Médecin Remplaçant Partie 3 : Mme Corbois

L’après-midi, les patients s’enchainent, et Alexia, vexée, ne vient pas me rendre visite. A 15h40, elle fait entrer la personne rajoutée en urgence le matin même. C’est un de 10 ans, asthmatique connu, qui vient pour une dégradation récente de son état général. Il est accompagné de sa mère.
Lorsque je l’examine, sa respiration est saccadée, haletante, mais ses constantes sont stables. Je lui donne une bouffée de Ventoline qui calme la crise, puis je décide de réévaluer son traitement de base. Sa maman a l’air plutôt inquiète, et me demande comment elle peut s’occuper de lui quand il a ses crises. Je la rassure et lui donne la marche à suivre.
Mme Corbois est une femme d’un peu plus d’une quarantaine d’années, d’allure bourgeoise, avec son col Claudine et son tailleur Channel. Elle porte un grand manteau de fourrure noir. Ses longs cheveux auburn sont attachés en un chignon parfait qui lui donne un air sévère. Ses lèvres charnues sont recouvertes d’un rouge à lèvres carmin, et ses yeux sont surmontés d’un fard à paupières légèrement violacée qui donne une certaine profondeur à son regard. Ce côté bourgeoise coincée ne me rend pas indifférent, et le déjeuner avec Alexia m’a rendu tendu d’excitation, à tel point que je me surprend à imaginer cette femme nue dans mon cabinet. Aussitôt, mon sexe se dresse et vient former une bosse sous mon pantalon. Assis à mon bureau, mon érection est invisible, mais au moment de partir, je suis bien obligé de me lever pour les saluer et je vois le regard de la femme plonger vers mon entrejambe. Au lieu de se cacher, ce sacré farceur décide de grandir de plus belle, sous le regard attentif de Mme Corbois, qui lève les yeux vers moi en souriant, caresse affectueusement mon bras et prend congé en disant :
—Au revoir docteur, merci pour —elle jette un regard sur mon entrejambe— tout ! Et à très bientôt, j’espère ! Elle quitte la pièce en me faisant un dernier clin d’œil, faisant claquer ses talons sur le sol de mon cabinet.



Je congédie mon dernier patient à 18h15, et retrouve Alexia qui est au téléphone, en train de peaufiner mon planning de la semaine. J’adresse un clin d’œil à ma secrétaire et quitte le bureau. Elle me salue sur un ton glacial, ce qui me rappelle que j’ai surement été trop loin tout à l’heure, et que j’aurais dû profiter de son excitation tant que j’en avais encore la possibilité. Tant mieux. Le jeu en vaut la chandelle, et je me demande combien de temps elle me résistera. Quelque chose me dit que plus elle passera de temps avec cet abruti d’Alexandre, et plus son rôle de vierge effarouchée sera difficile à jouer avec moi.
Nous verrons, mais en attendant, je rentre chez moi, me fais réchauffer un reste de soupe au micro-ondes, et m’allonge sur mon lit, plongé dans mon téléphone.

Instinctivement, je vais sur Tinder et fait défiler les profils devant moi. Nouveau dans la ville, je suis curieux de voir ce que me réservent les Anneciennes. Je like quelques filles d’environs mon âge et plutôt mignonnes sur leurs photos de profil, je dois avouer que sur ce genre d’application, je ne suis pas du genre à lire les descriptions. Évidemment, aucun match. Je mange ma soupe en repensant à la scène du déjeuner. Aussitôt, mon compagnon d’en bas se réveille, au garde à vous. Je finis pas me glisser sous les draps et commence à regarder un porno sur internet. Évidemment, la fille est une secrétaire qui cherche une augmentation auprès de son patron. J’arrête la vidéo car je me met à penser à Alexia. Cette fille est vraiment sublime, ses seins, ses fesses, ses hanches. Ma main vient caresser mon sexe qui réagit aussitôt et se dresse vers le plafond, dur comme jamais. Je laisse mes penser vagabonder au rythme de ma main qui fait des allers-retours sur ma queue, et m’imagine à nouveau la scène du restaurant. Dans mon fantasme, Alexia fait tomber sa fourchette pour venir mettre dans sa bouche le sexe qu’elle caressait de son pied quelques secondes auparavant.
Sa tête bouge difficilement entre la table et mes cuisses, et lorsque mon sexe atteint sa taille maximale, elle se retrouve presque empalée dessus, et est obligée d’ouvrir sa gorge au maximum pour ne pas soulever la table avec sa tête. Alexandre continue sa discussion et me fait remarquer que je ne suis pas très attentif, puis il se tourne vers Alexia et lui demande ce qu’elle fabrique sous la table et si elle a retrouvé sa fourchette. Je me tourne vers lui et lui dit en souriant « désolé, mais ta femme est occupé à me sucer la bite, elle avale tout, même mes couilles, une vraie salope ! » Je m’imagine alors attr Alexia par les cheveux et la relever de force, pour que son copain la voie, la bouche dégoulinante de salive, son rimmel ayant coulé sur ses yeux.
J’arrête là mon fantasme car je sens que je suis sur le point de jouir, et je ne veux pas gâcher le plaisir en me vidant trop les couilles avant d’avoir revu ma secrétaire. Il est 22h30, Alexia doit être avec Alexandre. Machiavélique, je prends mon portable et envoie un message à Alexia : « Bonsoir Alexia, juste pour te dire que je pensais à toi et au restaurant de ce midi. J’aurais adoré que tu descende discrètement sous la table à l’insu de ton copain. Embrasse le pour moi. A demain. »
Satisfait, j’éteins mon téléphone portable et m’endors rapidement. Cette nuit-là, mes rêves ont été occupés en grande partie par Alexia, et son déhanché envoûtant, même si, parfois, la silhouette de Mme Corbois venait s’immiscer dans mes délires oniriques, créant une excitation ravageuse dans mon esprit.

Le lendemain matin, je me réveille en sursaut. Je regarde le réveil qui m’indique 8h15. J’ai 45 min pour me rendre au boulot. Je mets mon café à chauffer et prends la direction de ma douche. J’effectue rapidement le strict minimum avant d’aller bosser, m’habille, puis regarde mes mails en avalant deux énormes tartines de pain et de confiture. Mon téléphone ne donne pas de nouvelles d’Alexia, et j’angoisse un peu d’être allé trop loin avec elle.
Je mets mes affaires de sport dans mon sac et quitte la maison, direction le bureau.

J’arrive à 9h05, Alexia est déjà assise à son bureau. Elle porte un pull à col roulé sous sa tunique blanche. Avec la douceur qu’il fait encore à cette époque de l’année, elle doit crever de chaud, mais j’imagine qu’elle m’en veut encore pour hier. Prétendant avoir oublié l’épisode, je lui souris et lui demande comment elle va.
—Très bien, me répond-elle froidement. Vous êtes en retard. Deux patientes attendent déjà.
—Ah, on se vouvoie maintenant ? dis-je amusé. Dans ce cas, je serais ravi que vous fassiez entrer ma première patiente de la journée, ma très chère et charmante secrétaire.
Je vois un sourire se dessiner au coin de la bouche d’Alexia, qu’elle efface rapidement, reprenant son air sérieux, mais je comprends que ma phrase a eu son petit effet et que tout n’est pas perdu avec elle. Je mets ma blouse et m’installe à son bureau.
Je mets une capsule de Risretto dans ma machine à café, et l’odeur du café emplit la pièce, faisant frétiller mes narines. La première patiente entre.

Aussitôt, son air me dit quelque chose. Grande, les cheveux auburn, j’ai vraiment l’impression de l’avoir déjà vue quelque part. Son nom fait tilt dans ma mémoire : Mme Corbois. Ah oui, c’est la dame qui est venue hier avec son fils pour la crise d’asthme. Qu’est-ce qu’elle peut bien me vouloir aujourd’hui ?
—Bonjour, madame Corbois, Asseyez-vous, je vous en prie, comment va votre fils aujourd’hui ?
—Très bien, merci docteur, répond-elle en s’asseyant en face de moi. Je ne viens pas pour lui aujourd’hui… mais pour moi.
—D’accord, dites-moi tout. Ce faisant, je pianote sur l’ordinateur du Docteur Paule à la recherche du dossier médical de cette femme. 45 ans, un , femme au foyer, son père est décédé à 55 ans d’un infarctus et elle a été opérée d’un mélanome à 37 ans.
—Je voudrais que vous me retiriez mon stérilet, docteur.
Étonné, je me demande pourquoi à 45 ans, cette femme veut endurer les risques d’une grossesse, et je lui explique les risques d’un tel acte, tant pour elle que pour le fœtus.
Elle me dit bien comprendre cela mais insiste pour que je le fasse quand même.
—Dans ce cas, allez-vous installer sur la table, je prépare le matériel et j’arrive de suite.
Elle se lève, toujours dans son grand manteau de fourrure blanche, sûrement du vison ou de l’hermine, ses Louboutins claquant sur le sol à chaque pas. Elle se retourne vers moi et me demande :
—Je me déshabille, docteur ? En inclinant la tête vers moi et en me regardant avec un air de petite fille effarouchée.
—Oui, bien sûr, dis-je.
Elle fait tomber sa fourrure à ses pieds me dévoilant son corps quasiment nu dessous. Elle ne porte qu’un soutien-gorge en dentelle transparente qui laisse transparaître le cercle bruni de ses aréoles, et un tanga assorti qui galbe parfaitement ses fesses encore bien fermes et rebondies pour son âge. Décidément, la petite fille qui me regardait il y a quelques secondes n’est pas si effarouchée que cela. Elle fait glisser son tanga à ses pieds et vient s’installer, presque nue, sur ma table, glissant ses pieds dans les étriers, en position gynécologique.
Pendant ce temps, je prépare sur un chariot à roulette le matériel nécessaire pour réaliser l’acte médical, essayant au maximum de me concentrer sur ma tâche, évitant à tout prix de penser à cette femme qui m’excite énormément, assise dans une position plus que suggestive, en tenue d’Ève dans mon cabinet médical.
Je me place en face d’elle, la tête entre ses jambes écartées, ignorant son mont de Vénus taillé en un triangle parfait et j’introduis le spéculum à l’entrée de son vagin. Elle tressaille et se mord la lèvre au contact du métal glacé avec sa peau, la peau de ses avant-bras se couvrant de chair de poule sous l’érection de ses poils, et je devine malgré moi son clitoris qui gonfle instantanément. J’ouvre le spéculum et le bloque dans cette position afin de pouvoir explorer son antre. Avec ma lampe sur la tête, j’ai l’air d’un spéléologue pervers en route pour explorer une grotte humide, et la vérité n’est pas très loin d’y ressembler. Je vois au fond de son vagin le col de son utérus et les deux petit fils du stérilet qui dépassent. Je me saisis d’une pince gynécologique et la préviens que je vais retirer le dispositif intra-utérin.
—Non docteur, pas la pince, me dit-elle.
—Comment cela ? Dis-je, interloqué.
—Le docteur Paule n’utilisait pas la pince, ça cela me fait peur. La dernière fois qu’elle l’a enlevé, elle l’a fait à la main. Si vous pourriez faire pareil, docteur.
Je me remémore les mains du docteur Paule, qui doivent mesurer moins de la moitié des miennes, et je me demande bien comment je vais y arriver sans lui faire mal. Mais, bon j’enfile des gants en latex et me replace à l’entrée de son vagin.
—Excusez-moi docteur, mais vos gants ne sont pas en latex, si ?
—Si, pourquoi ?
—Parce que je suis allergique au latex. Mais allez-y à mains nues docteur, cela ne me dérange pas.
Obéissant, je retire le gant et plonge mon index et mon majeur à l’intérieur. Elle gémit.
La chatte de ma patiente est trempée, et mes doigts fouillent à l’intérieur, tentant d’attr les fils du stérilet. Je sens le col de son utérus à la pointe de mon majeur, mais je n’ai pas assez de liberté pour attr les fils entre mes doigt.
—Je suis désolé, Madame Corbois, mais je vais devoir rajouter un doigt, je n’ai pas assez de profondeur.
—Mmmm, répond-elle dans un soupir, mettez-y toute la main s’il le faut.
Je plonge ma main entière dans son antre. Même après un , je ne pensais pas qu’elle pourrait se dilater autant en si peu de temps, mais d’un autre côté, elle est si humide que ma main entre toute seule. Ma grande main emplit la totalité de son orifice, et je peux saisir les fils du stérilet. Je replie délicatement mes doigt pour faire venir l’instrument, qui glisse instantanément de l’utérus vers le vagin, et retire ma main progressivement.
A cet instant, ma main se retrouve brusquement coincée à l’intérieur. Son vagin s’est contracté et m’emprisonne avec une telle force qu’il m’est impossible de me retirer. Mme Corbois me regarde, impuissante ne pouvant contrôler les violentes contraction de son périnée. Je la regarde paniquer, et comprend qu’il n’y a qu’une seule chose à faire. Je lui dis :
—Détendez-vous, Mme Corbois. Regardez-moi. Je vais devoir détendre votre vagin pour pouvoir retirer ma main, d’accord ? Laissez-vous faire.
Elle me répond en murmurant son approbation, réprimant un gémissement de plaisir, ma main ainsi prisonnière faisant pression sur toutes les parois de son con humide.

Je pose ma main gauche encore libre sur son pubis, mes doigt caressent les poils rasés court de son triangle, et viennent titiller son clitoris turgescent. Elle réprime un soupir et son corps se tend au contact de ma peau sur la sienne, et me demande ce que je suis en train de faire. Je la rassure et lui assure que cela va détendre les muscles de son orifice pour me permettre de dégager ma main, et le stérilet par la même occasion. Mon majeur fait des mouvements de rotation sur le bouton rosé de ma patiente, et je sens dans mon autre main sa cavité s’imbiber de cyprine. Ma main est trempée, mais je sens l’étau se desserrer autour d’elle. Je bouge légèrement à l’intérieur, afin de mieux me positionner, et commence à exercer des pressions contre les parois de son vagin, un massage délicat de son intérieur pour le détendre progressivement et libérer ma main de sa prison féminine. Mme Corbois est très réactive, et ne peut réprimer des gémissements de plaisir. « continuez, docteur, je sens que ça vient, mmm oui allez, encore un peu » Ma main se dégage progressivement, mais mon poignet est bloqué par ses petites lèvres contractées. Mes doigt continuent leur action sur le bouton du clitoris, et je décide de sortir le grand jeu. Avec ma main droite, je caresse la paroi antérieur de son vagin, par de douces pressions au niveau de son point G, qui font gonfler instantanément celle-ci, et la paroi se rempli de sang qui afflue de toutes part. Ma patiente est au bord de l’extase, tous ses muscles sont contractés, elle tente de se retenir de gémir mais c’est de plus en plus difficile pour elle, et je la voie se mordre la lèvre au point d’y laisser la marque de ses incisives. Finalement, je fais un mouvement de poignet vers l’avant, et mes doigts appuient fortement sur le point G pour en chasser tout le sang d’un coup en même temps que ma main gauche accentue son emprise sur le clitoris. Elle explose dans un hurlement de jouissance, et se cambre sur la table, impuissante, son corps secoué par des vagues de plaisir incontrôlables, ses jambes se tordent et se contractent sous l’effet de l’orgasme, alors que ma main maintient la pression sur son point orgasmique, déchargeant à chaque battement de son cœur une vague de plaisir supplémentaire. La crise dure une vingtaine de secondes, puis le corps de ma patiente se relâche, se détend complètement. Elle a le souffle coupé, la respiration haletante, et je vois des larmes de sueur perler sur son front. Délicatement, je fais glisser ma main hors de son corps, serrant dans mon poing l’objet de ma convoitise, le précieux stérilet de cuivre qui luit encore des sécrétions humides de ma patiente.
—Voilà, Mme Corbois, j’ai retiré le dispositif. Vous pouvez vous rhabiller.
Je me tourne et me dirige vers le lavabo pour laver mes mains, comme si de rien était, prenant soin de cacher à la vue de ma patiente la tâche sombre qui s’étale sur mon jean.

Madame Corbois prend ses affaires, remet son tanga, att son manteau et vacille, ses jambes se dérobant sous elle sous l’effet de l’orgasme. Je la ratt dans mes bras avant qu’elle ne tombe sur le sol, la redresse, arrange la mèche de ses cheveux auburn derrière son oreille et lui souris, la remerciant pour la consultation.
La femme soutien mon regard et me sourit à son tour, tremblant encore de plaisir. Elle bégaye un « merci Docteur », et s’éloigne, son genou se dérobant une dernière fois avant qu’elle ne disparaisse par la porte de mon cabinet médical.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!