Collection Cocu. Cocu Mais Heureux (1/1)

La salope, elle m’a épuisé, pourtant j’ai l’habitude avec les femmes.
À côté de l’hôtel où j’ai été fourrer une bourge bien salope toute l’après-midi, il y a un bar à bières, j’y entre pétant la soif.

Un bon demi, bien frais me remet en selle.
Pas tant que ça lorsque j’entends !

- Vous semblez crevé, je vous ai vu sortir de l’hôtel voisin, elle était à la hauteur.
Je me présente Hubert, je vous offre votre deuxième verre.
- Christian, si je vous disais ces bourges de vraies salopes.
- Vous m’en direz tant Christian, sur quoi vous basez-vous pour un tel constat !
- Sur mes statistiques, je ne vous connais pas, mais vous m’êtes sympathique.
Je vais vous faire voir le carnet ou je note toutes mes conquêtes.
La vieille bourge que j’ai sautée pour la troisième fois aujourd’hui est la 1002ème.
Hier j’ai eu 26 ans, je me suis fait dépuceler par Gloria le jour de mes 18 ans.
Regardez, N°1 Gloria. 52 ans - 10 sur 10 - baisés deux fois.
Si tu retournes le carnet, je les classe par genre.
Bourge – 705.
Celle d’aujourd’hui est déjà répertoriée puisque je l’ai baisé trois fois, ça compte pour un.
- Et c’était comment ?
- La première fois ou aujourd’hui.
- La première fois.
- Regarde, Bourge – 980 - 48 ans – 4 sur 10 – Ne pas revoir – Amoureuse de son mari.
- Où l’as-tu rencontré ?
- Ce genre de bourge, grand magasin les jours de pluie et dans les squares s’il fait beau.
Elles ne le savent pas, mais si elles vont là c’est par manque de sexe et voir des s jouer, ça les rassure.
- Je comprends.
Tu marques « Ne pas revoir » or, tu m’as dit l’avoir baisé trois fois.
- Hasard, c’est la première, attend.
Patron deux demis, mon copain a soif comme moi.

Ça fait quelques minutes que nous sommes devenus potes, nous nous tutoyons naturellement.



- Un jour il pleuvait, j’étais au Galerie Lafayette rayon petite culotte, c’est là qu’elles sont les plus vulnérables.
Faire voir les dessous qu’elles portent quand on ne les connaît pas, c’est déjà être dans leur intimité.
Elle était là devant les strings, mais à la fin elle a pris une culotte en dentelle.
Elle avait déjà des paquets et quand on veut baiser, la galanterie est primordiale.
J’ai pris ses sacs et elle est passée en caisse.
Nous sommes passés devant un hôtel, elle m’a regardé et nous sommes entrées pour un 5 à 7.
- Qu’elle note tu lui as mis.
- Regarde, je me souviens 991 – Bourge – 48 ans – 7 sur 10 - Revus par hasard - Fait des efforts – A promis que la prochaine fois elle serait la plus folle des salopes.
Et la prochaine fois, c’était celle que je viens de quitter et qui m’a épuisé.
- Elle a tenu parole.
- Au-delà de mes espérances, elle avait réservé la chambre, quand je suis arrivée, elle avait allumé des dizaines de bougies de toutes couleurs.
- Et l’alarme anti-fumeur ?
- Elle était certainement montée sur la table et avait bouché par du scotch les sorties pour éviter qu’elle ne se déclenche.
Elle m’avait dit d’entrer, elle était nue sur le lit, les mains attachées par des menottes aux barreaux du lit alors qu’elle avait mis un loup sur ses yeux.
À ses côtés, il y avait une cravache.
- Tu l’as fouetté.
- Doucement au début, mais elle en voulait plus, elle voulait que je la fouette réellement.
- Elle t’a dit pourquoi.
- Oui, après quand nous nous reposions avant le deuxième round.
Son mari est très doux, trop doux et elle voulait être une chienne.
- Elle l’a été !
- Plus que toute autre, je l’ai baisé après lui avoir martyrisé les seins mais surtout sa chatte.
Mais avant, il y a eu les bougies, je lui ai versé de la cire principalement sur ses seins.

Là encore elle sera marquée.
- Comment elle pense justifier à son mari, les traces sur son corps ?
- Tu devrais te mettre sur le coup avec des femmes comme elle, j’ai pensé la même chose.
- Et !
- Ses règles, ce soir elle va lui dire qu’elle a ses règles avec une migraine carabinée, ça marche à tous les coups d’après-elle.
- Comment là tu baisés !
- Non, elle voulait être salope et faire tout elle-même.
Je l’ai détachée les clefs des menottes étant sur la table de nuit.
Elle a voulu que je la remplace, elle avait une chose à faire et voulait que je sois le premier.
- Tu as accepté d’être attaché.
- La première fois, j’aurais hésité, mais la troisième aucun risque, n’oublie pas que c’est elle qui avait loué la chambre et qui l’avait préparée.
Une fois que j’ai été attaché, elle m’a pompé comme une malade.
Par deux fois, j’ai failli éjaculer, j’aurais pu croire avoir une professionnelle qui me suçait.
Elle a fait retomber la pression pour mieux me faire repartir.
Elle a fini par monter sur moi et s’emmanchant a rythmé notre coït.
J’ai oublié, elle m’avait mis le loup, je ne voyais rien, la sensation en était décuplée.
- À part le fait que tu ne voyais rien, il n’y avait là rien de spécial, la femme sur l’homme, c’est fréquent dans un couple.
- Sauf au moment où elle a retiré ma queue et que j’ai senti qu’elle la plaçait sur son petit trou.
- Arrête, tu me fais bander, dis-moi, dans les dernières pages, je vois bonne sœur, une.
- Ça c’est un de mes plus grands exploits, je suis plombier à mes heures.
- J’étais en vacances en Haute-Savoie et il y avait un couvent de bonne sœur.
Je discutais avec un autre visiteur, j’ignore comment ça s’est fait, mais j’ai parlé de mon métier.
La mère supérieure m’a entendu et m’a demandé si je pouvais venir dans sa cellule, son robinet fuyait.

Je l’ai réparé le lendemain et j’en ai profité pour lui réviser la tuyauterie.
Regarde, 227 – Haute-Savoie – La quarantaine - 10 sur 10 - Dommage que mes vacances se terminent.
Je ne l’ai jamais revu.
- Pourquoi la rentres-tu dans bonne sœur et que tu mets seulement Haute-Savoie ?
- Des couvents en Haute-Savoie, il y en a peu et des mères supérieures il n’y en a qu’une.
- Si je perds mon carnet il sera facile de la retrouver et la mettre dans la merde.
Pour elle je sais ce que veut dire Haute-Savoie.
- Patron deux bières !
- Ou j’en étais, à oui, elle a prise ma queue et la mise sur son petit trou, centimètres, pardons, millimètres par millimètre elle s’est empalée.
- Tu l’as enculé !
- Oui, j’étais le premier, elle en rêvait mais elle n’a jamais osé demander à son homme de le faire.
Je l’ai bien senti, inutile qu’elle me le dise, la sodomie parmi toutes les femmes que j’ai baisées je la pratique souvent et je sens quand un anneau est distendu.
Là, elle poussait des petits cris chaque fois que ça descendait jusqu’à ce que je sente son cul sur mes jambes.
J’ai fini par décharger dans son anus, elle poussait des cris de plaisir, je crois qu’elle a joui à sa première sodomie.
- Patron une autre tournée, vous me la comptez !
Ça été tout.
Pas tout à fait, je t’ai dit qu’elle m’avait vidé les couilles, si j’ai oublié je te le dis, si je suis crevé c’est pour ça.
Elle m’a détaché, et je l’ai vue partir vers la salle de bains, j’ai eu le temps d’admirer son petit cul fraichement dépucelé.
- Excuse de t’interrompt, dit moi, pucelle, attend je regarde s’il y en a.
13, 14, 15 et bien mon salopard 15 pucelles, 15 fois tu t’es retrouvé avec sur ta queue.
- Comment crois-tu que j’aie pu dire qu’elle était pucelle ?
La bourge, son cul, je l’ai sue car elle était serrée et je n’avais aucun motif de ne pas la croire.

Les pucelles, elles cherchent souvent le mariage et il faut les fuir comme la peste, certaines essayent de vous faire croire que vous êtes le premier et l’homme de leur vie.
- Je comprends, gigolo c’est un métier.
- Un gigolo se fait payer, je les baise pour le fun, la performance eux se font payer.
Ma bourge donc est partie vers la salle d’eau, je l’ai suivie, elle a fait couler l’eau de la baignoire et s’est accroupie dedans.
Je l’avais suivi ayant envie de pisser.
Elle m’a interdit de le faire dans les toilettes, elle m’a fait monter devant elle et elle a voulu que je lui pisse sur la figure et dans sa bouche.
Quand elle a vu la dernière goutte, elle m’a sucé pour la récupérer avant de me tailler une nouvelle pipe jusqu’à ce que j’éjacule.
Tu vois, une vraie salope, l’une des plus grandes des salopes que je n’ai jamais eues.
Après ce que je t’ai expliqué de mon après-midi et de ma bourge, combien la noterais-tu.
- 1002, tu vois, j’ai suivi, Valérie – 10 sur 10.
- Valérie, à aucun moment je ne t’ai donné son nom.
Qui es-tu ?
- Son mari, le mari de la pute que tu as tringlé toute l’après-midi.
Excuse une nouvelle fois, qui t’a tringlé toute l’après-midi.
- Tu vas me casser la gueule !
- Je suis non, violent.
Dis-moi, comment on tient une femme ?
Toi c’est par tes couilles, moi c’est par le fric.
J’ai rencontré Valérie elle était caissière à Mammouth, je l’ai sortie de là et j’en ai fait une bourge comme tu dis.
À son âge, pour garder son train de vie, faire la pute, il ne faut pas y penser.
Il reste qui bibi, merci, j’ignorais que j’avais une salope à la maison par respect pour elle.
Je vais de ce pas aller au sex-shop voisin acheter une cravache et dès que je serais rentré lui faire voir qui est le mâle dominant à la maison.
De plus, je viens d’acquérir une vieille ferme dans le beaujolais avec une cave voûtée.
Je pense qu’elle va y passer des heures dès que j’aurais installé quelques systèmes de supplice pour la satisfaire.
Merci d’avoir tracé la voie dans son cul, dès ce soir en plus de la cravache elle va goutter à mon pieu.
À son âge et au mien, il me reste 20 ans avant que mon sexe ne me lâche, elle sera défoncée quand j’aurais cet âge.
Bref grâce à toi, je suis un cocu heureux.
Adieu.

Comment m'a-t-il dit s’appeler, j'ai oublié, je le vois sortir une liasse de billets et balancer 200 € sur le comptoir et sortir un peu titubant.
Je reste au bar boire une dernière bière.
Je prends mon carnet et je le déchire.
Demain j’ai rendez-vous avec Jade une petite voisine.
Dans ma tête avant d’entrer ici, je voulais la coucher et ajouter une capture de plus dans la case dépucelage.
Je crois que je vais l’inviter au restaurant, lui faire la cour et un jour prochain si elle accepte de mettre à son doigt la bague de ma grand-mère l'a demandé en mariage.
Avec moi, elle sera sûre d’avoir un mari attentionné qui fera attention jour après jour qu’elle n’aille pas traîner dans un square.
De plus, chaque fois qu’elle ira faire des courses, je l’accompagnerais pour qu’elle ne soit pas tentée d’accepter qu’un bellâtre vienne lui porter ses sacs.
Bref grâce à mon cocu heureux, je vais être le plus parfait des maris.

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