Le Peintre Et Sa Muse Chapitre 9 Première Partie

Le peintre et sa muse
Chapitre 9 première partie
Week-end de charme

Nous avions décidé, pour nous échapper de la vie trépidante de tous les jours, de passer une fin de semaine à trois dans un petit hôtel de charme.
Il nous a semblé important de nous habi à vivre à trois, non seulement pendant quelques heures mais aussi sur une période un peu plus longue, par exemple sur un week-end, avant d'envisager plus tard, de partir pour 3 jours ou en vacances ensemble.
Et ce soir au lit, de retour de ce périple amoureux, sexuel dirais-je même, je me remémore ce que je viens de vivre durant 24 heures et je me refais ce beau séjour en mémoire.

C'est vrai, je constate de plus en plus que Bernard, mon homme de 70 ans et François, mon amant de 60 ans sont déjà très complices.
Ils m'avaient confié le soin de chercher un lieu agréable pour un court séjour à trois.

J'ai trouvé, un hôtel-restaurant, avec espaces de bien-être, au milieu d'une clairière, dans une grande forêt, à 10 km des premières habitations et assez éloigné de notre ville.

Nous sommes arrivés le samedi en fin de matinée, avons découvert la suite réservée, une suite avec deux chambres, et un espace de vie.
Pas de cuisine puisque l'hôtel faisait aussi restaurant.
Oui j'avais cherché deux chambres puisque nous étions trois et que je ne pouvais pas dire que je voulais une chambre avec un lit à trois !
Il faut que les apparences restent (encore) correctes.

A midi nous sommes allés déjeuner et avons vu les autres personnes qui séjournaient en ce lieu.
Peu de monde. A part nous trois, un autre couple jeune d'une vingtaine d'années et un homme seul à une table qui devait bien avoir 75 ans ou plus.
Les tenues étaient décontractées, comme pour des gens venus se détendre mais j'avoue que ma jupe courte et mon top cœur croisé ne passaient pas inaperçus.
Je sentais les regards intéressés des personnes présentes, sans vous parler des yeux de
Bernard et de François qui me "déshabillaient du regard".


J'en étais fière, je l'avoue.

Après le repas, le propriétaire des lieux, un homme dans la quarantaine, très grand et qui semblait musclé, nous a fait visiter l'espace détente : piscine, sauna, hammam et dans le prolongement une terrasse découverte avec des chaises longues permettant de prendre le soleil.
D’un regard circulaire j’ai découvert qu’un mur nous isolait de l'extérieur, seules quelques fenêtres de l'hôtel donnaient sur la terrasse.

Avant de nous quitter il nous précisa que le dîner aurait lieu à 20 heures, qu'il était à notre disposition pour tous renseignements complémentaires et que souvent les clients en profitaient aussi pour faire du naturisme.
A ces derniers mots, mon regard s'est éclairé et j'ai vu le regard concupiscant de mes deux mâles.

De retour dans notre suite j'ai demandé le programme de ce samedi et ce sont les hommes qui me l'ont proposé : d'abord piscine pour des exercices sportifs, puis bronzage avant le dîner.
Après le dîner, piscine, sauna, hammam.
Demain dimanche, retour chez nous après le petit déjeuner.
Et François s'est empressé d'ajouter " Mais tout cela "à poil".
Je ne pouvais pas refuser après ce que le propriétaire avait dit.
C'est donc avec uniquement une serviette sur les bras que nous sommes allés à la piscine.
Je ne pouvais m'empêcher de regarder mes deux hommes, de les comparer, ils étaient si différents.
Et nous avons fait des longueurs dans la piscine, nous nagions, nous étions seuls dans l'eau bien bonne.

Et il fallait en profiter pour bronzer, alors nous nous sommes installés sur les transats, moi entre mes deux chevaliers servants.
Sur le dos, sur le ventre, de côté. Nous profitions pleinement du soleil sans nous parler.

A un moment donné je me suis assise et j'ai eu tout le loisir de les regarder.
Ils avaient les yeux clos, étaient sur le dos.
Bernard avec son ventre rond, ses quelques poils sur la poitrine, sa toison autour de son sexe qui repose mollement.

François avec sa belle barbe, sa poitrine virile et sa toison épaisse de poils, des poils qui se retrouvent aussi sur ses bras, ses jambes mais pas au niveau de son sexe.
J'avoue aimer les hommes velus.
Son zizi est glabre d'où peut être aussi la taille impressionnant de son sexe, même au repos, long et gros. Super !
Je n'ai pas pu résister et j'ai tendu mon bras vers François pour le caresser.
Il a ouvert les yeux, a souri.
Je poursuis mon geste afin d’avoir en main un pieu dont mes doigts n'arrivent pas à faire le tour. Quel diamètre !
Il est doux et dur à la fois. Je coulisse lentement.
J’entreprends une lente masturbation, prenant plaisir à sentir palpiter les veines gonflées de ce bâton de chair.

Un léger grincement du côté de l’hôtel, rien n’a bougé au rez-de-chaussée. Je lève les yeux vers l’étage tout en continuant mon geste, une fenêtre a été ouverte. Par qui ? Je ne l'ai pas vu mais il (ou elle) a dû me voir.
Tant pis ou tant mieux pour ce voyeur, je me suis penchée et ma langue a titillé le gros gland décalotté.
François s'est mis à gémir, cela m'a encouragé.
Je prends son sexe en bouche, j'ai du mal vu son épaisseur mais il aime cela.
Le gland grossit encore.
Je le suce, ma langue tourne autour de cette barre de chair.
J'ai envie de continuer.
Je le regarde dans les yeux, il ne dit rien alors je vais au bout et tout à coup il dit "Attention je ne me retiens plus, je vais jouir, tu vas tout prendre." Et effectivement je prends tout son sperme en bouche, je sens ses giclées, 3, 4, 5....j'avale une partie, une autre coule autour de mes lèvres.
Je suis si heureuse de lui avoir donné du plaisir.
Et bien sûr les remarques de François ont réveillé mon Bernard qui a vite compris et qui ne se prive pas de faire son commentaire : "Alors Annie tu n'as pas eu assez à manger à midi, tu as pris un petit casse-croûte?"

Nous éclatons de rire les trois, je regarde ma montre, il est bientôt 19 heures.

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