Collection Anne Ma Muse. Février Sur La Côte (11/13)

Dans cette collection qui m’est dédiée, vous me connaissez, je suis Anne, la muse de Chris71.

Quand mon cerveau fonctionne, c’est avec une drôle d’impression que je me demande où je suis et pourquoi mon cul me brûle.
Rapidement je prends conscience que nous sommes dans le lit des parents de Lucie et donc dans leur appartement.
La chambre sous les parois de verre laisse passer les rayons du soleil, les stores de protection étant retirés.
J’ignore depuis quand ses rayons me tapent sur le fessier, mais il est tout rouge.
Sur la plage, malgré le mois de février, les rayons chauffaient et j’avais mis de la crème solaire.
Cette nuit quand Noël m’a fait l’amour, c’est une tout autre crème qu’il a déversée en moi.
Lucie et Josyane sont absentes, je me dirige vers la salle, j’entends parler sur la terrasse.
Nues toutes les deux, elles sont appuyées sur la rambarde de métal et de verre.
En bas, ceux qui passent sur la plage doivent avoir une très belle vue sur leur anatomie.
Chez moi à Besançon, des balcons de verre existent, mais c’est du verre dépoli qui les compose.
Ici, tout est fait pour la luxure et l’excitation des sens, comme hier soir dans le club libertin.
J’ai profité enfin de la queue de Joël, mais je suis frustrée, impossible de le voir sans retourner là-bas avant mon départ demain.
Je suis certaine que si j’y vais par l’autre entrée que nous avons prise nous menant au restaurant, je suis jalouse de la femme à qui il aura offert sa laisse pour la faire passer le rideau.
Je prends les choses trop à cœur, je dois penser que demain matin je dois retrouver Gaston et son gros cul.
Attention pas de méprise, gros cul, ni celui de Gaston ni de sa femme, mais le nom que l’on donne dans les transports pour ces camions à doubles essieux.

- Anne regarde ce que je vais voir à un étage près quand je me réveillerai le matin, c’est beau, le sable et la mer, vois, il y a des petits voiliers qui se promènent profitant du beau temps.



Lucie a son portable en main.

- Lucie vient d’appeler son père, tu te rends compte, il dévalait les pentes en ski.
Il sait arrêter pour répondre, il a appelé Christophe le vendeur qui est d’accord pour que je leur rachète l’appartement.
Il est soulagé que ça aille vite, dès que les papiers sont prêts j’emménage.
Cet été, je vais pouvoir dormir sur ma terrasse.
- À poil bien sûr.
- Eh ! pourquoi changer les bonnes habitudes, de plus je suis un peu exhibitionniste tu as dû le remarquer.
Être vue des personnes sur la plage, je vais prendre mon pied.
Regarde, le mec qui passe en levant la tête, il matte nos chattes.

Je me recule d’un coup, en discutant je m’étais appuyée moi aussi sans regarder vers la promenade.
Il est vrai que dans nos rapports avec Pierre, il nous arrive de faire des choses que la morale réprouve, j’ai eu un fantasme d’exhibition que nous avons réalisé et que Chris71 vous racontera un jour prochain.
Je dois reconnaître que me promener nue fini par me plaire, surtout après ce que j’ai fait avec Pierre.

- Lucie, aurais-tu de la crème pour les brûlures du soleil, je dors toujours sur le ventre et ta verrière a permis au soleil de me brûler les fesses, regarde je suis toute rouge.
- Allonge-toi sur ce transat, je vais te chercher ce qu’il faut.

Elle revient rapidement.

- Lucie, laisse-moi faire, va voir Noël, dis-lui que Nicolas et sa bande viennent ici chez toi au lieu de chez moi et que quand ils sonnent ils les reçoivent.
Nicolas a préparé une soirée champagne, pizza, nous aurons la terrasse pour nous éclater.

Je suis allongée, je vois Josyane faire sortir de la crème du tube.
Je sursaute, la crème est plus froide que mes rondeurs et ça m’a surpris.
Elle commence à l’étaler, tout de suite, la brûlure s’apaise.
Je vois qu’elle reprend du produit au bout de ses doigts.

Je devrais réagir mais malgré qu’il doive être au moins 14 heures, la soirée et la nuit que j’ai passée m'ont épuisé et mes yeux se ferment tout seuls.

Je flotte, je suis dans la pièce le cul en l’air sans que je voie qui me frotte les fesses comme hier j’ai été baisée sans savoir qui le faisait.
Joël est là, ses mains sont si douces que ce ne peut être que les siennes, je me laisse aller, je suis à deux doigts de jouir quand ses mains glissent entre mes cuisses.
Elles entrent, elles sortent, elles empaument les fesses pour mieux revenir à deux doigts de ma fente.
Je suis une salope, je sens que ma chatte mouille, je vais tacher les cousins sur lesquels je suis allongée.

- Dis donc Anne, je croyais que tu n’aimais pas les rapports saphiques, pourtant tu t’exposes à mes doigts comme ci tout voulait que je les fasse entrer dans ta minette.
Je veux bien mais il faut que ce soit consenti pas dans un rêve érotique que tu semblais vivre, dis-moi qui te caressait.

Je me lève d’un bon, merde Josyane, le réveil est brutal, je me retourne protégeant mon intimité des assauts de cette vampire sexuelle.
La pendule dans la salle marque 14 heures, j’avais bien vu à la hauteur du soleil.

- Que t’arrive-t-il, on dirait qu’une guêpe t’a piqué.
- Pas en février, le dérèglement climatique a du bon pour recharger les batteries, certes le mimosa est au début des fleurs, mais elles dorment encore.

Josyane semble se contenter de cette réponse, je pense qu’elle a compris que les femmes avec les femmes ce n’était pas mon truc, elle rentre retrouver Lucie qui est plus amène de répondre à ses envies.

Je me retourne et c’est divinement que je laisse mon corps prendre le soleil.
Elle a posé le tube de crème solaire sur la table, je m’en badigeonne, c’est assez de mes fesses qui me brûlent.
Heureusement quand je vais reprendre mon travail, je serai assise sur mon cousin pour le dos que je me suis acheté sur Internet.

J’adore chercher de nouvelles choses.
Ce coussin rempli d’un gel va m’aider à attendre la fin de mon calvaire.
Je ris toute seule, pendant qu’à l’intérieur les trois autres papotent.
Je me pose la question, peut-on peler de la peau des fesses, si oui, Pierre va se ficher de ma figure.

Ça sonne, j’ai dû à nouveau dormir car le soleil a légèrement tourné.
Mes seins me brûlent, quelle idiote, la crème a dû finir de faire son effet.
Je me dépêche de me badigeonner.

- Trop tard, le coup de soleil est là, salue Anne, le soleil est mauvais à la sortie de l’hiver.
Pour éviter ça, je fais des UV, mais je vis surtout la nuit avec mes amis.
T’a ton déjà dit que tu avais de jolis seins.

Là c’est loin d’être le soleil qui me fait rougir, Nicolas vient de rentrer avec tous ses copains.
Je dis bien tous ses copains et aussi copines car le groupe d’hier s’est un peu étoffé.
J’avais réussi de rester nue devant nos amis, et sur la plage, mais là la chatte à l’air, j’ai l’impression d’être obscène.
Le plus grave, c’est que je vois chacun de ceux qui viennent d’entrer se mettre dans la même tenue que moi.
Hier dans le club, j’acceptais ces nudités, là, je dois reconnaître que je suis légèrement gênée.

- Lucie, ma belle, c’est la première fois que je viens chez tes parents, merci de nous avoir dit de venir ici plutôt que chez Josyane, mon dieu quelle belle vue.

Je viens de me lever de mon transat, est-ce la vue de la mer ou la vue de mon anatomie dont il parle ?
Dans les minutes qui suivent, les coupes sont sorties des armoires de la salle et les bouchons sautent.
Le champagne commence à couler à flots, heureusement que Josyane m’a invitée.
Je gagne bien ma vie, mais toutes ces personnes semblant friquées, semblent avoir une descente un peu trop grande pour moi.

- Non, j’ai vu arriver du whisky, servez-m’en un verre.

Noël, démarre la chaîne de tes beaux-parents, j’ai une folle envie de danser.
- Josyane, tu es toujours partante pour danser dès que l’on se retrouve ensemble, c’est pour ça que l’on m’aime.

Combien sommes-nous, presque une vingtaine, je connais Nicolas, lui j’ai mémorisé son nom, ah oui, la jeune femme avec son homme c’est Sylviane, elle danse déjà avec un homme que je n’ai jamais vu.
Une deuxième Betty qui doit rouler vers la Suisse, elle embrasse le gars à pleine bouche.

- Nicolas, j’ai soif, sers-moi un whisky.

Josyane semble oublier que demain elle doit me conduire à Avignon retrouver Gaston.
J’essaye de m’approcher d’elle, un garçon le crâne rasé me prend par le bras et me plaque contre lui.
Moi aussi je deviens folle pourtant je n’ai bu qu’une coupe de champagne.
C’est une lambada, danse que j’adorais danser avec Pierre du temps de nos premières rencontres.
Pierre aimait se frotter sur mon cul et ma chatte, mais là, le garçon lui rend trois longueurs.

- Simon, si j’ai bien compris, tu t’appelles Anne, heureux de te connaître.

Pour être heureux, il l’est, je commence à sentir sa verge qui décide d’être tout sauf sage.
Comment vais-je m’en sortir et Josyane qui se fait resservir un verre de whisky, ça sent la partouze…


Merci Anne.

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