Collection Histoire Courte. La Piscine (1/1)

Je profite de mon après-midi de ce début de mois de juillet pour venir me faire bronzer.
Quand j’arrive, je vois que les maîtres majeurs viennent de se positionner autour de la piscine à vague.
Depuis qu’ils l’ont mis en service il y a quelques années, j’aime nager dans les rouleaux pendant les 25 minutes par heure où il la démarre.
Je m’élance, l’eau pour certains pourraient leur paraître froid venant de l’extérieur.
Pour moi, l’eau est divine et j’arrive rapidement au mur.

L’an passé j’ai sauvé une jeune fille qui était allée trop loin et qui avait perdu pied.
Blonde aux yeux bleus lorsqu’elle passe à mon côté.
Quand nous sommes au mur, les vagues sortent en harmonie et il suffit de faire la grenouille bien à plat sur l’eau pour flotter.
Je suis un super-nageur et je suis près du mur d’où sortent les vagues quand me rejoint une belle blonde.
Ils ont arrêté les jeux de rouleaux qui permettent au système de fonctionner.
Je profite de ce calme pour me retourner et faire quelques minutes la planche avant dans un crawl parfait rejoindre le plan incliné ou les vagues viennent se briser.
Le temps est cours quand on se trouve bien dans l’eau et c’est avec regret que je sens que tout devient calme.
En nageant j’ai vu ses yeux bleus, elle les a recouverts de grosses lunettes de soleil.
Près de la barrière où j’ai posé ma serviette, la belle blonde est devant moi.
Quand j’arrive à elle pour récupérer ma serviette posée à côté de la sienne, elle part vers la pelouse où nous nous faisons bronzer.
Elle serait restée deux secondes supplémentaires, je suis sûr que ma main n’aurait pas hésité à venir le caresser au risque de me prendre une paire de baffes et de m’obliger à prendre la tangente la queue basse.
Je la suis, elle va sur la pelouse en roulant ses hanches.
Je mets ma serviette devant moi pour cacher la turgescence que ce divin cul m’inspire.



Elle étend sa serviette sur un carré de verdure et s’allonge souplement.
En plus de la natation, elle doit être très sportive car elle a une souplesse impressionnante.
Un autre carré est libre entre deux familles qui ont amené leur pique-nique.
Par chance, il n’y a que les mamans leurs rejetons jouent dans la piscine à vague arrêtée.

Est-ce voulu, de ma part mais je m’allonge face à la beauté qui me regarde derrière les verres de ses lunettes, qui sont si foncés que ses yeux sont cachés.
C’est incongru, je pense qu’elle m’admire alors que ses lunettes m’empêchent de voir ses yeux.
Je ne me trompe pas, elle les retire étant allongée sur ses avant-bras.
Elle met une branche dans sa bouche et se penchant sur un bras se remet en place la mèche qui doit la gêner.
Là je suis certain, elle me matte, elle doit me trouver à son gout, mais comment engagé la conversation et surtout si ça matche ou l’emmener pour la baiser.
J’aime me faire des cinémas, si vous saviez le nombre de gonzesses que j’ai baisées par la pensée.
Une nouvelle fois, je sens que mon cul se soulève par ma queue qui a l’opposé se redresse.
Une nouvelle fois je suis contraint de rester la bite bien cachée sous moi afin d’éviter un autre scandale devant toutes ces mamans et surtout leur progéniture.
Le temps passe, j’ai dit que les vagues démarraient toutes les heures, nous sommes à cinq minutes pour que j’y retourne quand je vois que ma belle inconnue se lève, me regardant.
Du moins la direction où elle le fait me fait penser que c’est moi qui suis sa cible et quand elle prend le chemin des douches et des vestiaires, je me lève.
Remettant ma serviette devant je me sens obligé de la suivre.
Je la vois entrer dans une cabine, la porte reste entrouverte.
Elle a fait passer sa serviette par-dessus la paroi qui ne va pas jusqu’en haut.
J’en fais de même, elle ne peut pas ignorer que je suis là et pourtant la porte reste entrouverte.

Je la pousse, un bras m’attire, elle s’agenouille dégage mon sexe et le prend en bouche.
Une véritable pompe aspirante, je suis obligé de faire un effort sur moi-même pour ne pas paraître comme un goujat et lui arroser les amygdales.

Je finis par la relever, d’elle-même elle se retourne détache la petite ficelle qui retient son petit triangle de tissus rouge.
Dans ces cabines, des tabourets escamotables sont placés afin que de vieille personne puisse se doucher en toute sécurité.
Elle le déverrouille se placent les jambes écartées me présentant ces magnifiques mappemondes que j’écarte avant de plonger divinement en elle.
J’entre sans forcer tellement elle mouille, je lui donne de grands coups la faisant simplement émettre des grognements qui doivent être de plaisir sinon pourquoi resterait-elle sous son influence.
Son corps se tend, je sens clairement le frisson qui la traverse quand lui ayant pris les seins recouverts de son petit Bikini et que je tire allègrement.
Posséder cette très belle femme comme je la possède à deux pas de nombreuses familles me remplies de certitudes.
Je suis un tombeur, une bête de sexe jusqu’au moment où n’y tenant plus je lui remplis la chatte de mon sperme chaud.
Elle se redresse, me regarde ses yeux ayant tourné presque au noir et appuie sur la douche.
La personne précédente devait aimer l’eau froide, mais je dois dire alors que ma queue est encore bandée ça me surprend.
Elle me lave tout le corps comme si de l’avoir baisé m’avait souillé et j’en fais de même pour elle.
Elle se baise, je pense qu’elle n’a pas sa dose et qu’elle va me reprendre en bouche, mais je me trompe, elle ramasse son cache-sexe qu’elle rajuste.
Ouvrant la porte, elle sort.
Le temps que je remonte mon slip de bain étant resté dans un de mes pieds, la porte est poussée.

- Au pardon.

L’homme qui voulait entrer n’a pas vu que nous étions deux dans la cabine.

S’il savait ce que nous venons de faire, il serait mort de jalousie.
À mon tour je me dirige vers les placards de vestiaire.
Je récupère pantalon et chemise ainsi que mes chaussures et mon petit sac que je prends l’été quand je n’ai pas de poche de veste et je prends la direction de la sortie.
Je vois ma maîtresse ayant déjà passé le contrôle simplement habillé avec un paréo qu’elle a noué sur ses seins et des tongs aux pieds.
Je dois encore m’asseoir pour mettre mes chaussures, j’aurais bien voulu la rattr pour échanger nos portables, un coup pareil ça vos de rester en contact.

Je finis par sortir, sur la route, devant je vois passer une décapotable.
Cheveux blonds au vent, elle est au volant, me voit et me fait un signe de la main sans s’arrêter.
Elle tourne à gauche direction de l’autoroute.
J’ai le temps de voir sa plaque et surtout son petit numéro de département 33.
La Gironde.
Est-ce un effet du hasard, Murielle mon épouse est partie chez ses parents il y a trois jours avec nos trois s afin de leur laisser pour les vacances et qu’ils puissent s’ébattre sur la plage.
Ils habitent précisément à Arès sur le bassin d’Arcachon.

Je rentre chez moi, sur mon répondeur, deux messages.

« Nous sommes bien arrivés, je rentre demain avant de revenir en août pour nos vacances. »

Je pense que mon aventure s’arrête là avec cette belle blonde inconnue dont je n’ai même pas entendu le moindre son de sa voix sauf quelques grognements de plaisir quand elle a joui.

Le lendemain matin, je trouve mon journal dans ma boîte aux lettres comme tous les jours, nous sommes abonnés.

C’est en début de la page des sports qu’une tête blonde me donne une partie du mystère de ma maîtresse se faisant baiser dans une cabine de douche de notre piscine.

« La célèbre golfeuse bordelaise Patricia Dupont revenant d’un tournoi en Suisse se serait arrêtée dans notre ville.

Certains disent qu’elle aurait été aperçue, du moins sa décapotable, près de la piscine de la ville et à l’entrée de l’autoroute.
Il est bien dommage qu’elle n’ait pas eu l’idée de venir nous voir au journal faire une interview. »

Quand je disais que la femme devant moi avait l’air d’une grande sportive.
Ce que j’aime c’est d’être le seul à savoir ce qu’elle a fait à la piscine même si je pense qu’elle n’avait rien prémédité, j’étais simplement venu jouer dans les rouleaux.

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