Mon Éveil À La Soumission Chapitre 10

Mon éveil à la soumission Chapitre 10

Je poursuivais méthodiquement ma démarche ; je serai soumise mais jamais plus esclave !
L’épreuve que j’avais subie avec Sophie restait vive et agréable dans mon souvenir mais la fierté qui me restait me poussait à devenir plus endurcie et plus « cruelle » (encore que ce mot me déplaise) envers celle qui serait l’esclave lors de nos « jeux ».
Après m’être glissée dans la peau d’une dominatrice avec Eric , j’allais garder ce rôle avec une femme cette fois ci.

Celle sur laquelle j’allais jeter mon dévolu s’appelait Zohra ; elle avait répondu à mon annonce de recherche d’une soumise. Zohra, 40 ans, était responsable d’un service d’infirmières dans un grand hôpital parisien. Elle m’avait envoyé quelques photos, brune, teint mat, elle avait une belle poitrine dont les tétons très sombres possédaient une pointe proéminente, promesse de beaux sévices !
Elle m’avait également envoyé une photo de son sexe dont la touffe était épaisse et me semblait drue.
Zohra m’avait avoué que ses désirs de soumission remontaient loin mais elle n’avait jamais franchi le pas ! Une novice, c’était ce que je pouvais rêver de mieux, moi qui l’étais presque. J’évitai de lui en faire part et me contentais de la rassurer ; j’aimais les novices.

Elle n’avait connu que des hommes jusqu’à présent mais par crainte, elle ne pouvait envisager de devenir soumise qu’avec une femme. Comme je la comprenais ! J’avais eu la chance de trouver Pierre mais la longue liste des hommes qui m’avait contacté était éloquente par sa taille comme par la vacuité et l’idiotie du contenu de leurs messages sans parler, en effet, de cette crainte de rencontrer un malade !

Il fallait maintenant l’emmener sur le terrain de mes fantasmes et de mes fétichismes ; nous en étions encore à correspondre par mail.

Je lui proposais de nous rencontrer chez moi jeudi en fin d’après-midi, nous étions lundi.



« Le jeudi je commence très tôt et finis à 18h, je n’aurai pas le temps de passer chez moi pour me préparer »
« Te préparer, que veux tu dire ? » fut ma réponse
« Me doucher, me changer »
« C’est inutile »
« Mais je ne vais pas être fraiche ! »
« Tu n’aimes pas ton odeur ? Tu n’aimes pas celle des femmes ? »
Nous y venions !
« Je ne sais pas, je ne connais que la mienne »
« Et bien moi j’aime l’odeur des femmes et j’espère que tu aimeras la mienne »
« J’ai un peu honte de ce que vous dites ! »
« C’est très bien que tu aies honte, c’est ce que je veux. Tu viendras jeudi plus que pas fraîche ! »
« Vous voulez que je ne me lave pas ? »
« C’est ce que je veux ; je ne serais pas lavée non plus »
« Vous me demandez une chose difficile, je ne sais pas si je pourrais le faire »
Je tentais le tout pour le tout
« Pas grave, restons en là alors »
« Pendant combien de jours Madame ? »
Hmmm ! Intriguée, elle devenait consentante !
« Tu te laveras ce soir »
« Je ferai comme vous voulez »
Elle ajouta : « Vous allez me faire souffrir ? »
Je répondais ingénument « Plaisir et souffrance vont de pair pour une soumise »
« Vous me donnerez du plaisir aussi ? »
« N’en doute pas »
« Merci Madame »
« Appelle moi Fabienne , je préfère »

J’étais heureuse d’être parvenue à mes fins.

Comme Eric je la recevrai dans mon petit appartement de location ; je préparais mes instruments, les alignais sur ma table basse . Pinces et poids , martinet , liens, mon gode-ceinture , élastiques , brosses ,…Et je me mis à construire des scenarios de ce que je lui imposerais et lui ferai subir. Faute de connaître ses limites et par souci d’en faire une éventuelle esclave pour Pierre , je décidais de rester « soft » pour sa première séance.

Elle sonna à 18h , elle était ponctuelle ; bon point.

Je lui ordonnais de se déshabiller devant moi assise ; j’avais largement dégrafé ma robe que je portais sans sous-vêtements.


Elle commença par le haut ; ses tétons étaient vraiment sombres et surtout avec de petites aréoles terminées par un téton qui pointait comme sur la photo.
Lorsqu’elle retira sa culotte , elle ne put s’empêcher de mettre ses mains devant sa chatte par pudeur ; pas question de la brusquer . Je me levais et , en incrustant une main dans le sillon de ses fesses , je l’embrassais tendrement et avidement ; elle me rendit mon baiser avec fougue et sans doute soulagement.
Le ton était donné, elle s’abandonnait dans mes bras, mise en confiance. Ma main descendit passant d’abord par son anus, très serré, pour finir dans sa chatte merveilleusement mouillée comme la mienne.

Je me rassis , écartais les cuisses « Tu as envie de ma chatte ? »
« Oui Fabienne »
« Je te la donnerai … en son temps ; pour le moment contentes toi de venir entre mes cuisses sans la toucher »
Zohra s’agenouilla entre mes cuisses, j’avais relevé ma robe et je sentais son souffle chaud sur mon sexe.
Je la laissais, sans un mot dans cette position tandis que je commençais à « travailler » ses tétons ; lorsqu’ils furent bien dressés, j’y posais deux pinces, celles reliées par une chaînette. Je l’étirais doucement, petit gémissement ; je recommençais plus fort et la maintenais ainsi.
« Tu aimes ma chatte ? »
« Oh oui mais vous avez beaucoup de poils, j’aimerais mieux la voir »
« Ecarte mes lèvres, alors »
Elle le fit délicatement et s’approcha un peu plus. Ses seins étaient maintenant très étirés et je jouissais de ce spectacle ; elle ne manifestait aucune retenue si ce n’est quelques gémissements, sourds et consentants.

« Tu aimes ma chatte ouverte ? »
« Hmmm oui, elle est très mouillée, elle sent fort »
Je caressais son visage, m’approchais de son oreille pour lui murmurer « Tu as vu les objets posés sur la table ? »
« Je les ai vu ; vous allez les utiliser tous ? »
« Peut être ; lequel te fait peur ? »
« Le martinet et le gode ceinture me font peur »
« Le gode ceinture, pourquoi ? »
« Je ne me suis jamais faite enculer »
« Tu en as envie ? »
« Je ne sais pas, j’ai peur d’avoir mal »
Toujours à genoux entre mes cuisses, je retirai les pinces de ses seins que je massais longuement.

« Je vais préparer tes fesses ; la première fois est un peu douloureuse mais j’espère que comme moi tu y prendras plaisir. Commençons par du plaisir. Mets toi à quatre pattes, offerte»

Elle s’exécuta, j’avais choisi de la rassurer. J’aimais ses belles fesses charnues ; je passais un doigt sur son anus appuyais pour y pénétrer, elle était en effet très serrée. Je me plaçais derrière elle et lui humectais longuement les fesses avec ma bouche. « C’est tellement bon, on ne me l’a jamais fait ».
Je passais ensuite mes doigts enduits de vaseline autour de son anus et en faisait pénétrer à l’intérieur, sans lésiner ; je voulais que ce « dépucelage » soit aussi soft que possible ; je voulais aussi qu’elle apprenne à apprécier cet acte.
Je choisis mon plug gonflable qui était de petite taille « au repos ». je le faisais pénétrer doucement à l’intérieur de ses fesses en prenant mon temps ; elle se laissait faire , n’exprimait pas de rejet . Au fur et à mesure, ses fesses commencèrent à venir au devant de mes gestes : bon signe !

Une fois bien enfoncé, je choisis encore une fois d’y aller avec douceur ; je passais ma main sur sa chatte que je caressais ; sa mouille était abondante et je pouvais entendre ce doux bruit de succion qui m’excitait tant !
« Tu ne peux avoir que du plaisir ! Prépares toi ».
Je ressentis un léger sursaut, crainte de la suite , mais elle ne prononça aucun mot , en attente.
Je lui posais sur la chatte deux paires de pinces et j’y ajoutais un poids sur chacune;
« Maintenant lève toi et viens devant moi »
Elle le fit lentement et avec difficultés ; j’adorais le spectacle de ses lèvres étirées. Passait sur son visage un léger rictus de souffrance mais là encore, elle ne dit rien, résignée sans doute et heureuse peut-être de découvrir comme je l’avais fait le plaisir de me satisfaire et le plaisir tout court de cette douleur.
Avec ma badine je faisais balancer les poids ; pour l’avoir vécu je savais combien ce balancement pouvait être douloureux et jouissif.
Il l’était pour moi en tous cas.

Bien dressée par Pierre à toujours mêler douleur et plaisir, je recommençais à la caresser. Son bassin ondulait, et sous l’effet ce ses mouvements je voyais les poids balloter ; elle s’infligeait maintenant elle-même cette douleur. Devant tant de bonne volonté, je décidais qu’il était temps qu’elle jouisse et j’accélérai le mouvement et la précision de mes doigts. Elle debout, je la sentis trembler, le souffle rauque jusqu’à ce qu’enfin elle ait un orgasme qui la fit s’agenouiller ; je retirais avec douceur les pinces pour la laisser apprécier tout en massant ses lèvres meurtries.

Elle posa sa tête sur mes genoux, je sentais son visage en sueur, son souffle court.
Je caressais ses cheveux ; je voulais qu’elle ressente ma bienveillance qui permettrait de l’emmener plus loin.

Après un assez long moment de douceur, elle se remit en position offerte. Je plaçais le tuyau et la pompe sur son plug et sans hâte je le gonflais en lui permettant de s’habi à la dilatation progressive de son cul.
« Que ressens tu ? »
« Je sens mes fesses envahies, ça me chauffe, j’aime que vous me possédiez ainsi »
J’étais heureuse et fière d’en être là ; déjà bien gonflé j’allais laisser le gode faire son œuvre avant d’aller plus loin.

«Enlève ma robe et viens entre mes cuisses »
Elle se releva, fit glisser ma robe, je m’assis, elle agenouillée ; je posais mes jambes sur ses épaules. Elle approcha son visage de mon sexe et ne sachant ce que je désirais, ne voulant faire un geste que je ne lui aurait pas ordonné elle restait immobile. J’appréciais cette soumission mais j’avais bien sur très envie de ses caresses.

« Lèche moi maintenant, partout »
Dans cette position tout mon entrejambe était offert à sa bouche ; elle souleva un peu plus mes cuisses et commença par me lécher les fesses. Sa langue était tantôt à plat et enveloppante tantôt tendue et pointue ; je la sentais pénétrer mon anus, s’y agiter ; j’avais déjà envie de jouir. Je me retins.
Elle se dirigea vers ma chatte qu’elle « bouffait » littéralement sans retenue, avidement ; allait venait ne négligeant aucun de ses plis. Lorsqu’elle pris possession de mon clito j’étais tellement excitée que je changeais de position et m’allongeais sur le sol.
« Donne moi ta chatte »
Tout en me léchant elle vint s’accroupir au dessus de mon visage ; sa pilosité était comme je l’aimais, noire, fournie, j’écartais ses lèvres, j’étais envahie par son odeur de femme comme elle l’était par la mienne.
« Frotte ta chatte sur ma bouche ! »
Elle le fit violement, j’avais le visage couvert de sa mouille et je me laissais aller à jouir ; elle léchais merveilleusement bien !
Nous restions un moment, à terre, enchevêtrées, nos bouches collées dans nos sexes respectifs.
« Il est temps de t’enculer » lui intimais-je
Elle n’eut aucune hésitation ; se plaçant à quatre pattes, je dégonflais le gode, le retirais. Son cul était maintenant suffisamment détendu. Je fixais mon gode ceinture fermement. Elle eut un frémissement lorsqu’elle le sentit s’appuyer sur son anus. Je le poussais par petit mouvement ; je le voyais pénétrer. A un moment elle me dit « Doucement s’il vous plait »
Je ralentis mes mouvements, mes poussées ; j’attendais que d’elle même elle vienne au devant de « mon membre ».
Elle commença à remuer son bassin, je repartis avec des mouvements circulaires avant de pousser de nouveau ; ses ondulations devenaient plus fortes, je plaçais mes doigts sur sa chatte ; effet immédiat.
Je pouvais alors la pénétrer sans crainte, vigoureusement, je la caressais toujours de plus en plus vite. J’aimais voir ses fesses engloutir le gode, elle se déchainait ; son clito était ferme, dur même ; elle poussa un long cri, elle jouissait ; j’étais folle de joie de lui avoir fait découvrir ce nouveau plaisir.
Irait-elle jusqu’à accepter ce que je ne lui avait pas encore proposé ?

Je me retirais doucement, me déharnachais. Je voulais m’allonger à ses côtés.
Je voyais ses yeux humides de larmes « Merci Fabienne ; mon cul et ma chatte sont à vous ; j’ai eu mal mais j’ai tellement joui ! » furent ses mots.

« Tu as eu beaucoup de plaisir n’est ce pas » Elle hocha la tête les yeux baissés.
« J’ai encore envie de maltraiter ta chatte »
J’avais vraiment envie de la faire souffrir un peu plus et d’utiliser mon martinet.
« Faites ce que vous voulez de ma chatte »
Belle invitation ! Je gardais un souvenir aussi cuisant que merveilleux des sévices que Pierre m’avait infligés ainsi qu’à Sophie et je décidais que Zohra les subirait.
« Viens dans la chambre »
Je pris brosse et martinet . « Tu vas t’allonger cuisses écartées »
Il n’y avait ni crainte ni interrogations. Elle se tenait offerte en attente. Le martinet posé, je m’assis sur son ventre et je passais la brosse sur les lèvres de son sexe et à l’intérieur de ses cuisses ; jamais elle ne se dérobait, je poursuivais jusqu’à ce que son sexe soit très rouge et à vif.
« Ta chatte est maintenant bien sensible et je vais la fouetter »
« Pas trop fort s’il vous plait ». Elle avait raison de craindre ce qu’elle allait subir mais après les plaisirs que je lui avais prodigués il fallait qu’elle passe cette épreuve.
« Je décide de la force de mes coups mais tu seras récompensée pour ton endurance »
« Combien de coups ? » dit-elle
« Vingt »
Elle se tut.
Le martinet s’abattit, je la vis tressauter ; plusieurs fois il lui arriva de serrer les cuisses sous les coups mais elle les rouvrait rapidement. Lorsque j’arrivais à dix huit coups, elle n’essayait plus d’éviter les lanières qui cinglaient (je retenais quand même mes coups), je lâchais les deux derniers coups. « Encore Fabienne, j’aime avoir mal à la chatte »
J’avais découvert une masochiste ! Sans être profondément sadique, j’étais satisfaite d’avoir son corps à ma merci ; je continuais jusqu’à trente.

« Tu as été courageuse ; je vais te lécher pour te récompenser »
Un merci fut prononcé dans un souffle.

Lorsque je me penchais pour lui donner cette caresse, je découvrais son sexe gonflé sous les coups. Je pris possession de sa chatte avec douceur mais je réalisais que le martinet l’avait tellement excité qu’elle était prête à jouir très vite. Je voulais moi aussi « ma part du gâteau » et je m’accroupis sur son visage pour un nouveau cunni .
Nous eûmes alors un plaisir intense, ensemble.
J’avais trouvé la perle rare !

A suivre









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