous allons retrouver nos hommes dans le jardin avec les collations. En voulant servir les bières, le décapsuleur glisse du plateau et tombe par terre. Je me suis tourné le dos à ma copine pour me baisser et le ramasser, je savais que dans cette position, étant plus basse dans son relax qu'elle serait au premier rang pour voir mes fesses et peut être plus.

Puis j'ai reprise ma place dans mon fauteuil en face d'André écartant un peu les cuisses mais il commençait à se faire tard et le soleil n'éclairait plus mes jambes et mon entrecuisse devaient maintenant être dans l'ombre car je ne voyais plus mon copain mater l'intérieur de mes jambes. Le petit sourire complice d'Annie à mon intention me fit comprendre qu'elle avait vu mon intimité lorsque je me suis baissée devant elle. Un moment plus tard nous décidons de rentrer car il commençait à faire un peu frais. Bob rangea les fauteuils et le relax pendant que nous rentrons au salon pour boire l'apéro.
En revenant de dehors, il montra la petite culotte d'Annie qui était tombée de sa poche en disant :
- « A qui appartient cette jolie petite culotte ? »
Je vis ma copine rougir et se trouver mal à l'aise, surtout que son mari n'était pas au courant qu'elle l'avait retiré. Pour une première ce n'était pas réussit et j'en voulais à mon compagnon d'avoir annoncé cela devant tout le monde surtout qu'il devait bien se douter qu'elle appartienne à Annie connaissant tous mes dessous.
Tant bien que mal j'aie essayé de changer la conversation en leur proposant de lever notre verre à notre amitié. Nous sommes passé ensuite à table, le repas était prêt. J'avais peur que ce petit contre temps laissa un froid mais ce ne fût pas le cas, nos conversations restèrent animées, j'ai surpris mon cochon de mari ramasser plusieurs fois sa serviette pour regarder sous la table sachant que notre copine n'avait plus sa culotte. Je ne sais pas si elle s'en est rendu compte et qu'elle a joué le jeu en écartant ses cuisses ?
A la fin du repas nous nous sommes aperçus qu'il était déjà vingt trois heures dix et qu'avec le couvre feu à vingt et une heures il n'était plus question pour nous de laisser repartir nos amis, nous leur proposons donc de dormir dans la chambre d'amis. Un peu ennuyés, ils acceptèrent. Il est pratiquement minuit lorsque nous décidons d'aller nous coucher. Nous venions juste de monter lorsque l'on frappa doucement à ma porte de chambre. Je suis allée ouvrir en petite liquette, toute nue dessous. C'était Annie qui était venue demander si je n'avais pas un pyjama à lui prêter.
- « Je suis désolée ma chérie mais je n'ai que des déshabillés transparents, Bob aime bien me voir des ces tenues, regardes et prends celle qui te plaît » (en ouvrant mon tiroir)
- « J'aime bien cette petite nuisette blanche"
- « Passes là »
-
Elle s'est mise toute nue devant moi, elle était superbe mais totalement différente de moi, d'abord ses seins étaient plus volumineux elle faisait de 100 bonnet D alors que moi avec mon 85C les miens paraissaient tout minus, de belles aréoles brunes surmontées d'un joli téton qui ressemblait à un petit bonbon et donnait envie d'être téter, tandis que moi je n'ai pratiquement pas d'aréoles avec une toute petite tétine rose que Bob est obligé de titiller pour les faire grossir. Soudain Bob sorti de la salle de bain tout nu quand il vit Annie dans ma petite nuisette un peu courte (elle était plus grande que moi) qui lui arrivait à mi-fesses et sa chatoune avec ses lèvres débordantes il lui dit :
- « Tu es superbe et j'aime beaucoup ton ticket de métro »
- « Arrêtes de mettre mal à l'aise ma copine, cela fait deux fois aujourd'hui, profites plutôt de la voir pratiquement à poil toi qui en rêve la nuit »
- « A poil c'est beaucoup dire, il ne m'en reste pas beaucoup » Ca va-elle ne l'avait pas mal pris
- « Mais je ne l'importune pas au contraire je lui fais des compliments et je m'excuse pour tout à l'heure pour l'avoir mise dans une situation inconfortable devant son mari qui d'après ce que j'ai compris n'était pas au courant.
»

Je voyais que ma copine regardait bien le sexe de mon chéri qui lui pendait entre les jambes. André que le temps devait lui paraître long d'attendre sa femme entra à dans la chambre sans frapper en boxer noir
- « Qu'est-ce qui se passe ici c'est un club échangiste ? »
Demanda t-il assez sèchement. Surpris de voir sa femme dans une chemise de nuit transparente à demi nue devant mon chéri dans le plus simple appareil
- « Ecoutes, toi qui me parles toujours en me disant que Chantal doit être bonne à baiser, profites de l'instant présent puisque tu as la chance aujourd'hui de la voir toute nue. » Lui répliqua sa femme sur même ton.

Je fus surprise d'entendre que nos amis parlaient de nous comme cela dans l'intimité chez eux. Voulant participer lui aussi de l'occasion qui se présentait et pour mettre en pratique devant sa femme ce qu'il disait de moi, sans que je m'y attende, il me serra contre lui et m'embrassa sur la bouche. Puis fit tomber mes bretelles de ma nuisette qui tomba à mes pieds. J'étais nue dans ses bras musclés. André faisait des exercices de musculation et son corps était sculpté comme celui d’un athlète. D'un coup d'un seul il me souleva comme une plume et me déposa sur notre lit. Il retira son boxer et j'ai pu voir un court instant son sexe il était bien gros mais semblait plus court que celui de mon mari (peut être à cause de sa toison brune qui en cachait une partie.) Sa main glissa entre mes cuisses cherchant ma fente, deux de ses doigts entrèrent à l'intérieur de mon pubis qui s'était déjà humidifié à souhait. Je me laissais faire, lui écartant même les cuisses pour qu'il me les rentre plus profondément. Sa bouche embrassait mes tétons.

Depuis pas mal de temps nous nous demandions mon mari et moi si nous pouvions espérer échanger de maris et de femmes sans trop oser aborder le sujet. Nous qui sommes naturistes et libertins nous espérions un jour de convaincre nos meilleurs amis à partager notre passion.
Il a fallut cette obligation de couvre feu pour que nous ayons la réponse à notre question.
Je voyais pendant que je me faisais butiner qu'Annie était à genoux devant mon chéri en train de s'occuper de son sexe qui entrait et sortait du plus profond de sa gorge. Puis elle est venue s'allonger à côté de nous, mon chéri lui avait relevé sa liquette au niveau de ses seins et il avait sa tête entre ses jambes qu'elle avait mise sur ses épaules, il se régalait du jus de son abricot. Sa langue lui fouillait ses chairs intimes et de ses mains tendues il lui caressait les nichons. Elle avait pris ma main dans la sienne et je l'entendais glousser à côté de moi. Plus mon chéri lui bouffait son fruit juteux plus elle convulsait et plus elle me serrait la main comme pour me remercier de lui avoir prêté mon homme. Peut être qu'André ne lui faisait pas de cunilingus et elle retrouvait un plaisir qu'elle avait connu dans son jeune temps avec d'autres partenaires.

André était maintenant monté sur moi et son gland flirtait avec mon clitoris. Puis doucement il s'enfonçait commençant à se frayer un passage à l'intérieur de mon vagin qui était trempé pour le recevoir. Mais au bout d'un moment, je n'arrivais plus à supporter son poids sur mes 49 kl, j'ai demandé à mon partenaire de changer de position. Il s'est allongé sur le lit et en passant par-dessus lui, je me suis mise à le chevaucher, son gros gland trouva tout de suite le chemin de sa prison. C'est là où toutes les têtes dures y entrent et en ressortent toutes ramollies. Je m'activais sur lui comme une cavalière sur son cheval, levant mon cul de la selle pour retomber sur sa bite en érection de ma monture.

A mes côtés ma copine n'était pas en reste, mon chéri me l'avait mise en chaleur puisqu'elle avait quitté ma nuisette et s'était mise en position de levrette, le cul bien cambré. D'une main mon homme lui caressait son minou et sa petite rondelle brune. Les cuisses bien ouvertes et la tête dans l'oreiller elle attendait d'être saillie. Mais mon chéri qui aime bien me faire de longs préliminaires avant de me sauter, en faisait de même avec Annie. Il lui enfonça un, deux puis trois doigts dans son confiturier (comme il appelle dans l'intimité ma foufoune) Appuyant son pouce sur son anus, le sphincter se dilata et son doigt s'engouffra dans son cul. C'est une caresse que je connaissais bien puisqu'il me la pratique régulièrement, ses doigts maintenant devaient s'agiter caressant doucement la paroi qui sépare les deux cavités car je voyais ma copine dandiner son cul et de râles de plaisir sortaient de sa bouche.

Pendant que je la regardais prendre son plaisir mes va et vient répétés sur la queue de mon amant de cette nuit avaient fait leur effet, des spasmes de contraction secouèrent mon vagin, André allait sans tarder m'envoyer toute sa sauce blanche, je me suis sortie juste à temps avant que son sperme vienne tapisser mon ventre par une giclée puissante. Repu, mon amant regardait maintenant sa femme prendre son plaisir avec son copain.
Trempée par les caresses de mon chéri, il était entré en elle comme dans du beurre pour la baiser, ses seins lourds bougeaient au rythme de ses coups de rein, son mari en train de récupérer à côté d'elle lui avait pris un sein dans sa main et lui caressait le téton comme pour l'encourager. Tout comme nous le moment crucial arriva, mon homme éjacula à son tour, Annie maintenue par les mains de mon chéri sur ses hanches n'a pas pu se sortir avant qu'il éjacule au fond de son vagin. ( Bien que je ne sache pas si elle l'aurait fait ) des grands Aaaaaaaah. haaaa de jouissance sortirent de sa bouche malgré elle. Elle était toute en sueur, elle se tourna vers son homme et ils s’embrassèrent.

Au retour de la salle de bain où je suis allée pour me laver, je me suis allongée sur André en position de 69, je lui ai asticoter sa biroute qui était redevenue toute molle avec les mains puis avec la bouche, je la sentais grossir entre mes lèvres, je ne sais pas si c'est moi qui le suce divinement ou que c'est la vue de mon mille-feuilles bien ouvert à dix centimètres de ses yeux qui le mit en appétit.

Toujours est-il que nos deux amoureux à nos côtés s'en donnaient à coeur-joie ou plutôt à couilles rabattues. Annie et Bob sont maintenant assis dans les bras de l'un l'autre et mon chéri lui es entré une nouvelle fois son coucou dans son petit nid douillet. ( On sait que les coucous vont toujours pondent dans les nids des autres) Ils s'embrassent en se caressant tout en se donnant la réplique avec de petits coups de rein.

André pour qui ma chatounette n'avait pas la douceur d'un bonbon, n'a pas voulu goûter à la friandise que je lui offrais mais il jouait à titiller mon clitoris. Soudain sans que je n'aie rien senti venir une seconde salve de sperme gicla au fond de ma gorge. Je n'ai pas pu faire autrement que de goûter à sa liqueur de corps d'homme. J'ai compris aussi pourquoi sa femme avait pris tant de plaisir lorsque mon chéri lui avait butiné son petit bouton de rose. André n'a pas l'air d'aimer faire des cunnilingus ne s'ayant pas occupé comme je l'aurais voulu de mon clito.

Mes deux coquins étaient maintenant allongés l'un sur l'autre et des râles de jouissances troublèrent de nouveau le silence de la chambre mis à part l'effet de succion que l'on entendait à chaque coup de piston que donnait mon homme dans le pot à miel de ma copine. Elle venait de se prendre une seconde giclée. Epuisés tous les deux, ils s'allongèrent sur le lit. Il était déjà presque trois heures du matin et nos hommes se sont endormis.
Nous prenons place au milieu du lit tout en gardant nos partenaires de la nuit juste à côté. Annie se tourna vers moi, me pris dans ses bras, nos corps se sont enlacés et sa bouche est venue se coller à la mienne, nous nous sommes embrassés longuement. Ses mains douces me caressaient le dos, un frisson a parcouru tout mon corps. Nous nous sommes enchevêtrés l'une dans l'autre, Elle avait les cuisses grandes ouvertes et ma jambe qui était en contact avec son coquillage s'est retrouvée toute humide d'un mélange cyprine et du sperme qu'avait déposé auparavant par mon chéri dans son huître baveuse. Serrées l'une contre l'autre nous nous sommes endormies avec plein d'étoiles dans les yeux. J'aime ma meilleure amie.

Depuis ce jour j'avais bien conscience que rien ne serait plus comme avant, que nos rencontres ne seraient plus basées sur le cul et sur l'échangisme, que des rencontres simplement conviviales et amiteuses d'avant se seraient finis, nous venons de franchir un cap avec Annie et André que nous avions du mal à aborder ensemble. Bien que chacun de nous ait envie de baiser la femme de l'autre, pour les hommes et faire l'amour avec le mari de son amie, pour les femmes sans jamais oser l'avouer.












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