Collection Dominant - Dominé. Ma Déchéance (1/1)

Lorsque je commence mes aveux, je ne pensais jamais avoir à le faire moi qui toute ma vie ai fait attention à ne pas mettre un pied de travers.
Mariée à un homme influent de notre République depuis vingt ans, vous pouvez aisément penser que les sollicitations de dragueurs invétérés dans les milieux aisés où nous évoluons ont été légion.
J’ai connu mon mari au bal des débutantes et ce soir-là sa beauté m’a subjugué.
Denis n’était pas mon cavalier attitré mais celui de Julie, mon amie qui ne m’a jamais quitté.
Lorsque Denis entre deux danses est venu me dire qu’il souhaitait m’épouser cet homme beau mais hautain était le dernier à qui j’aurai confié ma vie.
Le lendemain midi alors que chez nous, nous étions encore tous couchés, il a réveillé la maisonnée pour demander un entretien à mon père.
J’étais loin de me douter que deux mois après Julie seraient le témoin de mon mariage.
Mariage qui a eu lieu à la mairie du 18e où mon mari est propriétaire d’un appartement de huit pièces sans compter les dépendances et au dernier étage plusieurs chambres de bonne.
C’est aux châteaux mon Royaume près de Chantilly que les invités à notre noce ont été invités à la fête.
Pour nous y rendre, je ne compte plus les Rolls-Royce et les Jaguars ou autres Mercedes qui suivaient notre traction avant de 1931.

Comme le veut la tradition vers minuit mon mari m’a enlevé pour me conduire dans une chambre pour me faire vivre ma nuit de noce.
Dès que nous sommes entrés, il a littéralement déchiré ma robe pour me mettre nue.
Il s’est lui-même dévêtu me présentant ses attributs masculins que je n’avais vu qu’en dessin dans mon dictionnaire.
Sans me demander mon avis, il a investi ma bouche sans prendre le temps de m’embrasser.
J’ai appris en quelques minutes le langage châtié qu’il me réservait.

- Suce salope, fait cela mieux que ta pute de mère.

Que voulait-il dire, ma maman que je chérie, celle qui m’a mise au monde et qui est un exemple pour moi comment pouvait-il dire qu’elle était une pute qui semblait ne pas savoir sucer ?
Ma maman, pas plus tard qu’hier m’avait dit qu’il fallait que je suive tous les conseils de mon mari qui semblait être un homme bien et qui à trente ans avait connu la vie.


Est-ce avec elle qu’il avait perdu son pucelage alors que cette nuit il avait comme but de me prendre le mien.
Pour bien suivre son conseil, je m’applique à faire entrer et sortir ce gros gland et à le sucer sur toute sa longueur.

- Tu fais cela bien, j’ai bien fait de t’épouser !
Maintenant je vais te prendre ta rosette, je préfère le cul à la chatte des filles même si ce sera la première fois que tu te feras enfiler.
Je finirai par là.

C’est comme cela que j’ai vécu ma première fois.
J’avais tiré le gros lot, il n’en avait rien à faire de moi.
J’ai très vite compris que ses parents souhaitaient un héritier mâle et qu’il fallait que leur fils trouve une gourde comme moi plutôt bien placée dans la hiérarchie du Botin mondain.
Dans un premier temps, il avait tablé sur Julie mais comme des bruits lui était parvenu après qu’il l’a invité au bal que son père avait fait une mauvaise affaire risquant de l’amener à la banque route.
Il a changé son fusil d’épaule et c’est moi qui ai tiré ce que je croyais le bon numéro.
Je me suis retrouvé sur le lit, lui derrière moi et trente secondes plus tard je me faisais enculer.
En quelques minutes je venais de passer d’oie blanche à belle salope.
Le plus beau c’est qu’après quelques minutes j’ai commencé à aimer qu’il me pilonne et je dois avouer que c’est moi qui en redemandais.
J’aurai dû suivre l’idée qu’il met venue et lui demander si ma mère se faisait aussi bien enculer que moi.
On peut comprendre qu’il est difficile en cinq minutes de déchirer vingt ans d’apprentissage de bonnes manières.
Il a continué son langage châtié, lorsqu’il m’a dit que j’avais un cul à recevoir sa bite et qu’avec la main, il m’a claqué les fesses.
Une vraie dégelée, moi qui n’ai jamais eu de châtiment corporel, je me demande pourquoi j’ai mérité cette fessée.
Lorsqu’il a éjaculé, je me suis senti souillé mais que pouvais-je faire ?
Satisfait il s’est couché et en quelques minutes je me suis senti frustré étant toujours pucelle.

Au matin, je me suis levée et je me suis approchée de la fenêtre non pas pour admirer le parc mais pour pleurer.
Tout mon univers s’écroulait, je devais boire le calice jusqu’à la lie lorsqu’il s’est réveillé et qu’il m’a demandé de venir m’emmancher sur sa verge pour moi-même déchirer mon hymen.

- Dépêche-toi, je n’ai pas que cela à faire, j’ai un rendez-vous au ministère dans deux heures qui va décider de mon avenir.

Je me suis approchée, me suis placée au-dessus de sa tige bien tendue me laissant tomber.
C’est la dernière fois pendant ses vingt ans que sa verge a été en moi.
À peine pénétré, il a éjaculé et neuf mois plus tard je lui donnais son héritier mâle.
Dans son appartement, nous faisons chambre à part et à l’extérieur il faut que je paraisse.
J’ai une armoire remplie de vêtements de haute couture ainsi qu’un placard avec plus de cent paires de chaussures qui me servent chaque fois qu’il a un repas important et qu’il faut qu’il soit vu avec sa femme.
Lorsqu’il me prévient que nous avons un cocktail, j’ai interdiction de mettre une robe déjà portée.
Je sais que les gens m’envient d’avoir un mari aussi prévenant et aux petits soins pour moi.
S’il savait que c’est avec mes doigts que je me donne du plaisir.
Ainsi qu’avec mes amies féminines et surtout Julie.
J’ai interdiction d’amener des hommes à la maison mais il me tolère les femmes.
Bref, je suis une belle femme mariée à un homme influent car mon mari a atteint le rang qu’il souhaitait obtenir dans son ministère.
Le problème, c’est que je suis frustrée de ne jamais connaître le plaisir avec un mâle.
Je connais beaucoup de choses sur les sexes féminins mais ma vie sexuelle s’arrête là.

C’est le jour du mariage de mon fils qui vient d’avoir vingt ans et qui épouse lui aussi une fille de la haute comme l’on dit que tout à basculer.
Trois jours avant j’ai reçu un SMS avec une photo de mon mari dans une position équivoque se faisant sucer par ma mère femme de plus de soixante ans.

L’auteur du SMS se réservait le droit de fournir à la presse des photos plus explicites si le jour du mariage, je ne venais pas sans culotte sous ma robe bleue.
Celui qui m’envoie ce message est bien renseigné car ma robe que je viens de choisir est bien bleue.
Celui qui m’envoie ces messages marche caché car je ne peux pas répondre.
Que faire, toute personne à ma place ne réfléchirait pas longtemps et enlèverait sa culotte pour éviter que notre famille ne tombe m’entraînant dans sa chute ?

Le jour de la noce j’entends le vibreur de mon portable démarrer lorsque nous sommes à la mairie.

- J’espère que tu as suivi notre demande sinon regarde la photo.

Là encore je vois nettement mon mari qui sodomise un homme d’une vingtaine d’années.
La noce se termine et nous arrivons au repas, sans que rien ne se produise.
Au moment du gâteau nouvel appel.

- Profite de ce qu'ils regardent tous le gâteau pour sortir sur la terrasse.
Lorsque tu seras au pied des marches, tourne-toi vers le jardin et soulève ta robe.
Avant regarde la photo.

Sur celle-là, Denis se fait lui-même sodomiser par le jeune garçon.
Je me lève, vais sur la terrasse, me place face au parc et je soulève ma jupe.
L’air du soir tombant me caresse la vulve et je regrette de ne pas avoir fait cela plus tôt.
Je reste dans cette position un bon moment pour que mes tortionnaires voient bien que je suis soumise et que je ne souhaite pas être entraîné dans la déchéance de mon mari.
Je rentre et le bal est ouvert par mon fils et sa femme.
Ce putain de portable vibre.

- Nouveau SMS.
Regarde comme tu es belle.

Sur la photo, on me voit en intégralité la robe relever montrant ma chatte poilue.
Le message se termine par ces mots.

- Descends aux toilettes sur une porte, il y a marqué « Privé ».
Tu entres sinon ta photo va être diffusée dans le tous Paris mondains.


Je tombe encore plus bas car c’est moi qui me suis mise moi-même en scène pour que la personne qui m’envoie les messages prenne du poids sur moi.
Que dois-je faire, y aller ou risquer qu’un grand nombre de portables sonne ou vibre montrant la mère du marié la chatte à l’air sur la terrasse du restaurant où nous nous trouvons ?
Je m’excuse auprès de mon mari qui souhaitait m’exhiber sur la piste de danse et je descends.
Comme il m’est demandé, je frappe à la porte marquée privée et j’entre.

- Entre, viens profiter de mon pieu.

Assis sur une chaise, un grand homme noir se masturbe et me présente une verge démesurée.

- Mets-toi à poil que j’admire ton corps, tu sembles bien conservé pour ton âge.

Un mufle mais un mufle bien monté.
Un mufle auquel je ne peux rien refuser.
Tout se déchire dans ma tête je n’ai qu’une hâte, c’est d’avoir en moi cette barre qui m’a été refusée depuis si longtemps.
Lorsque je m’assoie dessus, il me revient à l’esprit ma nuit de noces où c’est dans la même position que j’ai perdu mon pucelage.
Je ne souhaite pas revivre le même moment alors je prends l’initiative de le faire relever, de mettre un pied sur la chaise et de le faire placer derrière moi pour qu’il me prenne dans cette position.
Il me triture les seins et lorsqu’il me pénètre, je sens ma chatte couler de plaisir le long de ma jambe.
Je m’aperçois que je suis conne d’avoir voulu rester fidèle a notre rang alors qu’il y a vingt ans que j’aurais dû le balayer.
Je crois que le soir des noces de mon fils, une nouvelle vie s’ouvre pour sa maman.

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