Collection Dominant - Dominé. Devant Mon Mari (3/3)

- Je n’ai qu’un seul Maître, c’est Christian mon mari !

Ce sont les mots que je prononce après avoir été enlevé séquestré par deux types qui avaient dû récupérer nos codes d'accès et qui m’ont trimballé seule dans leur camionnette une cagoule bouchant mes yeux, mais dégageant ma bouche.
Ils ont dû me conduire au même endroit qu’il y a huit jours où le même enlèvement s’était produit mais avec Christian ce qui m’avait aidé à tout subir avec son absolution.
Toute cette semaine, aucune critique de ce que ces monstres m’avaient fait subir allant même jusqu’à la sodomie en double pénétration.
La même voix métallique reprend.

- Tu ne veux pas reconnaître qu’ici je suis le Maître !
Libre à toi, je te livre à mes dominants.
Quand tu en auras assez et que tu me diras qui est ton vrai maître, tu demanderas à mes adjoints de te conduire jusqu’au pied de mon trône et tu me lècheras les pieds.
Messieurs dames, cette femme née pour être soumise est à vous.

À partir de ce moment, toujours sans voir ce qui va m’arriver, on me tire en arrière, certains doivent avoir des cravaches ou des badines car les coups pleuvent.
Je sens qu’on me saisit par la tête, une verge est introduite dans ma bouche et décharge tous son sperme.
Je manque de m’ refusant d’avaler, mais mon nez que l’on me bouche m’oblige à le faire.
Ma chatte semble intéresser un de ceux que le maître a appelés ses dominants.
Une langue vient s’insinuer dans mon anus, elle me mouille ma rosette, mais je sens que sans cet apport de salive, être soumis à tous ces hommes je mouillerais quand même.
La langue connaît ce qu’elle doit faire pour que mon corps réagisse.
Dans ma nuit, une pensée me vient, je pense que c’est un homme qui me titille la rosette, mais c’est peut-être une des dominantes.
Peut-être celle que le maître a appelée Cruella et qui semble être l'adjoint le plus proche de lui.


Pourquoi suis-je jalouse de cette femme bardée de cuir jusqu’à ça cagoule soit la favorite du maître, le maître je m’en fiche, seul Christian compte ?
Christian ce pauvre chéri qui travaille se faisant cocufier par la salope que ces dominants m’ayant enlevée font de moi.
La langue puis une bite, dans ma chatte en même temps qu’une autre remplace celle dans ma bouche.
Elle sort et arrive à se glisser entre ma joue et le tissu pour décharger, je sens du sperme gicler dans mes yeux.
Elle est vite remplacée par une autre alors que c’est là encore mon anus qu’on agresse.

- Alors, elle reconnaît que je suis son maître.

Quand le maître parle, je prends conscience que lui seul parle les autres se taisant.
Aucun des dominants et des dominés ne s’exprime.
Seuls les bruits inhérents à la baise qui se produit dans cette cave parviennent à mes oreilles.
J’entends des femmes, des hommes qui semblent aimer ce qu’ils subissent.
Les cris sont ceux de leur plaisir comme les miens dès que l’on me prend de nouveau en double pénétration.
Non, c’est fou, une deuxième verge se glisse à côté de celle déjà dans ma chatte, ce sont trois verges que mon corps reçoit.

- Alors j’attends.

J’ai envie de crier grasse, je suis repu de sexe et de sperme mais je suis fidèle à celui à qui j’ai dit oui devant monsieur le curé.
Comment la semaine dernière, ce serait lui donnerait l’ordre de subir ce maître pour conserver ma vie, je viendrais en courant lui baiser les pieds ?

- Pendez là, non pas comme ça.

La pendaison, je connais, c’est comme ça que je me suis retrouvée quand ils nous ont amené la première fois.
Je comprends rapidement le « pas comme ça », je me retrouve pendu la tête en bas.
Rapidement une bite vient de nouveau par le trou à hauteur de ma bouche.
Mes jambes sont écartées, j’ai les bras ballants.
Ma bouche, ma chatte, leur sont offertes, jusqu’au moment où un coup de badine m’est asséné sur le plus tendre de ma vulve.

Je hurle comme d’autres hurlent mais la langue qui vient me lécher diminue mon mal.
Le sperme dans ma bouche, celui qui colle à ma cagoule, les coups finissant par me faire envie d’en recevoir d’autres, je sens que je vais céder.

- Stop amené moi à mon Maître.
- J’ai entendu, détaché là et amenez là comme la soumise qu’elle est jusqu’au pied de mon trône et de mes pieds.

Je sens que l’on me descend, des mains me soutiennent pour éviter certainement que je me fracasse la tête quand je touche le sol.
J’essaye de me redresser mais une main me plaque au sol et me tire par les cheveux.
Je suis obligée de suivre pour éviter d’être scalpée.
C’est à quatre pattes que je reconnais la victoire de celui que je n’ai jamais vu, comment en suis-je arrivé si bas moi si fière d’habitude ?
Je sens des marches et des pieds.

- Lèche.

Je prends le premier pied que ma main saisie et certainement devant tous les dominants je m’exécute.

- Qui est ton Maître, moi ou celui que tu appelles Christian.
- Vous maître, dont j’ignore le nom.
- Le jures-tu Jennifer ?
- Je le jure devant tous ceux qui nous entourent et à qui vous pourrez me livrer chaque fois que vous le désirerez.
- Le jures-tu jusqu’à ta mort ?
Le jures-tu me permettant d’avoir le droit de vie ou de mort sur ta petite personne insignifiante !
- Oui, maître, j’aime les jeux que vous m’avez fait jouer et d’être soumise à qui vous le voulez.
- C’est bien tu mérites de voir à qui tu viens de jurer fidélité jusqu’à ta mort.

Je sens que la cagoule m’est retirée, le temps que ma vue s’adapte à la luminosité.

- Christian.
- Pardon !
- Oui, excusez, maître Christian.
- Lorsque vous serez ici, ces mots sont les derniers que j’accepte d’entendre.
La première règle établie par mon père Joseph est celle du silence.
Il faut que j’entende les dominants et les dominés jouir de vous mes petites chiennes.

Mon père a créé cette société secrète.
- Mon beau-père a commencé cette société.
- Première incartade à mes consignes, Cruella, punit cette soumise qui a osé ouvrir sa bouche, 20 coups de fouet sur son postérieur.
Messieurs placer le supplicié pour recevoir sa punition.

Sans un mot je suis empoignée sans aucun ménagement, un homme est sur le pilori, le dominant qui le sodomisait quitte son anus, ouvre la plaque de bois et sans ménagement le vire de l’endroit sans qu’il ne dise le moindre mot.
On m’agenouille, ma tête et mes mains sont encastrées dans les trous avant qu’une cheville de bois bloque l’ensemble.
Un, à vingt, je suis à deux doigts de tourner de l’œil, mais je suis fière de regarder celui qui me domine directement dans ses yeux.
Je sens que je suis à deux doigts d’en prendre encore aussi je les baise acceptant sa domination.
Je suis sortie du carcan et ramenée devant mon Maître.

- Tu vois à quoi tu t’exposes si tu manques de respect au grand maître que je suis devenu depuis le départ de mes parents à la retraite dans le Sud.
Mon père a commencé avec ma mère comme soumise.

Il est vrai que chaque fois que j’ai vu cette femme, je me demandais pourquoi elle baissait les yeux devant son fils et son mari.

- Cruella que tu vois et qui vient te châtier, tu la connais, c’est Évelyne l’amie chez qui nous allions quand nous nous sommes fait enlever.
Le garçon qui t’a laissé la place dans le pilori descendant du temps de l’inquisition comme tous les instruments de ici, c’est Gaëtan son mari.
Il adore se faire dominer lui aussi surtout comme tu l’as vu et se faisait sodomiser par Franck notre voisin.
C’est un de mes dominants alors que la fille que tu as vue sur le pilori la semaine dernière aux mains de Charmes notre magnifique black c’est Lydia sa femme.
Je cherchais comment te faire entrer dans notre cercle, surtout depuis que ma mère l’a quitté.

Je voulais t’éviter de voir celle qui m’a mise au monde se faire traiter comme la chienne que tu es depuis que tu m’as fait allégeance.
C’est elle qui a mis en place le scénario que nous avons suivi à la lettre pour le plus grand plaisir des dominants qui seront les seuls à te baiser jusqu’à ce que la mort nous sépare où que je passe le relais aux fils que tu me donneras.
Ce fils, je n’en serais pas le père comme Joseph n’est pas le mien, c’est le précepte qu’ils ont établi.
Monsieur, remettez sa cagoule à notre nouvelle soumise, jamais tu ne sauras où se trouve notre lieu de réunion pour nos soirées d’orgies.
Ramenez là chez elle.

Je suis de nouveau emporté dans la camionnette avant que je sois déposé dans le bain que Cruella a fait couler faisant partie de ceux qui me raccompagnent.
Ma cagoule m’est retirée.
Elle me sèche, quand je regarde ses yeux, d’un bleu profond, je reconnais Évelyne notre amie.
Elle me couche et j’entends la porte claquer.

Quand je me réveille, je sens une présence près de moi, aucun doute, c’est Christian qui m’a rejoint sans me réveiller.

- J’ai faim mon amour.

C’est sans un mot sur notre nuit que notre dimanche commence comme le restant de la semaine.
C’est samedi, il part après manger sans me dire le moindre mot.
Ma cagoule est sur la commode dans l’entrée, j’attends avec impatience que les dominants m’amènent la camionnette pour rejoindre notre cave.
Ma vie vient de prendre une autre voie que celle que je pensais suivre depuis mon mariage.
Je m’en fiche, rien ne peut m’arriver, ne suis-je pas la soumise du Maître avec un grand M.

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