Un Nouveau Défi Pour Éva : 2/4

Le lendemain matin, la première chose que fit Paul était de raccourcir ma robe de quatre nouveaux centimètres…. !!! waouhhh. Allais-je gagner mon défi ? Ce n'était pas gagné. Si je laissais mon Paul faire, il me promènerait toute nue dans la rue !!!!!
A nouveau, je stressais à l'idée de traverser le hall de l'hôtel.

Nous retournâmes au pueblo pour refaire la rue commerçante. Le village était petit et il n'y avait pas beaucoup d'endroits pour s'amuser, ou alors, il fallait prendre la voiture pour aller jusqu'à la ville voisine à trente kilomètres. Je ne me sentais pas prête à m'exhiber en ville.

Après m'avoir embrassée passionnément, Paul sortit son appareil photo et se mit en retrait pour me laisser un peu d'avance.

Je m'habituais peu à peu au jeu. Je réfléchissais à ce que je pouvais faire de différent cette fois et alors que je passais devant un marchand de chaussures, j'eus l'idée d'y rentrer.

Paul se précipita pour m'y rejoindre. Je dois avouer que mon mari adore m'accompagner quand j'achète des chaussures. Je vous laisse deviner pourquoi….

Je fis un tour dans la boutique. Il y avait de belles chaussures. J'adore les chaussures espagnoles. Il y avait un employé. Un homme à la caisse. Hummm. J'imaginais déjà le scénario.

Après m'avoir laissé regarder les modèles exposés, le vendeur s'approcha de moi. Il était charmant. J'allais m'amuser. Je lui expliquais ce que je cherchais et je lui montrais quelques modèles. Il me proposa de m'asseoir et alla chercher quelques boites dans la réserve.

Paul, tout sourire s'assit en face de moi, légèrement de côté, de façon à avoir un bon angle de prise de vue. Il avait son petit boitier assez discret.

Le vendeur semblait quelque peu intimidé. Il faut dire que ma robe raccourcie par Paul remontait très haut une fois assise.

Il prit son temps pour m'enlever délicatement les chaussures. Il me complimenta sur mes jolis pieds !!! Chacun de ses gestes était une caresse légère.

Je frissonnais. Il me tint la jambe et prit son temps pour glisser mon pied dans la chaussure. Il avait des mouvements plus amples que nécessaires ; une technique pour me faire écarter les cuisses.

Je levais les yeux pour regarder Paul qui m'encouragea d'un clin d'œil. Alors, je me mis à amplifier chaque mouvement du vendeur, avec pour effet d'avoir les cuisses suffisamment ouvertes pour que celui-ci ait une vue directe sur ma vulve épilée.

Si cela était insuffisant, je me penchais pour régler une lanière, avec cette fois, ma jambe qui s'écarta totalement.

Le vendeur rougit et continua comme si rien n'était. Je sentais que ses caresses devenaient plus appuyées et ses mains montaient un peu plus haut que nécessaire. J'étais troublée. J'en avais la chair de poule. Je fermais les yeux pour profiter de l'instant et des sensations qui me traversaient le corps.

Le vendeur toussa pour me faire reprendre les esprits. Il me proposait de me lever et de faire quelques pas.

Il me tint la main un peu plus longtemps que nécessaire. Pour aller encore plus loin dans notre jeu, je fis semblant de trébucher et je posai ma main sur l'entre-jambe déformée du vendeur qui sursauta surpris de mon audace. Il se tourna inquiet vers Paul qui le rassura d'un clignement d'œil.

L'ambiance était électrique, et c'est à ce moment qu'une cliente choisit de rentrer dans le magasin. Toute la magie de l'instant s'effondra…

Le vendeur était désespéré. Je posai ma main sur son bras pour le rassurer.
- Ces chaussures sont parfaites. Je les prends. Je vais vous demander un service. Je ne voudrais pas m'encombrer. Pourriez-vous avoir l'amabilité de les livrer personnellement à mon hôtel ?
Le vendeur bafouilla, mais je compris qu'il était enchanté de me revoir, en fait, de me rendre service, de…

Paul paya et laissa au vendeur le nom de notre hôtel, ainsi que mon numéro de téléphone pour organiser la livraison.


Au moment de partir, je me retournais et j'ajoutais :
- Prenez votre maillot de bain. On ne sait jamais….

Nous rentrâmes à l'hôtel bras dessus, bras dessous en prenant plaisir de revenir sur l'épisode du magasin de chaussures et sur la suite que nous pourrions y donner.

Nous n'eûmes pas besoin d'attendre très longtemps. A peine arrivés à l'hôtel mon téléphone sonnait. Vicente proposait de venir me rejoindre à dix-huit heures.

Nous avions convenu que Paul sortirait. Je serais seule pour recevoir Vicente.

A dix-huit heures précises on frappa à la porte. J'allais ouvrir. C'était Vicente. Il était ponctuel. Il était mignon avec les chaussures à la main.

Je l'invitais à rentrer. Paul avait mis du Cava au frais. Je demandais à Vicente d'ouvrir la bouteille et de nous servir une coupe.
Je lui pris le bras et l'accompagnais sur la terrasse où nous avions une piscine privée.
Il était ébahi devant le spectacle ; et encore, il n'avait rien vu.

Je lui demandais s'il avait apporté son maillot de bain. Il bafouilla un ouiiiii tout timide.

Je lui avouais qu'il n'en avait pas nécessairement besoin en passant ma robe par-dessus la tête et en me glissant nue dans la piscine. Il comprit le message. Il se déshabilla très vite pour venir se glisser dans l'eau près de moi.

J'avais eu le temps d'apercevoir son sexe dressé juste avant qu'il ne s'immerge et la taille de celui-ci confirmait ce que j'avais pu toucher dans son magasin…
Je vins m'asseoir face à lui et l'embrassais. Un baiser timide, mais qui devint rapidement fougueux. Vicente était maintenant rentré dans le jeu.

Je frottais mes seins contre lui, puis me levais pour agiter ma poitrine devant son visage. Sa bouche happant mes tétons et les mordillant comme s'il était mort de faim…

Voyant qu'il était prêt, je vins m'asseoir sur son sexe dressé. Mon vagin détrempé l'accueillit naturellement.
Sa queue était large et me remplissait totalement. Je restais immobile quelques instants avant de commencer à onduler. Vicente, tout sourire avait les yeux fermé et se laisser faire. Il devait s'imaginer rêver. Comment aurait-il pu prédire il y a encore quelques heures qu'il serait là en train de faire l'amour avec une française ?

Mon plaisir arrivant au loin, je changeais de rythme et me mis à monter et descendre le long de sa queue qui me distendait. A chaque descente, je pouvais sentir ses couilles gonflées contre mes fesses. J'accélérais ma chevauchée et là, rapidement mon plaisir arriva et me submergea totalement. Une jouissance forte et longue. Mes cris et mon plaisir provoquèrent l'éjaculation de mon amant. Je sentis de puissants jets gicler dans ma matrice.

Repue, je posais ma tête sur l'épaule de Vicente qui me caressa tendrement.
Je me décollais de mon amant et lui demanda de se redresser pour que je puisse déguster sa queue dont je n'avais encore eu le plaisir de prendre en bouche. Je recueillis sur ma langue le reste de sa crème et m'en délectais.

Hummm. Merci à mon Paul de me permettre ces petites fantaisies amoureuses.

Vicente retrouva de sa vigueur. Je me retournai et vint m'asseoir sur mon amant, de dos cette fois. Je posai mon anneau sur son gland et je me laissais descendre lentement, m'empalant sur sa queue gonflée encore davantage à l'idée de m'enculer.

La pénétration ne fut pas aussi facile qu'escomptée car il était gros le bougre, mais, petit à petit, mes fesses s'ouvrirent et j'accueillis sa queue entière dans mes entrailles. Cette fois, ce fut Vicente qui mena le rythme. Sa grosse queue me déchirait le cul. Je me pinçais le clito pour jouir pleinement de ma sodomie.
J'avais la chair de poule. Ma tête ballotait dans tous les sens. Vicente accroché à mes hanches me pilonnait comme un dément et je sentis sa jouissance venir car la taille de son gland augmenta encore juste avant que je sente ses giclées de foutre m'inonder les entrailles.


Je restais ainsi, pleinement enculée, pendant quelques minutes appuyée contre mon amant qui me caressait les seins.

Enfin, je faisais sortir m'objet de mon plaisir qui me laissait une impression de vide en moi. Une foultitude de sperme sortait de mes orifices pour envahir la piscine. Je tentais de recueillir la crème pour la porter à ma bouche…

J'embrassais fougueusement mon amant et je sortis de la piscine pour me doucher. A mon retour Vicente s'était déjà rhabillé. Il m'embrassa et me remercia pour le plaisir que je lui avais donné, puis disparut dans le couloir de l'hôtel.

Aussitôt, je fis partir un SMS à Paul pour lui dire de revenir. J'avais des choses à lui raconter…

A son arrivée, Paul se jeta sur moi pour m'embrasser. Il voulait tout savoir.

Il se déshabilla et s'allongea à côté de moi. Pendant que je décrivais mon aventure avec force détails, Paul me léchait mes orifices pour recueillir le sperme qui s'en écoulait encore.
Ensuite, il me pénétra et me baisa lentement avant de m'enculer. Il voulait baiser dans la crème de mon amant. Il rentrait et sortait tout excité. Il passait d'un orifice à l'autre avant de venir jouir dans ma gorge. Il m'inonda de son sperme. Je crus m'. Il avait giclé comme un damné excité par le récit de mon infidélité.
Sa crème était parfumée aux odeurs de mes deux amants, de ma cyprine et de mes intestins. Un mélange sucré-salé dont je ne me lasserais jamais.
Je m'allongeais repue dans les bras de mon mari. Quel plaisir d'être femme et surtout de se sentir vraiment femme. Je remerciais Paul en silence… et m'assoupis quelques minutes mes doigts glissés entre les cuisses.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!