Un Homme Dominateur 6/6

Dernière ligne droite avant la fin de notre contrat moral avec Paul. Il nous reste moins de deux semaine. Ma femme voudrait accepter sa proposition de prolonger cette expérience. Moi, non. Quasiment six mois que ce contrat à débuté et j'ai trop hâte qu'il se termine. J'ai trop envie de baiser. J'ai mon sexe prisonnier d'une cage de chasteté et du coup, ça met complètement interdit. Sans cette cage, j'aurais vraiment apprécié ces six derniers mois et je serais d'accord pour prolonger. On a vécu avec ma femme, des expériences que l'on aurait jamais imaginé vivre. J'ai découvert ma femme sous un autre angle. Alors que l'on faisait l'amour une dizaine de fois par mois grand maximum, elle a eu un rapport sexuel au moins une fois par jour durant ces six derniers mois. Elle c'est fait baiser tous les jours ou bien, elle a juste sucer lorsqu'elle était indisponible. Elle se fait même sodomiser régulièrement depuis trois mois, alors qu'elle m'avait toujours refusé cette pratique. Elle a découvert le triolisme avec une autre femme ou bien avec deux hommes. Elle est devenu une véritable chienne. Moi aussi d'ailleurs, je suis devenu une chienne. Je ne baise pas, mais je suis devenu bisexuel. J'aime sucer la queue de Paul, l’avoir dans ma bouche, l’engloutir au fond de ma gorge. J'aime la sentir forcer mon anus pour me pénétrer, me ramoner le derrière sans ménagement. J'aime également qu'il me jouisse sur le visage, dans la bouche, ou bien nettoyer la chatte de Sandrine qui coule de cette semence. Comme je vous l'ai dit, je suis devenu une véritable chienne moi aussi. J'ai promis à Sandrine qu'ont pourraient continuer cette vie de débauche sans Paul, en s'inscrivant sur des sites ou en allant dans des clubs spécialisés.
Lors du dernier vendredi, après avoir baissé avec ma femme, me laissant complètement à l'écart, il nous informe avant de partir, que notre dernier week-end sera mémorable. Le lendemain matin, j'ai reçu un message me disant que l'on passerait la soirée chez lui.

Son chauffeur viendra nous chercher à dix neuf heures. Je suis très étonné, c'est la première fois qu'il nous invite chez lui. Et je pensais, pour un dernier samedi, qu'il nous emmènerait dans ces lieux qu'il affectionne tant. Vers dix-sept heures, un coursier nous a livré notre colis du jour. Un super costume ( pantalon, veste, chemise, cravate, chaussures ) pour moi mais surtout, une robe hyper sexy à m’en faire tomber les yeux et les boutons de braguette pour Sandrine. Quand enfin elle sort de la salle de bain, coiffée, maquillée et habillée de cette petite robe, j'en reste sans voix. Dommage que je ne puisse pas mettre de photos dans mes histoires pour vous en faire profiter. C'est une petite robe blanche, dos nu, avec un décolleté en V qui descend en dessous de sa poitrine. Elle lui arrive un peu au dessus des mi cuisses et elle est fendu sur le côté jusqu'à la hanche. Pour compléter cette tenue, elle porte des escarpins blanc à talons d'une quinzaine de centimètres. Je distingue parfaitement qu'elle ne porte aucun sous vêtements. Ma femme est magnifique. Je lui ferais bien l'amour maintenant si je n'étais pas prisonnier de cette cage. Le chauffeur de monsieur sonne à dix neuf heures à notre porte. Pile à l'heure, jamais en avance, jamais en retard, comme d'habitude. Il nous conduit dans une propriété, à environ trente minutes de Bordeaux. Le jardin est parfaitement entretenu et la villa est immense. Plusieurs voitures sont garées dans la cours en pavé. La berline allemande s'arrête devant la porte et une jolie jeune femme nous demande de la suivre. Elle nous conduit dans un petit salon, nous propose un rafraîchissement et nous informe que monsieur ne devrait pas tarder. En effet, il nous rejoint très rapidement. Après s'être salué, il nous conduit dans une grande salle à manger. Deux hommes d'une cinquantaine d'années sont là, ils discutent dans un coin de la pièce. Ils nous rejoignent et ont passent tous les cinq à table. Le repas ce passe bien, ont mange très bien.
A aucun moment, on ne parle de la suite des événements. J'imagine très bien qu'ils vont baiser Sandrine ensemble. Ils vont peut-être me baiser moi aussi. A la fin du repas, deux jeunes femmes habillées simplement en sous vêtements et talons aiguilles entre dans la pièce et ce dirigent vers nous. L'une d'elles prend la main de Sandrine et l'entraine vers la porte du fond, l'autre prend ma main et me conduit vers la porte opposée. Je ne sais plus trop à quoi penser. La demoiselle est magnifique. Petite brune d’à peine trente ans, j’en ferais bien mon dessert. Elle me conduit dans une salle de bain et avant de partir, me demande de me déshabiller. Lorsqu'elle revient et qu'elle jette un œil à ma cage, j'ai trop honte. Elle me reprend la main et me conduit dans une sorte de grand salon, bibliothèque. Il y a deux portes pour accéder à cette pièce. Celle ou je viens de rentrer et une à ma gauche. Quatre grandes fenêtres sont sur le mur du fond, en face de moi. Elle sont camouflés par d’épais rideaux. Dans l'angle droit du fond de la pièce, il y a une sorte d'estrade. Mais l'angle de cette estrade est caché par des rideaux noir. Je me demande ce qu'ils peuvent bien cacher. La pièce est meublée d'une table placée juste devant l'estrade, de plusieurs fauteuils et canapés, des armoires pleines de livres, quelques chaises et d'un bar. La pièce est vide, il n'y a personne. Ou est ma femme ? La jeune femme me conduit directement jusqu'à cette fameuse estrade et me fait monter dessus. Elle tire les rideaux, dévoilant une croix de saint André. Elle me donne un loup de carnaval que j'enfile, avant qu'elle ne m'attache le poignet gauche à la croix, puis le droit et enfin, mes chevilles. Elle redescend de l'estrade et quitte la pièce me laissant complètement seul. Je me trouve vraiment très con dans cette situation, nu et entravé sur cette croix. Il se passe plusieurs longues minutes sans que personne ne viennent me voir. Je commence même à me demander si on ne m'aurait pas oublié lorsque la porte s'ouvre et que la jeune femme qui m'avait attaché, invite des hommes à entrer dans la pièce.
C'est un véritable défilé. Cinq, dix, ils sont tous habillé en costume, cravate très classe, mais ils portent tous un masque vénitien. Quinze, vingt, vingt et un, vingt deux. Vingt deux hommes viennent de pénétrer dans la pièce. Certains se sont alignés contre les cloisons de la pièce, d'autres se sont confortablement installés dans les canapés et les fauteuils, à attendre ma femme, j'en suis sûr. Certains portent des loups ou des demi masques, j'arrive à distinguer plus ou moins leur visage et je reconnais quelques connaissances que Paul nous avait présenté ainsi que Christophe ( lire la 2ème parties ) et Sylvain ( 3ème parties ). Mais d'autres ont des masques qui camoufle entièrement leur visage. La jeune femme c'est placée au niveau du bar et attend d'éventuelles commandes. La porte du côté de la pièce s'ouvre et cette fois, c'est Paul que je reconnais derrière son loup ainsi que les deux invités qui ont mangé avec nous qui nous rejoignent. Des petits groupes se forme et le brouhaha de discussion s'amplifie. Des éclats de rire fuse. Je suis à l'écart de tout se petit monde, perché et attaché sur ma croix nu comme un ver, mais complètement ignoré. Puis la porte par ou je suis rentré, s'ouvre. Les discussions cessent et les têtes se tournent vers l'ouverture. La jeune femme qui avait emmenée Sandrine et Sandrine entrent dans la pièce, main dans la main. Ma femme ne porte pas de loup ou de masque. Elle tourne la tête dans tous les sens, certainement pour compter rapidement le nombre d'hommes présent. Sait elle ce qui l'attend ? À quoi pense t'elle ? Elle paraît pas très rassurée, puis elle croise mon regard. Elle me sourit. La jeune femme l'accompagne au milieu de la pièce, au milieu de tout ces regards d'hommes affamés. J’ai le cœur qui bat très fort dans ma poitrine. Peur, jalousie, excitation, tout ce mélange dans ma tête. Je regarde Sandrine, la jeune femme la fait tourner lentement sur elle-même, afin que tout le monde la contemple de tous les côtés. Elle est magnifique, super sexy dans cette tenue.
Puis la jeune femme s'éloigne et quelques invités de monsieur se rapproche, tels une meute de loups affamés sur leur proie. Des mains se pose sur le corps de ma femme. Beaucoup de mains, sur ses seins, ses fesses, son sexe, son ventre, ses cuisses. Perché sur mon estrade, je surplombe tout le monde. Je comprends mieux pourquoi cette estrade. Paul souhaite que je ne loupe rien du spectacle. Et c'est réussi. Certains hommes ont déjà sorti leur queue de leur pantalon et ce masturbe. Ceux autour de Sandrine ont vite fait de lui enlever sa petite robe, la laissant complètement nue devant tous ces inconnus. Les moins impatients ont déjà investis l'entre jambes de ma femme. Des doigts sont déjà en train de fouiller sa chatte. Paul est prêt du bar pour le moment, un verre à la main, laissant sa maîtresse aux bons soins de ses amis. Une bonne moitié d'entre eux sont déjà à poils, avec seulement un masque vénitien comme vêtements. D'autres ont décidés de patienter et sont encore habillés. Un des hommes prêt de Sandrine ce glisse derrière elle. Je le vois se branler entre les fesses de ma femme. Il l'oblige à ce pencher en avant et la pénètre jusqu'à la garde. Il l'att par les hanches et entame ses vas et vient. Un autre profite de cette position pour lui mettre sa bite à porté de bouche. Sandrine lui att la queue et commence à le sucer. Deux autres se placent aussi pour recevoir une fellation, ce qu'elle leurs offres sans rechigner. Elle alterne d'une bite à l'autre, les gobe jusqu'aux couilles, pour leurs plus grand plaisir. Contrairement à ce que j'aurais pensé, ils ne se jette pas tous sur ma femme. Ils sont quatre maximum à s'en occuper. Ce qui me permet de ne rien louper. Puis celui qui baise ma femme ce retire pour lui jouir sur le dos et file vers le bar. Il est aussitôt remplacé par un autre invité. Il la baise assez vigoureusement durant cinq bonne minutes puis inverse sa place avec l'un de ceux qui se fait sucer. Ils alternent comme ça, à tours de rôles, jusqu'à ce qu'un deuxième hommes éjacule à son tour sur les fesses de Sandrine. C'est Sylvain qui vient pour le remplacer. Il prend la main de Sandrine et l'entraine vers la table, juste devant l'estrade. Il l'invite à s'allonger dessus, puis s'éloigne. Aussitôt, des hommes viennent autour, mais prennent le soin de ne pas ce placer entre la table et l'estrade. Ils doivent certainement avoir les consignes de me laisser le champ visuel libre. Une bite investie la bouche de ma femme, une autre sa chatte. D'autres se frotte contre le corps féminin. Je jette un œil à l'assemblée. Plus précisément, je jette un œil à ceux qui sont à poil. Il y a beaucoup d'hommes plutôt bedonnants. Mais il y en a quelques uns, qui entretiennent leurs corps et sont assez musclés. Certains bande très dur, sexe au garde à vous, fier. D'autres bande plutôt mou et essais de revigorer leur bête en ce masturbant. D'autres au contraire, ne bande pas du tout. Je retourne m'intéresser à ma femme qui ce fait prendre en gangbang. Les hommes qui s'en occupe échangent leurs place régulièrement. Certains la baise mais préfère s'éloigner avant de jouir, afin de revenir à la charge un peu plus tard. D'autres ne se retiennent pas, éjacule sur Sandrine et file vers le bar. Une belle quantité de sperme lui recouvre déjà le corps et le visage. Voir ma femme souillé de tout ce foutre, m'excite terriblement. Et ce n'est que le début. Il n'y a pas de répit, pas de temps de pause, pas de temps pour la laisser souffler ou reprendre ses esprits, un homme s’éloigne un autre arrive. Elle est baiser comme une véritable chienne. En l’espace de six mois, Paul aura transformer Sandrine en bête de sexe. Jamais elle aurait vécu ce qu’elle vit actuellement, si on n’avait pas connu cet homme. Et finalement, je suis heureux pour elle. Les queues s’enfile dans sa chatte, dans sa bouche, le sperme gicle, recouvre sa peau depuis au moins une heure et il reste encore du monde à passer. Puis Sylvain ce rapproche de nouveaux, complètement nu cette fois-ci, sa bite toute fine mais bien raide à la main. Il va directement entre les cuisses de Sandrine et pénètre son anus jusqu'à la garde. Comme la première fois qu’il l’avait baisé, il jouit très vite. À peine quelques aller-retour dans son derrière et il envoi la purée. Mais comme la première fois qu’il l'avait baisé, il n’a pas fini. Il reprend possession de l’anus et le baise plus vigoureusement. Après quelques minutes, il laisse sa place au chaud à un autre homme, pour aller se faire sucer, avant de retourner s’occuper de son petit cul. Il alterne un long moment, avant de déverser une nouvelle fois, un flot important de sperme sur le visage de Sandrine. Il est aussitôt remplacé par un autre homme, qui s'invite directement dans son derrière. Il la sodomise sans douceur, sans ménagement. Ma femme est une vide couilles et chaque mâle ici présent, en profite largement. Certains reviennent même pour un deuxième rounds. Elle est complètement maculée de foutre. Plein le visage, elle ne peut plus ouvrir les yeux, plein les cheveux, plein sur la poitrine, sur son ventre, son pubis, ça coule de partout, plein sur les cuisses. Je reconnais Christophe, derrière son loup, qui s'approche du champ de tir. Il commence par ce faire sucer sa grosse queue. Il lui baise la bouche dans un rythme assez élevé pendant qu'un autre la sodomise plutôt avec douceur. Mais cet homme joui très rapidement et Christophe va prendre sa place. Il s'enfonce d'un coup dans le petit trou dilaté, ressort aussitôt pour se réintroduire immédiatement. Il lui met quelques fessées en passant, les unes plus forte que les autres. Sa queue coulisse dans le fourreau sur toute la longueur. Des invités qui se masturbent à l'écart, se rapprochent pour jouir sur Sandrine, avant de s'éloigner. Christophe retourne se faire sucer, avant de jouir et d'éjaculer une grosse quantité de sperme épais sur le visage de ma femme.
Après un long moment, plusieurs heures je dirais, tous les invités sont passés. Pour certains, deux voir trois fois. Tous, sauf Paul et les deux lascars qui ont mangé avec nous. Ils sont d'ailleurs en train de se déshabiller. Je me doutais bien qu'ils allaient eux aussi, profiter de ma femme. Ils se rapproche d'elle. Paul, comme à son habitude, ne bande pas du tout. Comme si la vision de tout ça ne l'excitait pas. Les deux autres par contre, sont en érection. Ils n’ont rien à envier à Paul. Ils ont un sexes énorme, épais, long. L'un d'eux monte sur la table, soulève les jambes de Sandrine, s’accroupi et pénètre dans sa chatte. L’autre se rapproche, par derrière, pointe son gland sur l’anus et d’une poussée, s’introduit au plus profond de ma femme. Ils la prenne en double pénétration, dans une position assez acrobatique. Paul est directement aller ce faire sucer. Son sexe à vite atteint sa taille de croisière. Trois grosses queues, trois mastodontes sont ancrés dans les orifices de Sandrine. C'est le bouquet final pour elle. Ils la défonce littéralement. Je n'ai pas d'autre phrase pour décrire ce que je vois. Il la défonce littéralement. J’en ai presque mal pour elle. Mais elle éclate en jouissance. Véritable femme fontaine, la cyprine coule à flot, comme si elle pissait. Elle prend un pied d’enfer. J'adore, même si je sais que je ne pourrais jamais lui offrir une telle jouissance. J'en viens à me dire que si Paul est d’accord de me libérer de cette cage, je suis prêt à prolonger notre contrat. Je sors de met pensées lorsque celui qui est dans la chatte, se retire. Toujours accroupi, il se place au-dessus du visage de ma femme pour jouir plusieurs jets puissants de sperme épais, bien blanc. Le deuxième gars se répand directement dans l'anus de ma chérie et Paul, comme à son habitude, se vide dans la gorge de Sandrine, ne lui laissant pas d'autre choix, que d'avaler sa semence.
J’ai les bras engourdis, de les avoir en l'air, attachés depuis aussi longtemps. La salle se vide petit à petit. Une fois le dernier homme parti, une des deux jeune femme emmène Sandrine hors de la pièce. La deuxième femme viens me détacher et m’emmène dans une chambre à coucher. Elle me laisse seul, sans nouvelle de Sandrine. Où est-elle ? Que fait-elle ? Je n'en sais rien du tout. Mes affaires sont là. Je jette un œil à mon téléphone. Il est déjà quatre heures trente. La soirée à durée quasiment toute la nuit. J'en reviens pas. Ou est Sandrine ? Je n’arriverait pas à dormir si elle n’est pas là. Il y a une salle de bain dans cette chambre. Je décide de prendre une douche froide, pour me calmer et baisser mon excitation. Lorsque je reviens dans la chambre, elle n'est toujours pas là. L'envie me brûle de partir à sa recherche. Je regarde l'heure. Cinq heures moins dix. Aller, à cinq heures, je vais la chercher. Mais pas besoin de partir en expédition dans toute la maison, une des jeunes femmes ouvre la porte et invite Sandrine à entrer. Elle est en peignoir, douchée et paraît épuisée. Je la prend dans mes bras et l'embrasse sur les lèvres. Elle me dit qu'elle veut dormir, ce que je comprends parfaitement. On se couche, mais avant qu'elle ne sombre dans le sommeil, je lui demande si elle veut toujours prolonger le contrat après une soirée comme ça. Elle me répond juste : - J'en ai vraiment très envie. A demain mon chéri.
Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. Le lendemain, le chauffeur de monsieur nous a ramené chez nous, après un copieux petit déjeuner. On a discuté avec ma femme, elle m'a avoué prendre beaucoup de plaisir, d'être traité comme ça par Paul. Je sais très bien que je ne pourrais jamais lui offrir la même chose. Le soir, nous n’avons reçu ni colis, ni message. Mais Paul est bien passé nous voir. A vingt heures, il a sonné à la porte. C'est moi qui lui ai ouvert. Il m'a demandé un whisky et a rejoint Sandrine. Lorsque je suis arrivé dans le salon, avec son verre, ma femme était en train de le sucer. Elle s'est appliqué à la tâche et l’a fait jouir assez rapidement. Il buvait son verre quand je lui ai dit que j'avais une condition pour prolonger le contrat. Être libéré de ma cage. Il m'a donné la clé en me disant que c'est lui qui décide si je participe ou pas, que je suis toujours son esclave. Il se dirige vers la porte, l'ouvre et ce retourne vers nous pour nous dire, félicitations, vous venez de prolonger cette expérience pour six mois. Et il est parti.
Ma femme m'a remercié, j'ai enlevé ma cage. On a voulu faire l'amour immédiatement, mais je n'ai pas réussi à bander. Malgré tout ce que Sandrine me faisait, toutes les caresses, ma queue est restée inerte. Je n'ai pas bandé, je n'ai pas joui. J'espère que je vais vite retrouver mes fonctions.
Fin

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