Collection Les Chiennes. Contrôle Fiscal (1/1)

- C’est pour vous venger de vous avoir piqué votre femme que vous me taxez sur mon entreprise après un redressement fiscal, ce qui va mettre de nombreuses familles au chômage.

C’est comme cela que tout a commencé, jusqu’aux deux balles que je prends l’une dans les couilles l’autre dans la tête.

Un matin ma secrétaire m’apporte mon courrier.
Une lettre de l’administration m’apprend que je vais être soumis à un contrôle fiscal dans le cadre légal.
J’ai rendez-vous au siège des impôts convoqué par un dénommé Marc, inspecteur chargé de mon contrôle.

Avant ce rendez-vous, j’appelle mon comptable qui me précise que je n’ai aucun souci à me faire, tout est carré.
Costard cravate, je suis beau comme un dieu, il faut dire que j’ai 30 ans, que je gère depuis moins d’un an l’entreprise de mon papa parti au Brésil officiellement pour sa retraite.
Je connais papa depuis ma naissance, j’ai vu défiler tous ses copains après le départ de maman m’abandonnant me laissant sans repère féminin.
J’aurais pu comme lui virer du côté des garçons ce qui avait été la cause de mon abandon, papa préférant leur bite à la chatte de maman.
Un copain lui ayant dit qu’au Brésil, les transsexuels sont très nombreux, il est parti les voir de plus prêt.

De mon côté, j’ai commencé à m’intéresser aux filles, j’avais quatorze ans.
Martine, ma prof de français.
Petite robe ras la moule, véritable pousse au viol.
Surtout quand je montais mon regard sur ses roberts, un 95 D magnifique qu’elle me mettait sous le nez chaque fois qu’elle avait quelque chose à me faire voir sur mon cahier.
J’avais l’impression que ses cours m’étaient réservés, les autres semblant l’indifférer.
La nuit dans mon lit, j’entendais papa jouir sous les coups de bite du copain du moment.
En grandissant, penser qu’il se faisait prendre le fion me rendait malade.
À l’époque de Martine, je me mettais du coton dans les oreilles et je me masturbais jusqu’à éjaculation en faisant venir ses seins jusqu’à moi.


Fort de mon pouvoir de séduction pour elle, un matin où nous avions cours et que tous étaient concentrés sur Voltaire et son optimisme, je me suis permis de lui passer ma main sous sa mini touchant pour la première fois la chatte d’une salope.
D’une salope car ma main a senti des poils sans protection.
En classe la prof était sans culotte, ça c’est sur comme il est sûr que je me suis pris une baffe et qu’elle m’a fait mettre à pied trois jours.

J’ai tout compris, la tenue sexy sans culotte, était pour le proviseur.
Je venais de revenir quand je l’ai vu entre deux cours entrer dans son bureau.
Je savais que dans l’aile désaffectée la toiture étant à refaire, une fenêtre donnait sur son bureau.
J’ai foncé, elle était sur le bureau les jambes enserrant ses reins, il la pilonnait à grands coups.
La reprise des cours m’a fait quitter ma position de voyeur et cette nuit-là, j’ai joui en revoyant ma première copulation.

Mais je m’écarte de mon sujet, revenons à mon contrôle fiscal.
Ce que j’ignorais c’est que l’administration pouvait remonter sur les trois derniers exercices même si c’était mon père qui était à la tête de l’entreprise et qu’il était parti au Brésil avec son comptable.

L’inspecteur m’a convoqué après être venu dans mon entreprise et avoir constaté de graves erreurs du temps du patriarche.

« Vous êtes convoqué à 16 heures dans les bureaux des finances. »

En gros c’est ce que j’ai retenu de cette convocation ou je me suis rendu, persuadé que je pouvais infléchir ses conclusions étant un simple employé au moment des faits.
Résultat, intimidation contre agent de l’État.
Il faut dire que je l’ai un peu pris au collet et que j’ai légèrement fait sortir ses yeux de la tête quand j’ai un peu serré sa cravate.

C’est en sortant de son bureau que le premier événement s’est produit.

- Pauvre con, résidu de capote, mal baisé.

- Je m’excuse, je viens de vous entendre, vous semblez avoir des problèmes avec l’inspecteur qui est dans ce bureau.
- Oui, c’est un pauvre connard.
- Vous avez bien dit, mal baisé, j’ai entendu ces mots !
- Oui, mais c’était des mots de colère.
- Non, vous avez raison, Marc c’est mon mec, il y a plusieurs jours qu’il voudrait que je continue à baiser, il me fait chier, je viens lui dire que je le quitte.

Sylvie a ouvert la porte, a envoyé une bague, qui devait être de fiançailles à ce pourri d’inspecteur et a claqué la porte.

- Viens, on va baiser, tu as une voiture.

Nous sommes sortis des bureaux, nous nous sommes engouffrés dans ma voiture garée au fond du parking de l’administration.
Elle m’a littéralement violé, défaisant ma braguette me suçant la bite.
C’était une vraie chienne qui me prend dans sa bouche, je bandais comme un taureau.
Me sucer a été le début de notre relation, elle est venue chez moi, j’étais sans meuf depuis quelque temps.

Une furie, elle m’a tout fait ce qu’un homme avait comme fantasmes les réalisant les uns après les autres.
J’avais perdu mon pucelage à 17 ans grâce à la mère d’un copain mal baisé elle aussi et qui m’a appris mon métier d’homme.
Sylvie arrivait à la croisée des chemins, mon sexe était fou d’elle.

Aujourd’hui je me retrouve dans le bureau de ce fumier de Marc, il me renvoie devant le tribunal pour abus de biens sociaux.
Mon père est parti avec certains biens de l’entreprise dont la caisse des droits sociaux et syndicaux.
Tous ont porté plainte mais je comprends bien que c’est moi que Marc dans son rapport veut atteindre.
Lui avoir pris Sylvie le rend malade.
Il me harcèle tellement que je finis par porter plainte contre lui et l’administration qui lui permet de me faire ce qu’il me fait.

Résultat, jour de chance pour moi, nous signons avec Sylvie un Pacse le jour du rendu de jugement.

Jugement en ma faveur, l’administration est reconnue couplable de harcèlement envers moi par l’intermédiaire de ce fumier de Marc.
Les charges sur l’entreprise sont abandonnées m’évitant la banqueroute et mes employés au chômage.
L’avocat de l’État nous félicite et me signale qu’une procédure de licenciement est ouverte contre mon harceleur.
Il considère que chaque personne est libre de son cul, bien sûr, c’est dit en langage plus châtié et que Sylvie et moi avons bien fait de nous mettre ensemble.
Je suis à deux doigts de lui dire surtout quand on voie la salope que j’ai trouvée et qu’au lit, c’est une véritable chienne que je sexe.
Mais j’ai peur qu’il ne me la pique, un avocat ça a du fric

Nous sortons du tribunal main dans la main.

- Retournez-vous fumiers !

Je le fais, Marc est derrière nous un flingue en main.

- Tout se paye un jour.

La première déflagration, je l’entends mais ne ressens aucune douleur.
Sylvie tombe sur ses genoux.
La deuxième, une immense douleur à la hauteur de mon sexe.
En même temps, tout devient noir, je suis touché à la tête.

Ça doit être cela la mort.

Quoi que…

- Que, que, que.
- Tu es revenu chéri, on a cru qu’il t’avait eu mon chéri.
- Ils t’ont bien soigné, bien sûr tu resteras dans un fauteuil toute ta vie, mais ils pensent que tu pourras reprendre l’usage de ta voix.
- Que, que.

Je rejoins mon chez-moi, pourquoi je comprends tous mais qu’il m’est impossible de bouger.
Je suis content Sylvie s’en ai sorti, elle me fait voir son bras touché sans gravité.

- Que, que, que.
- Allez les mecs, baiser moi, le sexe me manque.
- Mais ton mari, il nous regarde et pourquoi dit-il, que, que.
- C’est tout ce qu’il est capable de dire, on ignore même s’il nous entend, de toute façon, baisez-moi, une balle lui a emporté ses couilles, il a une sonde sous lui pour pisser.

- Viens, on va dans la chambre.
- Sûrement pas, je viens de recevoir son chèque donné par sa police d’assurance, il a bien le droit à une petite compensation.
Allez, baisez-moi sinon je vous fous dehors et je trouve d’autres queues pour me sauter.
Avant qu’il reçoive ces balles, il me traitait de chienne, je veux lui faire plaisir, s’il comprend, il verra que j’en suis une à cent pour cent.
- Que, que.

Au moment où elle prend une queue dans la chatte, l’autre dans sa bouche, combien de temps vais-je rester là à la voir se faire déchirer, je l’ignore, attendez, je vais vous dire.

- Que, que, que.

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