Trio

Je t'en veux. Je ne te vois déjà pas beaucoup, je suis là pour le weekend, et tu invites cette pute à venir passer la nuit avec nous.
"Elle, tu peux la voir à tout moment!"
Je fais la moue: "promets-moi que ce n'est pas une idée foireuse pour me faire un plan à trois avec cette salope...!"
Je suis intimidée, embarrassée, je n'apprécie pas ça, c'est gênant, et je suis un peu jalouse.
Tu me serres contre toi, me câlines, tu embrasses ma joue et promets.
Harmonie arrive et, ne voulant pas agir comme une gourde, je me comporte agréablement, comme une copine.
Elle me regarde d'une manière étrange. Elle se méfie. Pour détendre l'atmosphère, nous parlons et fumons.
Finalement, nous regardons tous les trois un film, allongés sur ton futon, toi entre nous deux.
Puis, tu t'endors au beau milieu du film. Harmonie et moi, nous regardons le film jusqu'au bout.
Après, elle me regarde comme si elle souhaitait me voir partir. Je me penche pour éteindre la télé, lui dis bonsoir et me retourne.
Dès que je me couche, tu enroules ton bras autour de moi et je me blottis contre toi.
Je me détends, je suis bien contre ton corps chaud qui me réconforte. Je m'endors en souriant.
Quelques heures plus tard, tu me réveilles en me secouant doucement. Je suis un peu désorientée, pleine de sommeil:
"Qu'est-ce qui se passe? Quelque chose ne va pas?"
Je me retourne pour te regarder, mon esprit embrumé cherchant à remettre les choses en place, car je perçois des bruits étranges.
Tu es allongé sur le dos et Harmonie est agenouillée entre tes jambes écartées.
De ses mains réunies et de sa bouche pulpeuse, elle s'occupe de ta bite. Je lève les yeux vers toi en secouant la tête, groggy.
Tu me demandes: "Viens ici, petite!"
Je ne suis pas sûre d'être prête pour ça, je suis trop craintive et un peu dégoûtée par les bruits de succion de sa bouche.
"Non chéri, s'il te plaît, je suis si fatiguée.

.. Je ne peux pas, s'il te plaît, pas maintenant... Laisse-moi dormir."
Mais tu insistes, tu m'attires contre toi, me presses, me bouscules, pour le caler contre toi, la tête posée sur ta poitrine.
Tu insistes pour que je la regarde avaler ta grosse bite. Tu commentes, tu la complimentes, tu m'incites à en prendre de la graine.
Elle lève les yeux pendant une seconde, me dévisage, puis referme les yeux et savoure cette bite qui la fait baver.
Elle oriente sa tête de part et d'autre en pompant sur ta longueur. Elle crache, bave, suce, lèche, cette chienne lubrique!
Ton bras enroulé autour de moi me serre contre toi. Tu sais ce que tu fais. Tu sais m'émouvoir, me dégeler.
Ta main explore lentement mon corps, tes doigts cherchent mes zones érogènes, tu me rend folle de désir.
Je commence à mouiller, mes hanches ondulent involontairement. La passion d'Harmonie pour ta bite me fascine.
Je soupire lorsque ta main presse mon sein, lorsque tes doigts massent mon mamelon pour qu'il durcisse.
Tout cela en regardant Harmonie s'exciter sur ta queue, s'efforçant de la faire disparaître totalement dans sa gorge profonde.
De ta main libre, tu saisis mon menton pour me forcer à te regarder dans les yeux.
Je te regarde, les yeux suppliants, quémandant ta clémence: "Tu avais promis", murmurais-je, bouleversée par mon désir.
"Je sais, ce n'était pas prévu, je me suis réveillé quand elle a commencé à me tripoter, et maintenant je vous veux toutes les deux"
Tu me caresses les cheveux, la nuque, puis derrière mon oreille: "Embrasse-moi."
C'est un ordre, pas une prière, la voix est rauque, le ton est ferme, ta main saisit ma tignasse, tu approches ta bouche de la mienne.
Je te tends mes lèvres, mes seins sont écrasés contre toi, ta bouche s'empare de moi avec avidité, je me soumets à ton désir charnel.
Ta main agrippe mon cul pour me serrer contre toi, tes doigts s'insèrent entre mes fesses, j'écarte les jambes pour que ma chatte prenne appui sur ta cuisse musclée.
Je suis en place, j'ai faim de toi, mon ventre bouillonne de désir, le manque de sexe me fait perdre la tête, je suis à toi maintenant, tu as gagné, je suis prête à faire tout ce que tu voudras.
Quel effet cela te fait d'avoir deux filles à ta disposition, redoublant d'ardeur pour te plaire?
L'une amoureuse, langoureuse et lascive, qui frotte sa chatte sur ta cuisse en suçant ta langue.
L'autre qui te suce la bite comme une machine à traire, haletante et gémissante, experte avec sa gorge profonde.
Tu t'éloignes, tu cales ta tête sur les coussins, tu lâches mes cheveux, tu m'offres tes doigts à sucer. Je me soumets à ton désir.
Tu retires tes doigts en souriant, triomphant, sachant que tu es vainqueur, que tu peux désormais m'utiliser comme tu le veux.
"Va l'aider!" L'ordre a claqué sèchement, accompagné d'un coup de menton en direction d'Harmonie.
Impossible de refuser, je te tends mes lèvres, quémandant un baiser pour me donner un peu de courage.
Puis je me glisse à côté d'elle, intimidée par sa performance. J'ai peur de te décevoir, de ne pas être à la hauteur.
Elle me regarde, retire sa bouche de ta bite et m'adresse un sourire d'encouragement en se déplaçant.
Elle chevauche maintenant ton autre cuisse et frotte elle aussi sa chatte contre toi.
Elle tient ta bite à la base et me l'offre. Je lève les yeux vers toi en prenant ta queue en bouche, l'enfonçant autant que je peux.
Suçant énergiquement, je tire la langue pour essayer d'atteindre tes bourses, mais j'arrive juste à lécher la main d'Harmonie.
J'essaye de faire un meilleur travail qu'elle, pour avoir ta préférence, pour te plaire, mon chéri.
Vautré sur tes coussins, comme un pacha, tu observes tes deux femelles rivaliser de lascivité pour te séduire.
Les mains croisées derrière la nuque, avec ce sourire sexy qui me fait fondre, tu attends sans impatience que l'on se dévergonde encore plus. Elle te masse les couilles pendant que je m'étouffe sur ta bite, trop grosse et trop longue pour moi.

Je me retire, vaincue, saisit la base de ta bite, lui tends le monstre, qu'elle englouti d'une seule plongée.
Je serre fermement la base de ta bite pour t'empêcher de venir trop vite, maintenant que la compétition a commencé.
Je me sens l'âme compétitive, la course est un peu plus animée maintenant. Nous dévorons ta bite à tour de rôle, je passe ma main sous la sienne en frottant ma chatte sur ton genou pour me donner plus d'entrain.
"Je veux voir vos seins, sortez vos seins!" l'exigence est impérative et n'accepte aucune forme de discussion. On se redresse en riant. Nous passons notre tee-shirt par-dessus notre tête et ôtons notre soutien-gorge, puis on se jette à nouveau sur ta bite tendue.
J'ai des seins ronds, un peu plus gros que ceux d'Harmonie. Les siens sont plus pointus, un peu en forme de poire.
On se repasse ta bite, à toi, à moi, on rivalise de lubricité, quémandant ton affection.
Mais toi, tu tends les mains pour saisir à chacune un mamelon et tirer fort dessus.
"À mon avis, c'est Claire qui a les plus gros seins!" Harmonie a ta bite dans sa bouche alors elle ne peut pas répondre.
Après quelques claques, d'abord sur les seins d'Harmonie, puis sur les miens, tu donnes de nouvelles instructions:
"Claire, prends ma bite entre tes seins. Harmonie, prends la lampe torche et viens me présenter ton cul."
Elle tend le bras et att une grande lampe torche noire.
"Ta culotte!"
Elle ôte sa culotte rapidement, te tend la lampe de poche puis s'accroupit au-dessus de toi, te présentant le panorama de ses orifices. Pendant qu'elle s'installe, je m'agenouille entre tes jambes et je cale ton sexe entre mes seins, crachant abondamment pour le rendre humide et brillant de salive, afin de faciliter le glissement.
Je saisis mes seins à pleines mains pour te branler entre eux, en léchant ta bite chaque fois qu'elle sort de mon décolleté.
Tu plonges tes doigts dans la chatte d'Harmonie, manœuvrant énergiquement pendant qu'elle gémit sur un mode aigu.

Tu insères deux doigts, puis trois, puis quatre et tu la masturbes pendant un moment.
Ses jus coulent sur ta main, alors tu te retires et tu me présentes tes doigts à lécher. Je m'exécute immédiatement.
Tu me tends la lampe torche et me demandes de cracher dessus, puis tu la présentes à l'entrée de sa chatte.
C'est énorme. Plus gros qu'un gode. Plus gros qu'une bite. Elle a l'air un peu inquiète mais tu t'en fous.
Elle ne se rebelle pas, ne fait rien pour t'empêcher, elle a comprit qu'elle devait se soumettre.
Je continue de sucer et de branler ta bite en regardant la grande lampe torche noire écarter les lèvres de sa chatte.
Tu baisses le regard, tu me vois les yeux écarquillés, regardant la lampe torche distendre la chatte d'Harmonie.
Tu me souris: "Chevauche moi, petite." Je me relève pour ôter ma culotte que je jette par-terre.
Je me place au-dessus de toi, mes genoux de chaque côté de tes hanches et j'aligne ma chatte sur ta queue.
Je suis trempée, j'ai hâte de te sentir à l'intérieur de moi, m'envahir, m'élargir.
Quand je m'enfonce sur ta grosse bite, je ferme les yeux et laisse échapper un soupir de satisfaction en sentant les parois de ma chatte se dilater autour de toi.
Je me sens pleine à craquer, remplie de ta chair, raide et douce à la fois, c'est ma sensation préférée, la pénétration, d'un coup, jusqu'au fond.
J'ouvre les yeux pour croiser ton regard, et je commence à te chevaucher, les mains sur ton abdomen, ondulant des hanches, reculant, avançant, me soulevant, puis redescendant, exécutant cette chorégraphie millénaire du coït.
Harmonie nous observe, la lampe torche enfoncée seulement de quelques centimètres à l'intérieur du vagin.
Tu retournes t'occuper d'elle en enfonçant la lampe torche avec plus de vigueur, sans te soucier de rien d'autre que de la baiser.
Elle pousse un cri et se soulève un peu, surprise par la sensation, essayant d'échapper à l'intrusion douloureuse.
Mais tu la maintiens fermement et tu augmentes le rythme, tu la martèles, poussant de plus en plus loin la pénétration.
Elle crie, un mélange de douleur et de peur, elle essaie de s'échapper, de te ralentir ou de te bloquer, mais tu es plus fort qu'elle, tu la maîtrises et tu la baises durement.
Je sais que tu aimes ça, faire souffrir les filles, en distendant leur chatte avec des objets divers, tout ce qui te tombe sous la main.
Tu as essayé avec moi, mais tu n'es pas assez patient, je ne peux pas prendre des gros objets comme tu l'aurais voulu, des bouteilles de champagne ou autre. Il faut beaucoup de travail pour que je m'élargisse, ça te prends trop de temps, tu perds patience.
Je peux voir combien tu apprécies de la baiser cruellement et je suis contente d'échapper à ce traitement.
Je continue de te baiser voluptueusement, oscillant du bassin, secouant mes hanches, ruisselante de désir.
Je regarde craintivement le tube noir géant qui plonge dans la chatte d'Harmonie.
Elle essaie de te bloquer la main mais tu la claques violemment sur les fesses.
Sa poitrine s'est soulevée, étouffant son cri, elle a fermé ses yeux, une larme a perlé, et elle a cédé devant ta volonté.
Elle est trop proche de jouir, maintenant, elle n'a plus la force de se rebeller, elle est vaincue.
Tout à coup, elle pousse un cri et un torrent de liquide ruisselle sur la lampe torche, que tu ôtes de sa chatte.
En la maintenant toujours fermement, tu la regardes gicler comme une lance à incendie.
Je suis bouche bée, je n'avais jamais rien vu de semblable auparavant. Tu te moques de moi.
"C'est ça que je veux te voir faire" dis-tu avec un sourire narquois.
Tu enfonces la lampe de poche en elle, et elle commence à protester, mais tu lui dis de rester comme ça en nous regardant baiser.
Tu t'allonges de nouveau à plat dos, tu saisis mes hanches et bandes tes abdominaux, je sens ta queue bondir en moi et je me rends compte à ce moment-là que j'avais cessé de bouger. J'étais simplement assise sur toi, ta bite ancrée en moi, en train de regarder jaillir la source d'Harmonie, ma chatte se contractant d'excitation devant ce spectacle extraordinaire.
Je m'appuie sur tes pectoraux pour te chevaucher aisément, tu prends un mamelon dans ta bouche et tu le mords, je pousse un gémissement et j'accélère le mouvement. Je me sens si torride après t'avoir regardé martyriser Harmonie.
Tu tends ta main, empoignant ma gorge, serrant énergiquement en grondant: "Étouffe-toi!"
Ta main exerce une pression sur ma trachée qui m'empêche de respirer pendant que nous baisons.
Après une minute, tu m'arrêtes: "Lève-toi!" À contrecœur, je m'allonge à côté d'Harmonie.
Elle se détend en jouant avec son clitoris et en nous regardant, la grande torche noire toujours plantée dans sa chatte.
Tu t'installes entre mes jambes écartées. Tu soulèves mes jambes que tu poses sur tes épaules et tu plonges ta bite en moi.
Je gémis et je te supplie de me baiser fort. Je reçois ce que je demande, mon corps tremble à chaque impact, tes bras emprisonnent mes jambes et tu enserres ma gorge pour m' pendant que tes violents coups de rein défoncent ma chatte.
Je m'agrippe à tes bras, ça ne me dérange pas d'être étouffée, mais je veux être sûre de pouvoir te le faire savoir quand ce sera trop.
Je soulève mon bassin à ta rencontre pour répondre à tes envies et profiter au mieux de ta merveilleuse bite.
J'ai presque plus d'air, quelques points noirs apparaissent dans mon champ de vision, alors je tape sur ton bras.
J'ai vraiment besoin d'air maintenant, mais tu ne ralentis pas, je tape un peu plus fort, encore quelques secondes, tu me lâches et tu me gifles violemment le visage.
Je t'aime et je tends mes lèvres pour un baiser. Je suis pliée en deux, ta langue dans ma bouche et ton sexe dans ma chatte.
J'essaie de reprendre mon souffle et tu ralentis ton mouvement.
Harmonie se frotte le clitoris rageusement en nous regardant, la lampe torche encore insérée en elle.
"Viens manger la chatte de Claire. Non, garde-çà dans ta chatte!" Le ton est ferme. C'est un ordre, pas une demande.
Harmonie obéit pendant que tu te retires lentement. Elle prend ta place maladroitement entre mes cuisses.
Elle maintient difficilement la lampe torche en place. Elle semble souffrir, c'est trop gros.
Tu changes d'avis pendant qu'elle s'installe. Tu atts sa tignasse et guide sa bouche vers ta bite.
Elle te lèche le gland, goûte ma mouille déposée sur ta bite, puis commence à te prendre en bouche.
Tes deux mains se posent sur sa tête, tu fermes les yeux, et tu baises sa bouche à grands coups de reins.
Je suis restée sur le dos, les jambes écartées, et je me branle en te regardant brutaliser Harmonie.
J'adore te regarder quand tu me fais l'amour, être votre spectatrice est si nouveau que cela m'excite vraiment.
Lorsque tu ouvres les yeux, tu me vois frotter mon clitoris en vous regardant.
Ton sourire jubilatoire me dit: "je te l'avais bien dit". Je comprends que tu avais tout planifié depuis le début.
Tu repousses Harmonie et lui ordonnes de me manger la chatte.
La lampe torche s'est allumée dans sa chatte, lorsqu'elle s'agenouille entre mes jambes, elle éclaire la chambre.
Tu calottes violemment sa tête pour qu'elle se presse à me lécher. Je n'avais jamais été gouinée par une fille auparavant.
Elle commence délicatement, sa langue se déplaçant lentement dans ma fente.
Je tripote mes mamelons pendant qu'elle enfonce deux doigts en moi, les enroulant l'un avec l'autre,
Elle plonge ses doigts en moi, pousse, tire, l'effet est juste incroyable.
Je soulève mon bassin et je m'offre à ses caresses, troublée par son savoir-faire.
Elle lèche, suce et mordille mon clitoris, tout en faisant glisser ses doigts dans ma chatte humide.
Tu te déplaces derrière elle, et tu saisis la lampe torche qui dépasse.
Tu la tiens presque immobile, les légers mouvements qu'elle fait en me léchant et en me doigtant l'obligent à se faire foutre dessus.
De ta main libre, tu caresses ses fesses à tour de rôle. Puis ta main gifle cruellement son cul.
Tu alternes douceur et violence, caresse et claque. Elle halète et gémit dans ma chatte.
Le rythme des claques s'accélère, la force de l'impact aussi. Ses fesses deviennent rouges sous la violence de l'assaut.
Brusquement, tu retires la lampe torche et tu mets ta bite à sa place.
Sous ta poussée, elle bascule en avant, son visage encastré dans ma chatte, et tu commences à la baiser.
Tu aimes cette position, cette sensation de dominer la fille, cette chatte offerte que tu martèles fougueusement.
Je peux voir tes doigts s'enfoncer dans son cul pendant que tu la baises. Harmonie geint et gémit maintenant.
J'ai posé mes deux mains sur sa tête, mes doigts sont agrippés dans ses longs cheveux, je plaque son visage sur ma chatte.
Je frotte ma chatte contre son visage, elle a trois doigts en moi et je vais jouir bientôt.
Je te regarde accroupi derrière elle, tu la baises avec détermination, torse nu, muscles bandés, beau comme un dieu grec.
Ma bouche articule: "Je t'aime, mon chéri!"
Oh! Ce sourire vainqueur, cet air dominant et prédateur, une violente poussée fait gémir Harmonie et ta bouche murmure:
"Moi aussi." Cela me conduit par-dessus bord, m'avouer ton amour en enfonçant ton sexe dans celui de cette fille.
C'est tellement sale d'utiliser cette fille comme un jouet sexuel pour notre plaisir, pour rajouter du piment à nos ébats.
Je jouis bruyamment en soulevant mes fesses et en pressant son visage sur ma chatte pendant que mon corps tremble.
Elle continue de me sucer, ses doigts s'agitent en moi, salope et soumise.
Je me calme, je me détends, je relâche sa tête, j'allonge mes jambes et, dans une sorte de brume, je te regarde la baiser.
Elle continue de me lécher, de boire mon jus, mais sa main libre branle son propre clitoris.
Ta baise devient saccadée, erratique, quelques coups de plus, tu te recules et tu nous dictes: "À genoux!"
Nous sautons du lit d'un bel ensemble et nous nous agenouillons sur le sol devant toi, bouche ouverte et langue pendante.
Nous sommes dans l'attente de ton nectar divin, ton liquide de vie.
J'adore te regarder jouir, je suis fière et heureuse de savoir que j'ai contribué à t'amener vers ton plaisir.
C'est tellement beau quand tu éjacules, ces gouttelettes qui traversent l'espace, c'est un instant d'éternité.
Tu as résisté si longtemps ce soir, tu as magnifiquement baisé ces deux filles agenouillées devant toi, attendant ton sperme.
Quelques instants plus tard, nous recevons notre récompense, ces jets de sperme qui frappent nos visages, nos seins.
En riant, nous nous nettoyons mutuellement, l'une léchant l'autre.
Tu t'effondres sur le lit et nous nous précipitons pour te nettoyer, en léchant ta bite en détumescence.
Puis nous nous embrassons à pleine bouche, un long baiser langoureux et profond au goût de sperme.
Quand nous avons fini, Harmonie s'allonge entre tes jambes pour te lécher amoureusement les couilles.
Je me blottis au creux de ton épaule, tu m'enlaces, je suis bien contre toi, et là tu dis:
"Harmonie avait raison. Elle m'avait assuré que tu étais assez salope pour un plan à trois, mais j'avais du mal à la croire."

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