Domination De Madame Et Monsieur

C'était il y a longtemps. Avant Internet et le téléphone mobile. Nous utilisions les colonnes d'un magazine spécialisé pour échanger. J'ai été attiré par l'annonce d'un couple de bourgeois qui s'offrait à une grosse queue.
J'étais en forme et je passais mes weekends à dominer des couples pervers qui cherchaient un maître et une queue de mâle alpha.
Le couple habitait un bel appartement au centre d'une grande ville. J'avais exigé que la porte soit ouverte et que la femme se tienne à quatre pattes, nue dans le hall, les fesses tournées vers la porte. Imaginez le spectacle qui m'attendait.
Je passe devant la dame sans la toucher, ni lui parler. Je le traité comme une chose négligeable. J'avais également exigé que l'épouse s'habille d'une nuisette, débats noir et de jaretelles. Sous la nuisette, je voulais un string de couleur noire bien inséré dans la raie, laissant apparaître les deux lobes pales et lisses que j'avais entrevus dans la revue.
L'homme devait se tenir également à quatre pattes et se tenir prêt à être enculé, le cul bien lubrifié. En guise de bonjour, je lui donne une claque sur les fesses avant de lui mettre un collier autour du cou.
Je sors mon sexe sans me déshabiller et le met brutalement dans la bouche du cocu qui semble heureux de recevoir ce cadeau. Pendant qu'il me suce goulûment, je tends mes mains vers son beau fessier pour donner d'autres claques qui résonnent dans l'appartement vide. De l'endroit où je me trouve, je peux voir la tête baissée de la bourgeoise qui se lève au moment des claques. Je lui intime l'ordre de baisser sa tête et de demeurer dans sa position.
Maintenant que mon dard est dans sa forme maxi, je décide d'honorer la dame. Je tire sur la chaîne reliée au collier du gars et lui donne l'ordre d'avancer à quatre pattes vers son épouse. Je me mets derrière elle, pointr un tube de vaseline vers sa raie qui reçoit abondamment la pommade puis donne mon pénis à sucer à l'époux qui n'en demandait pas temps.

Pendant ce temps, j'ouvre les fesses de la bourgeoise et admire le beau tableau.
Je suis au summum de l'excitation. Visiblement, la dame aussi. Elle halète alors que je ne l'ai pas encore touchée. Je tire ma verge de la bouche du cocu et la plante dans le cul brûlant de la bourgeoise qui hurle de douleur. Mais très vite, le plaisir prend le dessus et la voilà qui tangue du fessier, se collant à mon bassin tout en hurlant :
- baise-moi, maître ! Déchire-moi ! J'adore ta verge ! J'adore quand tu me dominés, quand tu me rabaisses, quand tu t'enfonces en moi !
De temps à autre, je retire l'on zob pour le fourrer dans la bouche du cocu...
A suivre

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