Retour De Vacances

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

C’est la fin de nos vacances et nous nous sommes arrêtés à mi route dans un motel ; la chaleur étant très importante en cette fin de mois d’aout, nous avions laissé la porte fenêtre entrebâillée, et notre erreur a été de l’oublier en nous couchant. Malgré ma fatigue, je me suis réveillé , avec l’impression d’une présence dans la chambre ; en effet un léger faisceau lumineux explorait l’espace. Allumant la lumière, je me suis relevé rapidement, constatant que deux hommes s’étaient introduits dans la chambre. Ma réaction a été de courte durée car je me suis retrouvé sur le sol .
Quand j’ai repris conscience, ma ceinture me ligotait sur une chaise ,totalement nu alors que les deux hommes fouillaient la chambre, sans grand succès, en dehors de quelques billets et d’une quincaillerie de bijoux. Ayant mis appareils photos et papiers au coffre de la réception, il n’y avait rien de bien intéressant.
Essayant de savoir où étaient nos cartes bleues, ils ont agrippé ma femme, jusqu’alors recouverte de son drap, et un sifflet a jailli des lèvres de l’un deux « en voilà un beau bijou » et la tirant hors du lit, il l’a fait pirouetter pour exhiber son corps nu. Apeurée, elle est restée sans résistance, me regardant ; mais pour moi, impossible de bouger.
« Si vous criez, l’un ou l’autre, je vous promets que cela vous coutera très cher , donc pas un bruit, compris » pour comprendre, nous avons compris , car en plus, il m’a bâillonné, m’ordonnant de rester tranquille. Leurs regards restaient sur le corps exposé de Nini ; il faut reconnaitre que c’est une belle femme, joli visage, aujourd’hui apeuré, deux beaux seins, ronds, encore très fermes malgré son âge, et un très joli pubis, légèrement bombé, totalement rasé, laissant ainsi découvrir la naissance de sa grotte.
Me fixant , l’individu, lui écartant les jambes, avec son pied, me dit « à défaut, nous allons profiter de ce joli bijou, et soit sur qu’elle va être satisfaite de nos égards ; toi tu ne bronches pas ; mais rassures toi, nous ne lui ferons pas de mal , bien au contraire et je suis sûr que rapidement, tu vas l’entendre jouir.

Les deux hommes l’ont emprisonné entre leurs bras, l’un lui triturant les seins, l’autre caressant son pubis , avant d’infiltrer deux doigts dans sa chatte ; ma femme a émis un petit cri de surprise, puis s’est laissée faire, mais ,je le pense , déjà un peu excitée car lorsque l’on lui triture les pointes de seins , elle réagit toujours et là les tétons sont bien saillants
Les doigts dans la chatte sont très actifs et quand il les retire, ils sont brillants de cyprine ; non seulement elle ne se défend pas, mais en réalité elle commence à y prendre plaisirs et ses gémissements en sont le témoin. « tu vois, elle aime et elle va bien en profiter ; tu vas bientôt l’entendre jouir ». sans attendre, il l’allonge sur le lit et quittant son pantalon, il présente l’entrée de la grotte un sexe de belle facture et surprise, c’est elle qui le guide entre ses petites lèvres ; il la possède , sans difficulté, s’enfonçant d’une seule poussée dans le vagin.
Son visage change et les premiers signes de jouissance apparaissent, les yeux fermés, elle se cambre offrant un peu plus son vagin à la possession, les coups de queue sont puissants, rapides, la remplissant sans aucun doute complétement ; témoin de son acceptation , elle a entouré l’homme de ses bras, et rapidement ses cris de plaisirs se font entendre ; finalement il baise une femme qui s’offre à la saillie ; ouvrant les yeux, elle me regarde, les yeux brillants « oh mon chéri, il me possède, il me fait jouir, j’ai envie qu’il me défonce «
Devant le spectacle, je reste sidéré ; non seulement elle prend son pied , mais en plus elle s’offre totalement ; je devrais être furieux, mais finalement cela m’excite de la voir ainsi et ma queue , bandée est très visible, ce que ne manque pas de remarquer les deux hommes
« regarde ton cocu, cela le fait bander de te voir ; il devrait être furieux, alors qu’il y prend lui aussi plaisir » ; alors que le deuxième enlève mon bâillon « vas y dis-lui que tu aimes que mon copain baisse ta femme ; regarde comme elle jouit, allez dis lui que tu aimes et que tu veux qu’elle s’offre à nos deux queues » devant mon silence, il me secoue et je me plie à ses désirs, sans aucune restriction.

« Vas-y ; j’aime te voir te faire prendre et t’entendre jouir , cela me fait bander ». je n’ai plus besoin de parler, elle est à nouveau envahie par la jouissance et ses cris résonnent à mes oreilles ; elle est totalement sous la domination de cet homme, et quand il se vide en elle, elle me regarde à nouveau « oh oui, il me féconde, ses jets me remplissent, c’est bon ….puis elle se cambre, jouissant bruyamment, pour recevoir sans doute plus de sperme dans son conduit.
Quand il se retire, la queue encore bandée, des filets de jute les relient encore un moment. Tendant les bras vers l’autre, elle lui dit « vient, j’ai encore envie de me faire saillir devant lui, j’aime le faire cocu et là il peut constater mon plaisir ; sa queue ne me remplit pas comme la vôtre ; regarde jean comme mon con est ouvert » ouvrant un peu plus les cuisses, je peux découvrir sa chatte béante, gluante de sperme, offerte à une nouvelle pénétration, ce qui ne tarde pas ; la mettant à genoux sur le lit, il s’introduit dans le conduit, lubrifiant en même temps le sillon culier ;
Plusieurs coups de butoirs et il se retire, présentant son gland sur l’œillet encore fermé ; pour faciliter la sodomie, elle écarte ses deux lobes et je peux constater l’avancée de la queue dans son cul ; elle qui n’est pas toujours décidée pour une enculade, là elle accepte le mandrin sans broncher , même si elle ne peut retenir un léger cri quand l’anneau cède. Je suis tellement excité que je jouis sans avoir pu me branler, et elle le voit
« cela te fait juter, petit cocu, profites en, car tu le verra rarement ; cocu tu es , cocu tu seras, mais là cela m’excite de me faire enculer, il me remplit complètement le ventre et j’ai envie qu’il se vide dans mes entrailles, ce que tu n’as jamais eu droit » elle se tait alors que l’homme a accéléré le pilonnage de son cul ; son bassin claque sur son fessier et les bruits de mouilles traduisent son plaisir ; il est sur qu’elle mouille même de son cul.

A nouveau je bande, réclamant que l’on me libère les amins ; j’ai envie de me branler. Enfin l’autre me libère les mains ; aussitôt ma main s’empare de mon sexe et devant elle , je me branle frénétiquement, gémissant de plaisir ; les deux amants se déchainent et à nouveau , elle s’écrie « oh oui , encore remplit moi, vide toi en moi, j’ai envie de ta jute » inutile de voir, il est évident qu’il est entrain de juter en elle, alors que de sa chatte s’écoule des filets de la précédente saillie. La tête collée sur le lit, accrochée à son pourfendeur, elle jouit en continue, alors qu’il continue à la fourrer. Quand il se retire et qu’elle s’écroule sur le lit, le mec me présente sa queue « nettoie moi, elle est pleine de nos sécrétions , puis me poussant vers elle, lèche-lui la chatte et le cul, nettoie-la et tu comprendras combien elle a joui et combien tu es cocu. Alors que je m’exécute, ils prennent la porte tranquillement ;
Si vous êtes encore là demain, laisse la port ouverte et nous reviendrons satisfaire ta femme.
Finalement leur vrai butin est une femme offerte à eux, et pour moi le plaisir de la voir se faire défoncer et y prendre du plaisir. Dommage que nous devions partir le lendemain, elle come moi, nous aurions bien aimé qu’ils reviennent.

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