Médecin Remplaçant Partie 6: J'Ai Finalement Craqué

Désolé pour l'attente, mais je pense que ce nouveau chapitre saura combler vos désirs...
Encore une fois, n'hésitez pas à me faire part de vos retours! Bonne lecture

Je remonte en toute hâte les bretelles de ma combinaison, ne prenant pas le soin de remettre mon body en place. Je suis tordu dans une position étrange lorsque Nemanja fait irruption dans la pièce.
— J’ai oublié mon portable, lance-t-il, avant de réaliser dans quelle curieuse position je me trouve. Qu’est-ce que tu fais ?
— Euh, rien, je… j’ai fait tomber mon stylo, dis-je tentant de cacher la honte qui m’habite. Tiens ton…ton portable était resté sur mon bureau.
Je lui tend l’objet en question et le regarde sortir, le regard pensif. Alors que mon esprit est encore tout embrouillé par cette situation, je sens qu’en bas, elle est plus excitée que jamais de ce qui vient de se produire, et trempe le bas de mon body. Cette fois, je m’assure par la fenêtre ouverte que Nemanja est bien parti courir avant de me remettre à mon petit plaisir solitaire. Mais décidément, je ne peux pas être tranquille, et mon téléphone sonne. Alexandre ! Qu’est-ce qu’il me veut encore ? Je décroche.
— Oui ?
— Salut bébé, dit-il. Je passais dans le coin et j’aurais pensé que tu voudrais déjeuner avec moi.
— Euh.. oui, d’accord, je descends, dans ce cas.
Je prends mon sac à main et laisse ma veste au bureau, la chaleur extérieure étant désormais à son maximum. Alexandre m’attend en bas de l’immeuble, et son regard reste perdu de longues secondes dans mon décolleté avant qu’il ne se décide finalement à me regarder dans les yeux et à m’embrasser.
— Tu es magnifique ! me dit-il.
— Merci, allons-y.
Alors que nous marchons côte à côte dans la rue, je sens le regard des hommes se retourner sur mon passage. Jetant un regard en coin vers Alexandre, je l’observe dévisager les passants qui nous croisent en sens inverse, bombant le torse telle un coq fier de sa prise.

De mon côté, je prends plaisir à aguicher ces messieurs, leur jetant des regards de braise et me mordillant la lèvre, accentuant volontairement mon déhanché lorsqu’ils nous dépassent, afin de leur faire profiter de la vue de mes formes généreuses. Le déjeuner se déroule ensuite tranquillement, puis Alexandre me propose de me raccompagner au cabinet. Au moment de sortir, il me fait remarquer que la fente dans le dos de ma combinaison descend vraiment très bas, découvrant le haut de la culotte du body et la naissance de mes fesses. Je hausse les épaules, insensible à sa remarque. Cela l’excite encore plus et il décide de monter avec moi pour me baiser sauvagement dans le cabinet avant que Nemanja ne rentre. Estimant que sa punition matinale, qui est aussi la mienne, a assez durée, j’accepte sa proposition. Dans l’ascenseur, il se met derrière moi et commence à me pétrir les seins tandis que je sens son sexe tendu se presser contre le tissu qui recouvre mes fesses. Je me laisse aller à ses caresses et penche la tête en arrière, exposant mon cou à ses baisers. Nous arrivons à l’étage et je glisse ma clef dans la serrure, alors qu’Alexandre tente lui aussi de forcer l’entrée de mon intimité, d’un doigt glissé dans l’ouverture de ma combinaison. Dans l’entrée, face à mon bureau, Nemanja se tient devant nous, dans ses habits trempés de sueur. Pour notre petite partie de jambes en l’air, cela semble raté.
— Bonjour, dit-il en nous voyant entrer.
— Nemanja, je te présente Alexandre, dis-je, oubliant que les deux hommes se sont déjà vus et ont même déjeuné ensemble.
— Son copain, précise Alexandre.
— Son patron, réponds Nemanja.
Étrangement, cet échange profondément machiste et orgueilleux entre les deux hommes m’excite au plus haut point et je reprends d’une voix suraiguë qui ne m’est pas du tout naturelle.
— Bon, merci Alex. Je vais retourner bosser, maintenant.
Je sens le regard déçu de mon copain qui vient de voir disparaître en un instant tous ses espoirs de luxure.

— A ce soir, me dit-il. A ce propos, Nemanja pourrait nous rejoindre pour boire un verre, qu’en penses-tu ?
— Euh… c’est à dire que… je pense qu’il aura autre chose à faire, enfin, c’est que…
— Avec plaisir, répondit Nemanja avec un regard malicieux dans ma direction. Je n’avais justement rien de prévu, ce soir. C’est avec joie que je me joindrais à vous.
— Dans ce cas, à ce soir, dit Alexandre en fermant la porte.
Je me retrouve désormais seule avec Nemanja, qui décide d’aller prendre sa douche. Comme la veille, il laisse la porte ostensiblement ouverte et je suis tentée d’aller le regarder discrètement enduire son torse musclé de savon. Mais je suis bien trop excitée et je sens que je ne vais pas arriver à me contrôler, alors je reste sagement à mon bureau et me concentre sur le travail qu’il me reste à faire. Nemanja sort de la douche quelques minutes plus tard en reboutonnant sa chemise qui s’humidifie dans les endroits qu’il n’a pas pris bien soin d’essuyer, me laissant le plaisir d’admirer son torse musclé et glabre. Je mordille nerveusement mon stylo en laissant mon regard parcourir son corps, avant qu’il ne me demande finalement si je souhaite partager un café avec lui. J’accepte et il se dirige vers la machine Nespresso située dans un coin de la pièce. Il fait couler deux expresso et reviens vers moi pour m’en offrir une tasse et s’asseoit sur mon bureau. De cette position, il me domine complètement et peut contempler à loisir mon décolleté plongeant qui révèle en filigrane le bonnet rouge écarlate de mon body sexy. Je le regarde par-dessus mes lunettes en soufflant sur mon café, lui montrant que je sais exactement ce qu’il regarde.
— Bon, je vais aller travailler, dit-il finalement en avalant le liquide brûlant d’une seule traite. Je te laisse à tes anciennes…occupations.

L’après-midi passe ainsi chacun de nous vaquant à ses affaires. Vers vingt heures, Nemanja raccompagne à la porte la dernière patiente tandis que je ramasses mes affaires, dépose sa blouse sur le porte-manteau, att ma veste et son trench, puis se tourne vers moi et m’invite à sortir.
Alors que je passe devant lui pour quitter le cabinet, il glisse sa main nonchalamment dans mon dos, ses doigts touchant à peine ma peau ce qui déclenche des décharges électriques dans tout mon corps jusque dans le bouton de mon clitoris. Son geste était pourtant banal, dénué de toute connotation sexuelle, mais je suis tellement excitée que je manque de défaillir. Je lui arrache presque des mains la veste en daim qu’il me tend et file appeler l’ascenseur, le laissant fermer la porte. Il me rejoint au moment où les portes de l’ascenseur s’ouvrent, et pose de nouveau sa main dans mon dos pour m’inviter à entrer. Plus bas, cette fois-ci, dans le creux de mes rein, et je dois me mordre la lèvre pour réprimer la vague de plaisir qui envahit mon corps. Je le soupçonne d’avoir fait exprès, ce coup-ci, s’étant rendu compte de l’effet qu’il m’avait fait quelques secondes plus tôt. Je regarde le plafond en me concentrant sur la lampe à LED qui nous maintient dans une semi-obscurité, afin d’éviter de penser au liquide qui coule de mon sexe trempé le long de ma cuisse et dont l’odeur montant à mes narines m’excite encore plus. La descente me paraît interminable. Nous sommes tous les deux, isolés dans cette minuscule cabine, et je n’ai qu’une envie, c’est de me pendre à son cou, de l’embrasser passionnément et de sentir ses larges mains calleuses fourrer mon corps tendu de désir. Au moment où les portes s’ouvrent finalement, je vois sa main droite glisser dans mon dos comme il vient de le faire pour m’accompagner vers la sortie, il la pose un peu plus bas encore, à la naissance de mes fesses, non plus contre ma peau mais contre la toile délicate de ma combinaison, et son auriculaire vient discrètement caresser l’interstice de ma prose ce qui a pour effet de titiller la lanière du string de mon body. Impossible de résister, je plie le genou en essayant de sortir et laisse échapper un soupir. Il me ratt in extremis par le bras et me relève en me plaquant contre lui, ses lèvres à deux centimètres des miennes.
J’ai le souffle coupé et je sens mes jambes trembler sous moi.
— Allons-y, dit-il en glissant dans mes cheveux un souffle de braise qui avive en moi la flamme du désir.
Je pars devant, mes jambes flageolant pendant quelques pas, puis met ma veste pour protéger mon dos des mains de Nemanja.
— Tu risques d’avoir chaud, avec cela, me dit-il.
J’ignore délibérément sa remarque et regrette aussitôt mon geste lorsque nous sortons dans l’atmosphère lourde et pesante de la ville. Nous marchons côte à côte, et comme ce matin et ce midi, je sens les regards des hommes qui nous croisent se tourner vers moi. A l’inverse d’Alexandre, Nemanja ne semble pas du tout gêné de leurs regards, et leur sourit au contraire de toutes ses dents, tandis que c’est moi qui me sent mal à l’aise devant leurs regards lubriques. Bizarrement, je me redresse, leur lance des regards noirs, et soigne ma démarche pour éviter de balancer outrageusement mon fessiers à leur vue. Je n’ai pas envie qu’ils profitent de la vue de mon corps, car secrètement, c’est lui seul que je veux, je veux l’avoir pour moi toute seule et lui être totalement dévouée. Je veux être sa chose, je veux qu’il me domine et qu’il fasse de moi ce qu’il veut. Je secoue la tête et tente de remettre mes idées au clair.
Nous arrivons finalement devant la porte de mon immeuble. Il me faut de nouveau subir la de l’exiguïté de l’ascenseur aux côtés de Nemanja. Il me laisse entrer la première et je me cale contre le mur du fond de la cabine, la température glacée du miroir rafraichissant mes ardeurs. Il se plante face à moi et me regarde pendant presque une minute avant de me demander si je compte appuyer sur le bouton de l’étage ou si je préfère le contempler. Je rougis et presse ledit bouton alors que l’appareil s’ébranle.
— Tu es très belle, me dit finalement Nemanja.
— Merci, répond-je.
Nous arrivons sur le palier de mon appartement, et je fouille dans mon sac pour en sortir les clefs. De l’autre côté de la porte, j’entends Alexandre qui s’active. Je me retourne vers Nemanja, hésitant à me jeter dès maintenant à son cou en sachant pertinemment qu’une fois la porte ouverte, je redeviendrais la sage et jolie copine d’Alexandre et que tout écart me sera interdit. J’ai l’impression qu’il pense la même chose que moi car je lis le même désir dans son regard. Finalement, j’écoute la voix de la raison et me résigne à ouvrir la porte. Alexandre m’attend dans une tenue des plus décontractée, un vieux jogging sale et un T-shirt de festival qu’il a dû acheter quand il avait dix-huit ans. Il est d’abord surpris à la vue de mon patron avant de se rappeler que c’était lui qui l’avait invité pas plus tard que ce midi.
— Ah, Nemanja, bienvenue chez nous. C’est un peu le bordel, je n’ai pas vraiment eu le temps de ranger. Je te fais visiter ?
— Euh… non, pas besoin, dis-je en me souvenant de mes dessous sexy étalés sur le lit.
— Mais si, allez, je lui fais faire le tour pendant que tu nous sers une coupe ? J’ai mis le Champagne au frigo.
Je laisse les hommes à leur visite et sors trois flutes, puis ouvres le champagne. Je m’installe dans le canapé, un verre à la main, tandis qu’ils reviennent de la chambre. Au regard que me lance Nemanja, je sais qu’il a apprécié la vue de mes sous-vêtements.
— Ah, voilà le champagne. Installe-toi dans le canapé à côté de ma petite femme, l’invite-t-il. Je vais me contenter du fauteuil.
— Je vais aller prendre une douche et enfiler quelque chose de plus… confortable, dis-je en me relevant.
— Mais non, reste ici, me répond Alexandre. Tu es très bien comme ça. J’adore cette tenue. Et puis, de là où je suis, j’ai une vue splendide sur ton décolleté.
Je lui lance un regard noir et me rassois. Je déteste lorsqu’il me parle comme ça. J’ai l’impression d’être un trophée de chasse qu’on montre à ses amis au retour d’un safari. Alors que je me rassois, je sens la main de Nemanja contre ma cuisse. Pendant que j’étais debout, il a posé sa main gauche sur le canapé, et je me suis rassise dessus sans faire exprès. Je le regarde alors et soulève ma fesse droite pour lui permettre de se dégager, mais au lieu de cela, il me tend son verre pour trinquer et caresse le dessous de ma cuisse d’un index provocateur. Je lui jette à son tour un regard noir mais ne peut réprimer le sourire qui monte à mes joues, grisée par ce qui se joue entre nous sous les yeux de mon copain.
Alexandre se lève alors et propose d’aller chercher des apéritifs à grignoter. Je fais signe à Nemanja de retirer sa main mais ce dernier me regarde en souriant et me susurre à l’oreille.
— Retire-la toi-même si elle te dérange.
J’hésite à m’exécuter, puis décide finalement de le laisser faire et de profiter de ses caresses subtiles.
— C’est bien ce que je pensais, me dit-il. J’adore ton parfum, ajoute-t-il.
Je n’ose pas lui dire que mon parfum est surtout mêlé à ma sueur et à l’odeur de ma cyprine qui n’a toujours pas séché entre mes cuisses, sans cesse alimentée par un flux continu venant de ma vulve tendue. Les lanières du body n’aident pas et stimulent à chaque mouvement les milliers de terminaisons nerveuses de mon sexe qui se répercutent en frissons dans tous mes viscères. Alexandre revient avec des belins et du saucisson tranché, souriant. Lorsque Nemanja se penche en avant pour se servir, il fait glisser sa main le long de ma cuisse et je manque de m’ avec mon champagne. La soirée passe ainsi, au gré des caresses de Nemanja sur ma cuisse que je lui rends en passant mes ongles dans l’intérieur de la sienne dès qu’Alexandre a le dos tourné, ce dernier étant encore une fois bien trop absorbé par les histoires qu’il racontait pour se douter de la scène qui se jouait devant lui. Vers minuit, il se lève finalement et décide d’aller se coucher.
— Bon, et bien dans ce cas, je vais y aller aussi, répondit Nemanja. J’ai une longue journée à venir, demain, avec les visites à domicile.
Il fait alors mine de se lever, et je le rassois, le plaquant contre le canapé d’une main autoritaire.
— Non, toi, tu restes, dis-je.
Devant le regard interloqué des deux hommes, je comprends que ma réaction a pu paraître un peu violente, mais mon excitation est telle que je n’ai pas pu me contrôler.
— Oui…enfin…nous n’avons pas fini notre conversation, et puis… ton verre est encore plein, dis-je en cherchant de trouver une excuse.
— Faites ce que vous voulez, moi, je vais me coucher. Au revoir, Nemanja, encore une fois, c’aura été un plaisir. Chérie, essaye de ne pas me réveiller en me rejoignant.
Il nous laisse ainsi tous les deux, en proie à la tension sexuelle extrême qui habite nos deux corps. Je me tournes légèrement de côté pour pouvoir regarder Nemanja dans les yeux. Son regard est si doux, si tendre, et en même temps si viril et inaccessible que je sens que je ne vais pas résister longtemps.
— J’aurais vraiment du prendre une douche, dis-je. Et puis, je suis toute serrée dans cette combinaison.
Voilà que l’alcool me fait dire n’importe quoi. Il doit me prendre pour qui, à l’aguicher comme ça avec mon copain dans la pièce à côté. Mais visiblement, il semble plutôt apprécier mon approche franche et directe, et il fait glisser le dos de sa main contre mon épaule nue, descendant le long de mon bras.
— Je trouve ta tenue magnifique. Je dois t’avouer quelque chose. Je n’ai pas arrêté de penser à toi au cabinet, toute la journée, et mon sexe étant tendu d’excitation.
Je ne peux éviter de regarder instinctivement son entrejambe et de jeter un œil sur la bosse de son pantalon. Je me mords machinalement la lèvre inférieure, me rappelant à quel point cela l’avait excité, l’autre jour, au restaurant.
— Arrête ça tout de suite, me dit-il. Tu sais à quel point ça m’excite !
— Oups, pardon, dis-je en la mordant un peu plus encore. C’est que… je ne peux pas m’empêcher de la regarder, dis-je en montrant du regard son entrejambe.
En disant cela, je croise mes doigts au-dessus de mon propre sexe, bras tendus, ce qui as pour effet de presser mes seins l’un contre l’autre, les faisant ressortir encore un peu plus.
— Bon, je vais y aller, dit-il en tentant de se lever. Je sens que si je reste, je vais faire une bêtise.
Je le retiens en plaçant mes deux mains sur ses épaules, et appui de tout mon poids pour le rasseoir dans le coussin moelleux du canapé. Continuant mon geste, je m’assied à califourchon sur lui, pressant ma vulve contre son sexe que je sens faire un sursaut sous le tissu épais du jean.
— Tu restes, j’ai dit. De quel genre de bêtises parlais-tu ?
Visiblement, il ne s’attendait pas à cela de ma part. Je l’entends respirer puissamment à quelques centimètres de mon visage, haletant et le souffle court.
— Écoutes, je ne peux pas résister. J’ai envie de te sauter dessus à chaque fois que je te vois, et puis, arrête, ton copain est juste là, dans la pièce à côté.
Il a beau dire, ses mains se sont posées sur mes fesses en disant cela et il les caresse tendrement.
— Il nous a dit de faire ce que l’on voulait, et j’ai horriblement envie de t’embrasser. En plus, tu en profites pour me toucher les fesses, dis-je en faisant un mouvement de bassin qui vient coincer son sexe encore un peu plus dans l’interstice trempé de mon entrejambe.
— Je suis désolé, dit-il en retirant ses mains, et en me regardant d’un air innocent. C’est que je ne savais pas où les mettre.
Je prends alors sa main gauche, et la porte délicatement à ma bouche. J’embrasse tendrement sa paume, puis ses doigts, avant de plonger son index dans ma bouche et de le sucer de mes lèvres pulpeuses.
— Ici, dis-je en plaquant sa main contre mon sein.
Il se met à pétrir activement mon sein et remonte son autre main qu’il pose sur ma hanche. De mon côté, je commence à faire des va-et-vient avec mon bassin pour sentir sa queue tendue contre mon sexe sur le point d’exploser. J’att ses cheveux dans mes doigts et tire sa tête en arrière pour exposer son visage. Je caresse sa barbe d’une main et plonge finalement mes lèvres vers les siennes, pour l’embrasser fougueusement. Nos lèvres fusionnent tandis que nos corps se rapprochent, puis nos langues s’enlacent et se délient tour à tour, dans une chorégraphie parfaite qui fait monter le désir en moi. Les pressions de Nemanja s’accentuent sur mon sein, il écarte le tissu de ma combinaison pour en exposer le téton qu’il pince délicatement, me provoquant des frissons de plaisir dans tout le corps. Je me cambre sous la douleur et penche ma tête en arrière. Il en profite pour plonger sa tête entre mes seins et sucer habilement mon autre sein, tandis que sa main droite s’est reportée sur mes fesses, qu’il serre avec force dans sa paume. Il la glisse ensuite dans l’ouverture de mon dos nu pour venir caresser la dentelle de mon body. Il passe doucement sur ma rondelle, ce qui me provoque un nouveau sursaut de surprise, pour atteindre la fente détrempée de mon vagin. Je me sens comme prisonnière dans ses bras, telle une poupée offerte à ses désirs, et il me manipule avec une force empreinte de douceur qui me fait tourner la tête. Le désir est tel que je manque de m’évanouir. Reprenant mes esprits, je décide de le plaquer contre le sofa. Je déboutonne sa chemise lentement, puis contemple son torse musclé et imberbe que je caresse de mes ongles. Il frissonne lui aussi sous mes caresses. Je me relève, descend du canapé, puis m’agenouilles devant lui, avant de défaire la ceinture de son pantalon. Je le fais glisser jusqu’à ses chevilles et recommence la même opération que sur son torse.
— Ne bouges pas, dis-je sur un ton autoritaire.
Je caresse alors l’intérieur de ses cuisses, le sentant se tortiller sous mes doigts mais n’osant pas bouger afin de respecter mon ordre. Je glisse alors mes doigts dans l’ouverture ample de son caleçon, et remonte le long de ses cuisses jusqu’à son sexe bandé. Je l’att et commence à le caresser sous le tissu du caleçon. Ne pouvant plus résister, je le déshabille complètement et empoigne son manche à pleine main. J’embrasse tendrement son gland au bout duquel brille déjà une goutte de pré-sperme, puis ouvre la bouche et commence à astiquer avec application son chibre turgescent. Ma main droite continue d’aller et venir à la base de son sexe tandis que ma main gauche malaxe ses bourses que je sens grossir sous mes caresses. Il ramasse mes cheveux qu’il att en un chignon grossier, et accompagne mes mouvements de tête en gémissant. Au moment où je le sens venir, il repousse violement ma tête en arrière, en tirant sur mes cheveux et me force à me relever.
— Assez ! dit-il, le souffle court.
Il entreprend alors de me déshabiller, faisant glisser les bretelles de ma combinaison le long de mes épaules, de mes bras, jusqu’à mes hanches, avant de la laisser tomber sur le sol. Je suis debout devant lui, simplement vêtue de mon body Victoria’s Secret et de mes chaussures à talons assorties. Il me contemple pendant de longues minutes, examinant chaque parcelle de ma peau nue, caressant chaque centimètre carré de mon corps, avant de dire simplement :
— Tu es sublime.
Je rougis et il me pousse sur le canapé, me forçant à m’allonger, pour venir se glisser entre mes jambes.
— NON, Arrête ! Je ne me suis pas douchée, dis-je.
J’utilise cette excuse pour ne pas qu’il voie mon clitoris érigé, et dont j’ai honte en voyant son corps parfait.
— Laisse toi faire, me répond-il, j’adore ton odeur. Tu es trempée.
En effet, je suis trempée, et il ne se prive pas pour glisser immédiatement sa langue dans mon sexe humide. Il en profite pour me pétrir les seins de ses mains, tandis que je me tortilles dans tous les sens pour échapper à son emprise. Il libère une main, vient replacer sa langue sur mon clitoris qu’il titille allègrement, et vient poser ses doigts à l’entrée de mon vagin. Il en glisse un, puis deux à l’intérieur de ma grotte, sa langue venant jouer avec plus d’insistance sur mon clitoris qui dresse fièrement ses trois centimètres de terminaisons nerveuses. Sans faire aucune remarque sur la taille anormale de cet appendice, Nemanja vient placer ses lèvres dessus, et commence à le sucer allègrement. Il l’aspire avec une telle force que j’ai l’impression que tout le sang de mon corps est dirigé vers cet organe. Sa main habile accentue sa pression sur mon point G, tandis que l’autre s’occupe toujours avec autant d’intensité de mon sein. Alors, je cède à l’orgasme, mon corps est traversé de vagues de plaisir, et je convulse de bonheur, me tordant dans des positions improbables, soumise à la volonté de Nemanja. C’est la deuxième fois que je jouis de la bouche d’un homme aujourd’hui, et mon sexe est encore plus avide d’être remplie par son membre viril.
— J’ai envie de sentir ta bite en moi, dis-je dans un soupir.
Il se redresse, et me tourne délicatement sur le flanc, puis s’agenouille à côté de moi pour s’insérer en moi par le côté. Aussitôt, mon périnée se contracte et mon vagin se serre autour de son sexe tendu. Je ne peux m’empêcher de réprimer un cri de plaisir. Il commence alors à faire des va-et-vient dans mon ventre, sa bite est tellement tendue que j’ai l’impression que c’est un véritable pieu qui me pénètre, et ma chatte est tellement réveillée que je perçoit même les reliefs des veines qui parcourent son pénis. Il me retourne et me met à quatre pattes contre le canapé afin de me prendre en levrette. Son sexe s’enfonce tellement profondément en moi que je jouis une seconde fois. Il me pose ensuite assise sur le canapé, les jambes écartées, et vient se positionner en face de moi, pour me pénétrer par de grands coups de reins, d’abord lents, puis de plus en plus rapides, de plus en plus profond. Mes soupirs se transforment en gémissements et mes gémissements en cris à mesure que son rythme s’accélère. Mon vagin se gonfle de sang et mon clitoris se tend un peu plus. Un nouveau coup de rein, et son membre viril vient chasser d’un coup tout ce sang d’une pression sur mon point G. Alors j’explose, un flot de liquide sort de ma chatte brulante et je hurle de joie. Il plaque sa main contre ma bouche tentant de contenir mes gémissements, avant de se vider dans mon ventre. J’ai l’impression que mon vagin ne pourra pas contenir l’énorme quantité de foutre qui sort de son sexe, en vagues interminables. Son orgasme se calme finalement et il vient s’allonger à côté de moi, nu dans le sofa, en me caressant le dos et la hanche de sa main calleuse. Après une telle décharge de plaisir, mes nerfs lâchent et je m’endors aussitôt. Dans un demi-sommeil, je sens les lourdes mains de Nemanja me porter et m’amener dans la chambre, pour me déposer dans mon lit. J’entends vaguement ses pas s’éloigner, je l’imagine ramasser ses affaires, et je m’endors complètement en entendant la porte claquer.

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