Eveil À La Soumission Chapitre 7

Chapitre 7 : Surprise de la 2eme séance suite


J’étais encore étourdi par les caresses que Sophie m’avait prodiguées ; Pierre se leva et revint tenant dans ses mains un magnifique gode ceinture qu’il posa sur la table ; l’esclave devinait le sort qui l’attendait mais ne bougea pas restant agenouillée devant mon entrecuisse dont elle venait de s’être longuement occupée.

Pierre lui demanda de se mettre en position offerte et Sophie se plaça immédiatement à quatre pattes ; son plug était toujours là et Pierre fixa dans son embout un tuyau terminé par une pompe .
« Je vais la préparer encore mieux » dit-il en actionnant la poire et je vis alors le plug grossir et élargir son cul : une fois satisfait du diamètre Pierre laissa Sophie ainsi et fixa deux paires de pinces reliées par une chainette sur ma chatte ; il y accrocha le mousqueton qui terminait une nouvelle laisse .

Je devais avancer tandis qu’il tendait cette laisse ; je ressentais la douleur sublime de ces étirements et pour lui montrer que je m’étais endurcie , j’en venais à devancer ses ordres en avançant avec plus loin que ce qu’il me demandait ; il me caressait les fesses pour manifester sa satisfaction ; je ne cherchais pas à surpasser Sophie mais simplement lui montrer combien j’avais écouté ses désirs . Une fois que je fus bien endolorie, il dégonfla le plug de l’esclave et le retira. « Enfonce tes doigts dans son cul » m’ordonna t-il » . Je le faisais sans difficulté et afin de m’ôter toute appréhension, il interrogea Sophie :« As tu fait un lavement avant de venir ? » Elle répondit par l’affirmative.
« Tu vas voir les jeux que nous allons pouvoir faire avec son cul » me dit-il

Je retirai mes doigts et Pierre fixa le gode-ceinture sur mon entre-jambes ; il le serra de sorte à ce qu’il soit fermement accroché ; il avait pris soin avant de déplacer les chainettes de mes pinces de part et d’autre du ceinturon qui divisait ma chatte ; il remis le mousqueton .



« Vas y encule la ! » ; j’approchais ce « membre fixé entre mes cuisses et le tenant je l’introduisis lentement dans le cul de Sophie . Par de petits mouvements de ses fesses Sophie m’aidait à la pénétrer ; à ses halètements je sentais à quel point elle aimait être prise ainsi ; je ne me retenais pas jusqu’à ce que Pierre me demande d’arrêter ; je le faisais avec regrets mais j’obéis.

Il demanda à Sophie de le déshabiller en lui précisant que si le gode s’échappait de son cul elle serait punie ; la malheureuse se mouvait avec précaution mais lorsqu’elle en vint à devoir déboutonner sa chemise , les bras levés , je vis que mon « membre » appendice s’était retiré .
Sophie se résigna , termina de dévêtir Pierre et attendit qu’il prononçât sa punition .

«Tu reprendras sa sodomie plus tard » . Sur les instructions de Pierre , elle vint se placer à genoux face à un guéridon bas et carré ; là il attrapa ces 2 seins qu’il posa sur le guéridon et regarda un petit moment ces deux beaux globes ; pour la première fois je vis Sophie sembler craindre sa punition .

Pierre pris sa badine qu’il commença à abattre de plus en plus fermement sur ses seins ; je pouvais voir les marques rougir sa poitrine comme son visage qui exprimait la douleur. A la fin de l’épreuve, la tête baissée, elle dit « Merci Monsieur, je méritais cette punition » .

Elle repris sa position offerte et de nouveau je la pénétrais ; je découvrais cet acte délicieux qui m’excitait énormément .
Pierre se plaça alors derrière moi et je sentis son sexe qui cherchais à s’introduire dans mon anus ce qu’il fit sans difficultés ; il attendit , par petits mouvements que je sois bien ouverte et s’enfonça alors au plus profond de mon ventre . Une fois qu’il sentit les mouvements de mon bassin accompagner les siens, il commença à tendre les chainettes dont les pinces me brulaient les lèvres ; ces sensations me poussèrent à imprimer le même rythme et la même vigueur dans le cul de Sophie ; je jouis puissamment en hurlant tandis qu’elle , plus lente pensait arriver à l’orgasme .
Pierre m’ordonna d’arrêter et de nouveau Sophie resta avec son désir qui je l’imagine devait être difficile à réprimer.
Il l’était car dans un mouvement machinal elle commença à diriger sa main vers sa chatte ; «Tu aimes être punie ce soir ! » furent les seuls mots qu’il prononçât alors que je voyais la main de Sophie revenir se poser sur le sol.

Je fus « desharnachée » de mon « membre » et de mes pinces , lentement suivi d’un doux massages de mes lèvres douloureuses .

Quelle nouvelle punition Sophie allait-elle subir ? Il décida de la remettre à plus tard et je la vis alors sourire modestement.

L’esclave se releva pour se tenir debout devant lui ; après l’avoir observée , il était visible que l’effet de « pompage » de sa chatte s’était largement estompé ; il décida que pour la suite elle allait devoir faire une nouvelle séance .
Il posa le cylindre et commença à actionner la pompe ; je pouvais voir , comme je l’avais découvert sur la vidéo qu’il m’avait montrée , le sexe de Sophie s’inscrire dans le cylindre , se déformer et prendre une taille presque monstrueuse !

« Elle restera 20 minutes ainsi, nous avons un peu de temps pour s’occuper de toi »

Sophie dut nous accompagner dans la chambre ; elle marchait avec précaution de crainte qu’un brusque mouvement ne détache le cylindre qui faisait son œuvre. Elle y réussit et resta assise sur le tapis en attendant.

« J’apprécie que tu te sois entrainée avec des poids mais tu te souviens que je veux pouvoir te « fister » ? ».
C’était l’heure ! Sophie nous écoutait muette ; Pierre pris un speculum et après m’avoir demandé de prendre la bonne position il l’enfonça avec douceur ; autant ce contact du métal froid m’était désagréable chez mon médecin autant il était excitant entre ses mains .
Il fit jouer la molette et je sentis mon vagin se dilater sous l’effet de ces lames qui s’ouvraient ; arrivé en bout de course , Pierre s’allongea à mes côtés et m’embrassa en faisant pénétrer ses doigts dans ma chatte ; c’était là aussi une situation d’abandon qui me faisait réagir et là aussi il porta ses doigts humides de ma mouille à nos lèvres ; quel geste intime !
Je devinais le regard envieux et humilié de Sophie devant ces gestes qui avaient leur dose de tendresse.

Après un certain temps dans cette position , Pierre retira l’instrument pour faire diriger mon regard vers un gode qu’il avait préparé ; il était énorme , déjà enduit de lubrifiant , prêt à s’introduire dans mon orifice !
Je dus m’accroupir ; il pris le « monstre » le présenta à l’entrée de mon vagin et me demanda de me l’enfoncer ; l’épreuve était difficile . je m’escrimais , faisais monter et descendre mes hanches enfin je le sentis commencer à me pénétrer . Une fois engagé , je poursuivis mes va-et-vient et enfin il se mit à glisser ; cette impression d’envahissement était inconnue et jouissive . Je m’y adonnais avec persévérance et application jusqu’à ce qu’il juge que j’avais fait le nécessaire .
Une minuterie sonna , c’était l’heure de libérer le sexe de l’esclave ! Pierre me fit découvrir l’effet en réel et je ne pus qu’admirer le résultat ; je demandais à toucher la chatte de Sophie qui sous l’effet de cette pompe ballotais légèrement . Elle était sensible rien qu’à l’effleurement !

C’est maintenant le moment pour ta nouvelle punition ; Sophie le savait . Pierre avait pris sa badine et lui ordonna de s’allonger cuisses repliées et écartées. « Combien de coups mérites tu ». « C’est à vous de décider Monsieur » . « Je le sais bien mais vouloir se caresser sans autorisation est inacceptable , qu’en penses tu ? »
A la douleur à venir , Pierre ajoutait une morale ; Sophie ne pouvait répondre que oui ; ce qu’elle fit . « Et donc que mérite l’inacceptable ? »
Je vis pour la première fois une larme couler sur sa joue ; elle connaissait cette punition ! Je ne l’enviais pas mais la mise en scène que Pierre avait construite autour de cette nouvelle épreuve faisait naître chez moi une excitation un peu sadique ; je n’en étais pas particulièrement fière. Je pourrais un jour me trouver dans la situation de Sophie.

A cette dernière question Sophie répondit un timide « 20 coups Monsieur. »

« Qu’en penses tu Fabienne ? » J’étais interloquée et partagée entre le désir de la voir encore souffrir , elle aimait tellement ça , et la pensée tout aussi tordue que Sophie puisse être un jour dans ma position (je pensais que Pierre était assez pervers pour le faire) .
Je me rangeais à cette dernière pensée ; je ne voulais pas que Sophie se souvienne de ma cruauté : « 20 coups Monsieur » dis-je.

« 30 coups auraient été plus appropriés mais je me range à votre avis» . Un masque de soulagement se peignit sur le visage de l’esclave qui remercia Pierre .

Il se plaça face à son entrejambe grand ouvert et positionna sa badine ; il alternait ses coups sur chacune de ses lèvres ; Sophie se mordait pour ne pas crier et tint bon ! Elle était courageuse et Pierre y fut sensible ; il m’ordonna de la soulager en la léchant. C’était inattendu et je n’en avait pas particulièrement envie mais il n’était pas question que je désobéisse.
Sa chatte sentait très fort mais après une légère hésitation je l’ouvris et la léchais longuement , patiemment ; il était temps pour Pierre de terminer mon entrainement au fist ; il profita de ma position accroupie devant le sexe de l’esclave pour placer sa main sur mon sexe . Ses doigts pénétrèrent un à un jusqu’à ce que je sente sa main au fond de ma chatte ! Il me branla alors doucement puis fermement . Je sentais le désir monter . Sophie qui au comble de l’excitation jetais son bassin au devant de ma bouche lâcha soudain un râle et eut un orgasme longuement contenu qu’elle accompagna d’une « éjaculation » qui m’inonda le visage . Surprise je trouvais cependant l’acte gratifiant et je m’appliquais à absorber toutes ses sécrétions . Pierre souriais .
Sophie , enfin comblée , dut descendre du lit pour reprendre sa position à quatre pattes et attendre . Elle était si bien dressée !
Quant à moi ces scènes et ces orgasmes avaient eu , momentanément , raison de mon énergie ; je restais un moment à quatre pattes moi aussi . Ma chatte restait douloureuse mais je ressentais une douce sérénité m’envahir.

Il était minuit mais Pierre semblait décidé à poursuivre nos « jeux » . Il invita Sophie à parler elle dont je n’avais entendu que les gémissement jusqu’à présent « Qu’as tu à dire ? » ; elle releva la tête et s’adressa à Pierre
« Merci Monsieur de m’avoir autorisée à jouir ; vous pouvez encore faire ce que vous voulez de moi .»
« Je remercie aussi votre soumise de m’avoir si bien léché.»
J’avais encore le visage humide de l’éjaculation de Sophie, sans parler de son odeur qui imprégnait ma bouche .
Il nous demanda de vous lever face à lui qui était assis sur le lit ; je commençais à sentir violement les effets de l’eau que j’avais ingurgité en début de soirée et je me tenais cuisses bien serrées pour contenir cette envie pressante d’uriner ; Sophie était dans le même état. Pierre prit un ton surpris voire ingénu pour demander depuis quand soumise et esclave se tenaient cuisses serrées . L’esclave rectifia immédiatement sa position ce que je n’étais pas en mesure de faire sauf à créer un écoulement dont je redoutais les conséquences . Je serrai mon périnée autant que je le pouvais et ouvris enfin les jambes .

A suivre






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