Domination De Madame Et Monsieur 10

Maitre Lucie est arrivée un après-midi de juin à la ferme et fut reçue par maître Lopez et Mélissa. Lucie est française de nationalité. Elle est avocate, membre d'une obscure association féministe. Elle devait séjourner trois jours pour s'enquérir des conditions dans lesquelles vivent les femmes "esclaves".
Lucie est elle-même une féministe convaincue. D'éducation religieuse rigide, elle honnit les relations sexuelles hors mariage et s'en tient aux sacrosaintes règles de la vie familiale chrétienne. Habillée d'un tailleur strict et portant une paire de lunettes austère, elle restait pourtant très belle avec sa courte chevelure blonde encadrant un joli minois où brillent deux yeux d'un vert émeraude.
Lucie posait trop de questions et Lopez avait du mal à la convaincre que les femmes présentes étaient là de leur propre gré :" ce sont toutes des majeures et je n'accepte que celles qui dépassent les 23 années. Elles viennent pour assouvir des besoins sexuels un peu particuliers...
- comme des animaux !
- non, mademoiselle Lucie, comme des êtres humains libres et voulant vivre leur sexualité sans privations, ni hypocrisie. Elles sont là parce qu'elle veulent être dominées...
- perversion, quand tu nous tiens. C'est toute une mentalité inscrite dans nos mœurs, notre éducation, nos programmes scolaires, nos loisirs, notre culture : la femme, être inférieure, la femelle qui doit rester sous la coupe de l'homme, du mâle. On dirait que mai 68 n'est pas passé par là...
- mai 68 a libéré la femme, notamment par la révolution de la pillule qui donnait à la gent féminine les mêmes droits sexuels que l'homme. Ce n'était plus un ventre à fertiliser, mais une sensibilité sexuelle à part entière...
- foutaise ! Voilà, ça mène à l'esclavage...
- c'est la liberté qui a conduit ces femmes à préférer les chaînes pour augmenter leurs plaisirs sexuels. Elles font ce qu'elles veulent. N'est-ce pas la liberté? Et ce qu'elles veulent c'est se soumettre à l'homme, lui obéïr, devenir son objet sexuel.

.. C'est leur volonté! C'est leur choix!
- tout ça pour ça! Tant de siècles de luttes pour aboutir à la tribu préhistorique !
- non, ça n'a rien à voir ! Les relations dominant-soumise sont mutuellement acceptées. En dehors des séances de domination-soumission, il y a un grand respect. Le libertinage est ainsi fait. C'est un jeu pour adultes ! D'ailleurs, elles signent un contrat en venant chez moi"
Lopez tendit une copie à Lucie qui lit attentivement le texte. Ensuite, elle fut invitée à faire un tour dans la ferme en compagnie de Mélissa. Cette dernière fit appel au gardien baiseur marocain qui les accompagnera dans leur visite. Lucie eut un choc à la vue du sexe énorme pendant en dehors du pantalon. Peu portée sur la chose, elle fut surprise par la taille de l'engin. Comment peut-il rentrer dans une femme ?
Lucie se détourna du chibre mais, comme un aimant irrésistible, il attirait de temps à autre son regard. Le Marocain remarqua l'intérêt dissimulé de l'invitée et cela provoqua un léger gonflement qui n'était pas encore une érection complète mais un accroissement de volume digne d'intérêt.
Le gardien fit pénétrer Mélissa et Lucie dans l'appartement du colonel, une aile de la maison de maître réservée aux travestis en voie de féminisation. Le colonel est un vieux vicelard attiré par les gays efféminés qu'il honore plusieurs fois par jour en changeant les postures et en faisant participer une équipe spécialisée de gardiens baiseurs. Quand les visiteurs pénètrèrent dans le salon, ils y trouvèrent trois travestis à quatre pattes subissant les assauts de trois gardiens dont les chevauchées étaient accompagnés d'insultes et de mots orduriers. Face aux lopettes, le colonel jouait avec son immense sexe. Lucie fut émerveillée par le spectacle des bites rentrant et sortant des culs ouverts. Il s'en dégageait une force extraordinaire et leur taille dépassait toute imagination. Le Marocain subissait un effet semblable et cela se traduisit par l'érection totale de son membre.
Lucie était troublée même si elle se refusait à admettre qu'elle pouvait éprouver le moindre désir "animal" !
Mélissa n'en pouvait plus. Elle s'excusa auprès de Lucie :" je ne suis pas faite de bois comme vous !" Puis elle appela le Marocain "Hassaaaan!" Ce dernier lui présenta aussitôt son sexe qu'elle avala goulûment. Le colonel s'avança vers elle et lui palpa les fesses. Les gardiens continuaient à limer les travestis. Cela faisait partie de l'opération de féminisation confiée au colonel. Il fallait insister sur le programme de sodomisation qui renforcera la féminité des putes en élargissant leurs chattes et en augmentant leurs capacités à recevoir facilement les bites. D'ailleurs, Jean se trouvait parmi les lopettes baisées.
Le colonel, tout en découvrant les charmantes fesses de Mélissa, continuait d'expliquer à Lucie " nous avons commencé l'opération hormones. Ces lopes auront bientôt des formes féminines, elles verront leurs fesses rebondir et leur seins gonfler. Nous les rasons de manière à ce qu'il n'y ait plus le moindre poil où que ce soit ! Les hormones agissent également sur le visage qui sera totalement transformé par des séances de maquillage éprouvantes. Même la voix subira un changement. Pour cette dame française du nom de Lilly Rose, nous prévoyons des rajouts de silicone dans les seins car le propriétaire veut des parties mammaires développées".
Dire que Lucie était excitée, c'est peu dire car maintenant, un feu nouveau brûlait ses entrailles. Oui, vive la liberté de la femme ! Mais elle voudrait tant être libre de... goûter au chibre marocain que dégustait Mélissa. Cette dernière le tenait fermement à la main. Elle y faisait courir sa langue bien humectée partout, n'oubliant aucun millimètre de chair rugueuse, tendue, parcourue de nerfs gonflés à bloc. L'engin était dur comme fer. Sa couronne arrondie brillait et Mélissa y revenait pour la happer et la sucer longuement. Tel un roi, le Marocain jouissait de ce moment de domination sexuelle où la femme n'avait plus aucune résistance à la vue de l'arme fatale, ce puissant zob à la force décuplée qu'elle adorait comme un Dieu ! Le regard de Lucie ne quittait plus cette magnifique chose ! Elle semblait hypnotisée; un liquide abondant coulait de sa vulve qui semblait désespérément vide.

L'intellectuelle féministe se refusait à accepter cette réalité qui s'imposait à elle. Non, c'est un jeu pour animaux, pour gens primaires ! Elle est plus forte que ces tendances bestiales ! Mais tout en elle, au plus profond d'elle, appelait ce sexe du Marocain qui s'offrait à sa vue.
Le colonel avait sorti un martinet du fond d'une vieille armoire et l'utilisait pour cingler les belles fesses de Mélissa qui ne voulait plus lâcher le zob dégoulinant de sa salive. Les autres gardiens baiseurs continuaient de baiser les lopettes. Lucie était subjuguée par leur force : " le mâle est plus fort que la femelle..."
Son regard revint à la verge conquérante du Marocain et, sans faire attention, elle se retrouva en train de parcourir ses parties intimes avec ses doigts. Le Marocain remarqua le manège. Très vite, il se détourna de Mélissa et appuya sur la nuque de Lucie pour la faire s'agenouiller et lui présenta son vit bien levé, presque à la verticale. Elle glissa un timide "non" mais se tut, vaincue, n'ayant plus aucune résistance face au mâle conquérant. Le Marocain lui tapota le visage avec son sexe. Doucement, puis de plus en plus vite. De plus en plus fort. Elle tenta de happer le sexe, ouvrant ses lèvres et les avançant vers le zob, mais ce dernier bougeait très vite et lui échappait. Le colonel délaissa Mélissa et vint près de Lucie qu'il fit asseoir sur ses genoux. La féministe n'imposait aucune résistance. Sous le joug du sexe marocain, elle était à demi consciente, les yeux fermés et ronronnant comme un chat.
Le Marocain célébrait sa victoire par des cris : "salope ! Grosse pute! Tu la jouais inaccessible, hautaine, intellectuelle au-dessus de nos basses besognes bestiales ! Allez, ouvre ta gueule et absorbe le vit ! Ce sera ta raison de vivre ! Vite, Mets-le dans ta bouche !"
Lucie n'avait jamais été traitée de la sorte. Elle éprouvait un nouveau plaisir inconnu. Elle tremblait même et en redemandait. Voilà ce qu'il lui fallait ! Enfin ! Subir la loi d'un vrai mâle, rouler à ses pieds, se faire humilier par lui, subir les assauts de son sexe ! Voilà le vrai bonheur.
Elle arriva enfin à happer l'engin. Assoiffée de tels plaisirs dont elle fut longtemps privée, elle se saisit de la tige et la suça, l'embrassa, la sortit pour mieux l'admirer, se frappa le visage avec... Le colonel avait fourré trois doigts dans la vulve de Lucie qui couinait très fort !
Conquérant, le Marocain fit lever Lucie qu'il gifla en lui disant qu'elle était moins que rien. "Oui mon maître. Une moins que rien!" Elle apprit à respecter le mâle et à adorer sa brutalité, vénérer son côté voyou ! Elle tremblait comme une feuille emportée par les vents de la luxure et du libertinage..." oui, mon maître, montre-moi ta queue encore, donne-la moi, je n'ai plus rien à attendre de la vie, hormis m'incliner devant l'engin divin !"
Le marocain lui ordonna de quitter son tailleur et ses sous vêtements, puis se saisit du martinet et lui infligea une correction en règle : "voilà ta véritable place ! Tu es née pour subir la loi du zob! Te voilà lopette, comme les autres! Allez, tourne-toi et ouvre tes fesses avec tes mains !"
Lucie s'exécuta en buvant les paroles du Marocain. " Oui, je suis une lopette, ta lopette, maître. Baise ta pute qui regrette tout le temps où elle n'a pas reçu la bite ! Celle qui tentera de mener ici toutes ses amies activistes afin qu'elles accèdent au rang divin de lopettes ! S'il te plaît, maître, ne me fais pas mal ! Je n'ai pas l'habitude !"
Le gardien baiseur favori de Mélissa cracha sur la rondelle de l'avocate qui tremblait d'excitation:
- répète après moi : je suis une pute !
- je suis une pute !
- j'aime la grosse bite !
- j'aime la grosse bite !
- je vénère la bite arabe et black !
- je vénère la bite arabe et black !
- je suis une lopette au service des mâles!
- je suis une lopette au service des mâles!
- baisez-moi maître ! Je suis votre propriété !
- baisez-moi maître, je suis votre propriété!
Lucie avait perdu toute prestance. Le Marocain la fit coucher sur le dos. Il s'approcha de son visage, la gifla et cracha sur ses seins. Il plaça son sexe dans sa bouche et se masturba. Debout, il avait toute latitude pour écraser les seins, fouiller l'intimité de Lucie tout en jouant avec son sexe qu'il faisait entrer et sortir de la bouche de l'avocate.
Quand il fut au summum de l'érection, il fit mettre Lucie à quatre pattes, saisit un tube de gel et en vida le contenu dans le fondement royal et vierge de la féministe ! Elle cria mais c'était trop tard : le chibre était au fond de son sphincter, bien calé, jusqu'aux couilles!
- vous me faites mal !
- oui, je fais exprès de te faire mal !
- pourquoi ?
- tu es faite pour ça ! Te faire mal, te dominer, te fouetter, te baiser, te mettre à ta véritable place. Et tu en redemanderas.
Très vite, le mal devint plaisir intense. Elle disait n'importe quoi la Lucie mais il comprenait qu'elle voulait plus de force et de brutalité de sa part. Ça y est ! Il s'installait dans son rôle de maître dominateur et cette pute qui couine est gagnée pour de bon ! Il en était conscient et, pendant qu'il regardait sa queue bronzée et phénoménale entrer et sortir des fesses blanches rebondies de la fausse maigre Lucie, il était vraiment heureux d'avoir encore réussi à dresser une intellectuelle hors normes, lui le petit voyou des cités. Il se rappelait sa tenue stricte, ses lunettes, ses paroles assurées anti-sexe. Et il jouissait de la voir occuper enfin sa place de vide-couilles ! Et tout cela grâce à la force de son sexe car tout a commencé par l'intérêt qu'elle portait à ce zob pendant du pantalon cuir
Le colonel se faisait sucer par Lucie dont le cul était occupé par le chibre de Hassan qui déversa une tonne de sperme dans le cul de l'avocate. Sans répit, il sortit son sexe et le dirigea vers la bouche de Lucie : "avale, pute !"
Les travestis -dont Lilly Rose- furent dirigés vers une autre pièce pour subir les injections de silicone. Les gardiens qui s'occupaient de leurs trous baisaient Mélissa à tour de rôle.
Maintenant, Lucie subissait l'assaut du colonel qui l'utilisa sur un sling. Ensuite, le Marocain la fit courber sur un sofa et la flagella de nouveau! Enfin, sur son ordre, son cul et son vagin subirent l'assaut des trois autres gardiens baiseurs.
Après une sieste réparatrice, le Marocain guida Lucie vers l'une des étables, la spéciale "ponygirl" ! Voilà l'humiliation suprême pour la féministe ! Elle subira tous les outrages en tant que lopette et aura, en plus, à conduire les attelages en galopant comme une vraie jument, des attelages où prendront place les maîtres et les gardiens baiseurs.
Dans l'apres-midi, Lucie se présenta au bureau de maître Lopez pour signer la lettre d'esclavage pour un mois. Le Marocain ne l'obligea même pas à le faire ! C'est elle qui le supplia de s'occuper d'elle et de la traiter comme les autres lopettes. Il lui montra son sexe en lui disant simplement :" tu devras cravacher dur pour être à son service! Mélissa a gagné des galons de pute reelle avant d'en bénéficier. Donc, pas de traitement spécial. Tu seras une pute parmi les autres. Tu n'auras aucun privilege et la décision ne t'appartient pas. Les maîtres et les gardiens te baiseront quand ils en auront envie. Moi, j'ai le choix et tu ne sera jamais ma préférée ! Tu conduiras mon attelage et peut-être que je m'arrêterai pour t'humilier ! Tu seras une chienne à notre service, rien de plus..."
Lucie buvait ces paroles. Elle mouillait à s'entendre dire qu'elle était une chienne et qu'elle serait la proie de l'humiliation et de la dégradation. Et, pour subir encore la brutalité de Hassan, elle attendra. Elle restera des mois s'il le faut ! Elle apprendra à devenir une vraie pute, à gagner ces fameux galons !
Hassan conclut en lui disant qu'elle pouvait bénéficier de quelques assauts supplémentaires de sa part si elle réussissait à faire venir les autres femmes de son groupe " on verra si elles vont résister ! J'en ferai des ponygirls !" Lui dit-il en avançant vers elle son sexe en érection, dans cet étroit box où il n'avait d'yeux que pour ces cuisses d'albatre écartelées au bout de deux chaînes fixées au mur...
Un gardien apporta la tenue complète de la Pony toute en cuir, reluisante et prometteuse. Lucie reçut le sexe de Hassan par le vagin alors que le second gardien s'occupa de sa bouche... Elle ondulait du bassin, criait, suppliait Hassan de continuer, demandait au second gardien de la sodomiser, appelait les autres à profiter d'elle, pleurait... Que de plaisirs! Lucie trouva enfin son chemin !
Pendant ce temps-là, on préparait Océane à la nuit des mille verges...
A suivre


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