La Force Intérieur De Minjae

Des ennuis s’annonçaient mais Callaghan, pilote d’avion,toujours fidèle à lui-même poussa la blague dans l’interphone.
« A tous les passagers, arrivée Clermont-ferrand dans 45 minutes, disposez de l’hôtesse et de l’écran tv, ne sortez pas de l’engin avant l’atterrissage ! Joyeuses fêtes !» Il ajouta après une seconde « Avec Callaghan, pas de panne ! ». Les passagers lui lâchèrent un rire large.
Apres Clermont, retour Paris puis destination Venezuela pour retrouver sa routine préférée l’Amérique du sud. Pour l’heure il aurait voulu une grosse pinte.
Minjae ria, Gladisse qui ramonait sa chatte sur sa queue dans les toilettes de l’avion jouit. Minjae la sortit de sa foufe rousse et gicla sur toute sa fente.

Minjae, missionné en France , dans l’Auvergne profonde, venait de recevoir un message dans lequel son chef lui remonte les bretelles. En retard dans son planning il devait mettre les bouchés doubles. Il est vendeur en logistique, il contractualise des affaires commerciales concernant des programmes informatiques. Mais deux plaintes dans l’année quand à ses explications inaudibles et le patron voyait rouge. Clermont-ferrand, une France inconnue, des clients farouches … Minjae envisageait de prévoir ses arrières car, pour lui, si ça tournait mal, le sort ne le remettrait pas vraiment dans la voix d’une nouvelle réussite, le patron le rétrograderez à vie parce qu’il avait jeté son dévolu sur lui. Au revoir ascension professionnelle, au revoir pognon, au revoir grand modèle de la famille, et le pire : au revoir Yun.
Atterrissage , taxi , hôtel, Minjae fut reçu avec les honneurs et dormis dans une chambre luxueuse. 8 h le lendemain, il doit convaincre des entrepreneurs pour qu’il leur vende les programmes de sa boite. Il fouilla dans son ordinateur quelques petits amusements et s’offrit un cocktail à la cerise qui le détendit beaucoup, sur le matelas confortable.

Les rideaux filtraient une lumière blafarde. Ondulait l’orange de la ville qui serpentait le long des routes enchainées aux murs gris et sombres que la lune pas encore pleine avait du mal à éclairer entre quelques nuages noirs.
A 19h30, il termina la révision de son projet de vente puis fut harcelé de spam, bizarrement, car son PC était censé etre protégé. Une dizaine de spam se succédèrent puis un spam porno vint s’interposer. L’ image interloqua le coréen, au point qu’il ne l’efface pas dans la seconde. Il y était présenté une femme nue dans une position excitante, prête à etre baisée. Le slogan était : « Je cherche mon gros tarzan, je suis à Clermont-ferrand, prends mon numéro 06… » Décidément excité il cliqua sur l’image et s’ ouvris un site classique pleins de photos et de vidéos. Il entrepris de se branler un moment puis, écoutant son instinct intérieur, s’arrêta au bout de quelque minutes pour aller diner au restaurant de l’hôtel, au rez-de-chaussée. Une fois sur place il choisit une part de pizza, une salade, du vin de qualité et un bout de tarte à la chantilly. Très concentré dans la dégustation de son repas il se mordit la langue, ce qui le fit sursauter et pousser un cri de douleur qui alerta une femme assise seule sur la table voisine de droite, goutant à l’instant un café sucré. Elle le regarda se mettre la main sur la mâchoire et lui dit :
-Oh monsieur, vous vous êtes faits mal ! Tenez, un peu d’eau, buvez. Elle se pencha vers lui et lui tendit un verre plein. Il le but et dit :
-Merci, c’ est gentil à vous Madame, vous m’êtes d’une grande aide, ça va je ne saigne pas … Merci…
Il la dévisagea et se présenta :
-Je suis Minjae !
La jolie jeune femme fit de même :
-Moi c’ est Claudia, enchantée, vous êtes Japonais ?
-Non , coréen… du Nord…
- Ah, oui, c’est très intéressant…
-Oui, je connais la réputation que le pays à de l’ occident en cette époque, vous savez, ne soyez pas mal à l’aise, dit il.

-Oui pardon, c’est vrai qu’ on en parle parfois aux infos…
-Je suis commercial en logistique, ajouta-t-il.
-Moi je suis artiste, je peins et vends des peintures, je voyage en France et je vise toute l’ Europe, peut-être d’ici un an ou deux.
- Vous peignez quoi ? la questionna-t-il en savourant la tarte.
-Un peu de tout … Elle lui montra sa tablette pleine de photos. Il y avait des paysages pittoresques, des scènes de ville mondaines, des nus, des abstraits, panel assez diversifié somme toute.
Il la complimenta puis elle acheva son café.
-Vous avez mal ? demanda-t-elle courtoisement.
-Non c’est passé , répondit Minjae. Merci , c’est très gentil à vous, quel honneur ! Il fit un geste de remerciement traditionnelle puis elle se pencha pour prendre son sac. Elle lui montra ses deux superbes seins bien entassés dans un chemisier bordeau. Sa jupe grise devait a priori etre d’ une marque couteuse et ses collants noirs comme ses cheveux terminaient ses jambes fines dans des bottes en cuir.
-Que faites-vous de votre soirée ? lui demanda-t-elle.
-Je n’ en ai aucune idée, répondit-il en pensant à son site porno.
-Je vais boire un verre au petit bar là-bas.
Elle pointa du doigt l’enseigne « petit verre » qui clignotait en blanc.
- Vous m’accompagnez ? Reprit-elle.
-D’accord.
Un fois dans le bar ils prirent place et s’ assirent l’un en face de l’autre. Elle commanda deux whisky.
Ils burent, plaisantèrent et parlèrent de leurs vies. Les gros yeux glamours de Claudia fascinaient Minjae qui s’ enivrait de son parfum. Il passa un moment merveilleux.
Elle lui fit du pied ensuite, après le second verre, elle pris des couleurs et domina son homme.
Elle mis son pied entre ses jambes et excita Minjae qui banda en sentant la botte se frotter entre ses cuisses. Il passa une main dans le dos de la séductrice et la fit frissonner.
Elle se raidit et, charmée, offrit un troisième verre. Elle chuchota quelques mots à l’oreille du coréen :
-Tu me plait dit-elle, emmène-moi faire un tour…
Minjea but avec empressement le troisième verre et invita Claudia à le suivre pour une petite promenade dans le hall qui s’écourta quand elle dit :
-J’aime ton beau visage Minjae, j’ai passé un agréable moment avec toi. Combien de temps restes-tu à Clermont ?
-Merci, tu es ravissante aussi, tellement belle, j’aime beaucoup t’écouter expliquer tes toiles…Je reste deux nuits et je m’ en vais pour le Venezuela puis Shangaï.
-Ok..
-Il se fait tard, je vais te ramener, dit-il soudainement.
-Bon, d’accord opina-t-elle un peu ivre et perdue dans ses pensées.
Il la ramena jusqu’à sa chambre. Là, elle lui roula une énorme pelle.
Elle sentit le gros boa du coréen et mouilla.
Ils baisèrent dans la chambre de Claudia pendant quelques heures, elle qui présentait une entre- cuisse inondée, l’étreignit dans une rage folle de baiser. Minjae s’ est fièrement fait pomper le dard, chevauché de très longs instants d’ insouciance par une bête affamée mais sensuelle qui garda ses collants et ses bottes pendant qu’elle procédait à l’exercice sexuelle. Elle inséra tout le sexe de Minjae jusqu’à ce que bien raide elle puisse le sentir embraser tout le vulve. Elle se le mis dans l’anus aussi, déployant sur lui ses dons de fornicatrices chevronnées. Elle se fit émettre la giclée de la verge sur sa face après lui avoir fait gouter sa chatte appétissante.
Le lendemain, Minjae conclut la vente d’un programme d’une valeur de plusieurs millions de dollars. Il fut congratulé. Claudia, elle, dégota une salle d’exposition à Madrid et Barcelone. Un hollandais était intéressé. Hypothétisant positivement que leur relation leur portait grande chance, le soir venu ils baisèrent de plus belle. Fallait-il dire qu’ elle ravivait en lui une fougue endormie, une flamme éteinte ou bien qu’ elle encolorait un monde perdu dans une grise perdition ? Et bien elle magna les fouets et les pinceaux en maitresse douée, tant pour lui que pour elle.
En ces heures de domptages, elle n’eut besoin que du bon cheval, un coup double judicieusement joué ou subit, elle ne savait plus, l’ extase avec Minjae était d’autant plus forte quand se confondait son libre arbitre au doux hasard de la vie.
« Parfois les rencontres de ce types favorisent le destin à pencher en notre faveur » se dit-elle. Quand elle vit Minjae s éloigner dans un airbus flambant neuf, une larme vint a couler, de joie mais aussi de tristesse car un temps longs les séparaient d’une peu probable retrouvaille. Le soleil se coucha , et vit sur son ordinateur une fichier word ouvert ou une page blanche présentait ces quelques mots.
« Claudia , clique »

Elle le fit. Un grande photo de la bite de Minjae apparut. La bite bougeait comiquement, Etait inscrit dessous en rouge et jaune :
« Clique encore ».


C’est ce qu‘elle fit, dans une autre position, une autre prise de vue de sa bite vint à l’ écran avec cette inscription :
« J’ai mis mon programme secret en toi, garde le précieusement».
Puis était indiqué le nom du dossier enregistré dans son PC, que Minjae lui avait transféré. Claudia s’était déshabillée, elle était en petite culotte pour suivre les instructions du jeu, elle se sentit toute prête à l’ emploi, puis lorsqu’ elle alla à la quête dudit dossier elle fut prise d’une inquiétude. Quel tour lui jouait-il ?
Elle ouvrit le dossier puis l’écran fit virevolter dans la pièce entière d’éclatantes luminosités fabuleuses. Puis elle écouta :
« Ceci et un programme top secret »
« … top secret , programme de très haute importance… top secret »
La voix électronique intrigante l’amusa, on aurait cru à une menace nucléaire. Elle laissa sa curiosité faire, elle cliqua. Une sorte d’explosion éblouissante ravagea l’ hôtel et Claudia fut transportée dans une dimension inconnue.
« Vous êtes dans le niveau numéro q97979u81 vous avez gagné ! vous êtes la reine du sexe intersidérale. Gardez l’humeur et la saucisse ! »
Les lumières la fit jouir en tout sens, encore plus fort chaque seconde. Que devait-elle faire maintenant pour ne pas devenir folle ? Elle pris toutes les bites qu’elles eut en vision et qu’ elle put puis se rassura d’etre encore en lien avec des corps humains. Apres quelques minutes, alors que les intenses lueurs s’affaiblirent elle se retrouva nue sur le sol à s’enfiler trois gros gods à la fois, l’écran flascha ensuite bizarrement comme un hypnotiseur. Une phrase apparut « Alors comment trouves-tu mon cadeau d’adieu, c’est nouveau, ça décuple de plaisir sexuel, je l’ai inventé à mes heures perdues, fortiche tu ne trouves pas. »
Elle pris de suite son tel et lui envoya un mess :
« Tu sais Minjae, y a pas meilleur programmeur que toi , comment t’as fais ? »
« J’ai suivi mon fort intérieur. » Lui envoya-t-il en guise de réponse.
« Mon petit Minjae, se dit elle, il aurait besoin que je m’occupe de lui…»Elle se mordit la lèvre puis acheva ce qu’ elle avait commencé.


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