Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 8

Le peintre et sa muse
Chapitre 8
AU SEX-SHOP
Protagonistes
E= Edouard l’agent artistique
F= François le peintre
L= Lydia un modèle
A= Annie la maîtresse de François
B= Bernard le compagnon d’Annie

A la suite de cette matinée en trio (voir chapitre 7).
Après avoir fait le tri des photos prises durant cette partie de jambes en l’air sous le regard de Bernard, j’ai laissé Annie et Bernard dans mon appartement et je suis parti rejoindre mon agent artistique dans la galerie où j’expose en permanence.

Il est avec Lydia devant un de mes nus.
F- Bonjour Edouard, bonjour Lydia
L- Bonjour maître, de meilleur poil aujourd’hui ?
F- Tout comme toi mon joli modèle, tu as vu il n’y a pratiquement que des tableaux de toi.
L- J’ai vu c’est super, tu aurais pu en mettre un d’Annie.
F- Oh lala ! Ce tableau là sera de l’ordre du privé.
Allez tous les deux direction le resto.
E- Pas pour moi mais avant de partir tu me signes quelques certificats d’authenticité.
F- Et combien ?
E- Une dizaine car cette expo est une réussite.
F- Pour ton porte monnaie ?
E- Entre autre.
F- Et toi Lydia ?
L- Non pas possible j’ai rendez-vous avec un photographe.

Après avoir signé les certificats je suis parti pour mon restaurant habituel.
J’ai un peu de temps alors je flâne un peu en ville, le soleil est de la partie donc je prends plaisir à me promener dans le grand parc de la ville m’imaginant bras de dessus bras dessous avec Annie comme officialisant aux yeux de tous notre amour ; et j’arrive vers treize heures au restaurant,
le maître d’hôtel me salue et s’excuse de ne pas avoir gardé ma table, il dit que j’aurais du téléphoner.
F- Ce n’est pas grave donnez-moi une table dans le même coin.

Il me guide vers une table dans le fond du restaurant, pour découvrir soudainement Annie et Bernard installés à ma table habituelle.


Annie est assise en face de lui, elle a les traits un peu tirés mais elle semble radieuse.
B- Installe-toi à ta table avec nous, nous venons juste de commander un apéritif.
Je commande un Martini gin.
B- François, merci pour cette délicieuse matinée, n’est-ce pas Annie ?
A- Oui c’était super.
B- Et puis surtout pour cette terriblement excitante prestation de notre chère Annie !

A- Je suis restée endormie le reste de la matinée j’ai eu besoin vraiment de récupérer.
F- Tu as raison Annie après l’effort le réconfort.
A- Alors commandons.
B- François je prends le repas à mon compte je te dois bien ça, après le repas j’irai faire ma petite
sieste. Et je te confie Annie tu sais si bien t’en occuper !
F- Nullement c’est pour moi la note, j’ai mes habitudes ici

Nous avons fait un excellent repas et sous la table Annie m’a fait du pied.
Pendant le repas elle avait retiré son escarpin et elle essayait de remonter le plus haut possible sur mes jambes.
A la fin du repas Bernard nous dit : « Je vous laisse je vais faire une petite sieste dans mon atelier, François je te confie Annie je sais que tu sauras t’en occuper.

Je paye la note,
Charles le maître d’hôtel en me faisant un clin d’œil me souhaite un bon après midi.
Je rejoins Annie et Bernard sur le seuil du restaurant.
Bernard part de son coté, je prends Annie par la main et nous partons nous balader en ville comme deux amoureux.
Arrivés devant un sex-shop j’invite Annie à entrer.

A- Tu n’y pense pas j’ai trop peur que l’on me reconnaisse !
F- Tu n’es pas cliente comme moi ?
A- Mais quand même.
Tenant toujours Annie par la main je la fais entrer.

Mais laissons Annie nous conter la suite puisqu’au retour de la visite du sex-shop, à la maison, nous étions elle et moi trop excités par cette découverte. Nous n'avons pas pu résister, et tandis que Bernard faisait sa sieste nous ont fait l’amour dans le grand lit nous les retrouvons juste après au moment où Bernard vient les rejoindre.


Annie est allongée dans son grand lit, nue, recouverte
d'un léger drap.
Elle est épanouie
après des moments intenses que lui a fait vivre son amant François.
Ce dernier est à ses côtés, il se repose aussi et voici que Bernard, le compagnon d'Annie, arrive dans la pièce.

B- "Alors je vois que vous vous reposez, la sortie en ville vous a fatigué ?"
A- " Si l'on veut oui, mais c'est surtout François qui m'a fatigué."
B- "Ah bon, je vois, Annie tu es insatiable et je t'aime ainsi."

François est encore un peu gêné, bien que la situation soit claire entre ces trois adultes, tous savent que Annie vit maintenant avec ces deux hommes en toute harmonie.

F- "Annie, raconte donc à Bernard notre sortie en ville."
A- "Je raconte tout ?"
F- "Oui tout et surtout le plus intéressant, vas-y."

Et Annie, après avoir proposé à son homme de s'asseoir sur le bord du lit, à côté d'elle, alors que François est allongé de l'autre côté, raconte :

Après le déjeuner, quand tu es parti pour aller faire ta
sieste, François et moi avons déambulé en ville, aussi pour bien digérer.
Et, hasard ou pas, nous sommes passés devant un sex-shop.
Je n'avais encore jamais fréquenté un tel lieu, seule je n'oserais pas mais avec François, j'ai décidé d'y faire une visite.

Nous sommes entrés.
Le magasin était petit et sombre.
Au comptoir, un vendeur, un jeune homme trentenaire je dirais.

Il était en pantalon et une chemisette largement ouverte sur un torse glabre ;
Il nous a salué et nous avons regardé les différents rayons.

J'étais en extase devant les revues nombreuses, les pochettes de DVD.

Nous avons croisé un homme d'âge mûr qui feuilletait une revue.

Puis j'ai pu voir les vibromasseurs, les godes, les œufs de geisha, et tant d'autres objets.
Je pense que j'y retournerai une autre fois car je n'ai pas pu tout voir.


Et puis nous sommes arrivés devant les habits.
Terribles, les sous-vêtements, les vêtements.
Et comme toute femme, je me suis intéressée aux robes bien sûr.

François m'a gentiment proposé de m'en acheter une et nous avons regardé, choisi.
Enfin c'est lui qui en a choisi une, en tissu noir, très souple, très courte avec une fente devant et derrière.
Elle était très échancrée à la poitrine avec un soutien-gorge intégré.

Je ne pouvais pas ne pas l'essayer.
Je l'ai prise, suis entrée dans une cabine, et j’ai fermé le rideau.
Je me suis déshabillée, ne gardant que ma culotte et mes
escarpins.
J'ai mis la robe qui me moulait terriblement, et je suis sortie pour avoir l'avis de François.

- "François, arrête de me titiller mes tétons sous le drap, je perds le fil de l'histoire".
- "Non Annie continue, le fait que tu racontes m'excite et je pince tes bouts de seins comme
tu aimes."
- "Tu es incorrigible et toi Bernard, arrête de mettre ta main sur ma cuisse, sous le
drap, sinon je ne poursuis pas mon récit."
- "Promis, nous arrêtons, continue."

Je me suis montrée à François qui a apprécié mais en me regardant dans la glace je trouvais que mes seins débordaient trop du décolleté et des bonnets préformés.

J'ai donc appelé le vendeur qui est venu m’expliquer comment adapter les bonnets.
Et là, sans gêne aucune, il a mis sa main dans le décolleté de la robe et a replacé mieux un sein puis l'autre.
J'ai piqué un far mais cela m'a tant excité que mes tétons se soient allongés.
On les voyait sous le tissu.

Et toujours très hardi, le vendeur a engagé une conversation, non avec moi ni avec François mais avec l'homme âgé que nous avions croisé dans les rayons et qui s'était approché :
- "Cette robe est faite pour la poitrine de Madame."
- "C'est vrai, le décolleté met en valeur ses seins lourds de femme mure.
"
- "Oui, surtout que les mamelles sont en forme de poire et encore assez laiteuses"
- "Mais il est vrai qu'il faut bien les placer afin que les aréoles soient à la lisière du décolleté."

Je n'en revenais pas.
Et François qui riait, qui appréciait, et moi qui rougissais mais aussi qui mouillais
d'excitation.
J'avais devant moi trois hommes qui semblaient baver en me regardant.
Surtout que j'avais les jambes nues et mes beaux escarpins noirs.

Mais Bernard il faut que tu saches que ce n'est pas fini.

Il y a une suite que je n'aurais jamais pu imaginer il y a quelques temps encore je n’aurais jamais pensé faire une chose pareille.
Mais le premier jour où François est venu chez nous il m’a fait faire une chose impensable mais qui maintenant m’excite au plus haut point.
C’est grâce à François mais aussi grâce à ta complaisance je j’ose faire cela et ça fait partie de tous ces plaisirs nouveaux que je découvre.
Donc je t’explique ce qui me met dans tous mes états à chaque fois que François me demande cela.

Donc, toujours dans ce rayon des habits, le vendeur s'est cette fois ci adressé à moi en me faisant remarquer que la marque de ma culotte était visible et que cela n'était pas très esthétique.

C'est vrai, en me regardant dans la glace je me suis faite la même réflexion et c'est alors que François m'a demandé comme la première fois dans le jardin de la retirer.

- "Arrêtez les hommes, vous recommencez à m'exciter.
- Toi François, tu bandes je sens ton gros
sexe contre mes fesses.
- Toi Bernard, tes doigts entre mes lèvres me font mouiller.
Je ne termine l'histoire que si vous ne bougez plus."

- "Promis Annie j'arrête de coulisser dans ta fente."
- "Promis Annie j'arrête de bouger entre la raie de ton cul."

Et donc j'ai osée, oui j'ai osée devant ces deux inconnus, lever ma robe et dire à François qu'il devait assumer sa décision et qu'il lui revenait de m'enlever la culotte.

Ils ont écarquillé les yeux, ont fixé ma culotte fine et blanche et bien sûr ont découvert, quand le tissu fin descendait le long de mes cuisses, de mes mollets, mon sexe lisse, mon sexe glabre, avec mes lèvres trempées qui devaient luire.

Provocatrice, je n'ai lâché ma robe qu'après avoir levé l'un puis l'autre pied pour que François puisse retirer cette culotte.
Il a même
osé la renifler. Et la mettre dans sa poche de veste en guise de pochette.
C'est vrai que le tissu était trempé.
Et c'est dans cet état que le vendeur, s'adressant toujours à moi, m'a proposé de revenir disant qu'il y avait d'autres habits super à essayer, d'autres objets à découvrir mais qu' il y avait aussi dans le sous-sol des espaces où l'on peut visionner seul ou à plusieurs des films.

Je lui ai promis de revenir. Il m'a demandé de le prévenir de ma venue et m'a confié son numéro de portable.
Nous sommes rentrés tranquillement à la maison moi le sexe à l’air sans crainte qu’un moindre courant d’air ne soulève ma robe Voilà j'en ai terminé.
Mais tout cela vous a excité, vous les hommes, je le sens.
Sachez que moi je suis prête à satisfaire mes deux hommes pour clore cet après midi.

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